Quand on parle de régime on pense souvent au mode de cuisson qui l’accompagne : la cuisson à la vapeur. Elle peut être très fade et sans aucun intérêt mais des aliments cuits à la vapeur peuvent aussi s’avérer savoureux.

Voyons ce qu’est la cuisson à la vapeur et quels aliments peuvent être amélioré par cette cuisson saine.

La cuisson vapeur c’est cuire un aliment en présence de vapeur d’eau. On peut utiliser plusieurs ustensiles de cuisson à la vapeur.

Le plus classique est le cuit-vapeur, il est pratique et ne nécessite quasiment pas de surveillance mais il est un peu encombrant.

Autre ustensile :un autocuiseur avec un panier pour que els aliments ne soient pas dans l’eau, la cuisson est à la vapeur est sous pression. Je suis sure que vous avez tous un autocuiseur à la maison, il faut bien lire le temps de cuisson car les légumes peuvent vite être trop cuits et perdre de leur qualités nutritionnelles.

 Autre ustensile : un panier en alu, en silicone ou en bambou, pour les avoir tous essayé je préfère celui en silicone que l’on pose directement dans une poêle ou une casserole d’eau, le silicone c’est plus pratique.

Maintenant qu’on a vu les différents ustensiles, voyons quels aliments se prêtent bien à ce mode de cuisson.

En numéro un des aliments cuits à la vapeur je mettrai les légumes, personnellement je n’aime pas les légumes cuits dans l’eau, à la vapeur on peut garder des légumes fermes bien présentables.

Les viandes blanches sont très savoureuses cuites à la vapeur, elles restent tendres, les escalopes de poulet ou de dinde par exemple mais il convient de bien les faire mariner avant pour qu’elles aient du gout.

Le poisson est excellent cuit à la vapeur avec là aussi des herbes, des épices et une marinade.

Vous pouvez en plus d’assaisonner les aliments ajoutez à l’eau de cuisson des herbes et des épices pour donner encore plus de gout.

Nutritionnellement la cuisson à la vapeur préserve plus les vitamines et les minéraux car il n’y a pas de dispersion dans l’eau et les aliments ne sont pas surcuits.

Vous souhaitez perdre du poids? On vous a surement conseillé de faire du sport pour maigrir mais peut être avez-vous fait l’expérience suivante : vous faites du sport depuis un mois à raison de 2 cours de step par semaine et vous n’avez rien perdu en un mois malgre vos efforts ! Cela peut être décourageant mais rassurez vous c’est normal !

Le sport à lui seul ne fait pas perdre de poids car quand vous faites deux ou trois heures de sport par semaine certes cela représente un gros effort, vous allez dépenser de nombreuses calories pendant ces séances mais cela ne représente que 3 heures sur les 168 heures de la semaine, c’est tout relatif.

De plus la reprise du sport s’accompagne toujours d’une prise de masse musculaire surtout si cela fait des années que vous n’avez pas pratiqué.

Malgrès tout, le sport ou l’activité physique en général est très bénéfique pour la santé physique et mentale également.

Si vous faites attention à votre alimentation dans le but de perdre un peu de poids, une activité physique va vous aider à rester en forme et redessiner votre silhouette.

Dans une démarche de perte de poids il est préférable de faire des exercices dits d’endurance avec un effort modéré et de longue durée. Vous pouvez commencer par une marche rapide, du vélo, de la course à pied, du vélo ellipitque…

L’important est de commencer petit, ne vous donnez pas d’objectifs trop compliqués à tenir pour le début. Vous verrez qu’au fur et à mesure le sport change la silhouette, je vous conseille plutôt que de vous peser de faire attention à vos vetements et votre apparence, la balance est souvent inutile dans ces cas là.

Le sport est aussi important outre l’apparence pour votre santé, 30 minutes d’activités tous les jours améliorent votre santé. Voilà de nombreuses raisond e sauter le pas et de se mettre à pratiquer une activité physique régulière.

