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Far breton +++Astro-Régime++Dents blanches !!!+++La communication avec soi-même –
publié le 27/10/2008 à 05:02
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Pour que le gâteau ne colle pas au plat : beurez le moule en premier et mettez-le au frigo le temps de la préparation.
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publié le 25/10/2008 à 02:43
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Pour casser le bout d'une ampoule, prenez un bouton d'un vêtement, puis incorporer le bout de l'ampoule dans le trou du bouton et tirer vers le bas ou le haut.
Eplucher des poivrons
Pour les peler facilement, mettez-les au four quelques minutes, puis immédiatement dans un plat couvert. Laissez-les quelques instants, puis procédez à l'épluchage : la peau se retire très facilement !
Pour 4 personnes
Coût de la recette : | ||
Niveau de difficulté : | ||
Temps de préparation : | 10 min | |
Temps de cuisson : | 30 min | |
Temps de repos : |
Ingrédients :
Epluchez et coupez en quartiers les poires. Arrosez-les avec le jus de citron pour éviter qu’elles ne noircissent.
Dans un saladier, mélangez les oeufs, la crème fraîche, la vanille et 1 c. à café d’édulcorant.
Préchauffez le four à 180°C (th.6).
Versez cette préparation dans un plat à gratin préalablement graissé. Disposez les quartiers de poires. Enfournez pendant 30 min.
Saupoudrez d’édulcorant et décorez de groseilles.
La graphologie dans le cadre du recrutement++
publié le 24/10/2008 à 03:09
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Littéralement, la graphologie signifie science de l'écriture. Aujourd'hui considérée comme une branche des sciences humaines, la graphologie est avant tout une méthode d'approche de la personnalité qui s'insère dans le champ de la psychologie. Comme toute science humaine, il ne s'agit pas d'une démarche qui débouche sur une conclusion figée.
Les objectifs
Céline Bailleul, graphologue, membre du SGDS (Syndicat des graphologues diplômés de la société française de graphologie) © Céline Bailleul
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L'analyse commence par une observation méticuleuse de l'écriture, à travers l'expressivité du geste, la représentation de l'inconscient, le symbolisme des formes et de l'espace. "La graphologie n'est qu'un test parmi d'autres pour évaluer une personnalité, elle ne doit pas se substituer à l'entretien mais lui apporter un complément", explique la graphologue Céline Bailleul. "
L'analyse graphologique se fait toujours en fonction d'un poste précis à pourvoir. On observe si la personnalité d'un candidat est compatible avec la description du poste. Il ne s'agit pas d'analyser les notions affectives, les sentiments. Il est conseillé de rester naturel en écrivant, de rester soi-même. Si l'écriture est forcée, le graphologue finira par s'en rendre compte et cela faussera toute analyse."
Il ne s'agit pas de juger la personne mais de voir si elle correspond à un poste. "Une personne peut ne pas être recommandée pour un poste de commercial chez un grand distributeur alors qu'elle se verra attribuer des conclusions positives pour le même poste dans une PME," précise la graphologue. Le contexte et l'environnement du poste entrent aussi en jeu dans l'analyse.
La démarche de l'analyse
"Il y a trois pôles qui sont étudiés, précise Céline Bailleul. Il y a la vie intellectuelle, c'est-à-dire la nature de l'intelligence, concrète, abstraite ou conceptuelle, la démarche de la pensée, le rythme intellectuel ou encore l'ouverture d'esprit. On observe également la vie sociale et le caractère, à savoir si une personne est chaleureuse ou distante, sa capacité à manager, à travailler en équipe, à coordonner des actions.
Il y a aussi la vie active qui fait ressortir l'ambition, la quête ou non de reconnaissance sociale, le plaisir au travail, le rythme d'activité." Ainsi, en observant et en interprétant ces éléments, il devient possible d'établir le potentiel d'une personne par rapport au poste à pourvoir. Mais notre interlocutrice précise :
"il n'y a pas de recette magique, on ne peut pas dire que telle façon de faire un t ou d'écrire les accents signifie toujours la même chose." L'analyse graphologique se base sur l'écriture dans son ensemble, l'écrit et le non écrit (marges, espaces), qui aboutit toujours à une interprétation différente. "Il n'y a pas deux écritures identiques."
L'utilisation de l'espace |
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Hampe, zone médiane et jambage
Une chose essentielle à prendre en compte dans l'analyse graphologique est la situation de l'écriture dans l'espace. Le graphisme de l'écriture comprend trois zones. La hampe est la partie supérieure de l'interligne utilisée pour les lettres comme t ou d. Dans la symbolique graphologique, elle représente l'esprit. Si les hampes sont accentuées dans le graphisme, cela implique un intérêt certain pour le monde des idées, une quête vers l'intellect. La zone médiane est la partie centrale qui comprend 13 lettres comme a ou r. Elle représente la sensibilité. Si elle domine, cela peut laisser penser que la personne agit davantage en fonction de ses sentiments et se montre réceptive aux autres. Enfin, le jambage, la partie inférieure (j ou p) symbolise l'aspect matériel, concret. Si le jambage ressort fortement dans le graphisme, cela peut signifier qu'on a les pieds sur terre, qu'on est plus réaliste qu'idéaliste.
L'écrit et le non écrit
Les espaces et les marges sont pris en compte en graphologie © Getty
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Toujours dans l'étude spatiale, la place des espaces et des marges est significative. Ils font partie intégrante de l'écriture. "L'analyse graphologique observe les noirs et les blancs, l'écrit et le non écrit." précise Céline Bailleul.
La façon dont l'écriture occupe la page représente l'espace personnel. Un espace bien occupé, à savoir une écriture aérée, peut refléter une certaine rigueur dans le travail, la personne doit avoir les idées claires. Mais si elle est trop espacée, excessive, cela implique une tendance à l'isolement. Une écriture serrée reflèterait quant à elle une personne active, impulsive mais aussi attentive et sensible.
Ecriture aérée © JDN
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Ecriture serrée © JDN
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La vitesse et la direction du graphisme
La vitesse de l'écriture peut refléter certains traits de personnalité, en gardant toujours à l'esprit qu'un seul élément ne permet pas de tirer de conclusions. Ainsi, un graphisme lent aurait tendance à caractériser la précision, la prudence dans l'action, voire dans certains cas la nonchalance.
A l'inverse, une écriture rapide représenterait plutôt les personnes dotées d'une grande vivacité d'esprit, d'une culture développée. Une écriture précipitée indique un manque de contrôle de soi.
La direction de l'écriture peut aussi être une source de renseignements à condition que ce soit sur un papier non ligné. Une écriture horizontale et harmonieuse indique un certain équilibre et une maîtrise de soi.
Si elle est ascendante, elle peut indiquer l'optimisme, la confiance en soi.
Si elle est descendante, on aura tendance à déceler du pessimisme voire du découragement.
