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bon jeudi
publié le 04/12/2008 à 10:37
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Travail, vie familiale, transports... Les causes du stress sont multiples. Mais les effets ressentis sont souvent les mêmes :
nervosité, irritabilité, insomnie, difficultés à se concentrer. Pour sortir du cercle vicieux du stress, la phytothérapie propose de nombreux remèdes. Petit tour d'horizon des plantes antistress avec Doctissimo.
De nombreux traitements existent pour combattre le stress. Mais la phytothérapie reste la méthode la plus naturelle. Le pouvoir des plantes peut alors être exploité en alternative à des traitements médicamenteux ayant parfois des effets secondaires néfastes. Doctissimo fait le point sur ces plantes qui permettent à l'organisme de surmonter ces tensions quotidiennes.
Une plante adaptée à chaque type de stress
La phytothérapie présente de nombreuses plantes aidant à lutter contre le stress. Chacune propose une réponse spécifique face aux différents types de stress.
Valériane
Appelée également "herbe aux chats", la valériane est connue pour ses propriétés sédatives et antispasmodiques. Elle est indiquée dans les cas de maux de ventre, d'agitation et de nervosité liés aux stress. Elle améliore également la concentration et régule l'humeur.
Passiflore
La passiflore possède des vertus sédatives et relaxantes, elle est utilisée dans les cas de stress anxieux. Régulant le système nerveux, la passiflore apaise également les tensions musculaires.
Aubépine
Fleurs et fruits de l'aubépine sont connus pour leur action ciblée sur le rythme cardiaque. Agissant en véritable régulateur, l'aubépine réduit la sensation de palpitations. Elle convient parfaitement à ceux dont les battements du coeur s'accélèrent face à une situation stressante. Elle soulage également la sensation de "gorge nouée" et de mains moites.
Mélisse
Grâce à ses propriétés relaxantes et calmantes, la mélisse permet de traiter les stress et de modifier agréablement votre humeur, en combattant par exemple l'agressivité. Par ailleurs, ses vertus régulatrices agissent contre les crampes ou spasmes d'estomac liés au stress.
Rhodiole
Connu pour ses capacités adaptogènes, la rhodiole ou Rhodiola rosea permet à l'organisme de s'adapter aux situations stressantes. Elle est ainsi conseillée dans les cas de stress persistant ou bien à l'approche d'une situation angoissante telle que le passage d'un examen ou d'un entretien d'embauche. La rhodiole permet alors d'optimiser la concentration et la mémoire, souvent mises à mal lors de ces périodes.
Avoine
Contenant des vitamines, des protéines et des minéraux, l'avoine est une céréale surtout connue pour ses valeurs nutritives. Mais elle n'en est pas moins efficace pour lutter contre les états de stress, d'anxiété et d'agitation.
Les plantes pour trouver le sommeil
Lorsque l'organisme est stressé, il devient parfois difficile de trouver le sommeil. Or la fatigue favorise le stress, difficile donc de sortir de ce cercle vicieux. Dans ce cas, il existe des plantes qui pourront vous aider à retrouver des nuits sereines. Parmi les végétaux cités dans les cas de stress, l'avoine, la mélisse, la passiflore et la valériane sont aussi indiqués face aux troubles du sommeil.
Les troubles du sommeil peuvent également être traités grâce à des infusions de tilleul, de verveine et de camomille. Plus atypique, le coquelicot présente également des propriétés relaxantes, aidant à retrouver un sommeil de qualité. Moins connu, l'escholtzia est conseillé dans les cas de difficulté à l'endormissement.
Le stress peut vite vous gâcher le quotidien. Pour ne pas laisser cette situation s'installer, il est important de réagir dès les premiers symptômes. Utilisant les vertus naturelles des plantes, la phytothérapie permet d'éviter des traitements plus lourds à l'accoutumance rapide. Bien que naturels, ces composés peuvent parfois interagir avec d'autres médicaments. Demandez donc conseil à votre pharmacien et veillez à signaler vos traitements en cours. Si les symptômes persistent consultez votre médecin, afin d'écarter d'autres troubles plus graves tels que la dépression.
il va faloir vite que je construise une cheminée pour que le pere noel fasse ceci ....
blon jeudi mes puces....
publié le 04/12/2008 à 05:03
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le chef de l'Etat s'est rendu à Meaux, vendredi, pour assurer le suivi de la politique du logement. Promettant, le 4 décembre, des mesures pour dynamiser le secteur.
Nicolas Sarkozy s’est rendu vendredi à Meaux pour donner un second souffle à la politique du logement. Avec ses 1,5 millions d’emplois, le logement est un secteur clé de l’économie. Or il se trouve directement menacé par la crise. La construction pourrait détruire 45.000 emplois en 2009, a averti le ministère de l’écologie mercredi. La crise de l’immobilier « était latente », a estimé Nicolas Sarkozy en Seine-et-Marne. Car en dix ans, « les prix ont été multipliés par deux », a-t-il rappelé. Jusqu’à atteindre un plus haut depuis quarante ans en 2007, au regard du revenu des ménages. « Ce que nous voulons, c’est que les prix baissent, pour que ça reparte », a scandé le chef de l’Etat.
En octobre, Nicolas Sarkozy avait appelé le rachat par l’Etat, à un prix décoté, de 30.000 logements dont les travaux n’ont pas été financés, faute de certitudes sur les ventes. « Cette opération enclenche une baisse des prix de l’ordre de 20% », s’est-il félicité vendredi. Ajoutant que l’Etat était « prêt à aller plus loin ». Même si l’opération suscite les réserves de la fédération des promoteurs.
Le chef de l’Etat a arrêté la date de la présentation de son plan de relance, « très puissant », destiné à contrer la crise : ce sera le 4 décembre. A cette occasion, il a promis des mesures en faveur de l’environnement susceptibles de dynamiser le secteur du logement. L’éco-prêt à taux zéro, pour financer la rénovation et l’isolation, sera porté à 30.000 euros. Et au 1er janvier 2009, tous les bâtiments devront converger vers les normes basses consommation.
Pour stimuler le marché, Nicolas Sarkozy a souhaité étendre l’accessibilité aux prêts d’accessions sociaux à la propriété à 60% des ménages. De même que l’extension du pass-foncier aux achats d’appartements. Quant aux terrains libérés par la réforme de la carte militaire, ils seront offerts aux municipalités.
Les patrons du bâtiment, vendredi, ont salué « la réaffirmation d’un soutien fort au logement ». Regrettant toutefois qu’une baisse temporaire du taux de TVA pour les logements neufs soit écartée. « Nous espérons maintenant qu’il y ait des mesures fortes le 4 décembre », ont-ils ajouté.
qoui qu'on en dise l'immobolier sera toujours cher car les matèriaux de construction ne feront qu'augmenter avec le temps et l'en tretein sera de plus en plus couteux
Réponse au Che : Tu devrais t'intéresser un peu plus à l'histoire économique. Durant le krach immobilier des années 90, la moitié des promoteurs français ont mis la clé sous le porte, on a pratiquement arrêté de construire en France et le peu que l'on construisait ne se vendait pas. Pourtant, le marché de l'ancien s'est effondré de 40/50 % en quelques années. L'essentiel logement n'est pas affaire de mathématiques mais de psychologie de l'acheteur. Et en ce moment, il ne viendrait à l'idée de personne d'acheter un logement. L'immobilier repartira dans quelques années lorsque les prix auront atteint un minimum où il est ridicule de ne plus acheter.
Moi, je parie que l'ancien ne baisseras pas , même qu 'il risque de repartir a la hausse il n'y a plus de chantiers pour le neuf et avant que ceci redémarre (minimum de 2 ans pour un projet ) alors l'ancien ne peut que repartir a la hausse c'est mathématique ( l'offre et la demande )
En économie, un excès chasse l'autre. En ce moment, les prix de l'immobilier sont tellement délirant et déconnectés de la réalité que ça en devient comique. Dans 6 ou 7 ans, après le dégonfflement de la bulle immobilière, on assistera à l'excès inverse, les prix auront tellement baissés et seront tellement déconnectés de la réalité que ça en deviendra comique. Il suffit de lire les articles de presse de 1998 lorsque les prix étaient au plus bas. Je vous conseille de vous renseigner sur les prix de cette époque, je vous assure que vous ne en croirez pas vos yeux : 150 000 Euros un 120 m² à Paris, 45 000 Euros un 110 m² à Clermont-Ferrand...