Pour perdre du poids il est important de manger mieux tout en mangeant de tout s’en s’interdire d’aliments, il faut souvent baisser ses apports pour perdre du poids.

Comment manger moins quand on a acquis des habitudes sur plusieurs années ?

Voici quelques pistes qui vous aideront je l’espère à manger moins sans difficultés.

Pour manger moins : il faut prendre son temps.

Quand on mange vite on mange toujours au-delà de sa faim. Vous savez que pour ressentir la satiété un signal interne est envoyé à votre cerveau, ce signal n’est pas immédiat donc si votre repas ne dure que 10 minutes vous aurez l’impression de en pas avoir assez mangé et par conséquent vous allez vous resservir et manger deux assiettes alors qu’en mangeant lentement vous n’en aurez mangé qu’une.

Pour manger moins : il faut déguster et prendre plaisir à manger.

N’avez-vous jamais englouti un sandwich ou un petit déjeuner debout en 3 minutes ? Dans ces cas là on mange vite et beaucoup sans prendre attention au gout des aliments qu’on ingurgite.

Pour manger moins il est important de bien gouter vos plats, prenez le temps de déguster chaque bouchée, le plaisir de manger compte beaucoup, cela vous permettra de manger à votre faim et donc de manger moins.

Pour manger moins : essayez le plateau repas.

Avez-vous remarqué qu’au self vous mangez moins qu’à la maison ?

Le principe du plateau repas est très efficace. Préparez à la maison un plateau repas, vous mettrez dessus avant le repas votre entrée, le plat principal et les desserts, ainsi vous ne déborderez pas des quantités qu’il vous faut et vous mangerez moins que si vous mettez les plats sur la table.

Pour manger moins : cuisinez.

Cuisiner permet de voir ce que vous allez manger et de faire des repas qui vous ressemblent plus, si un plat vous plait et que vous avez passé du temps à le cuisiner vous le savourerez plus et vous en mangerez moins en quantités qu’un plat cuisiné tout prêt.

Les barres de céréales ont la cote, en effet elles sont très pratiques à emporter et cela en fait un gouter facile pour les enfants comme pour les adultes.

Mais qu’en est-il de leur intérêt nutritionnel, sont-elles trop sucrées ?

Par rapport aux barres chocolatées, les barres de céréales sont plus intéressantes nutritionnellement car elles contiennent des glucides complexes : les céréales.

Dans ces barres la proportion de céréales n’est pas la même pour toutes les marques, dans la liste des ingrédients il est indiqué le pourcentage de céréales cela varie de 15 à 50%, il y a donc de gros écarts entre toutes les barres de céréales.

Elles contiennent plus ou moins de sucre, elles peuvent également contenir du chocolat, des graines oléagineuses comme les noisettes ou les amandes, du miel ou encore des fruits.

Les barres allégées ne le sont que de très peu de calories, la plupart des barres de céréales contiennent aux alentour des 100 kcal par barre.

Les céréales utilisées et les farines ajoutées varient beaucoup également.

Pour bien choisir votre barre de céréales vous pouvez comparer le taux de lipides et la liste des ingrédients, voici celles de deux barres différentes :

Une barre aux 5 céréales et abricots : 2,3 g de lipides

Céréales 44%,sirop de glucose, morceaux d'abricots secs 15% (j'aurais parié sur beaucoup plus), stabilisant, matière grasse végétale, sucre, gluten, dextrose, sel, arôme, correcteur d'acidité, émulsifiant

Une barre au riz soufflé et chocolat : 4 g de lipides

Céréales 23,5 %[flocons d'avoine 12,9 %, pétales de blé 11,1 % (grains de blé complet 10,6%, sel, sucre, extrait de malt)], Sirop de glucose, Chocolat 20 % (sucre, pâte et beurre de cacao, lactose et protéines de lait, beurre pâtissier, émulsifiants : lécithine de soja - E 476, arôme vanille), Billettes au riz soufflé 18,9 % (farine de riz 10,2 %, farine de blé 6,2 %, farine de blé malté 0,7 %, sucre, gluten, dextrose, sel),Stabilisant : sorbitol, Matière grasse végétale, Sucre, Contient : gluten, soja, lait. Fabriqué dans un atelier qui utilise : œuf, noisette.