La taille des lettres
Enfin, l'observation se fait également sur la taille de l'écriture. Une écriture grande implique que la personne éprouve un besoin de se faire remarquer, en faisant preuve d'une forte extériorisation.
Une écriture petite désigne davantage une personne minutieuse, un travail de la pensée. Lorsque ce sont les majuscules qui sont agrandies, on pourra penser à un complexe d'infériorité qui amène à un gonflement du moi.
Ecriture petite © JDN
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Ecriture grande © JDN
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La forme de l'écriture |
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La symbolique de l'inclinaison
L'analyse graphologique se base essentiellement sur des symboles. Ainsi, dans cette discipline, la gauche représente le passé et la droite l'avenir.
Si une personne a tendance à incliner ses lettres vers la gauche, on pourra penser qu'elle est tournée vers son passé, qu'elle se base sur son vécu et a peut-être du mal à se projeter vers l'avenir.
Si l'écriture penche vers la droite, cela indique une certaine ouverture sur le présent et l'avenir, une ouverture sur les autres, un besoin d'aller de l'avant. Il en va de même pour les marges. "
Une marge serrée à gauche permet d'étudier les relations avec le passé, les normes, les traditions. De l'autre côté, si la marge droite est trop large, on pourra penser que la personne est assez prudente", analyse la graphologue.
Ecriture arrondie ou anguleuse
La forme des lettres a aussi sa signification. Deux catégories se distinguent : l'écriture arrondie, souple et l'écriture anguleuse, rigide. La première est plus accueillante, reflète une personne plus affective.
C'est d'ailleurs souvent une forme très féminine. En revanche, "une écriture anguleuse indique plutôt une tendance au courage, à la rigueur", expose Céline Bailleul.
On voit donc qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon d'écrire, simplement que chacune d'entre elles met en avant des traits de personnalité différents.
Une écriture anguleuse, souvent rigide, peut exprimer une grande combativité mais aussi une difficulté d'adaptation au changement.
Ecriture arrondie © JDN
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Ecriture anguleuse © JDN
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Une écriture juxtaposée peut indiquer de la créativité et de la réflexion ou alors une certaine inhibition. |
La liaison des lettres entre elles
L'école nous apprend à écrire en liant les lettres les unes aux autres. En grandissant, chacun fait évoluer son écriture et exprime ainsi sa personnalité.
Dans le cas d'une écriture liée, on peut interpréter une certaine continuité dans la pensée, dans l'activité, mais peut-être aussi un besoin de convaincre. Une écriture juxtaposée (avec peu de liaisons entre les lettres) incite à penser que la personne est créative, intuitive et fait preuve d'une grande réflexion.
On peut aussi l'interpréter comme une forme d'inhibition, de ralentissement dans l'activité. Une écriture filiforme, c'est-à-dire comme un trait avec très peu de relief, peut conduire à interpréter que le candidat est paresseux ou bien très actif, en fonction des autres éléments de son graphisme.
Ecriture liée © JDN
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Ecriture juxtaposée © JDN
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La pression du trait
La pression que l'on applique sur la feuille en écrivant renseigne sur l'intensité des instincts, leur constance ainsi que leur orientation. Dans le cas d'une écriture légère, peu appuyée, on peut penser que la personne fait preuve de délicatesse, de discrétion mais on peut également l'interpréter comme un manque de tempérament.
Si le trait est appuyé, on remarquera une certaine énergie, une forte personnalité, une volonté puissante. Une écriture très épaisse reflètera quant à elle davantage de sensualité, une importance de l'instinct. Si la pression est très irrégulière, cela peut se voir comme une résistance aux difficultés
La signature |
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Pour Céline Bailleul, "la signature est un concentré de soi-même, elle représente les espoirs, les doutes, les rêves, les projets." Elle a cette particularité d'être l'expression de sa propre personnalité en ce sens que l'on ne choisit pas sa façon de signer par hasard. "
Si la signature est totalement différente de la façon d'écrire, on peut être amené à évaluer différemment la personnalité du candidat", estime la graphologue.
Par exemple, si elle est plus inclinée que l'écriture, on y verra une personne plus passionnée qu'elle n'en donne l'impression, qui fait preuve de plus d'élan et de sociabilité qu'elle ne le laisse supposer.
La signature est d'autant plus importante qu'elle est la dernière chose lue par le recruteur. Il faut donc qu'elle exprime au mieux la personnalité. S'il est très difficile de modifier son écriture, il est possible de réfléchir à sa signature et d'en élaborer une plus fidèle à soi-même.
Simple ou compliquée
"La signature est un concentré de soi-même" |
Il faut d'abord analyser la composition de la signature, le texte et le paraphe (traits, dessins...). Une signature simple, sans paraphe, écrivant simplement le nom, s'observe comme un signe de simplicité, de modestie mais peut aussi être vue comme de l'orgueil.
Tout dépend du texte qui précède, la signature seule ne permet pas d'établir une analyse complète. Si le prénom est présent, plus il prend de la place, plus le "moi" en prend aussi.
Le paraphe complique un peu plus la signature et peut signifier beaucoup de choses. Il représente généralement l'image que l'on a de soi-même, la position que l'on se donne.
A titre d'exemple, si le paraphe est un trait qui souligne le nom, il en ressort une fierté de soi, de son statut social, voire de la vanité.
Ainsi, une signature compliquée, hormis le cas de personnes à responsabilités importantes qui craignent la falsification, cache souvent une volonté de donner un type d'image, un certain prestige. Cela peut être interprété comme un manque de confiance en soi ou une peur de se dévoiler.
Signature simple © JDN
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Signature compliquée © JDN
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La position
L'endroit où l'on place sa signature peut être révélateur. En reprenant la symbolique gauche-droite, une signature trop à gauche pourra indiquer un attachement au passé qui peut conduire à manque d'autonomie et des difficultés à changer ou à s'engager.
Si elle est située trop à droite par rapport au texte, elle peut représenter une forme d'enthousiasme et de dynamisme, mais aussi un excès d'impulsivité ou des difficultés à anticiper.
La distance par rapport au texte est également significative. "Une signature qui colle au texte va plutôt marquer un besoin du groupe. A l'inverse, une signature éloignée désignera une personne qui a moins besoin des autres, qui peut facilement s'isoler et prendre seule des décisions."
L'orientation
Tout comme pour le texte, l'orientation ascendante ou descendante de la signature a une signification.
Une signature montante caractérise davantage les natures actives, l'ambition. Si la montée est excessive, il peut s'agir d'une personne qui présume de ses capacités, qui se surestime.
L'orientation descendante marque une tendance à la fatigue, à la lassitude, au découragement. Elle peut aussi indiquer un problème de confiance en soi.