" Ce que nous voulons, c’est que les prix baissent ", toujours plein d'humour Sarkozy ! Le krach immobilier qui vient de commencer s'annonce bien pire que celui des années 90. Pas besoin d'être un expert en immobilier pour savoir que les prix vont s'effondrer dans les années qui viennent.
1. On a un peu de mal à comprendre cette agitation forcené en faveur du social. Pourquoi le président fait-il une politique d'inspiration communiste ???? 2. On ne comprend pas mais alors vraiment pas pourquoi quelqu'un qui n'en a pas les moyens doit se faire aider pour acheter son domicile. Comment ont fait les autres ? Ils ont été locataires. 3. On ne comprend pas non plus pourquoi l'état devrait donner aux municipalités des terrains militaires, gratuitement donc, pour que ces municipalités se fassent des bénéfices énormes en les revendant au détriment de la défense ou de l'état.
SARKOZY CHAPEAU BAS . TENACE , EFFICACE ,INTELLIGENT etc... Effectivement il faut que les prix de l'immobilier baisse . Il faut que les gens qui travaillent puissent vivre . Arrêtons les bulles spéculatives et les rémunérations rentières . Elles ne servent pas l'économie , ceux qui les reçoivent les doivent à leurs parents sur les batiments et les terrains . A TAXER FORT .
la bulle immobilière est scandaleuse et les ménages des classes moyennes ne peuvent , même après 30 années de travail et d'économies , se rendre propriétaires de leur résidence principale.. La primo accession doit être favorisée pour tous et pas seulement pour les cas sociaux... Moi je veux bien aider les autres , mais il n'y a pas de raison que je doive payer à vie un loyer pour engraisser mon propriétaire qui non seulement va toucher la plus value sur son bien , mais touche en plus régulièrement un loyer qui ne cesse de croître ... Les banques nous emm... avec leur taux d'endettement qui fait plafonner le montant du prêt et empêche toute accession dans les régions les plus chères
Cette histoire, Nicolas Sarkozy la raconte à chaque occasion. Il s’agit d’une vendeuse de magasin qui lui confie : « le dimanche, on est payé double, alors que la journée n’est pas plus longue qu’un lundi ». Mais en réalité, le travail dominical n’est pas forcément payé double. A l’heure actuelle, la simple majoration du salaire le dimanche n’est même pas garantie.
Selon le Code du travail, le repos dominical est obligatoire. Mais il prévoit des dérogations temporaires ou permanentes, que peuvent accorder le préfet ou le maire. Reste qu’il n'impose pas la majoration salariale ce jour-là. Seuls deux articles du Code, l'un relatif à l'ouverture de cinq dimanches par an, l'autre relatif aux équipes de fin de semaine dans l'industrie, prévoient une hausse.
Ainsi, dans les commerces de détail non-alimentaires autorisés à ouvrir cinq dimanches maximum par an, les salariés doivent bénéficier d'une majoration de salaire égale à 1/30e de la rémunération mensuelle brute ou à la valeur d'une journée de travail, si l'intéressé est payé à la journée. Dans tous les autres cas, le fait de travailler le dimanche n'ouvre pas droit à être payé plus. Sauf si les conventions collectives ou les accords collectifs dans l'entreprise prévoient une rémunération accrue.
Quant à la proposition de loi du député Richard Mallié (UMP), qui propose d’étendre le travail le dimanche, elle ne concerne pas les salariés qui travaillent déjà ce jour-là. Quant au salaire double, vanté par le chef de l’Etat, il n’est prévu dans ce texte que dans certains cas. Et la proposition de loi de Richard Maillé permet qu'un accord collectif dans l'entreprise décide d'une autre contrepartie. Le salaire double le dimanche n’est donc pas garanti, comme l’a dénoncé vendredi la Confédération générale des salariés du dimanche (CGSD), pourtant favorable au travail dominical.
La CFTC, opposée à l'extension du travail dominical, a demandé que tous les salariés travaillant le 7e jour soient payés double, « ce qui n'est ni le cas actuellement, ni prévu dans la proposition Mallié ». Selon la centrale chrétienne, la proposition de loi « va créer des inégalités car les salariés ne seront pas payés pareil à l'intérieur ou à l'extérieur de la zone concernée, d'un côté ou de l'autre d'une rue », s’est inquiété Joseph Thouvenel.
Richard Mallié a rétorqué que dans les entreprises où il n'y a pas de délégué syndical, ou, à défaut, d'accord entre les partenaires, « un référendum sera organisé et les contreparties seront nécessairement un doublement de salaire et un repos compensateur ». « On laisse la liberté aux partenaires sociaux de s'entendre car on a pu constater dans certaines entreprises que des accords en cours sur le sujet prévoyaient une augmentation de 125% ou sinon un doublement du salaire plus deux jours de repos compensateur », a-t-il argué.
Harcèlement moral
publié le 03/12/2008 à 07:43
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Introduit dans le Code du travail et le Code pénal par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, le harcèlement moral est défini comme des "agissements répétés qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptibles de porter atteinte aux droits et à la dignité du salarié, d'altérer sa santé physique ou de compromettre son avenir professionnel". La reconnaissance d'un harcèlement emporte des conséquences importantes tant sur le plan pénal (15 000 € d'amende et un an d'emprisonnement) que sur le plan civil (nullité du licenciement, droit à réintégration).
Pourtant lorsque les premiers litiges fondés sur l'article L122-49 du Code du travail (recodifié sous l'article L 1152-1) sont arrivés devant la chambre sociale de la Cour de cassation, les magistrats ont, de façon lapidaire, considéré qu'il appartenait aux seuls juges du fond d'apprécier si le comportement critiqué relevait de la qualification de harcèlement, et qu'ils n'exerceraient, pour leur part, qu'un contrôle de motivation.
A titre liminaire, le choix fait en 2004 de ne pas exercer de contrôle de qualification sur une notion nouvellement définie par la loi et emportant de lourdes conséquences a pu surprendre. Il s'explique toutefois, dans la mesure où le harcèlement moral relève beaucoup de l'appréciation in concreto d'une série d'éléments de fait : agissements de harcèlement, dégradations des conditions de travail, altération de la santé physique ou mentale du salarié, comportement des différentes personnes en cause.
Or, la Cour de cassation n'est pas un troisième degré de juridiction et n'exerce pas de contrôle sur la matérialité des faits ou leur appréciation, charge qui revient exclusivement aux juges du fond. Juge du droit, le rôle de la Cour de cassation est, en effet, de vérifier si les juges du fond ont fait une bonne application du droit, sachant que, dans ce type de contentieux, la multiplicité des situations concrètes ne facilite pas la clarification des règles de qualification.
Par quatre arrêts du 24 septembre 2008, la chambre sociale revient sur cette décision : elle contrôle désormais la qualification opérée par les juges du fond. Plusieurs raisons ont pu amener la Cour de cassation à renforcer son contrôle de la qualification du harcèlement moral.
Renforcer la sécurité juridique
Tout d'abord, le constat de divergences entre les Cours d'appel pour qualifier ce qui relevait ou non du harcèlement justifie que la Cour de cassation ait voulu unifier la jurisprudence et renforcer la sécurité juridique des justiciables. Par exemple, il ressort du rapport du Conseiller référendaire que les jugements de Cour d'appel divergent sur la question du "harcèlement managérial".
Des pratiques de gestion appliquées à l'ensemble du personnel peuvent-elles relever de la qualification de "harcèlement", pouvant ainsi être invoqué par chacun des salariés à titre personnel devant le juge ? Si des comportements managériaux outranciers peuvent éventuellement caractériser un harcèlement, il importe alors de délimiter clairement la qualification afin que les situations de stress ou de management rigide participant à un climat que certains salariés vivent mal, ne tombent pas sous cette qualification.
Distinguer le harcèlement moral de la souffrance au travail
La notion légale de harcèlement ne suppose pas de condition d'intentionnalité. Il suffit, en effet, que les agissements répétés de l'employeur aient pour effet une détérioration des conditions de travail pour que le harcèlement soit reconnu.
Un certain nombre de mesures de l'employeur détériorent à l'évidence les conditions de travail (surveillance accrue, mesures disciplinaires, changements de bureau…). Dès lors qu'elles sont susceptibles de porter atteinte aux droits du salarié, à sa santé, à sa dignité ou à son avenir professionnel, il y a place pour une qualification de harcèlement.
