Deux bonnes nouvelles : J’ai reçu ma clé usb par la poste et je suis reçue à mon premier test d’anglais, très universitaire et agréée par l’Éducation nationale (certificat de compétences en langues de l’enseignement supérieur - CLES). Je passe le TOEIC (pour lequel j’ai eu 950/990 au test blanc) qui évalue les connaissances en contexte professionnel à la rentrée parce que c’est obligatoire dans le cadre de ma formation, même si ça n’est valable que 2 ans et que c’est, à mon avis, moins difficile que le CLES (où ce sont des américains et des anglais dont l’accent est à couper au couteau qui parlent et on doit rédiger un texte sur la base d’un dossier thématique. Pour le TOEIC, il suffit de cocher des cases, c’est un QCM !!!)
Ces dames m’ont posé un lapin aujourd’hui, évidemment sans avertir. Pas étonnant : deux d’entre elles font partie des em… deuses d’il y a 15 jours. Elles confirment leur manque d’éducation… D’accord, il a plu pendant 10 mn, mais le reste du temps, il a fait assez beau et doux. Pas grand monde dans le parc. Du coup, j’ai pu marcher à mon rythme (donc assez vite) et courir lentement parfois sur de courtes distances plates. Et prendre des chemins de traverse inconnus, faire un peu de méditation sur des sentiers pas fréquentés du tout.
La méditation en marchant permet de focaliser et de concentrer l’esprit ou de développer la connaissance et la sagesse. Si on s'y applique, même les va-et-vient dans la maison peuvent devenir un exercice de méditation. La méditation en marchant développe l’endurance ; l’effort ; c’est une activité saine ; qui aide à digérer; et enfin la concentration qu’elle provoque dure longtemps. On reçoit beaucoup de stimuli sensoriels en marchant et notre concentration devient plus facile à maintenir. La méditation en marchant aide à développer la force et la clarté de l’esprit et une concentration transposable à des positions moins actives. Au début, l’esprit vagabonde beaucoup. Il faut trouver un lieu convenable : on conseille aux débutants de commencer sur un chemin court dans un endroit retiré légèrement à l’abri où vous ne serez pas distrait ou dérangé par un panorama ou un spectacle. Un espace protégé convient aux personnes qui pensent beaucoup, pour calmer leur esprit, les ramener en dedans de soi et vers la paix. Pour préparer le corps et l’esprit, on focalise l’esprit par étapes successives vers le calme physique et mental. Puis on détermine mentalement la durée de la méditation.
esprit plein ou pleine conscience (méditation) ?
On garde les yeux au sol sans se laisser pas distraire, conscient de la position de marche, de la sensation de la plante des pieds; dans une connaissance claire de la marche « ici et maintenant ». La méditation en marchant est une façon de simplifier ce que nous faisons, pendant que nous le faisons. Elle calme l’esprit à travers les sensations qui apparaissent et disparaissent. Il faut marcher à un rythme naturel, trouver son propre rythme. Si votre esprit vagabonde (angoisse, peur, bonheur, chagrin, soucis, doutes, plaisirs, frustrations), marchez très lentement, jusqu’à ce que vous puissiez ressentir à nouveau la plante de vos pieds. L’esprit devient moins enclin à explorer ce qui se passe alentour et se calme. On peut avoir envie de s’arrêter et rester debout pour goûter au calme.
On choisit avec soin un objet méditation sur le chemin de marche. Il doit stimuler ou calmer. Le choix d’un mantra permet d’activer l’esprit, en répétant un mot silencieusement. On peut se demander : « Qu’est ce que j’ai fait de bien aujourd’hui ?». Il faut être très attentif et toujours se demander : « Suis-je vraiment avec mon objet de méditation ou suis-je entrain de penser à autre chose ? » Ce n’est pas la durée de méditation qui compte, mais sa qualité. Chaque moment de notre vie est une occasion de pratiquer la méditation, d’examiner la réalité, de comprendre les choses telles qu’elles sont, telles qu’elles apparaissent et disparaissent. La méditation en marchant est un mode de développement mental, un travail de l’esprit. Une fois que nous avons développé cette pratique dans un contexte formel, nous pouvons l’utiliser dans la vie quotidienne, en étant simplement conscients du processus de la marche, avec l’esprit calme et paisible. Puisse votre chemin de marche être bien usé. (La méditation en marchant. Extrait de "Instructions de Méditation" 2007 Ajahn Nyanadhammo). Contente d’avoir partagé ce moment de paix avec vous…
La pratique de la méditation correspond à une recherche de paix intérieure et permet de mieux gérer son stress. Pratiquée régulièrement, elle aide à se recentrer, à développer la maîtrise de soi et à approfondir sa conscience. Les formes de méditation sont variées (assis, debout, en marchant, etc...), et visent toutes à relier le corps et l'esprit. Le corps doit être détendu, l'esprit concentré et/ou pleinement conscient. Notre langage intérieur va s’exprimer librement. Être à l’écoute de ce qui passe en nous permet d’aller à notre propre rencontre, de prendre contact avec notre être profond et de retrouver une joie simple. Notre champ de conscience s’élargit, la communication avec les autres s’améliore, on développe une plus grande qualité d’écoute. Allongé, assis, en marchant ... nous pouvons méditer en toutes circonstances. Il suffit simplement d’avoir conscience des gestes et des sensations que nous sommes en train de vivre. Il faut être là, dans l’instant présent....
