Tout le monde est d’accord : il ne suffit pas de manger moins ou mieux pour maigrir. Il faut aussi coupler cela avec des exercices physiques réguliers. J’ai moi-même fait plusieurs sports avant de finalement trouver celui qui est le plus efficace pour moi : la natation.

C’est un des sports qui permet de brûler le plus de calories, il fait travailler tous les muscles et il est très rare de se blesser : c’est un effort régulier et relativement peu violent. Je dois ajouter que les effets sur le corps sont quasi immédiats en ce qui me concerne : en quatre séances, je note tout de suite la différence. À la fin d’une bonne session de natation, je me sens à la fois fier et relaxé. Ce sentiment joue un rôle important afin de ne pas tomber dans le piège dit de la « compensation » : ce n’est pas parce que je viens de faire du sport que je dois me permettre un petit extra dans mon assiette !

 Je pense que c’est important que chacun puisse trouver SON sport : celui qu’on va faire avec plaisir et dont on sait qu’il va nous maintenir dans une forme satisfaisante. Avez-vous trouvé le vôtre ?

Jeudi dernier, repas avec une amie d’origine espagnole et végétarienne. La vue de mon steak saignant et de mon sourire carnassier la fait un peu grimacer. Sa théorie est simple : nous avons, me dit-elle, acquis suffisamment de connaissances en matière de nutrition pour nous passer de tuer les animaux pour notre seul plaisir gustatif. De la même manière, elle refuse de s’habiller en fourrure ou en cuir. La connaissant, je sens bien qu’elle veut m’entrainer vers un sujet plus complexe : le respect du vivant, mais j’ai faim.

Quelques jours plus tard, en regardant Un Œil sur la Planète sur le site de France 2, j’apprends que les argentins élèvent désormais leurs bœufs en batterie, système plus productif, et font pousser du soja transgénique, plus rentable, sur les espaces libérés. C’est l’image du mythique Gaucho dorlotant la meilleure viande du monde dans des paysages infinis qui s’effondre. Les bêtes sont désormais entassées les unes sur les autres. L’éleveur nous montre sa nouvelle voiture.

Je repense à la crise dite de la « vache folle », à l’Argentin et sa nouvelle voiture, à  mon amie végétarienne et à mon steak. Je prends un verre de vin.

 

Le bien-être, on peut toujours courir après : reste à se le définir à soi même.  Les références ne manquent pas mais elles sont extrêmement variées. Demandez à Richard Gere sa définition du bien-être et comparez sa réponse à celle de Amy Winehouse…

Rajoutez à cela le regard de l’autre, des médias, des spécialistes en tout genre et faites le tri (grâce à nous)! Pour ma part, le bien-être est avant tout l’absence de malaise, physique ou mental. Lorsque malgré tout quelque chose me chiffonne, alors je tâche d’identifier les racines du souci. Souvent, je m’aperçois que le problème peut être facilement résolu et que mon stress provient surtout du fait de repousser le plus possible ce processus d’identification !

À chaque « soulagement », je me dis que la méthode est désormais acquise. Eh bien non, je recommence dès que je peux ! Il ne me reste plus qu’à régler cela… Allez, le bien-être est le calcul des plaisirs (je l’ai piquée celle là – je vous laisse deviner).

Les carottes sont reconnues pour les fibres et les vitamines qu’elles nous apportent. Elles contiennent également du falcarinol, loué pour ses propriétés anticancéreuses.

 Une équipe de recherche anglaise de l’Université de Newcastle nous apporte un précieux conseil : il vaut mieux cuire la carotte entière et la couper ensuite que l’inverse. En comparant les deux méthodes, ils ont découvert que celle désormais conseillée augmente de 25% la conteneur en falcarinol.

Pour ne pas gâcher le plaisir, les universitaires anglais en ont profité pour demander à leurs 100 testeurs de juger le goût des deux plats proposés : 80% ont préféré la carotte coupée après cuisson !

Source : Natural News

Nous savons tous qu’il faut boire de l’eau afin de prévenir la déshydratation. Une recherche menée à l’Université Tufts de Boston a récemment conclu que ne pas boire suffisamment d’eau provoque également une baisse des facultés intellectuelles et agit sur l’humeur des personnes.

Pour cela, ils ont effectué des tests sur des athlètes. Lors d’un court exercice, un groupe était privé d’eau, tandis que l’autre était hydraté. À la fin de l’effort, ils les ont soumis à des exercices cognitifs (mémoire à court terme notamment) ainsi qu’à des tests de réactions à différentes situations. Il est apparu que ceux qui ne s’étaient pas hydratés avaient obtenu des résultats plus faibles dans toutes les épreuves.

Le taux de déshydratation calculé sur les athlètes est équivalent à celui dont peut souffrir par exemple une personne n’ayant pas le temps de boire régulièrement sur son lieu de travail. Pour vos collègues, employés ou employeurs : buvez plus ! Vous serez plus efficaces et de meilleure humeur !

Source : US Department of Agriculture

Bonjour, Je suis le nouveau venu de l’équipe aujourdhui.com ! Comment me présenter : j’ai eu la chance de beaucoup voyager et d’expérimenter des cuisines et styles de vie très variés. Ce que j’en ai retenu : tous, quelque soit notre niveau d’étude, notre niveau de vie ou notre religion, tous, nous voulons nous sentir bien ! J’espère pouvoir vous accompagner, vous encourager, vous guider et vous faire découvrir de nouvelles choses sur tous les sujets qui vous intéressent ! Que l’année 2010 soit fructueuse pour tout le monde ! Vincent