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...Du feng-shui dans la salle de bains ! ++Ethnique, c'est chic !
publié le 23/10/2008 à 04:28
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La salle de bains est un espace d'hygiène mais aussi un espace de rangement. Elle abrite les articles de toilette, de pharmacie et vos serviettes. Il faut donc exploiter chaque petit espace... sans sacrifier l'esthétique. Conseils de Cif. Quelques principes du feng-shui qui créent le bien-êtreLa salle d'eau ou salle de bains mérite une attention particulière pour l'harmonie des énergies qui y circulent. Veiller aux fuites d'eau : Elles pourraient entraîner de sérieuses pertes financières ! La chaleur apaisante : On conseille des radiateurs porte-serviettes ou des porte-serviettes chauffants. Les miroirs : Evitez de les placer face à face et préconisez un miroir dans lequel vous voyez la majeure partie de votre corps. Une déco d'inspiration maritime ou de bord de mer favoriserait une énergie bien équilibrée. Les couleurs qui conviennent le mieux sont les verts pastel, le bleu et le violet. On peut donner de l'énergie avec une plante à fleurs rouges. Privilégiez les objets précieux, les encadrements dorés et une lumière tamisée pour alléger les tensions et créer un petit cocon où se réfugier avec délectation. Quelques idées qui créent l'espace De la quincaillerie à la boutique de design, on trouve en ce moment toutes les déclinaisons possibles et impossibles de boîtes fonctionnelles et attrayantes: en plastique, en bois patiné, en rotin, en aluminium ou même en carton. Leur avantage? Elles s'emboîtent les unes sur les autres; se glissent facilement dans les coins perdus et peuvent grimper jusqu'au plafond. On peut aussi dénicher des meubles au gabarit ultra mince dotés d'une myriade de tiroirs. Idéal pour ranger les cosmétiques, les mille et un pots de crème et les brosses à cheveux. Miser sur les murs Optez pour des armoires ou pharmacies. Choisissez des étagères pour les collections de sels de bains. Pour les serviettes, rangez-les dans ces sacs à compartiments en toile pour entreposer les chaussures. Pratique, lavable et méconnaissable ! Les styles qui créent l'ambiance Les tendances sont aux matières translucides; le verre pur, dépoli ou opalisé. Des armoires aux portes vitrées ou qui laissent passer la lumière donnent un sentiment d'espace. |
Le style japonais pour être zen
La préparation d'un repas à la japonaise est un art fait d'esthétique, de tradition, de religion et d'histoire. La première chose à savoir est que la cuisine japonaise se distingue de nos coutumes occidentales par la séparation des mets et des saveurs. Plus vous multiplierez les petites portions, plus vous serez proche de la réalité. La présentation de vos plats sur la table doit être soignée et vous prendrez le temps de la composer, tel un tableau.
Vous pouvez disposer quelques bougies blanches et semer des pétales rouges en guise de chemin de table. Côté ustensile, tout le repas se déroule avec des baguettes, dépaysement et ambiance garantis ! Vous pouvez facilement fabriquer de très élégants reposes baguettes en achetant une tige de bois carrée ou rectangulaire d'environ 1 cm de côté que vous découperez en tronçons de 5 cm avant de les peindre en laque noire ou rouge. Si vous ne disposez pas de petits plats typiquement japonais (rectangulaires), vous pouvez utiliser des ramequins, des petits bols et des coupelles. Sur la table on épure : pas de nappe, des sets en bambou ou en paille de riz à la rigueur.
Tous les plats étant sur la table, vous pourrez profiter des conversations sans avoir à courir vers la cuisine et vos invités auront le plaisir de créer eux-mêmes les mélanges qu'ils désirent. Il ne vous reste plus qu'à servir le thé et à déguster de délicieux sushi de pommes de terre !
Recevoir à la marocaine
Il s'agit avant tout de créer une ambiance chaleureuse. La table est ronde de préférence, et si vous disposez d'un grand plateau en cuivre ou métallique, mettez-le sur un socle adapté à environ 50 cm du sol. Placez tout autour des poufs et des coussins pour manger confortablement. Tendez une grande pièce de tissu aux couleurs chaudes au dessus de votre table afin de recréer l'ambiance d'un dîner aux portes du désert.
Complétez votre déco en multipliant les lanternes et utilisez des plats en terre cuite vernissée. Que ce soit le tajine d'agneau aux raisins et aux amandes ou le couscous, le plat est posé au centre de la table avec tout autour des petites coupelles contenant les condiments et vous servirez du thé à la menthe dans des verres sans pied, style petits gobelets.
Le minimalisme indien
Avant d'ouvrir la porte à vos invités, allumez des bâtons d'encens ainsi que des bougies. Répandez des pétales de fleurs sur votre table mais aussi sur le sol. Pour donner le ton, saluez-les d'un namasté en joignant les mains et en inclinant le buste. Proposez à vos amies de leur peindre un rond entre les deux sourcils (le tika) à l'aide de rouge à lèvre appliqué au coton tige et mettez un disque de Ravi Shankar : il ne vous reste plus qu'à vous laisser transporter aux confins de l'Orient. Côté cuisine, il n'existe pas de plat national en Inde, même si les currys, tandooris et chutneys servis avec du riz sont les plus connus en Occident.
Sachez que ce qui distinguera votre repas est le bon usage que vous aurez fait des différents épices entrant dans la composition de votre plat. Mais attention de ne pas avoir la main trop lourde ! Evitez de servir du thé, réservé à la journée et au coucher. Préférez un lassi salé, plus original (lait pasteurisé qu'on porte à ébullition auquel on ajoute du jus de citron avant de le laisser reposer jusqu'au lendemain. On récupère alors l'eau qui s'est formée pour la mélanger à du yoghourt avec une pincée de sel, de l'eau de rose, des feuilles de menthe ou de la coriandre).
En fin de repas, faites circuler un bol d'eau parfumée à la rose pour se rincer les doigts (d'autant plus utile si vous avez respecté la tradition et opté pour un repas sans couverts). A vos décos et bon appétit !
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bon mercredi !!!!
publié le 21/10/2008 à 23:49
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Épuisement professionnel ++
publié le 21/10/2008 à 07:03
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Voir le dossier Surmonter le stress au travail: enfin des solutions
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Burnout ou dépression? |
L’épuisement professionnel est surtout connu sous l’appellation anglaise burnout. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), il se caractérise par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail »1.
C’est en 1969 que le terme burnout a été utilisé pour la première fois. Il a fait l’objet de nombreuses définitions depuis. L’Institut Douglas, spécialisé en santé mentale, a retenu celle-ci : « Le burnout est le produit d’efforts disproportionnés (en temps, en émotion et en engagement), d’une faible satisfaction résultant de ces efforts et de conditions de stress en milieu de travail »2.
Dans les années 1970, on réservait l’expression aux employés du domaine de la relation d’aide, très engagés émotivement dans leur travail, tels les infirmières, les médecins, les travailleurs sociaux et les enseignants. Maintenant, on sait que tous les travailleurs — de l’ouvrier au chef d’entreprise — peuvent être exposés au burnout.