Cette définition très souple laisse donc une part importante au ressenti du salarié et explique l'abondance du contentieux. Or, la définition légale du harcèlement n'a pas vocation à traiter des problèmes plus vastes de souffrance au travail, mais de sanctionner un comportement spécifique inacceptable dans toute relation humaine, a fortiori dans l'entreprise.
La reprise du contrôle permettra à la chambre sociale de la Cour de cassation d'énoncer des principes clairs permettant de recentrer la qualification de harcèlement.
Connaître la méthode appliquée par les juges
Ces quatre arrêts sont également l'occasion, pour les magistrats de la Cour de cassation, de préciser aux juges du fond quelle procédure ils auront désormais à appliquer. Une méthodologie en trois temps leur est imposée :
Tout d'abord, ils doivent apprécier la matérialité des éléments invoqués par le salarié, à qui il revient d'établir l'existence "d'agissements répétés". Ensuite, ils doivent prendre en compte l'intégralité des éléments établis par le salarié pour qualifier le comportement.
Enfin, si le comportement relève de la qualification de harcèlement, alors il appartiendra à l'employeur d'établir que chacune des mesures invoquées par le salarié se trouve justifiée par des éléments objectifs étrangers à tout harcèlement.
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bonne journee mes puces
publié le 02/12/2008 à 06:53
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Au bien-être des sens |
igor |
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Sortie le 17 décembre
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Madagascar 2 |
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Sortie le 3 décembre
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Zen attitude |
Tout savoir sur la technique d'opération Lasik |
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Dr Yves Bokobza. ©
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Est-ce que vous pouvez expliquer simplement comment fonctionne la technique Lasik?
Yves Bokobza : La technique Lasik sert à corriger l'ensemble des défauts visuels : myopie, hypermétropie, astigmatisme et presbytie.
Elle se fait en deux temps : découpe d'une fine lamelle de cornée avec le laser, que l'on soulève. Puis action du laser Excimer pour corriger le défaut visuel, puis repose de la lamelle. Il s'agit d'une technique rapide et quasi indolore et l'on peut opérer les deux yeux le même jour. C'est la technique de référence.
A quel moment peut-on se faire opérer de la presbytie (âge) ?
A partir d'environ 48-50 ans.
Quelles sont les déformations visuelles qui peuvent être corrigées avec cette technique ?
Tous les défauts visuels peuvent être opérés (myopie, hypermétropie, astigmatisme, et presbytie). Il faut que l'oeil soit parfaitement sain sans pathologie associée, cataracte en particulier.
Et si on souffre de plusieurs déformations visuelles en même temps, l'opération est elle tout de même possible ? Et souhaitable ?
Oui, le Lasik corrige tous les défauts visuels, isolés ou associés. Exemple : myope et astigmate, hypermétrope et presbyte etc.
Existe-t-il d'autres techniques ? Quels sont les avantages du Lasik ?
Oui, il existe d'autres techniques dites de surface: PKR, Lasek et Epilasik. Ces techniques sont destinées aux patients dont la cornée est trop fine ou la myopie trop forte. L'inconvénient par rapport au Lasik est que la récupération visuelle est plus lente, que les suites opératoires sont plus douloureuses et que l'on opère un seul oeil, l'autre étant opéré 1 à 2 mois plus tard.
Combien de temps prend une intervention ?
L'opération est très courte, 5 à 6 minutes par œil, et se fait sous anesthésie locale avec des collyres anesthésiants.
Doit-on être hospitalisé ou alors est-ce réalisé dans le cabinet de l'ophtalmo ?
L'opération se fait en ambulatoire, c'est-à-dire sans hospitalisation, et le patient ne reste dans le centre qu'une heure environ et peut rentrer chez lui. Il sera revu le lendemain par son chirurgien.
Y a-t-il eu d'énormes améliorations en termes de technologie entre les lasers du début (milieu des années 90) et ceux d'aujourd'hui en matière de résultat ?
Oui et c'est le Lasik 100 % laser utilisant successivement d'abord le laser Femtoseconde pour la découpe de la cornée puis le laser Excimer pour la correction du défaut visuel.
savez vous dire merci !!!!!!
publié le 01/12/2008 à 12:18
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tine > bonjour, comment se comporter en face de celui qui ne remercie pas, sans le blesser?
Jacques Arènes > Question pas simple : parfois, il faut passer quand il ne s'agit pas d'une question de vie ou de mort. Et s'habituer de ne pas tt le temps attendre le remerciement. quand c'est un sujet plus grave (un "vrai" service ; on s'est vraiment donné du mal pour l'autre) il faut oser le dire quitte à accepter un temps de conflit. dns ts les cas il faut essayer de comprendre - avec lui ou elle - pourquoi la réponse n'était pas ce qu'on attendait...
Amicalement
JA
loly > bonjour , vous parliez dans l'article de psychologie mag de la dette de vie que l-on a envers nos parents, et j'ai un peu de mal à aller vers ce merci, de part mon histoire avec eux, je suis maintenant heureuse , j'aime et je vis avec un homme une superbe histoire , j'ai un travail epanouissant et pourtant j'en veux encore à mes parents pour leurs manquements, leur maladresse et mon desir de maternité est totalement absent de ma vie , j'ai peur de ne pas etre normale. pour explication ma mère s'est suicidée il y a 11 ans et j'ai avec mon père des rapports de loin en loin , est-ce que cela explique tout ?
Jacques Arènes > Bien sûr que cela explique beaucoup !
Je ne pense pas que vous soyez anormale. c'est votre enfance qui fut douloureuse et "anormale". La dette de vie, de tte façon on l'a : il ne s'agit pas de dire merci si vos parents ont été gravement défaillants, mais de reconnaître cette dette. De vous dire peut être : ils ne m'ont pas donné grand chose, mais cette vie là, avec ces heurs et ces malheurs, cette vie que j'apprends progresivement à apprécier, c'est par eux qu'elle est passée. Ni plus, ni moins....
amicalement
JA
Nina > Bonjour Ma patronne, jeune femme de 35 ans ne sait pas dire merci à son équipe. nous sommes plusieurs à bosser de tout coeur et à faire avancer le trvail de la meilleure façon qui soit mais elle est toujours là à demander plus et à raler pour la moindre chose, elle ne dit jamais merci même si elle est convaincue que parfois on la sort de situation difficile. hautaine, égocentrique, se fait passer avec les étrangers pour celle qui n'arrête jamais de bosser et SEULE, pourtant c'est nous qui faisons tout sans aucune reconnaissance, même pas un simple Merci. qu'en pensez-vous? merci par avance.
Jacques Arènes > J'en pense seulement qu'elle a des manières de manager qui ne peuvent fonctionner qu'en période de crise, quand les gens ne peuvent changer de boulot facilement !
Ceci dit, quelle que soit le côté caractériel de la dite patronne , il faut toujours se demander comment on réagit vis à vis des compliments ou des non compliments au boulot, si on n'est pas trop en attente de gratifications narcissiques.
A la limite, c'est plus sain d'attendre du patron qu'il vous rémunère convenablement en fonction du travail effectué, plutôt qu'il se confonde en remerciements quand vous lui rendez un travail sans pour autant répercuter les choses au niveau de la reconnaissance en termes de carrière....
JA
Kackou > Bizarrement, j'ai beaucoup moins de mal à dire merci qu'à me l'entendre dire...
Jacques Arènes > C'est une question très intéressante.
Cette gêne est souvent liée à un sentiment d'indignité. On s'examine alors peut être un peu trop; est ce que je méritevraiment le merci qu'on m'a donné ? Mes sentiments altruistes sont ils si purs ? Il ou elle ne se rend pas compte que je ne suis pas si bien que ça etc...
C'est donc un bon travail sur soi d'apprendre à accepter les merci vivants et spontanés, comme d'apprendre à les donner.
JA
moi5036 > Bonjour, cela fait maintenant 2 ans que je vis mon histoire d'amour en cachette parce que malgré mon age, mes parents n'acceptent pas mon fiancé. Ils disent que plus tard je les remercierai, je ne pense pas que celà soit possible. Dans une telle situation, trouvez vous normale que je parvienne pas à les comprendre et à les "remercier" de vouloir ainsi me protéger ?