En comparant les étiquettes vous pouvez faire le bon choix.

Bonjour à tous,

Avec les températures glaciales récentes, vous vous êtes surement mis aux soupes. Achetez vous des soupes toutes prêtes ou confectionnez vous vos soupes vous mêmes?

Les soupes qu’on trouve dans le commerce contiennent souvent des légumes mais aussi beaucoup d’autres ingrédients.

Elles sont souvent plus riches en féculents comme la pomme de terre ou l’amidon et en matières grasses avec des ajouts fréquents de matières grasses végétales ou animales dans les soupes industrielles.

Les soupes du commerce contiennent également beaucoup d’additifs et de sel.

Faire une soupe n’est pas le plus compliqué en cuisine ni le plus long c’est pourquoi il est préférable de faire vos soupes vous-mêmes, de plus cela vous reviendra bien moins cher.

Vous pouvez faire une soupe de légumes ou une soupe repas.

La soupe de légumes peut se faire avec une base de courgette pour l’épaissir sans pommes de terre puis vous rajoutez dans l’eau tous les légumes qui vous plaisent ou qu’il vous reste.

Par exemple vous pouvez rajoutez un bout de salade ou de haricots verts si vous avez des restes non cuisinés. Vous pouvez rajouter dans le bouillon de légumes un bouillon de volaille ou de bœuf pour ajouter du gout, une feuille de laurier ou d’autres herbes.

Si vous laissez les légumes en morceaux dans le bouillon, vous serez plus rassasié qu’avec une soupe mixée car vous aurez mâché.

La soupe complète est une soupe qui comporte dans un plat tous les éléments d’un repas : une protéine, cela peut être des boulettes de poulet, des lamelles de bœuf, un œuf, des morceaux de poulet, des crevettes.

La soupe complète comporte également des légumes et des féculents comme du riz, des pommes de terre, du pain ou encore des vermicelles.

Pensez à bien varier vos soupes d’hiver pour ne pas vous lasser. Des idées de soupe complètes sur le forum ICI.

Nous avons vu dans mes précedents articles ce qu’étaient les acides gras et leurs impact sur la santé.

Voyons aujourd’hui comment consommer concrtement plus d’acides gras bons pour la santé et comment diminuer les mauvais.

Les huiles

Il faut bien lire les étiquettes, si vous voyez écrit : huile de palme, c’est une huile qui est responsable d’une augmentation du risque de maladie cardiovasculaire du fait de sa richesse en acide palmitique.

D’autre part elle a aussi une mauvaise réputation écologiquement car elle a pour conséquence une déforestation intensive.

Si vous voyez inscrit : Huile végétale hydrogénée, il faut éviter cet aliment également car l’hydrogénation apporte des acides gras saturés dans le produit finit.

Si vous voyez inscrit :huile végétale sans précision c’est souvent de l’huile de palme, dans le cas contraire la nature de l’huile est précisée ( par exemple huile de colza ou huile de tournesol.)

Les bonnes huiles sont les autres, elles sont toutes riches en acides gras insaturés, elles ont toutes des compositions différentes, il faut donc varier les huiles.

Le beurre

Le beurre est fabriqué à base de lait et plus précisément à partir de la crème du lait mais ce n’est pas un produit laitier mais bien une matière grasse. Le beurre contient 83% de lipides, les beurres allégés en contiennent 41 à 65%.

Il a mauvaise réputation car il contient des acides gras saturés et du cholestérol  mais il contient également beaucoup de vitamine A qui joue un rôle important pour la vue. Il est préférable de le consommer cru sur les tartines le matin.

Sur une journée

Vous pouvez prendre un peu de beurre au petit déjeuner sur vos tartines, une huile de colza ou de noix à crue pour vos salades et un huile d’olive pour vos cuissons.