On ne dispose pas de statistiques précises sur l’épuisement professionnel. Néanmoins, 26 % des travailleurs québécois affirment vivre un niveau de stress quotidien élevé, selon une vaste enquête menée en 20053. Ce qui est également le cas de 28 % des travailleurs de l’Union européenne4.
Selon l’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes, de 30 % à 50 % des prestations pour invalidité concernent des problèmes de santé mentale5. Une proportion qui a presque triplé de 1991 à 20016. Mais dans cette même période, les travailleurs canadiens consacraient davantage d’heures au travail : trois heures de plus par semaine que dix ans plus tôt, d’après Statistique Canada. Ils retiraient d’ailleurs moins de satisfaction au travail en 2001 qu’en 199112.
Près du tiers des Canadiens âgés de 19 ans à 64 ans se disent être des bourreaux de travail12. Ces personnes étaient plus nombreuses à déclarer avoir une santé passable ou mauvaise et à avoir des problèmes de sommeil.
Une association de facteurs mène souvent à l’épuisement. On connaît assez bien les principales sources de stress au travail qui, selon certaines enquêtes, ont trait à la manière dont le travail est organisé5. Être constamment surchargé de travail et manquer d’autonomie — ne participer à aucune décision liée à sa tâche — arrivent en tête de liste. Des responsabilités mal définies et un déséquilibre entre les efforts fournis et la reconnaissance obtenue (salaire, estime, respect, etc.) sont également nocifs pour la santé psychologique, lorsque la situation persiste. Pour en savoir plus sur les sources de stress au travail, voir notre dossier Surmonter le stress au travail : enfin des solutions.
Cependant, on s’explique moins bien pourquoi des personnes vivent plus de stress que d’autres. Certaines attitudes (trop grande importance accordée au travail, perfectionnisme) sont plus fréquentes chez les individus qui vivent de l’épuisement professionnel. Selon les recherches, il semble que la faible estime de soi soit un facteur déterminant. En outre, certains contextes de vie, comme de lourdes responsabilités familiales ou encore la solitude, peuvent mettre en péril la conciliation travail-vie personnelle.
Peu importe les sources de stress au travail, il se produit un déséquilibre entre la pression subie et les ressources (intérieures et extérieures) dont on dispose pour l’affronter. Certains individus éprouvent de la difficulté à reconnaître leurs besoins et à les exprimer auprès de leur employeur. Il arrive aussi que les difficultés soient énoncées, mais qu’elles demeurent lettre morte, en raison du mode de gestion de l’organisation ou du type de poste.
Le stress, qu’il soit positif (stimulant) ou négatif (paralysant), apparaît dans les situations suivantes :
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Un épisode d’épuisement professionnel peut avoir des répercussions dans toutes les sphères de la vie. Dans pareil cas, la victime peut alors glisser vers la dépression. Certaines personnes peuvent vivre de l’anxiété, souffrir de troubles alimentaires, avoir des problèmes de toxicomanie ou, à l’extrême, des pensées suicidaires. Certains travailleurs s’épuisent même au point d’y laisser leur vie. Le terme japonais karoshi désigne la mort subite par épuisement nerveux au travail, causée par une crise cardiaque. Le phénomène a été observé pour la première fois au Japon à la fin des années 1960.
Le stress chronique entraînerait aussi plusieurs dérèglements sur le plan physiologique. On sait, par exemple, que le diabète de type 2, l’obésité et les maladies cardiovasculaires sont plus courants chez les gens qui vivent une forte pression psychologique.
L’épuisement professionnel n’est pas officiellement reconnu comme une maladie mentale. Pour l’instant, il ne figure donc pas dans le DSM IV, le manuel médical des troubles mentaux. Il entre dans la catégorie des troubles d’adaptation.
Le diagnostic est difficile à établir, car les médecins ne disposent pas de critères précis. Aussi, distinguer un épuisement professionnel d’une dépression n’est pas chose simple. Pour le moment, les médecins se basent sur l’entretien qu’ils ont avec le patient et les symptômes que ce dernier éprouve. En cas de doute, la consultation d’un psychiatre est parfois suggérée.
Des recherches en cours pourraient permettre d’améliorer le diagnostic. Certaines portent sur l’identification de marqueurs biologiques pour détecter le stress chronique. Une quinzaine de marqueurs sont sous la loupe des chercheurs, incluant les taux sanguins de cortisol, d’adrénaline, de protéine C-réactive, de glucose et de cholestérol, de même que la tension artérielle et le rythme cardiaque.
Ces marqueurs sont souvent étudiés isolément dans le but d’évaluer le risque d’un problème de santé particulier, comme le diabète de type 2 ou l’hypertension. Il semble que sous l’effet du stress chronique, un fin dérèglement de plusieurs systèmes hormonaux se produirait en même temps. Ainsi, les marqueurs resteraient dans les limites de la normale, mais près des valeurs minimales ou maximales.
L’épuisement se produit insidieusement. On emploie parfois les mots « dépersonnalisation » et « déshumanisation » pour décrire ce qui survient à l’individu, comme s’il perdait, pour quelque temps, une part de lui-même.
Peu à peu, il déploie une énergie grandissante pour accomplir son travail, sans toutefois en obtenir de satisfaction. Les frustrations s’accumulent et le cynisme augmente. La concentration est de plus en plus difficile à obtenir. Des symptômes physiques peuvent apparaître, comme des maux de dos ou de l’insomnie.
Pour corriger une telle situation, le travailleur opte souvent pour un investissement encore plus grand dans son travail, jusqu’à l’épuisement. Cette marche « à vide » peut durer des années. Le déni est typique de l’épuisement professionnel, ce dernier étant souvent vécu comme un aveu d’échec.
Remarque. Les symptômes suivants sont les plus fréquents, mais n’apparaissent pas tous nécessairement.
D’où viennent les colères spontanées? La réponse de Sonia Lupien15, directrice du Centre d’études sur le stress humain de l’Institut Douglas : « Si une même situation revient constamment me stresser, je peux m’y habituer. Je m’habitue, par exemple, à ce qu’un collègue dévalorise mon travail en réunion chaque mardi. Cependant, le prix à payer est très grand : le cerveau et le corps deviennent trois fois plus réactifs à tout autre élément de stress. Cela explique les colères spontanées qui surviennent au travail ou à la maison. » |
Dures, dures fins de semaine... Après une période de travail excessif et de stress, le repos - les fins de semaine ou le début des vacances -, peut faire ressurgir des maux comme la migraine, la grippe et les douleurs musculaires. C’est ce qu’on appelle le « syndrome du bourreau de travail ». Environ 3 % des travailleurs en seraient atteints, selon une enquête menée aux Pays-Bas7. L’adrénaline serait en partie responsable de ce phénomène. Sécrétée de façon continue sous l’action du stress, elle réduirait nos défenses immunitaires. Les nombreux cafés consommés pour maintenir la cadence ainsi que les nuits sans sommeil pourraient, quant à eux, provoquer des migraines. |
Certaines situations, attitudes ou caractéristiques individuelles, peuvent, dans un contexte de travail stressant, contribuer à l’épuisement professionnel.