Jacques Arènes > Je ne vois pas pourquoi vous auriez à les remercier ! Il ne sont pas d'accord avec vous sur le choix de votre fiancé. J'imagine que vous être largement majeure et, que votre choix prévaut. La manière dont vous exprimez cela montre que l'avis de vos parents compte et vous affecte... La forme de reconnaissance que l'on peut avoir vis à vis de ceux qui nous ont "donné" la vie n'oblige pas à les remercier quand on n'est pas d'accord avec eux.
JA
Juvenal > Je suis Rwandais, je suis grandis dans une famille adoptif. La, j'allais à l'internat sans aucun pièce de monnaie dans ma poche. Aucune persone qui me visitais à l'école. le retour personne ne me demadais le bulletin scolaire, alors que tous ce là on le faisaient pour leur filles plus âgé que mois. j'etais intergent à l'ecole mais avec le temps j'ai commancé à echouer. heureusement j'ai eu mon diplome. ma question est la suivante. est ce que c'est necessaire de leur dire merci pour l'hebergement? Quel moyen que je peux utiliser pour prononcer ce mot devant eux? Merci. Votre Juvenal
Jacques Arènes > Votre question est difficile;
Si vous ne dépendez plus de ces personnes, il est possible de mettre sur la table votre sentiment d'inéquité - entre les enfants "biologiques" de la famille et vous - tout en leur montrant (si c'est le cas) votre reconnaissance pour vous avoir "hébergé". il est clair que vous attendiez évidemment plus que de l'hébergement, un peu de chaleur humaine par exemple.
Ces questions sont difficiles à aborder sans conflit. Faites-le si vous vous sentez mûr pour cela. sinon cela risque de trop vous affecter.
JA
nepaim > Bonjour. Pourquoi le fait de dire merci peut-il etre aussi difficile parfois ? Est-ce du fait au fait que, implicitement, ca oblige a reconnaitre ses faiblesses et a reconnaitre qu'on a eu besoin de l'autre ?
Jacques Arènes > Votre remarque est très juste. C'est parfois un chemin d'humilité qui est juste et important si l'autre ne se montre pas humiliant !
JA
HELOULOU > mon mari est avare de "merci", c'est presque humiliant pour lui de dire merci. Il n'avait pas le réflexe chez ses parents. Et pourtant avec nos enfants et même petits-enfants, il est très exigeant.
Jacques Arènes > Comme vous le dites, c'et probablement parce que dire merci souligne qu'il a besoin de l'autre. Il veut peut être être fort.
Pour l'aider remerciez le, et accueillez le, quand il accepte de montrer ses fragilités.
JA
Eleonord > Il faudrait leur dire de vive voix ? Les parents aussi, je pense devraient remercier leurs enfants d'etre là, je ne suis peut etre pas comme tout le monde mais je leur dis moi à mes enfants merci d'etre là, je ne veux pas les "culpabiliser" avec une sorte de dette, la vie est belle mais la societé dans laquelle ont decide de faire un enfant est "dur"
Jacques Arènes > Bien sûr que vous pouvez leur dire merci. Bien sûr qu'il ne s'agit pas non plus de les obliger à dire merci.
Vous savez, la société a toujours été dure.
Ce n'est pas un service à rendre à nos enfant que de culpabiliser de leur avoir donné la vie.
Il s'agit simplement de sortir de notre pessimisme ambiant - tt en étant réaliste - et de leur donner l'exemple par nous mêmes, d'une certaine gratitude envers la vie : cela les aidera dans ts les domaines, notamment dans la vie amicale, amoureuse et créative. Je ne sais pas si vous avez déjà remarqué, mais les gens fuient ceux qui sont dans la victimisation et l'amertume....
ekotto > Dans le couple en général, c'est presque un mot rare, chacun des partenaire préférant le dire à d'autres qu'à son conjoint. Pourquoi donc cette difficulté se ressent plus dans les relations amoureuses?
Jacques Arènes > Parce qu'on attend plus dans les relations amoureuses ; souvent on a l'impression que le conjoint doit être un peu le sauveur. A l'inverse je rencontre plein des gens qui pensent que leur vie ne va pas à cause de leur conjoint. C'est parfois un peu facile. Il ne faut pas trop lier son plaisir de vivre à l'idée idéalisée d'une relation amoureuse épanouie. On n'est jamais complètement aimé(e) comme on le souhaiterait.
Et puis le conjoint on le pratique ts les jours, et ses petits côotés égoistes on en connaît les coulisses, comme il connaît les nôtres. C'est une vraie épreuve de réalité.
JA
lilouu > Et lorsque l'on dit toujours merci, est-ce aussi montrer ses fragilités personnelles?
Jacques Arènes > Peut-être, mais aussi peut-être parce qu'on quémande l'affection de l'autre.
JA
sophie > ds un couple lorsqu'on se passe le sel ou le poivre a table par exemple est il indispensable de se dire svp merci? ou je dirais plus ds un cas ou on est plus pressés?
Jacques Arènes > Rien n'est indispensable.
C'est parfois la marque simple qe l'on fait un peu attention à l'autre et que l'on n'est pas seulement absorbé(e) dans le JT !
JA
alkel > pourquoi dans notre culture est ce difficile d'accepter ce merci, le premeir reflexe estde tendre les les mains comme pour se proteger, et de se justifier, " je n'ai fait que mon travail, je suis paye pour ça????
Jacques Arènes > Parce que, sns doute, on est dans une culture un peu utilitariste où on considère souvent que rien n'est gratuit, que ceux qui font des gestes pour les autres y trouvent tjrs leur compte.... Il faut croire au geste gratuit !!!!
zouzou > pourquoi de nos joours,les personnes agées on plus de difficultés a dire merci que les jeunes
Jacques Arènes > Belle question... Cela me semble juste. Peut être parce que c'est dififcile d'être vieux : dans notre culture où il faut avoir un beau corps et être ultra performant, ce n'est pas évident. La vieillesse est souvent perçue comme une déchéance. LEs personnes âgées sentent ce regard là sur eux.
JA
majdoulina > Bonjour, j'avais le même problème avec moon amie. Elle a dit qu'elle n'est pas habituée à dire merci à quelqu'un. Donc, j'ai essayé de la remercier chaque fois que je fais quelque chose pour elle. Au cours de 4 ans, elle enfin a appri à dire merci. Je crois que c'est le rôle des parents de faire apprendre à ses enfants que dire merci n'est pas une faiblesse mais plutot une reconnaissnace de l'autre.
Jacques Arènes > Rien a ajouter. Votre témoignage me paraît "juste"
farah > le merci , fit partie courante de ma vie , je le dis trés souvent et sans moderation
Jacques Arènes > J'ame bien vitre phrase : "sans modération", enfin un prescription qui se lit en termes d'abondance
adorableidiote > deja manger devant la telé tue le couple , alors les mots ... ils sont plutot enterrés !
Jacques Arènes > Tt à fait d'accord ; se parler déjà, casser la télé, et le merci pourra venir apès !!!!
djeyna > Ma mère m'a fait une fois la remarque de manquer de reconnaissance à son égard, j'ai l'impression et la conviction que je ne lui doit rien, et que ma personnalité, mon équilibre d' aujourd'ui je ne le dois qu'à moi même. Est ce narcissique de ma part de penser de cette façon ?
Jacques Arènes > On a parfois l'impression de s'être construit tte seule. Surtout quand la relation avec les parents fut conflictuelle ou douloureuse. mais, parfois, notre opinion change après, quand on vieillit. On reçoit évidemment tjrs de choses de nos parents; en bien comme en mal. Mais on perçoit évidemment pas tt de suite ce qu'il en est.
LYLOO > Et bien moi parce qu'on ne me la pas assez dit durant ma vie je le dis tout le temps à tout va !! Dès que j'ai loccasion, un sourire et un merci je le fai au minimum deux ou 3 fois par jour...donc finalement ma carence en MERCI ma rendu hypercourtoise !
Jacques Arènes > Comme c'est joli ! Apparement vous ne souffrez pas trop de cette carence....
salolo1 > dire merci n'est pas une parole en l'air c pour moi le mot qui dit tous je donne donc je recois un mot un sentiment une fierté du devoir bien fait c telment bon pour le coeur de l'entendre mais tous ne savent pas le dire et tous génération confondue c a chaqu'un de savoir trouver le courage de le faire merci a vous de m'avoir lue bonne journée
Jacques Arènes > Vous az raison. En dehors des cas de politesse banale, cela demande parfois du courage de dire merci.