 

L'opération « Manger c'est agir » découle de l'idée que le choix alimentaire exercé collectivement peut jouer un rôle majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. Prenant en compte tout le cycle de production, de la culture jusqu'à l'assiette du consommateur, l'alimentation représente environ 1/3 des émissions de gaz à effet de serre (GES) globales en France.

Objectif Climat est une association régionale créée en 2007 dont l’objet est de sensibiliser et de mobiliser les citoyens aux enjeux climatiques et énergétiques. Membre du Réseau Action Climat France et d’Alsace Nature, Objectif Climat se positionne aujourd’hui comme un acteur local consacrant l’ensemble de ses compétences et de ses projets à la protection du climat et à la transition énergétique.

Objectif Climat mène ses actions sur l’ensemble du territoire alsacien, en coopération avec les acteurs locaux, notamment les structures impliquées dans une démarche Plan Climat Energie Territorial, et les structures et associations impliquées sur l’énergie, les transports doux, l’alimentation et la consommation responsable.

L’alimentation et le climat

L’alimentation est un poste important dans les émissions de GES de chaque citoyen car : « notre assiette, c’est 1/3 des émissions de gaz à effet de serre » (Claude Aubert, Ingénieur agronome). Ceci s’explique par le fait qu’avant d’arriver dans notre assiette, un aliment engendre des GES pour le cultiver ou le produire, le transformer, le conserver, l’emballer et le transporter. Un repas est dit « sobre en carbone » lorsque son élaboration a généré peu de GES. Cette réduction d’émissions d'environ 50% des GES de notre assiette est possible grâce à la mise en place des actions suivantes :

L’utilisation de produtis locaux et de saison.

La limitation de la production des emballafes inutiles et de déchets en général

La réduction de la consommation des produits congelés (Les produits surgelés demandent jusqu’à 10 fois plus d’énergie que leur équivalent frais car, en plus de celle nécessaire à leur fabrication, ils doivent être conditionnés spécifiquement et maintenus à -18°C jusqu’à leur consommation.)

Un repas sobre en carbone peut permettre d'économiser jusqu'à 5 kg eq CO2 par rapport à un repas classique. En plus de diminuer des émissions de GES, l'alimentation sobre en carbone permet de :

• préserver l'environnement, les sols, l'eau, la biodiversité locale, ainsi que le bien être des animaux d'élevage.
• Diminuer la quantité des déchets, en réduisant l'utilisation d'emballages.
• Renforcer l'économie et le développement local, en encourageant les consommateurs à acheter des aliments produits non loin de chez eux. Consommer des produits locaux favorise le maintien du tissu agricole et agroalimentaire régional, présente un impact positif sur l'emploi local et procure aux producteurs un revenu équitable et durable.
• Répondre aux besoins nutritionnels humains, en proposant une alimentation accessible à tous, saine et équilibrée.

L’historique de l’opération

En partant de l’idée que le choix alimentaire exercé collectivement peut jouer un rôle majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique, Objectif Climat a initié dans le cadre des « Rendez-vous Citoyens du Climat » 2007 l’opération « Mangeons sobre en carbone », au restaurant le Scala à Strasbourg. L’opération consiste, d’une part, à accompagner les restaurateurs dans l’organisation des « repas sobre en carbone » et d’autre part, à apporter des éléments de connaissance à la clientèle du restaurant afin de lui permettre d’appliquer les principes de l’alimentation sobre en carbone à domicile.

Cette opération a remporté un vif succès auprès des clients et a été une grande satisfaction pour les restaurateurs. Elle a donc été élargie à plus d’une trentaine de restaurants privés, cantines scolaires et restaurants universitaires lors des éditions 2008 et 2009. Le CEFPPA (Centre Européen de Formation et de Promotion Professionnelle par Alternance pour l’industrie hôtelière) est également partenaire de l’opération, pour la formation des futurs chefs. Grâce aux Plans Climats Territoriaux des pays alsaciens, la démarche a également été relayée et renforcée au niveau local. Lors de l’édition 2010, l’opération été renommée « Manger C’est Agir ». Les actions mises en place ont permis de toucher environ 8000 personnes et d’éviter ainsi l’émission de près de 10 tonnes de CO2 dans l’atmosphère.