Mesures préventives de base |
Divers moyens pour réduire le stress et ainsi réduire le risque d’épuisement professionnel1,10,14.
La prévention de l’épuisement professionnel n’incombe par seulement aux individus, mais aussi aux entreprises. Pour en savoir plus sur les mesures à favoriser dans les organisations, consulter notre dossier Surmonter le stress au travail : enfin des solutions.
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Mesures pour prévenir les récidives |
Au moment de la reprise du travail, discuter avec son employeur afin de trouver une situation convenable. Un retour progressif peut être de mise, de même qu’un suivi par un médecin. De plus, discuter avec son employeur des aménagements possibles à l’organisation du travail avant de s’y replonger.
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L’objectif du traitement est de retrouver sa santé et de concevoir une manière d’accomplir son travail de façon satisfaisante, sans s’épuiser.
L’arrêt de travail est souvent nécessaire. La durée du congé de maladie est variable, mais on n’a pas tendance à prescrire de longs congés. En fait, un très long congé risque de rendre la reprise du travail encore plus difficile.
Le repos que permet le congé de maladie est essentiel puisque les réserves d’énergie sont à plat chez les victimes d’épuisement professionnel. Cependant, il est insuffisant pour régler le problème et éviter les rechutes. « Le repos ne guérit pas le burnout. Un réel changement doit être intégré dans la vie de ces personnes (...) qu’il s’agisse d’un changement d’environnement de travail, de mode de vie, de philosophie ou de vision du monde », précisent les spécialistes de l’Institut Douglas. La solution passe donc aussi par le changement.
Mais avant d’amorcer des changements, on doit prendre conscience des raisons qui ont mené à l’épuisement. Pour ce faire, la consultation d’un psychologue ou d’un psychothérapeute dûment formé peut être d’une aide précieuse. Il s’agit de découvrir ce qui cause du stress et de trouver des solutions pour s’y attaquer.
Il existe plusieurs types de psychothérapies. La thérapie cognitivo-comportementale est la plus couramment employée. D’autres types de thérapies peuvent être appropriés, comme l’approche systémique, qui se penche sur les interactions avec l’entourage.
Lorsque, dans un milieu de travail
.Le raisin, un fruit qui nous veut du bien ++++
publié le 20/10/2008 à 08:48
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Article du 12/09/2008
Gorgé de vitamines et sucré, le raisin est le fruit allié de la rentrée. Idéal pour garder la forme et la ligne, il est aussi utilisé en cosmétologie pour ses bénéfices beauté. Nos astuces pour bien le consommer, tout au long de la journée.
Le raisin apporte une touche saine et sucrée à tout moment de la journée. Cru ou cuit, on l’incorpore facilement dans nos plats selon nos goûts et nos envies.
Et côté pratique, que ce soit en balade, au bureau ou pour les enfants, on pense aussi à l’emporter en barquette toute prête.
Pour bien commencer la journée, on incorpore quelques grains dans un bol de fromage blanc. Un bon mélange croquant et fondant pour un petit-déjeuner vitaminé.
On le tartine ou on le mélange dans une salade sucrée salée. Le raisin se marie très bien aux fromages, à la volaille ou aux poissons. On associe nos envies
Pour les gourmands ou les sportifs, le raisin est un bon compromis entre apport 100 % naturel et goût sucré. On mange simplement une grappe pour reprendre de l’énergie.
On le mange en brochette, associé à du comté ou en guise de cacahuète. Un amuse-bouche pratique et simple à déguster.
Légume léger et rafraîchissant, l’endive n’apporte pas plus de 15 kcalories soit 63 kJoules aux 100 g : une addition calorique modeste ! Il s’agit d’un aliment très riche en eau (près de 95 %), dans lequel les substances énergétiques sont peu abondantes. En effet, l’endive ne renferme que des traces de lipides (ou graisses), très peu de protéines (1 à 2 %), et son taux de glucides (ou hydrates de carbone) ne dépasse pratiquement jamais 3 à 4 % (ils sont constitués essentiellement par du saccharose, du fructose et un peu de glucose).
Sa richesse en fibres est à noter : on en trouve en moyenne 2,2 % dans l’endive, composées surtout de cellulose et d’hémicelluloses tendres. Elles donnent à l’endive sa texture ferme et croquante.
L’apport en minéraux et oligo-éléments est assez important : le taux de potassium (205 mg/100 g) est plus élevé que dans la plupart des légumes frais. Cette caractéristique, associée à une faible teneur en sodium (4 mg/100 g), confère à l’endive de bonnes propriétés diurétiques.
Sont également bien représentés : le chlore, le magnésium, le fer (accompagnés de cuivre, ce qui favorise sa bonne assimilation).
Parmi les oligo-éléments, on remarque le manganèse (0,2 mg), le zinc (0,15 mg), l’iode, et surtout le sélénium* (0,013 mg/100 g, alors que le besoin quotidien moyen est estimé à 0,060 mg).
Parmi les vitamines du groupe B, l’acide folique atteint un taux intéressant (0,05 mg - besoin quotidien :
0,3 mg). Le carotène (ou provitamine A) est très peu abondant (en effet, il est généralement lié aux pigments colorés des végétaux ; or, l’endive qui pousse à l’abri de la lumière, est très peu colorée). Enfin, la teneur en vitamine C se situe aux alentours de 5 à 10 mg aux 100 g (apport quotidien conseillé : 80 mg).
* Le sélénium fait partie des oligo-éléments aujourd’hui recherchés : il agit comme un anti-oxydant (souvent en synergie avec la vitamine E). Il protège les cellules du vieillissement, en s’opposant à la formation des radicaux libres, et aurait un rôle protecteur vis-à-vis de l’apparition de certains cancers.
On distingue différentes catégories , en fonction de la taille des endives :
- Extra (étiquette rouge) : 9 à 17 cm de long, 2,5 à
6 cm de diamètre.
- I (étiquette verte) : 9 à 20 cm de long, 2,5 à 8 cm
de diamètre.
- II (étiquette jaune) : 9 à 24 cm de long, au moins
2,5 cm de diamètre.
- III (étiquette grise) : 9 à 24 cm de long, au moins
2,5 cm de diamètre.
(Seules les endives classées en catégories II et III ont le droit de présenter un léger verdissement de l’extrémité des feuilles et une irrégularité marquée de forme).
Avec un apport d’à peine 15 kcalories aux 100 g (soit 50 à 60 kcalories pour une portion moyenne de 350 à 400 g de légumes cuits), l’endive fait partie des légumes les moins énergétiques . Un atout dans l’alimentation actuelle, où l’on souhaite souvent limiter le total calorique. Par ailleurs, elle fournit des fibres très bien tolérées (particulièrement lorsque l’on sert l’endive cuite), fort efficaces pour le bon fonctionnement intestinal. La légère amertume de quelques variétés d’endives stimule en douceur les sécrétions digestives.