Herve > Ma conjointe dit merci à tout bout de champs et parfois alors que c'est elle qui rend service (elle tend le sel (exemple)) elle dit merci machinalement. je reconnais que c'est un peu énervant parce que j'ai l'impression qu'elle se soumet. Comment pourrais-je lui en parler sachant qu'elle se fait un pint d'honneur à dire ces merci
Jacques Arènes > Peut-être faut-il parler du plus important, et pas du "détail" du merci : votre impression désagréable qu'elle se soumet à travers ces merci abondants.
Peut être cela "tape"-t-il sur une question que vous vous poosez dns votre couple : le sentiment par exemple qu'elle est une peu soumis ou passive. En parler certes, mais avec doigté...
soso > Bonjour, je n'ai aucune difficulté à dire merci pour les petites choses de la vie. Sauf lorsqu'on me fait un compliment, je fais souvent comme si je n'avais pas entendu ou alors je minimise le compliment. Egalement lorsque quelqu'un m'ade pour quelque chose d'important, alors là je suis très génée et surrenchéris (cadeaux etc)pour le remercier suffisamment. Dans un cas me sens donc tro "coincée" et dans l'autre trop prodigue...à quoi est ce du?
Jacques Arènes > C'est difficile d'être en "dette" : dette d'un compliment, dette d'une aide. On est alors tenté de minimiser le compliments ou de rendre tt de suite par des cadeaux l'aide reçue.
C'est pas mal d'essayer de "tenir" un peu dans la dette, de ne pas "rendre" tt de suite, d'accepter un petit temps ce déséquilibre, cette fragilité, surtout vis-à-vis de gens en qui on a confiance et qui nous sont proches.
jaunes > Bojour. le remerciement pourraist parfois prendre la forme de l'affection; En conflit avce ma fille, j'essaye de lui expliquer que je souhaiterai qu'elle soit un peu plus reconnaissante. Est-ce une impossibilité dans cette siutuation mère-filleado? est-ce que j'en demande trop. Es-ce notre lot de parent de ne jamais avoir de merci sous quelque forme que ce soit?
Jacques Arènes > Notre lot de parents, c'est parfois le merci différé ! Plus tard, quand elle aura quitté l'adolescence, peut être elle remerciera.
Cela n'empêche pas que si elle se montre égoïste insupportable, voire accusatrice, vous pouvez lui dire ce que vous percevez de son absence de reconnaissance. Cela ne la traumatisera pas. Mais, vous pouvez lui dire aussi que ce que vous avez fait n'attendait pas nécessairement de reconnaissance, mais que cela fait tjrs du bien d'en avoir un peu !
LYLOO > Bonjour..moi jai un gros soucis avec ma mere...elle ne dit jamais merci...JAMAIS. ET ça me pose un veritable probleme car depuis ke je suis revenu vivre chez mes parents, ne payant pas de loyer je fai tout pour montrer ke j'aide au sein de la famille et lorsuqe je reclame un petit merci de temps à autres, elle me dit que ce que je fai est normal et qu'elle na pas à dire merci...ou alors je devrai la remrecier de mavoir donné la vie dejà et tout ce qu'elle a fait pour moi depuis 27ans.....Et alors moi ça me bouleverse d'entendre ça....
Jacques Arènes > Je ne connais pas le contexte, mais j'ai l'impression que votre mère n'est pas vraiment ravie de vous voir de retour à la maison. C'est peut être cela le noeud du conflit ? Ne faudrait-il pas en parler avec elle franchement ?
farah > pourquoi est ce que le merci est peçu comme une faiblesse?
Jacques Arènes > Je ne sais pas ; mais ça arrive assez souvent aujoud'hui. Société de compétition sans doute. J'allais dire de comptétition narcissique.
Il ya cet espèce de narcissisme insolent dans lequel sont certaines personnes qui ont l'impressio que les "services" divers leur sont dus. La réalité se charge souvent d eleur rappeler que ce n'est pas si simple....
FANFAN34 > MON mari a horreur de flatter et de faire des compliments, qu'est ce que cela signifie ? MËME SI C4EST UNPEU HORS SUJET
Jacques Arènes > Beaucoup de questions sur les maris !!!!
D'abord les hommes expriment souvent moins que le femmes. Il n'aiment pas trop se découvrir. Ni discourir sur le mode affectif. Ils ne sont pas ts comme ça mais beaucoup d'entre eux !
Et quand vous, vous passez un quart d'heure au téléphone pour vous confondre en remerciements à une amie qui vous aidée, il trouve que décidément vous en faites trop !
Mais les merci des hommes sont parfois plus pudiques par des gestes etc...
Petitefee > Par rapport à votre réponse à Djeyna,il m'a fallu plusieurs années pour comprendre ce que m'avaient apporté mes parents en étant ce qu'ils étaient,pas toujours exemplaire;est ce qu'il est plus facile de dire merci quand on est allé chercher qui on est?
Jacques Arènes > Bien sûr ça peut aider !
Chanchan > Je suis très très souvent déçue par le manque de merci ! Pourtant, ce mot est si court ! Je suis ainsi souvent en colère contre tous ces gens - pourtant des proches - qui ne répondent pas à un mail sympa de ma part, à un petit cadeau, à un coucou par SMS, etc. Pourquoi cette attitude ? Pourquoi cette ingratitude ? De mon côté, je fais comme Lycoo - inconsciemment - je remercie beaucoup. Mon mari me le fait tout le temps remarquer ! Il me dit que je sais remercier, contempler, évaluer la valeur des choses. C'est aussi une histoire de savoir-vivre. Ma question est donc : comment ne pas se mettre en colère, garder ces amis ingrats et que l'on aime pourtant ?!!!
Jacques Arènes > La seule réponse que je peux donner c'est qu'attendez vous d'eux ? Qu'ils fonctionnent comme vous ?
Vos amis ne sopnt pas ingrats parce qu'ils ne répondent pas toujours à vos sms :
ils seraient ingrats, par exemple, s'ils ne se montraient pas présents quand vous avez vraiment besoin d'eux. ça c'est un bon test pour l'amitié !
cristal > Cristal : Bonjour que pensez de ma belle-famille (à part ma belle-mère très polie) qui ne remercie jamais ou du bout des lèvres et encore pas pour n'importe quoi...jamais de remerciment aux recettes de cuisine demandées que j'envoie...j'en ai assez je trouve cela très pénible d'autant que je suis d'une famille où dire "merci" compte beaucoup...j'ai été très sensiblisée si l'on peut dire à cela par ma mère qui regrettait souvent de ne pas avoir eu de remerciement à ses envois de fleurs, cadeaux divers et variés.
Jacques Arènes > La question, à mon avis, n'est pas le "merci" formel qui n'est pas donné, mais le sentiment de ne pas être accueillie dans votre belle famille. est-ce que je me trompe ?
hokis > parfois le NON reconnaissance des gens nous blesse aussi. quand on dit merci on aimerai que la personne soit reconnaissant que nous l'avons remercier. un exemple : ds un magasin vous demandez un renseignement sur un produit le vendeur vous envoi balader et en plus on le remercie! et là le comble il ne répond rien ,même pas un sourire quand on lui dit Merci! ça arrive souvent !
Jacques Arènes > Bien entendu le merci ne guérit pas comme par miracle ces tensions parfois difficilement supportables du quotidien.
Je connais bien la vie parisienne par exemple : je peux vous dire qu'effectivement il existe des lieux, les transports en commun par exemple, où l'autre est menaçant. Difficile de se montrer civil dans ce contexte; c'est à dire d'accueillir l'autre. Il faut esayer quand même. J'ai vu des Pitt Bull du métro se dérider; mais j'en ai vu aussi essayer de mordre !
orchidee > Ma belle famille est extraordinaire ! Ce sont mes "parents bio" qui trouve que je dois pardonner le mal, tourner la page et revenir ! MAIS APRES TANT D ANNEES DOIS JE VRAIMENT ...
Jacques Arènes > ça veuit dire que vous vous posez la question...
Etes-vous prête ?
Petitefee > Ce que vous soulevez,c'est qu'à travers le mot MERCI,il y a beaucoup de non dits,un immense besoin de reconnaissance pour ceux qui le réclament sans cesse,un côté victime pour ceux qui le disent sans arrêt......C'est l'estime que l'on a de soi la clé?