Bonne balade donc, pour la louloute aussi, qui dort comme un loir sur son coussin après avoir croisé des copains et fouiné dans des buissons sans avoir à s’occuper de mes compagnes habituelles. Je réalise que j’aime vraiment marcher seule. Finalement, je ne convie d’autres personnes que pour m’obliger à y aller, quoi qu’il arrive. Sinon, c’est très agréable en solitaire… et en silence. J’ai croisé deux fois un monsieur qui faisait sans doute la même chose que moi…
Ensuite, courses, pour une fois, j’ai pris jute le nécessaire, je suis très contente. Des sachets de mangue séchée, j’adore ça, j’ai dévalisé les rayons, il n’y en a plus !!! Quand je vais au Mali, j’en rapporte plein dans mes bagages et je les termine très vite. Là, j’ai rajouté un paquet d’ananas séché pour goûter. J’ai récupéré chez le retoucheur mon vieux blouson de demi-saison en daim dont la manche s’était déchirée. Il n’est pas très beau, mais pratique par-dessus mon pyjama et un sweatshirt, le matin pour promener (ou me faire promener par) le chien, sans avoir froid
Peu de messages pour les entretiens : expédiés en 15mn. Une voisine très sympa m’a mise en contact avec un responsable d’association qui va m’aider à obtenir une salle, je ne peux (veux) pas recevoir chez moi ou dans les cafés.
Je vais m’effondrer devant la tv et essayer pour la première fois mon vélo d’appartement. Juste essayer pour voir comment ça marche, j’ai ma dose d’exercice aujourd’hui et demain, je fais 2h15 d’exos. Il faut surtout qu’il soit opérationnel quand je déciderai de m’en servir vraiment. Pas envie de faire des réglages à ce moment là
Titisardine, merci pour le tuyau sur le site pour les maillots de bains, j'achète déjà mes maillots dans une taille différente pour le haut et pour le bas, mais c’est bien d’élargir mes possibilités de choix, même si je reste très classique dans ce domaine : noir, prune, marron, bleu marine, tout ça uni. Sauf un vieux une pièce multicolore sur fonds jaune carrément trop grand maintenant. J’ai jeté un coup d’œil, mais c'est un peu tard, il n’y a plus grand choix en taille. Euh, ne me gronde pas… j'emporte toujours du travail pendant ma cure, mais seulement pour mes études. En même temps, je ne travaille pas énormément, parce que j’ai un planning de cure très chargé et qu’on fait de longues balades dans la campagne avec la miss, sans compter les restaus de cuisine régionale.
Almeria, je pars en aout aux Cauterets pour une cure rhumato + orl + forfait fibro, non pris en charge par la sécu,mais remboursé (l’année dernière) par ma mutuelle) Je te dirai le résultat, mais ce sera déjà ma troisième cure (après Luchon et Bagnères de Bigorre). Il ne faut pas hésiter, écoute ton médecin, ce n’est pas par hasard que ma fibro me laisse du répit, j’ai des rémissions de plus en plus longues à partir d’un mois après mon retour à Paris, et plus du tout mal aux mains, même si c’est terriblement fatigant. Pourtant, je n’y croyais pas au départ. Je crois que je ne pourrai plus m’en passer maintenant! La première année, j’ai croisé à Luchon un monsieur qui m’a dit que sa femme fibromyalgique avait vu une amélioration après la 3e année de cure. Moi, ça a été dès la première cure. Mon neurologue dit que les fribromyalgiques doivent éviter les usines (Dax, Bagnères de Bigorre, Aix les bains…) et plutôt choisir de petites stations tranquilles (c’est le cas des Cauterets, il y a aussi Barèges dans les Pyrénées que je ne connais pas, mais dont j’ai entendu du bien). Luchon n’est pas mal, les gens et le personnel sont très gentils : mais j’ai trouvé leur forfait fibro pas cher, mais assez léger et fantaisiste. Je dois retourner demander une prescription à mon médecin, il n’a pas tenu compte du 100% qui me permet d’être remboursée. J’y vais lundi…
Demain, ménage et lessive (c’est plus tenable) et impôts (il faut que je m’en débarrasse…)
Bonne soirée, je vais grignoter un sablé aux cerises et un peu de mangue séchée en guise de diner