Fort du succès de l’opération, Objectif Climat a décidé pour l’édition 2011 d’élargir le partenariat d’en faire un projet à part entière. Ainsi, la fédération de chefs de cuisine, restaurateur d’Alsace et le groupement des hôteliers restaurateurs et débitants de boisson du Bas-Rhin ont souhaité s’associer au projet, ce qui permettra d’augmenter la portée de la démarche.

Le choix du vecteur « gastronomie » pour agir en faveur de la protection du climat possède la double caractéristique suivante :

Il permet de toucher potentiellement un très grand nombre de personnes, a priori pas forcément convaincues par le sujet.

Compte tenu des différences identifiées entre les niveaux d’émissions respectifs d’un repas classique et d’un repas sobre en carbone, l’action proposée ne produit pas des résultats marginaux, bien au contraire. A titre d’exemple, si chaque Alsacien remplaçait un repas normal par un repas sobre en carbone par mois, ce geste pourrait permettre d’économiser jusqu’à l’équivalent des émissions annuelles de gaz à effet de serre d’une ville de 3 500 habitants.

Les objectifs de l’opération

1 - Sensibiliser les restaurateurs et leur clientèle aux enjeux du réchauffement climatique et à l’impact des choix alimentaires sur le climat.

2 - Accompagner les restaurateurs et le grand public, les inciter à passer à l’action en leur donnant les clés pour une alimentation sobre en carbone.

3 - Promouvoir un mode de cuisine original et respectueux de l’environnement tout en favorisant l’économie locale.

4 - Permettre aux professionnels alsaciens du secteur engagés dans la démarche d’acquérir une plus-value par rapport aux professionnels d’autres régions françaises.

Les deux derniers objectifs cités ci-dessus vont au-delà des enjeux climatiques. Ainsi, en incitant les restaurateurs à consommer des produits locaux et en créant une appellation régionale « repas sobre en carbone », le projet vise à favoriser l’économie et le tourisme de l’Alsace.

Pour en savoir plus, consulter www.objectifclimat.org

Source : Objectif Climat

Les premières études sur le lien entre graisses et santé sont apparues dans les années 60. Les réputations positives pour le régime crétois et négatives pour les acides gras saturés  trouvent leur origine dans ces études.

Ainsi il y avait deux camps : les graisses saturées mauvaises pour la santé et les graisses insaturées qui elles étaient réputé bénéfiques.

En simplifiant on a:

graisses animales = graisse saturée = mauvais,

graisses végétales = graisse insaturée = bonne.

Il y a quelques décennies on utilisait alors l’huile de tournesol pour les salades et l’huile d’olive pour la cuisson et les salades.

Aujourd’hui la star ce sont els omégas 3 : les poissons gras et l’huile de colza sont privilégiées, à l’inverse les graisses hydrogénées et l’huile de palme sont traqués sur toutes les étiquettes de l’industrie agroalimentaire.

L’huile d’olive est toujours plébiscitée avec les omégas 3. Les oméagas 6 sont eux décriés, le rapport en France entre omégas 3 et 6 n’est pas bon, nous consommons trop d’omégas 6.

Les études montrent les bienfaits des acides gras poly-insaturés et notamment des omégas 3.

Ils ont un role favorable dans la prévention des maladies cardiovasculairesd’ailleurs les produits qui contiennent des omégas 3 comme certaines margarines enrichies peuvent ajouter à leur étiquetage la mention « participe au bon fonctionnement cardiovasculaire »

Vous en avez suremement déjà entendu parler, on vous parle sans cesse d’acides gras, d’omégas 3 ou d’olmégas 6, de graisses polyinsaturées, mais savez-vous ce qu’on entend par acides gras ?  

Ceux-ci sont bons pour la santé, ils faut évoter ceux-là, à force il y a de quoi s’y perdre entre toutes ces matières grasses. Je vous propose de faire le point en commencant par parler des acides gras.