Jacques Arènes > Très juste et une immense demande de reconnaissance qui est un des apects de nos sociétés un peu éclatées
zazie82 > Bonjour, vous allez vous dire que j'ai beaucoup de chance et j'en suis très reconnaissante mais voilà mes grands parents ont épargné pour moi une très grosse somme d'argent (environ 20000 ?) et je ne sais comment les remercier. Un simple merci me parait vraiment ridicule. Comment pourrais je leur formuler des remerciements ? Merci
Jacques Arènes > Essayez d'écrire : j'ai l'impression qe vous aimeriez leur dire quelque chose de plus profond qui irait plus loin qu'un merci pour l'argent. en écrivant on trouve mieux la formule; on peut aussi prendre le temps de réfléchir sur ce qu'ils vous ont donné, de matériel et d'immatériel, depuis l'enfance. Vous pouvez aussi les remercier pour cela.
coco > Peut-on ne pas dire merci ais le faire sentir par des gestes et des preuves car ne dit-on pas par exemple qu'il n'y a pas d'amour mais que des preuves d'amour?Là c'est un peu pareil, non?
Jacques Arènes > Je suis d'accord avec vous; je ne sais si vous êtes un homme ou une femme. les femmes ont parfois besoin de preuves parlées et pas seulement par gestes !
BON LUNDI!!!!!!!
publié le 01/12/2008 à 06:56
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Ne laissez pas la fatigue s'accumuler ; reposez-vous à temps.
Pour éviter la peur du dentiste, des soins particuliers permettent de réduire la douleur et donc l'appréhension liée à de futurs soins. Le point sur la prise en charge de l'enfant avec les Dr Frédéric Vaysse et Jean-Patrick Druo.
Sédation et contrôle de la douleur sont deux enjeux majeurs de l'odontologie pédiatrique. Une prise en charge inadaptée marquera son empreinte à l'âge adulte. C'est malheureusement le constat trop fréquent face à des soins réalisés par ailleurs avec conscience et parfois héroïsme.
Les traitements de l'enfant sont trop souvent réduits à une difficulté relationnelle qui, si elle est bien réelle, ne doit pas détourner le praticien de l'exercice pédiatrique. Cependant, l'anxiolyse, l'anesthésie ou l'abord de l'enfant ne sont pas naturels et le recours à des techniques adaptées sont nécessaires.
La peur des soins dentaires chez l'enfant vient en grande partie du vécu familial, de l'inconnu et de la perte du contrôle des événements, d'autant plus que l'expression de cette peur par l'enfant paraît inadaptée ou exagérée. Elle peut donc être incomprise ou mal interprétée, à la fois par le praticien et les parents. Les techniques de relaxation visent à familiariser l'enfant avec l'environnement dentaire : la parole est lente, monocorde et douce. Les mots choisis pour expliquer sont simples et font appel à l'imaginaire non violent de l'enfant. Le message transmis doit cependant rester au plus près de ce que va ressentir l'enfant, pour qu'il ne soit pas surpris par un événement inattendu. La turbine devient un avion, le contre-angle un hélicoptère, l'anesthésie de contact de la confiture...
Cependant, les techniques de relaxation ne permettent pas toujours d'éviter l'utilisation de médicaments sédatifs pour répondre à "l'anxiété réactionnelle" du soin dentaire. L'effet recherché est la diminution de l'anxiété et de la tension émotionnelle. L'utilisation de ces molécules est loin d'être rare chez l'enfant : environ 10 % y ont déjà eu recours. Les motifs principaux de prescription sont les troubles du sommeil, la dépression et des événements mineurs de vie stressants, comme par exemple les soins dentaires. L'utilisation de ces médicaments est bien sûr réservée à l'enfant anxieux pour lui permettre de passer un cap dans sa relation avec le chirurgien-dentiste et les soins dentaires.
Sur un plan pratique, la sédation médicamenteuse peut se diviser en trois catégories :
Les critères de choix entre sédation consciente et anesthésie générale sont toujours subtils et dépendent aussi du plateau technique disponible.
Cependant, on peut évoquer des inconvénients majeurs :
Le contrôle de la douleur devient, à juste titre, une exigence majeure et constitue bien souvent la partie la plus visible de l'exercice dentaire. Ce contrôle se déroule en deux temps fortement imbriqués. Tout d'abord, le chirurgien-dentiste doit lever l'anxiété naturelle de l'enfant pour le soin dentaire. Puis, il doit appliquer la meilleure technique d'anesthésie locale pour réaliser le soin. Ce sont à ces seules conditions que l'enfant deviendra un adulte confiant.
Le bon geste: Saliver au réveil
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La médecine chinoise conseille d’avaler plusieurs fois sa salive le matin à jeun, afin de remettre harmonieusement en route le système digestif.
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Marie Anne Garcia Bour
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a salive, nos grand-mères l’utilisaient pour soigner un petit bouton ou une écorchure. Elles n’hésitaient pas à en humecter l’extrémité d’une bouture avant de la mettre en terre pour la faire prendre plus vite. Elles connaissaient les bienfaits de cette eau vitale. «
Au réveil, avalez votre salive trois fois de suite, plutôt que de vous jeter sur le dentifrice pour oublier une bouche pâteuse, recommande Jean-Louis Bertholotti (1), réflexologue plantaire. Cette pratique permet d’huiler naturellement l’intérieur de l’organisme. »
Comment fabriquer beaucoup de salive ? Facile ! Il suffit de claquer doucement des dents, bouche fermée, pendant dix secondes environ. Une habitude à associer à votre rituel d’éveil : quand vous vous étirez ou quand vous vous massez le ventre dans le sens des aiguilles d’une montre.
Quelques minutes plus tard, par exemple en faisant chauffer l’eau du thé, buvez un demi-verre d’eau, de préférence tiède ou même chaude, plus réconfortante. Elle va diluer cette lubrifiante salive et la répartir dans des replis où elle n’irait pas naturellement, et aide ainsi à éliminer les stagnations, notamment des miettes de pain, au niveau de l’œsophage.
À condition d’oublier le jus d’orange, trop acide, la récompense de ce rituel, c’est un petit déjeuner bien plus digeste et une mise en route viscérale facilitée.
1. Jean-Louis Bertholotti exerce l’art des massages asiatiques au spa thalasso de Carnac, dans le Morbihan.
Faut-il régler ses comptes avec ses parents ?
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Vaut-il mieux exploser au risque de blesser, ou taire ses reproches au risque de ne jamais régler le problème ? Témoignages et conseils d’experts pour éviter que le repas de Noël ne vire au cauchemar.
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Violaine Gelly et Isabelle Taubes
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oël approche. Avec, chez certains d’entre nous, une angoisse diffuse. Celle que les vieux mécanismes – la plupart du temps tenus en laisse grâce à un certain nombre de subterfuges – soient ravivés par les fêtes familiales. Que des paroles, des cadeaux, des attitudes nous renvoient à notre sentiment d’être mal aimé ou étouffé d’amour, jaloux ou exclu, surinvesti ou pas reconnu… Tous ces chagrins qui survivent à notre enfance et qui suscitent parfois en nous l’incontrôlable désir de dire une bonne fois pour toutes ce que nous avons sur le cœur.
« C’est un soir de Noël que j’ai explosé, se souvient Stéphane, 33 ans. Pour la énième fois au cours de la soirée, maman a répété combien les filles de mon frère, qu’elle avait couvertes de cadeaux, étaient mignonnes. Moi, j’étais célibataire, sans enfant, je galérais dans mon boulot et le bonheur insolent de mon frère éclaboussait tout. J’ai ruminé pendant tout le réveillon et le 25, je me suis levé, décidé à vider mon sac. J’ai dit à mes parents qu’ils avaient toujours préféré mon frère, qu’ils ne m’aimaient pas parce que j’étais un raté mais que j’étais un raté parce qu’ils ne m’avaient jamais aimé… Personne n’a rien compris, ma mère a pleuré toute la journée, je me suis excusé et on n’en a plus jamais reparlé. Depuis ce jour, il y a sept ans, tout le monde appréhende Noël. Aujourd’hui, je ne le ferais pas. Mais c’était le début de mon analyse. C’est une bonne excuse, ça ? »
C’est en tout cas un déclic habituel, commente la psychothérapeute Isabelle Filliozat : « Quand on commence une thérapie, on retrouve toutes nos émotions enfouies, toutes nos peurs, tous nos blocages. Et nous réalisons que c’est à nos parents que nous les devons. Alors nous n’avons qu’une envie, les leur renvoyer à la figure. Mais comme nous ne sommes pas encore dégagés de ces émotions, nos parents sont les mieux placés pour appuyer sur les mauvais boutons et tout réactiver. Et nous nous retrouvons dans la peau du petit enfant apeuré que l’on a été. »
Si ce sentiment resurgit lors des réunions de famille, c’est que, le reste du temps, nous faisons taire l’enfant en souffrance que nous avons été. Nous avons grandi, nous sommes nous-mêmes devenus parents, nous avons construit notre vie… Et puis nous nous retrouvons projetés, sans préavis, dans cette enfance dont nous portons les cicatrices, intimes et profondes.