Sa richesse en potassium favorise une bonne épuration rénale.
L’endive apporte sa contribution à la couverture des besoins de l’organisme en oligo-éléments et en minéraux, notamment en sélénium, en acide folique, et en vitamine C (dont elle fournit en moyenne 5 à 10 mg aux 100 g soit environ 10 % du besoin quotidien).
Enfin, que l’endive soit consommée crue ou cuite, ses fibres diététiques sont bien tolérées, même par les convives ayant un système digestif délicat.
L’endive est un légume fragile qui, après sa récolte, subit des modifications d’apparence et de saveur : elle a tendance à se déshydrater et à devenir moins ferme, moins croquante. Son aspect devient plus terne, et si elle n’est pas protégée de la lumière, elle verdit peu à peu. Son goût évolue également : le taux des sucres baisse et l’amertume augmente. Il faut donc acheter l’endive aussi fraîche que possible, la garder au frais et à l’obscurité (dans le bac à légumes du réfrigérateur) et la consommer dans les 2 ou 3 jours.
pour ma cure je ne la continue pas d ailleur je ne l avais pas bien faite......
je reprends mes antis depresseurs 2 par jours donc je dois manger ......
je retombe dans la depression ........en plus 15 jours sans craquer cela m etais impossible j aurais manger de temps en temps ......
je tire mon chapeau a toutes celle qui continue ........
je la ferai l annee prochaine si tout va bien.....
sieste++++ j 7 cure de raisin......++++Ces poisons que vous avez chez vous
publié le 19/10/2008 à 01:46
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Bien-être |
De nombreuses études l'ont prouvé, la sieste est bénéfique pour la santé ! En effet, effectuée de manière quotidienne, elle réduirait les problèmes de sommeil, permettrait à l'organisme de résister efficacement contre les virus et bactéries et diminuerait même le risque de maladies cardio-vasculaires !
Mais les bienfaits de la sieste ne s'arrêtent pas là, puisque ce précieux petit somme augmenterait considérablement les capacités de concentration et permettrait d'éviter la baisse d'énergie de la fin d'après-midi !
cette nuit du raisin................................a 7h19 du raisin......
a 10h00 du raisin....... a 13h00 du raisin........a 17h00 de la glace+du
pain azim+du fromage de chevre.......
Phosphate, sulfate, chlore, borate...Où les trouve-t-on ? : Ces toxiques proviennent des détergents et des agents nettoyants comme les liquides vaisselle, les tablettes que l’on met dans son lave-vaisselle et les lessives. Depuis 1991, le taux de phosphate des lessives est limité à 20 % contre 50 % auparavant mais c’est encore bien trop.Quels sont leurs effets ? : Ils libèrent des gaz toxiques lors de leur utilisation. Ils polluent les eaux et favorisent la prolifération des algues dans les rivières et les océans. La solution alternative : Préférez une lessive sans phosphate. Toutes les grandes marques en proposent. |
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. Les tensioactifs Où les trouve-t-on ? : Ils sont eux aussi présents dans les produits d’entretien et dans toutes les lessives. C’est l’élément qui fait mousser et qui dégraisse.
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hier pour le forum du maroc et bien je suis allee pour l ouverture de 10h00.........il n y a pas que des exposant sue=r le maroc il y a aussi des vendeurs de bijoux et deco africaine ,,,,,
des vendeurs chinois etc,,,,,vetements , tableaux etc,,,,,,,
pour les piscnes aussi les cabanons dehors etc.......
produits bio aussi.....................pleins de bijoux artisanaux etc........
des plantes donc elles n ont pratiquement pas besoin d eau pour vivre juste vaporisé une fois par semane les feuilles ...........
c est tres grand et l apres midi il y a trop de monde........
j ai fait des folies et oui je ne fais pas 2 h00 de routes pour rien.....
donc j ai pris des epices,,de l huile d argan pour la cuisine ,,,,
des produits bio pour le visage et corps aussi pour offrir a noel.....
j ai pris des bijoux aussi,,, des plantes etc........
je me suis aussi arretter pour faire des courses a un magasin chinois tout est cher mangé est devenu un luxe........
j...6
publié le 18/10/2008 à 05:59
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5h50 une verre d eau a jeun.......5h55 des pates nature + soupe
legumes dedans ......une assiette creuse.........
dans la journee et bien une craipe au nutella et un verre de jus de fruit....
puis le soir une mini pizza et jus de fruit.......
Ashtanga Yoga+++
publié le 17/10/2008 à 23:08
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voila ce que je pratique dans mes cours de yoga..... |
L'Ashtanga est devenu populaire depuis quelques années et l'on pourrait croire à un nouveau yoga occidentalisé. L'Ashtanga est également considéré comme le plus physique des yogas, il est souvent assimilé à une pratique uniquement posturale et acculturée. Pourtant, ce style de yoga est directement issu d'une lignée de yogis et repose sur les Yoga Sutra de Patanjali.
Un manuscrit transmis à Pattabhi Jois :
L'Ashtanga yoga provient d'une tradition ancienne codifiée par Ramana Rishi dans le Yoga Korunta, un manuscrit antique mutilé. Au début de ce siècle, cette source a été transmise à K. Krishnamacharya qui l'a ensuite confiée à Pattabhi Jois, ainsi devenu le maître de l'Ashtanga. Le livre de référence est aujourd'hui le Yoga Mala de Pattabhi Jois.
Une base commune, les Yoga Sutra de Patanjali :
Même si l'Ashtanga a ses propres caractéristiques, il provient d'une spiritualité commune à tous les yogas, celle décrite par les Yoga Sutra de Patanjali (sage qui a codifié les règles du yoga). Le terme Ashtanga désigne d'une part la pratique du yoga décrite par Pattabhi Jois, et d'autre part renvoie à l'Ashtanga Yoga de Patanjali, littéralement, le yoga des huit branches.
Il se décompose de la façon suivante :
- Yama : code moral (non-violence, dire la vérité, ne pas voler, modération des sens, non convoitise)
-Niyama : observances personnelles (pureté, contentement, détermination, étude, dévotion)
-Asanas : pratique des postures
-Pranayama : maîtrise du souffle (le prâna)
-Pratyahara : contrôle et retrait des sens
-Dharana : concentration
-Dhyana : méditation
-Samadhi : réalisation, éveil
Le Vinyasa, le mouvement relié au souffle :
L'Ashtanga est particulièrement dynamique, les asanas, les postures, s'enchaînent en suivant le rythme de la respiration. Le souffle devient le fil conducteur de la pratique et chaque mouvement se calque sur les inspirs et les expirs.
Le mot Vinyasa signifie "synchronisation de la respiration et du mouvement". Il s'agit véritablement de la clé de voûte de la pratique de l'Ashtanga Vinyasa Yoga.
