De nouveaux emballages écologiques viennent d’apparaître dans le secteur de la restauration : le maïs pourrait être le plastique biodégradable de demain.

Un sac plastique ordinaire met plus de 300 ans à s’éliminer. En comparaison, un sac plastique à base de féculent, maïs ou pomme de terre, ne met que quelques semaines pour s’autodétruire. Même apparence mais complètement différent pour notre Terre. Il est désormais possible de fabriquer du plastique avec de l’amidon, glucide que l’on retrouve dans les féculents.

C’est une avancée technologique extraordinaire sachant qu’en 2008 un Français utilisait chaque année près de 300 sacs plastiques. Plus chers à l’achat, les premiers sacs biodégradables vont voir leur apparition dans la restauration rapide. La vente de plat à emporter devrait être les premiers à voir arriver ces emballages sains. Autre « aliment-emballage », il est possible de créer des saladiers biodégradables grâce aux fibres de canne à sucre.

Pour en savoir plus :

- Guide des aliments : l’épis de maïs doux

-  Ecocompare : un site qui note les produits sur l’impact écolo

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

Une étude espagnole vient de révéler que la consommation régulière de bière permettrait d’améliorer la densité osseuse et donc de prévenir l’ostéoporose. 

Le squelette des personnes buvant de la bière serait plus solide. D’après les scientifiques, un nutriment présent serait responsable de cette solidification : le Silicium. C’est un minéral essentiel qui joue un rôle important dans le processus d’ossification ou de reminéralisation osseuse. En vieillissant, l’homme voit sa quantité corporelle de silicium diminuer.  Boire de la bière permettrait donc de renouveler cette perte et de lutter contre certaines maladies osseuses par décalcification comme l’ostéoporose.

La bière serait également intéressante pour son apport élevé en phyto-œstrogène qui a aussi une action sur la consolidation osseuse. Cette substance naturellement présente dans les plantes est proche de l’hormone sexuelle féminine l’oestradiol. Pour réaliser cette étude publiée dans le magazine « Nutrition », les scientifiques ont suivi la consommation d’alcool de près de 2000 femmes quasi quinquagénaires. Grâce à un scanner a ultrasons, ils ont découvert que les consommatrices régulières de bière ont une ossature plus dense.

Pour en savoir plus :

- Valeur énergétique de la bière

- Recette : La bière l’ingrédient des crêpes réussies !

- Bière : histoire, fabrication, caractéristiques…

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

Une récente étude canadienne révèle que le choix alimentaire d’une femme serait influencé par la personne avec qui elle partage son repas : elle mangerait moins en tête a tête avec un homme.

Des scientifiques présidés par le Dr Young ont étudié les comportements alimentaires d’étudiants.  La présence d’un self-service permettait un large choix alimentaire. Le nombre important d’étudiants donnait une grande probabilité de déjeuner à plusieurs.

Le Dr Young constate que les femmes qui mangent en compagnie d’un homme absorbent moins de calories. Elles feraient également attention au contenu de leur assiette lorsqu’elle déjeune en groupe mixte. Par contre, lors d’un déjeuner exclusivement féminin, l’apport énergétique du repas est beaucoup plus élevé. Le Dr Young n’est pas étonné par les résultats. Elle explique qu’une femme mangeant avec un homme pensera donner une meilleure image en évitant de s’empiffrer.

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Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

  Le débat sur les bienfaits nutritionnels des aliments biologiques est relancé : une récente étude anglaise vient de conclure que les produits bio ne sont pas meilleurs pour la santé.

L’Agence Britannique de l’alimentation (FSA) affirme  que les aliments bio apportent les mêmes nutriments que les aliments conventionnels. Ils apporteraient donc les mêmes quantités de vitamines et minéraux que ces voisins traités par les pesticides…  Les défenseurs écologiques ripostent. Ils accusent les chercheurs de ne pas avoir pris en compte les 90 000 études existantes depuis 50 ans. Les scientifiques anglais ne se seraient basés que sur 0,05% des écrits scientifiques reconnus.

En France, le MDRGF, un mouvement contre les pesticides,  affirme qu’une analyse plus poussée aurait prouvé des qualités nutritionnelles supérieures. Son président, François Veillerette déplore « que n’ait pas été mis en avant l’absence de résidus de pesticides […] comme étant un élément favorable a la santé. » Il faudrait une étude épidémiologique regroupant sur des dizaines d’années des familles qui ne consomment que bio pour être certains des bienfaits. L’effet sur la santé n’est donc pas encore prouvé. Rappelons cependant que les produits biologiques respectent l’environnement : notre Terre et le bien-être des animaux d’élevage. 

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Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

 

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

Près de 120 pays, dont la France, célèbrent, depuis le 1^er août, la semaine mondiale de l’allaitement maternel afin de promouvoir cette pratique.

Le thème de cette semaine internationale est : «  l’allaitement, une réponse d’urgence : êtes-vous prêt ? ». Cette célébration vise a faire prendre conscience de l’importance nutritionnelle de donner le sein. Pour la bonne santé de bébé, le lait maternel est une source extraordinaire de nutriments indispensables. En renforçant son système immunitaire , il le protège de diverses maladies infectieuses et respiratoires.

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

Consommer plus de 400mg de calcium par jour augmente l’espérance de vie selon des chercheurs Britanniques et Australiens.

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

L’exotisme est dans l’assiette grâce au régime Tahiti qui est devenu le nouveau régime à la mode de cet été.

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste

Aux Etats-Unis, les dépenses annuelles de santé dues à l'obésité pourraient atteindre la somme record de 147 milliards de dollars soit plus de 103 milliards d'euros ! C’est près du double par rapport à la précédente décennie, selon une étude publiée ce lundi 27 juillet par la revue américaine "Health Affairs" ("Affaires de santé")

Delphine Michel – Diététicienne Nutritionniste