Ces empreintes inscrivent en nous le ressentiment, la colère, la rancœur et parfois la haine. Et nous ne parlons pas ici des sévices, de la maltraitance ou de la violence, mais d’une claque tombée au mauvais moment, de la répétition de paroles vexantes, de la position de chouchou dans la fratrie… « Il y a des blessures qui creusent des trous qui ne se referment jamais, explique la psychologue Maryse Vaillant.
Ce qui n’était pour l’un qu’un détail véniel s’est fixé dans la chair de l’autre comme une épine empoisonnée. Même en dehors des situations de maltraitance, alors que nous sommes devenus adultes, devenus vieux, des émotions venues de l’enfance peuvent nous maintenir dans une sorte de ressentiment avide ou amer à l’intention de nos parents. Ils n’ont pas été à la hauteur, ils nous ont blessés, détruits, manqués…
Et toute notre vie a été marquée par leurs manquements. C’est le roc indépassable sur lequel achoppe le ressentiment. » « Si l’on a le sentiment qu’il nous faut régler des comptes, c’est qu’il y a, justement, des comptes en cours, c’est-à-dire que nous sommes en dette, constate le psychiatre et thérapeute familial Serge Hefez. Or ce sentiment de dette est de plus en plus exacerbé dans la famille contemporaine.
Auparavant, la famille servait à transmettre des valeurs et des règles pour bien vivre en société. L’amour était donné de surcroît. Aujourd’hui, la famille est devenue le lieu d’amour par excellence. Sa signification même est de s’aimer et d’être aimé. Du coup, le sentiment de dette n’est plus mesurable puisqu’il s’appuie sur le ressenti de l’enfant que l’on a été. »
En elle-même, insistent les psys, cette souffrance est légitime. Mais l’exprimer peut être dangereux. Car celui qui va mettre sur la table familiale des souvenirs difficiles court le risque d’entendre sa parole dévalorisée : « Tu exagères », « Tu dis n’importe quoi », « Tu inventes ». Pire : « Demande à ta sœur, tu verras… » « Ce qui arrive à un enfant fait toujours sens dans sa réalité d’enfant, explique le neuropsychiatre et thérapeute familial Mony Elkaïm. Même si ce n’est pas celle des adultes ou des frères et sœurs.
Un enfant de 3 ans qui perd sa mère dans les allées d’un supermarché pendant quelques minutes avant de la retrouver au détour d’un rayon peut vivre ces minutes-là comme les plus longues de sa vie. Et avoir, une fois adulte, le sentiment que sa mère ne s’occupait “jamais” de lui. Mais la mère, elle, peut très bien ne s’être même pas rendu compte que l’enfant la cherchait. »
Sans compter les dénis de certains parents, parce que c’est insupportable d’entendre qu’ils ont mal aimé leur enfant alors qu’ils ont fait de leur mieux. Accepter que papa et maman ne soient pas parfaits, c’est prendre sa place dans une lignée, dans une généalogie pleine de failles, où des générations de parents ont fait ce qu’ils pouvaient, comme ils pouvaient, avec leurs propres souffrances et leurs propres ressentiments.
Grandir, « c’est faire avec ce qu’ils sont », nous dit Maryse Vaillant. L’acceptation des failles parentales est une des voies ordinaires de la maturité, celle qui permet de sortir du cocon de la dépendance première. « Vouloir régler ses comptes, poursuit Serge Hefez, c’est se comporter en petit enfant. Comme le nourrisson qui prête à ses parents la puissance et le pouvoir de le rendre heureux. »
D’autant que des règlements de comptes mal vécus renforcent chez l’enfant le sentiment de ne pas être écouté, voire de ne pas être aimé, puisqu’il a exposé sa souffrance et qu’elle n’a pas été entendue.
Marina, 35 ans, se souviendra toute sa vie d’avoir accusé sa mère de ne pas l’avoir désirée. « Elle m’a regardé, dans ma colère et mon désarroi. Et, très froidement, elle m’a dit qu’elle m’aimait beaucoup, mais que, oui, si elle avait pu avorter, elle l’aurait fait. J’avais beau le pressentir, ç’a été pire de le savoir. Et de voir avec quel calme et quelle assurance elle disait ça, comme si c’était normal. Pire, comme si ça la soulageait de le dire alors que ça me déchirait le cœur. Je donnerais n’importe quoi pour ne pas avoir provoqué cette scène. »
Pour la plupart des thérapeutes, la vraie question à se poser avant d’exploser à la table familiale, c’est de savoir ce que l’on veut profondément : régler ses comptes au risque de tout briser ou trouver la voie pour améliorer notre relation aux parents.
Dans le deuxième cas, Mony Elkaïm imagine que l’on puisse leur dire : « Je suis sûr que vous avez fait du mieux que vous avez pu, mais voilà comment je l’ai vécu. Je ne vous le dis pas parce que je veux vous attaquer mais parce que vous êtes importants pour moi, que notre relation m’est essentielle. »
Parler différemment à sa famille peut lui permettre de nous écouter différemment. D’autres thérapeutes, comme Isabelle Filliozat, conseillent d’écrire. Non pas d’un jet, sous le coup d’une douleur, mais calmement, en pesant chaque mot. Non en accusant, mais en racontant notre propre souffrance.
Agnès, 42 ans, l’a fait. Elle se sentait étouffée par sa mère qui s’ingérait dans sa vie de couple et qui en savait toujours plus qu’elle sur l’éducation à donner à ses enfants. « Un soir, je lui ai écrit une longue lettre où je lui disais à quel point son amour était important pour moi mais combien il me paralysait. Il m’empêchait de grandir et de prendre, vis-à-vis d’elle, ma place d’adulte. Je lui ai expliqué combien elle me ramenait à un rôle de petite fille et combien j’en souffrais. Je n’ai pas posté la lettre tout de suite. Je l’ai relue, j’ai changé des phrases, tentant d’imaginer de quelle façon elle allait la recevoir. Puis je l’ai envoyée, l’angoisse au ventre, mais avec beaucoup de fierté d’avoir posé, face à elle, un geste d’adulte.
Quelques jours après, j’ai reçu une lettre dans laquelle elle s’excusait. Où elle me parlait de la façon dont sa propre mère lui avait manqué et comment elle essayait de réparer avec moi. Curieusement, nous n’en avons jamais parlé de vive voix. Mais son comportement a changé et je pense qu’elle en est heureuse. »
Une fois compris, avec Françoise Dolto, que « ce n’est pas de leur faute, c’est de leur fait », il est parfois plus facile de laisser tomber la rancœur. Tous ceux qui parlent du « métier de parents » oublient de préciser que l’on cherche l’adresse de l’école où il est enseigné. On n’apprend pas à devenir parent. On le devient grâce ou en dépit des relations que l’on a soi-même entretenues avec ses propres géniteurs. C’est en mesurant cette chaîne généalogique et en y tenant sa place, le jour venu, avec ses propres enfants et les reproches qu’ils nous feront, que l’on prend le chemin de l’acceptation. Et que l’on devient adulte.
Rides .....
publié le 30/11/2008 à 08:28
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Selon l’Académie de dermatologie américaine (The American Academy of Dermatology - AAD), dormir dans certaines positions durant la nuit favorise l’apparition de rides de surface au réveil. Le problème est qu'à force, ces rides finissent par ne plus disparaître...
L’ADD, une académie qui nous veut du bien, recommande ainsi de ne pas se coucher sur le côté sous peine d'augmenter les risques de ridules au niveau des joues et du menton. De ne pas dormir sur le ventre favorise leur apparition sur le front...
Conclusion :
pour réduire la survenue des rides en général, l’ADD recommande donc de s’endormir sur le dos !
Selon les dermatologues de l’Université du Maryland (USA), l’eau du robinet décaperait trop la peau. Elle détruit la barrière lipidique naturelle qui protège en partie les tissus cutanés de l’apparition de rides.