Peu à peu, le corps se réchauffe et la chaleur, la transpiration, purifient et éliminent les toxines. Tout au long de la pratique, la respiration est en Ujjayi (Le victorieux en sanskrit).
Cette respiration se pratique exclusivement par les narines et se trouve accompagnée d'une contraction de la gorge, créant un doux sifflement caractéristique.
Dans l'Ashtanga Yoga, les postures sont organisées dans un ordre fixe, en revanche, dans le Vinyasa Yoga l'ordre des postures peut varier d'une séance à l'autre.
Les Bandhas et les zones énergétiques :
Le terme bandha signifie " ligature, blocage ". Dans la pratique du yoga, les bandhas désignent les zones où l'énergie se concentre dans le corps. Les postures et la respiration Ujjayi reposent sur la maîtrise de 3 bandhas qui permettent de réaliser les asanas en réduisant les efforts physiques avec légèreté et grâce.
- Mula Bandha : ce bandha s'active en aspirant les organes et les muscles situés au-dessus du périnée. Cette base assure la stabilité des postures et ancre la force.
-Uddyana Bandha : ce bandha s'active en avalant le ventre, à partir de mula bandha, jusqu'à jalandhara bandha. Le diaphragme et les muscles de l'abdomen remontent. Ce bandha fait remonter l'énergie dans le corps.
-Jalandhara Bandha : ce bandha s'active en contractant la glotte, c'est-à-dire en inclinant le menton vers le sternum. Il permet de contrôler le souffle, d'étendre et d'égaliser les inspirs et les expirs. On le reconnaît au petit sifflement qu'il occasionne.
Le drishti, la position du regard :
Pour chaque posture, le regard est posé sur un point : le drishti recentre l'esprit et donne une direction à la posture.
Neuf drishtis s'appliquent aux postures :
- Nasagra : le nez
- Brhumaddya : troisième œil (entre les sourcils)
- Nabi Chakra : nombril
- Hastagra : la main
- Padhayogra : les doigts de pied
- Parsva Drishti : à droite / à gauche
- Angusta Maddya : les pouces
- Urdhva Drishti : le ciel
Les séries de postures :Les séquences de postures, propres à l'Ashtanga Yoga, s'organisent en séries. Chaque série débute par des salutations au soleil qui recentrent l'esprit et échauffent les muscles, les articulations. Les séries de postures font travailler le corps dans son ensemble :
- les primaires : les postures debout renforcent les jambes et les flexions vers l'avant assouplissent le corps, étirent et assouplissent les jambes. Cette série installe l'ancrage du corps, de l'esprit et donne de la force.
-les intermédiaires : les postures cambrées assouplissent le dos et les postures d'équilibre requièrent une grande stabilité. Cette série est plus liée à l'émotionnel.
-les séries avancées : ces séries nécessitent à la fois une souplesse entière du corps et une force pour maintenir les postures. Une pratique assidue ainsi qu'une hygiène de vie sont nécessaires.
A la fin de la pratique, les finishing postures, principalement des inversions, font redescendre l'énergie. Les séances s'achèvent par du pranayama, la respiration et par Savasana, une phase de relaxation et de récupération.
Mysore style, la caractéristique de l'Ashtanga Yoga :
Une fois les séries mémorisées, chacun pratique à son propre rythme. Les séances de Mysore Style ne sont donc pas à proprement parler des cours guidés, mais il s'agit d'une pratique personnelle où le professeur ajuste le pratiquant dans ses postures par le toucher. Chacun évolue indépendamment des autres. Le Mysore Style, implique une rigueur personnelle et cette pratique basée sur le flot de la respiration est une méditation en action.
Mantra d'ouverture :
http://www.ayri.org/opening-prayer.html
Mantra de clôture :
http://www.ayri.org/closing-prayer.html
Où et comment pratiquer l'Ashtanga ?
En Inde, l'Ashtanga se pratique à Mysore, dans le Shala de Patthabhi Jois et de Sharath Rangaswamy.
http://www.ayri.org/
http://www.rsharath.com/
D'autres yogis transmettent également cette tradition en Inde :
L'Ashtanga se développe de plus en plus et il est important de trouver un cours à son niveau. Les postures exigent de la patience et une pratique assidue. Ne pas brûler d'étapes, accepter les difficultés et améliorer les points forts font partie de la pratique.
Les cours d'Ashtanga sur Yoganet.fr
Donc ... sur le tapis ... quelques gouttes de sueur ... pour être bien dans son corps ... et calmer son esprit ...
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Les cinq souffles du corps humain.
Notre corps est ainsi "tissé" de cinq fils, ou cinq souffles, qui gouvernent l'ensemble de nos fonctions vitales et se disent en sanskrit: prâna, apâna, samâna, udâna et vyâna.
Le premier souffle, et le plus noble, se nomme "prâna" et c'est son nom qui, de ce fait, devient la denomination génerique de tous les souffles, de toutes les énergies. Prâna, c'est la respiration première, la Grande Respiration ('pra' indiquant la priorité et l'intensité, 'an' signifiant respirer), prâna est la force de vie à l'état pur. II a son siège dans la région thoracique et commande la respiration a travers laquelle nous absorbons la force vitale de l'univers, tout en éliminant l'air vicié et les toxines qui nuisent au corps. C'est donc aussi la respiration "du devant".
Le deuxième souffle se nomme "apâna" ('apa' indiquant la mise à l'écart et aussi l'infériorité, 'an' signifiant respirer).
II se situe dans la partie inférieure de l'abdomen, où il concourt à rejeter hors du corps les déchets - urine - excréments - tout en assurant également l'emission de la semence.
Le troisième souffle se nomme "samâna" ('sama' indiquant l'égalité, la régularité, 'an' signifiant respirer). II oeuvre dans la partie supérieure de l'abdomen alimentant le feu gastrique, controlant la digestion, assurant les fonctions d'assimilation et entretenant ainsi le fonctionnement équilibré de l'ensemble du corps.
Le quatrième souffle se nomme "udâna" ('ud' indiquant l'élévation, 'â' le mouvement vers. 'an' signifiant respirer).
II est situé dans la gorge (pharynx et larynx) et commande l'absorption de l'air, de la nourriture, ainsi que les cordes vocales. C'est le souffle qui fait communiquer le bas et le haut, la part physique et la part spirituelle de l'être.
Le cinquième souffle, enfin, se nomme "vyâna" ('vi' indiquant la diffusion intensive, 'â' le mouvement vers, 'an' signifiant respirer). II se meut dans le corps tout entier, où il distribue l'énergie provenant de la nourriture et de l'air, par l'intermediaire des nerfs, artères et veines. C'est lui aussi qui défend le corps contre les maladies et le maintien en forme.