Les acides gras, sont des lipides, ils sont classés en 3 grandes familles,il y a les  acides gras saturés , les acides gras mono-insaturés et les acides gras poly-insaturés.

Les différences entre ces trois acides gras viennent de leur configuration chimique ce qui leur confère des propriétés nutritionnelles différentes, toutes les graisses ne se valent pas.

On peut reconnaitre la proportion d’acides gras dans les aliments contenant des graisses, en effet les matières grasses riches en graisses saturées sont solides à température ambiante comme le beurre alors que les matières grasses riches en acides gras polyinsaturés sont plutôt liquide comme l’huile d’olive.

Les acides gras saturés sont plutôt mauvais ou neutres pour la santé et notemment pour le système cardiovasculaire.

Les acides gras insaturés qui comprennent les omégas 3 et les omégas 6 sont eux bons pour notre santé. Nous ne fabriquons pas ces acides gras, ils doivent alors nous être apportés par l’alimentation.

Mon prochain article sera consacré à ces acides gras, leurs impact sur la santé et comment arriver à simplement varier ses apports en graisses pour donner à votre organisme les acides gras dont il a besoin.

On en parle sur le forum acides gras.

Le Parlement Europeen a adopté de nouvelles règles applicable à l’Union le mois dernier. Ces règles vont permettre aux consommateurs d’acheter plus sain et en meilleure connaissance de cause. La valeur énergétique, ainsi que la quantité de lipides, d'acides gras saturés, de glucides, de sucre, de protéines et de sel devront être clairement visibles sur l'emballage ce qui facilitera aux consommateurs la consultation de ces données.

Déclaration nutritionnelle obligatoire

Conformément aux nouvelles dispositions, la valeur énergétique et les quantités de lipides, d'acides gras saturés, de glucides, de sucres, de protéines et de sel doivent figurer ensemble dans le même champ de vision, dans un tableau lisible placé sur l'emballage. L'ensemble de ces informations doit être exprimé pour 100 g ou 100 ml. Elles peuvent, en outre, être indiquées par portion.

Substances allergènes

Selon la législation actuelle, tous les ingrédients, y compris les substances allergènes, doivent être mentionnés sur l'étiquette des denrées alimentaires préemballées. Désormais, les consommateurs pourront vérifier plus aisément si un produit contient des substances allergènes, étant donné qu'elles apparaîtront clairement dans la liste des ingrédients. Les consommateurs pourront prendre connaissance instantanément des informations nécessaires.

Les nouvelles règles adoptées par les députés précisent également que les informations sur les substances allergènes doivent accompagner les denrées alimentaires non emballées, notamment les plats proposés par les restaurants et les cantines. Dans ce cas, les États membres peuvent décider de la présentation des informations sur les substances allergènes.

Ne pas induire le consommateur en erreur

Les nouvelles règles visant à ce que le consommateur ne soit pas induit en erreur par la présentation du produit sur l'emballage, la description et/ou le graphisme seront renforcées.

De même les "imitations" – denrées alimentaires qui ressemblent à d'autres, mais dont la composition diffère, comme le "fromage" à base de substances végétales – seront étiquetées en tant que telles. Le remplacement d'un ingrédient, normalement présent dans une denrée alimentaire, par un autre, doit apparaître clairement sur la face avant de l'emballage dans une taille de caractère supérieure, et figurer à côté de la marque, précise l'accord.

Les viandes composées de différents morceaux doivent porter la mention "viande reconstituée". Cette règle sera également d'application pour le "poisson reconstitué".

Ce texte répond au principe de précaution avec lequel nous vivons aujourd’hui, mais répond-il réellement à nos besoin ? Dans l’article « La composition des produits intéresse les consommateurs »on conclue l’enquête ainsi : « la complexité du nutritment a perdu de la valeur face à l’attrait intuitif de l’aliment. La valeur symbolique de l’aliment évolurait d’une manière qui nous aiderait à ré-enchanter l’alimentation et la rendre plus simple et accessible. »    

La sur information ne nous serait elle pas néfaste ?