Se laver trop souvent le visage (plusieurs fois par jour) revient donc à exposer sa peau à l’apparition de rides.
Conclusion
:
à moins d'utiliser un savon contenant des substances protectrices, il vaut mieux se nettoyer les visage à l'aide de lait, de tonique ou autre gel nettoyant formulé spécialement pour le visage.
Certaines recherches ont démontré que le
soja permettrait de protéger la peau des méfaits du soleil.
Une étude publiée dans le Journal européen de la nutrition (European Journal of Nutrition) conclu notamment que des suppléments à base de soja (comprenant également des vitamines, des protéines de poisson, des extraits de thé et de tomates…) amélioreraient la structure cutanée ainsi que sa fermeté après seulement 6 mois de prises...
Les AHA (Alpha Hydroxy Acides ou acides de fruits) sont des acides naturels de fruits réputés nettoyer les couches supérieures des cellules de la peau.
Ils réduiraient ainsi l’apparition des rides et ridules, en particulier sur le pourtour des yeux. Selon certains travaux, une concentration élevée en AHA pourrait même stimuler la production de collagène (la protéine la plus abondante de l'organisme dont le rôle peut être comparé à une "armature").
Légumes de saison |
En décembre, les légumes de saison sont :
betterave, carotte (de conservation), champignons, chou, chou rouge, chou de Bruxelles, chou-fleur, courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), endive, navet, panais, poireau, pomme de terre, salsifis (de conservation), salades, topinambour, mâche, cardon.
vive le week end !!!!
publié le 29/11/2008 à 08:18
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La graphologie |
Littéralement, la graphologie signifie science de l'écriture. Aujourd'hui considérée comme une branche des sciences humaines, la graphologie est avant tout une méthode d'approche de la personnalité qui s'insère dans le champ de la psychologie. Son étude permet de comprendre la personnalité de chacun à travers différents niveau (développement psychomoteur, intellectuel et affectif). L'analyse commence par une observation méticuleuse de l'écriture, à travers l'expressivité du geste, la représentation de l'inconscient, le symbolisme des formes et de l'espace. Le passage de l'observation à l'interprétation se fait par raisonnements analogiques, non en interprétant de façon directe et simplificatrice le geste mais en l'appréhendant dans sa globalité.
Aubergines : 2 moyennes
Tomates : 4
Courgettes : 4
Ail : 6 gousses
Huile d'olive : 1 cuil à soupe
Marjolaine : quelques brins
Sel, poivre
Lavez les aubergines et coupez-les en tranches. Mettez-les dans une passoire avec du sel et laissez dégorger 15 min. Puis rincez-les sous le robinet.
Mondez les tomates, enlevez les pépins et coupez la chair en morceaux.
Lavez et coupez les courgettes en morceaux.
Épluchez et écrasez les gousses d'ail.
Dans une cocotte, faites revenir tous ces légumes avec un filet d'huile d'olive. Salez. Couvrez largement d'eau et cuisez pendant 15 min.
Quand il est cuit, mixez le potage avec de la marjolaine effeuillée.
Rectifiez l'assaisonnement et servez chaud.
je m en vais faire les magasins juste pour prendre des prix pour les hottes aspirante pour offrir a noel a mes parents ...je reviens vous voir tout a l heure ..........
bon ben non du coup je continue mes cartons car ma conn..... de soeur ne veut pas participer pour le cadeau car c est moi qui est eu l idee et non elle c est vraiment une pouriture.......
bref je vais voir avec mon frere s il veut bien que l on offre la hotte a nos parents ou sinon et bien tant pis c est moi qui l acheterai toute seule......
blog vendredi
publié le 28/11/2008 à 07:28
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Le Sonmudo (ou Sunmudo) est considéré comme l’un des plus anciens arts martiaux coréens, connu avant 1984 sous le nom de « kum kan yung kwan ». Il est intimement lié à l'histoire et à l'évolution du bouddhisme en Corée. Les moines qui enseignaient cet art martial étaient les précepteurs des jeunes nobles de la caste Hwarang sur laquelle s’appuie la codification du Taekwondo.
C’est aujourd’hui un art interne complet variant les techniques assises, debout, en déplacement, les enchaînements courts et longs et des techniques martiales originales. Le Sonmudo inclut aussi le yoga coréen, issu des méthodes ancestrales coréennes, méthodes progressives où l’accent est mis sur certaines techniques de respiration. Ces techniques apportent le calme et permettent de prévenir le stress. Même une personne ne pratiquant pas d’autre discipline sportive peut s’initier et découvrir un art au service du bien-être.
mon professeur de sonmudo est le monsieur qui se trouve a droite de la photoLe Sonmudo a été ramené de Corée par Frédéric Foubert 5ème DAN et Arbitre International de Taekwondo, 3ème DAN de Sonmudo et fondateur de l’EFES, Ecole Française et Européenne de Sonmudo. Il est l’élève direct du Maître fondateur de la Fédération Mondiale de Sonmudo : le Moine Jeog Un Seol.
en 1998 que Fréderic Foubert a créé l'école française et européenne de sonmudo avec l'aval de maitre Seol, mettant à portée sa pratique en France.
Échauffement basique (articulaire et musculaire pratiqué à chaque début de séance.
Enchainement de postures de yoga au sol, assouplit le système articulaire.
Diaporama
Grands mouvements de rotation des bras pour assouplir et renforcer les articulations des épaules
Poussée des mains (dans les 5 directions) avec respiration synchronisée.
déroulement de dix-sept mudras en position assise, le plus lentement possible dans un relâchement maximal pour atteindre un état de relaxation totale.
Diaporama
Jonction entre la famille des chi kong et des tchi dae tché. peut se pratiquer en postural ou aligné sur la respiration. permet d'atteindre un état de relaxation total dans une concentration extrême.
Diaporama
FemmesPlus : Quel est l’héritage de Françoise Dolto aujourd’hui ?
Edwige Antier : Son héritage est immense. Elle a créé une véritable révolution en mettant en avant le bébé comme une personne et en nous livrant un abécédaire de la pensée enfantine. Elle a montré que, dès la naissance, le bébé est un être de langage, même s’il ne parle pas encore. Il est à l’écoute émotionnelle de sa mère et cette écoute est beaucoup plus puissante que l’écoute rationnelle qui se développe ultérieurement. Grâce à cette noblesse donnée au bébé, la natalité a remonté en France et les pères – ces fameux "nouveaux pères" dont on parle aujourd’hui - se sont mis à s’occuper des tout-petits.
Avoir un bébé et élever un enfant est devenu la plus grande aventure de la vie. D’autant plus que Dolto est contemporaine de l’apparition et de la légalisation de la contraception. Désormais, on est parent par choix plus que par devoir ou fatalité.
A lire :
''Faut-il être plus sévère avec nos enfants ?", Edwige Antier et Aldo Naouri, éd. Mordicus.
"Dolto en héritage", "Dolto en héritage II", d'Edwige Antier,
éd. Robert Laffont
"Eduquer ses enfants : l’urgence aujourd’hui", d'Aldo Naouri, éd. Odile Jacob
blog finis hihihih !!!!!
publié le 27/11/2008 à 04:37
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Eplucher des poivrons
Pizza diététiquePour 6 personnes
Ingrédients :
Préparation :
Préparez la pâte à pizza : mélangez la farine et le sel. Mettez la levure dans l'eau et ajoutez l'huile. Laissez reposer jusqu’à ce que la pâte est doublée de volume. Lorsque le levain a doublé, ajoutez la farine. Pétrissez la pâte à la main, pendant quelques minutes. Réservez de coté dans un endroit chaud à lever. Une fois levée, divisez la pâte et abaissez-la. Laissez-la lever à nouveau. Préchauffez votre four à 180°C (th.6) Enfournez la pâte quelques minutes avant de mettre la garniture en l'ayant préalablement piqué à la fournchette.
Astuces : Variante : champignons, poivrons …Dietetique : Une recette 100% plaisir et légèreté. La pâte est allégée en graisses ainsi que la garniture. Vous pouvez même ajouter des légumes en y incorporant des champignons, des dés de poivrons… ou consommer une salade en accompagnement pour parfaire l’équilibre. Le fromage n’est pas utilisé car il est source de calories mais vous pouvez éventuellement utiliser de l’emmental allégé. Cette recette convient parfaitement lors d’une surveillance de son poids et permet ainsi de se faire plaisir tout en limitant les calories !
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