Prâna, Apâna, Samâna, Udâna, Vyâna
Ces cinq souffles constituent une magnifique symbolique du rôle vital joué par "ce qui respire en nous". Cinq, c'est, en Inde, le chiffre de Shiva, la force de transformation, d'incessant changement, mais aussi la danse cosmique, le jeu de la réalité. La racine verbale 'an' signifie "respirer". Nous la retrouvons telle quelle dans le latin "anima": souffle, air, qui donne en français animer, animal, mais également âme. Nous la retrouvons aussi dans le grec "anemos", qui subsiste dans notre charmante anemone (la fleur qui s'ouvre au vent) et dans le non moins charmant anemometre qui fleure bon son 18eme siècle. Les cinq vâyu, chacun jouant son role spécifique - absorber, éliminer, égaliser, élever, diffuser - figurent, par ailleurs,
toute l'architecture energetique du corps humain. Si notre corps s'est "dressé" comme dit fortement l'Upanishad, c'est bien au prâna que nous devons la force et la beauté de cette "demeure du souffle". On notera enfin que ces cinq vocables, articulés autour du â (la premiere voyelle de l'alphabet qui, en sanskrit, represente le divin et la création), comme autour d'une colonne vertébrale, sont un puissant "mantra" aux remarquables effets apaisants. Prodigieux observateurs de la nature humaine, les Indiens mentionnent, outre les cinq vâyu, cinq souffles subsidiaires, dits "upavaâyu". Difficile de resister au plaisir de vous les citer en passant...
Nâga (le serpent), qui vous permet de soulager l'estomac de ses gaz, par eructation plus ou moins sonore: c'est le rôt de bébé !
Kûrma (la tortue), qui commande â la fois le battement des paupières et la taille de l'iris, pour éviter à vos yeux les corps étrangers ou une lumière trop intense.
Krikara (la perdrix) qui, en provoquant l'éternuement ou la toux, empèche les particules de remonter dans votre nez ou de descendre dans votre gorge.
Devadatta (à la fois don de dieu et conque du guerrier Arjuna), qui vous invite a bailler et à aller dormir.
Dhanamjaya (celui qui remporte le prix, un des surnoms d'Arjuna) qui produit et fait circuler la lymphe dans vos tissus.
De l'énergie â la conscience.
On comprend mieux, alors, l'extraordinaire importance que la tradition indienne - et singulierement le yoga -accorde aux souffles, â leur connaissance raffinée et à leur usage maîtrisé. On entre ici dans l'immense royaumedu "prâna" au sens génerique du terme.
Immense et pour tout dire encore mysterieux, tant il a de ramifications au sein de la matière et d'implications sur les differents plans de l'énergie. "Il est aussi difficile d'expliquer prâna que d'expliquer Dieu", note, non sans une touche d'humour, le celebre maître de yoga BKS lyengar.
La Kaushitaki-Upanishad, déjà citée, précise ceci : "Le souffle c'est la conscience, et la conscience, c'est le souffle. Car tous deux résident ensemble dans ce corps et le quittent ensemble."
Pour l'Upanishad, prâna est donc principe d'énergie et de conscience et l'on sait que pour l'lnde ces deux termes sont indissolublement liés, comme l'endroit et l'envers, "Prâna, disait Svvâmi Shivânanda, est la somme totale de toutes les energies contenues dans l'univers ". Energie cosmique donc, mais aussi physique, sexuelle, mentale, intellectuelle, spirituelle... tout ce qui vibre est prâna.
C'est l'énergie qui crée, protège et détruit pour renouveler. Prâna est ainsi le souffle vital de tous les êtres dans l'univers. Leur naissance est incarnation du souffle cosmique dans un individu, leur existence manifestation multiforme du souffle vital, leur mort retour du souffle individuel au souffle cosmique. Voilà pourquoi le yogi voit dans prâna le "Purusha" - la personne cosmique - à l'origine de la création et pourquoi à travers sa pratique, "II prend refuge en prâna". Cette merveilleuse expression, bien evidemment, fait songer aux trois "refuges" que prend le disciple qui emprunte la voie bouddhiste.
Le Bouddha, ne l'oublions pas, fut un yogi accompli... Que prâna soit un chemin de conscience privilégié, toute la tradition de l'lnde - hindoue comme bouddhiste - l'atteste. L'atteste, entre autres, l'étincelante équivalence mise en exergue de cette étude "prâna prajnâtman ", que Louis Renou traduit ainsi: le souffle est le Soi conscient. Ici s'impose le commentaire de Shankara, subtil maître védantique du 7eme siècle de notre ère, qui ecrit sur l'âtman : "le Soi doit être connu ici même, dans cette vie (...) Si le Soi est connu ici, 11 y a alors vérité suprême et le but de l'existence sera atteint (...) Si le Soi n'est pas connu, la vie est inutile."
Connaître et apprivoiser le souffle.
Le Yoga est, pour une part essentielle, science et art du prâna -
le "prânâyâma". On traduit géneralement ce terme par "controle du souffle", ce qui est juste mais insuffisant.
Prâna, c'est bien sûr la respiration, ce que le Yoga désigne sans aucune nuance péjorative, sous le terme de "souffle grossier" (sthûla vâyu) : mais c'est aussi et surtout le "souffle subtil" (sukshma vâyu), l'énergie vitale proprement dite.
Quant au mot "ayâma", il indique l'extension, l'allongement, la retenue, l'arrêt. Le prânâyâma est donc, a proprement parler, maniêre d'allonger et de retenir le souffle afin d'étendre et d'accroître l'energie vitale. C'est une veritable "quête initiatique" du souffle, de tous les souffles vitaux - "
vâyu sâdhanâ" - selon la superbe expression d'un des traités de hatha-yoga les plus connus, la Shiva Samhitâ. C'est enfin la porte d'entrée par laquelle le yogi pénètre dans le corps subtil (sûkshma sharira) qui, ultimement, le met en présence de l'âtman, du Soi. Science du souffle, le prânâyâma s'appuie sur un ensemble de techniques d'admission et d'évacuation controlée de la respiration, dans une posture de yoga stable et aisée.
Chaque exercice se compose d'un enchaînement d'inspirations, d'expirations et de suspensions ou rétentions de souffle.
L'inspiration est dite "pûraka" (flot) et vise a stimuler l'organisme.
L'expiration est dite "rechaka" (seringue) et vise à rejeter l'air vicié et les toxines, et à detendre. Les suspensions de souffle sont dites "kumbhaka" (petite jarre) et visent a distribuer l'énergie dans tout le corps.
Art du souffle, le prânâyâma apporte à l'organisme un abondant surcroît d'oxygène, y provoquant de subtiles transformations qui ont leurs repercussions sur toutes les fonctions somatiques. Par ailleurs, il favorise au plus haut point le recentrage de l'attention et la concentration de l'esprit. Régulant pensées, désirs et actions, il procure à celui qui s'y adonne avec prudence et patience un remarquable équilibre, une profonde paix et une grande force de volonté.
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