Les chercheurs de l'école de médecine d'Emory (Atlanta) se sont aperçus qu'en supprimant ce gène, le RGS14, chez des souris, celles-ci deviennent plus malines.

Les souris avec un gène RGS14 paralysé parviennent à se rappeler des objets qu'elles ont exploré et à naviguer dans des labyrinthes mieux que les souris normales, ce qui suggère que ce gène limite certaines formes d'apprentissage et de mémoire. Puisque ce gène semblait abrutir les souris, les chercheurs ont décidé en blaguant de le surnommer le «gène Homer Simpson».

Le gène affecte particulièrement le CA2, une partie de l'hippocampe que les scientifiques savent liée aux nouveaux apprentissages et nouveaux souvenirs, sans en connaître les fonctions exactes.

Normalement, le CA2 est différent des autres parties du cerveau justement parce qu'il est résistant à la «plasticité syneptique», la solidification des connexions entre neurones qui se déroule après la formation d'un nouveau souvenir, et parce que ses neurones survivent mieux aux attaques que ceux du reste du cerveau.

En paralysant le gène Homer Simpson, les scientifiques se sont rendus compte que les neurones dans le CA2 avaient désormais des connexions plus solides quand on les stimulait électriquement. Et que les souris «non simpsoniennes» reconnaissaient davantage d'objets qu'on avait déjà placé dans leur cage auparavant, et apprenaient plus rapidement à sortir d'un labyrinthe inondé pour rejoindre une plateforme au sec, cachée, en se souvenant d'indices visuels.
Pas la peine de courir chez votre docteur vous faire supprimer le gène Homer Simpson donc: l'absence du gène ne semble pas blesser les souris, mais il est possible qu'elle change leurs fonctions neurologiques sans que les chercheurs n'aient encore pu le voir.

source:

http://www.slate.fr

« e-drugs »  ni plante à fumer ni poudre à sniffer : c’est  un simple mélange de fréquences sonores d’une durée comprise  entre quinze et trente minutes qui fait office de dose.  Une fois téléchargé sur Internet, l’extrait audio  il en  existe des dizaines différentes, vendues à partir de 10 $ (7,5  €)  doit être écouté au calme et les yeux fermés pour que la « substance » libère

(à en croire les adeptes) pleinement  ses effets. Derrière ces étranges fichiers sonores   parfaitement légaux  se cachent les battements binauraux, un  phénomène neurologique bien connu des psychologues, mais dont  les effets réels sont largement discutés.

comprendre :

"Battement binaural" (émission dans chaque oreille de deux  sons semblables mais dont la fréquence diffère, ce qui a pour  conséquence d'altérer les ondes cérébrales), ce nom ne vous  dit peut-être rien et d’ailleurs il ne veut suremen rien  dire pour le commun des mortels. Mais pour les psychiatres,  c’est une porte ouverte sur l’inconscient de leurs patients.  Découvert par Heinrich Dove en 1839,  Les sons se situent à de très basses fréquences,  imperceptible donc à l’état éveillé. Mais quand le sujet se détend, s’allonge et qu’il démarre la "dose" après ce premier  état de relaxation, il pourra entendre le son, et développer ainsi les effets escomptés.

" Il est possible grâce à cette méthode d'amener le cerveau à produire des ondes voulues : par exemple, des ondes lentes,  comme les ondes alpha, associées aux états de relaxation, ou encore des ondes plus rapides, comme les ondes bêta,  associées à des états de vigilance et de concentration ",  explique la neuropsychologue Brigitte Forgeot, qui a rédigé un mémoire sur les effets cliniques et neuropsychologiques des sons binauraux.

L'abus de drogues numériques est dangereux pour la santé :?

Entre chaque prise, les concepteurs conseillent de s'administrer un «reset », un son de 20 minutes censé dissiper les effets des écoutes précédentes.« l'utilisation intensive de sons stimulants peut générer à la longue des troubles du sommeil ou de l'anxiété comme peut le faire l'utilisation de beaucoup de psychostimulants ».
« L'effet des sons cesse dès qu'on stoppe l'écoute », a fait valoir la neuropsychologue, soulignant toutefois que
De nombreux psychiatres ou neurophysiologistes affirment que le fait d’écouter souvent des doses d’I-Doser, engendrerait des effets à moyen terme sur la dépendance aux produits, et à plus long terme sur le cerveau lui-même. Le plus dangereux à très court terme, pendant la dose, se situe au niveau cardiaque. Une tachycardie (hausse de la fréquence cardiaque,   > 100 pls/min) peut se transformer chez un adolescent cardiaque en accident grave. Une hyperventilation excessive pendant la dose, peut causer un malaise vagal.

exemple d'une dose redoutée :

GATES OF HADES

marketing :

Sur les forums, de nombreuses personnes parlent des effets ressentis, les racontent comme si c’était un trophée à exhiber, dans le sens "Il n’y a aucun effet négatif à I-Doser, vu que je ne prends pas la vraie drogue, mais j’en ai les effets"Mais n’est ce pas là le fond du problème ?

Ce qui attire le jeune dans "I-Doser" n’est qu’une question de marketing. Un joli nom sur la dose. Comme par exemple :

Chakra,Coke,Alcohol,Orgasm,Marijuana....

De quoi happer le moindre adolescent en quête de nouvelles sensations.

Que disent les autorités ? :

« On n'a pas de remontée du terrain concernant ce phénomène.Rien ne dit qu'il soit en train d'émerger. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir », assure la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt). Interrogée sur la possibilité d'addiction que pouvaient occasionner ces sons, Brigitte Forgeot a estimé qu'il n'y avait « pas de risque ».
« Il ne s'agit pas d'une drogue dans la mesure où il n'y a pas d'accoutumance au 'produit', ni de besoin d'augmenter des doses. Pour autant, l'effet n'est pas virtuel, il existe de véritables effets, mesurables par des tests », a-t-elle précisé, ajoutant que « les risques existent plutôt pour des personnes fragiles qui seraient tentées de masquer ainsi,voire de traiter,leur mal-être».

Le phénomène "I-Doser" prend beaucoup d’ampleur sur la toile, et cela pourrait devenir le phénomène de mode des années 2010.

sources :
http://www.carevox.fr
http://www.leparisien.fr
http://www.lepost.fr
http://www.techno-science.net

Ce bracelet est issu d'une technologie destinée à réguler les flux énergétiques parcourant le corps humain. Il s’agit, concrètement, de bracelets alliant esthétique et physiologie!
Meilleur équilibre, articulations moins douloureuses : ces petits bracelets magnétiques auraient des pouvoirs bien mystérieux. en silicone et doté d’un hologramme, ils semblent magiques pour denombreux sportifs qui l’ont adopté. Il n’est toutefois pas reconnu par les professionnels de la santé.

comment ça fonctionne ?
Nous sommes tous entourés d’un champ énergétique qui influe naturellement à l’intérieur et à l’extérieur de notre corps. Lorsque ce champ est coupé, les performances de notre corps sont altérées, de la même façon qu’un instrument mal accordé.

A l’inverse, lorsque ces fréquences sont accordées, les muscles se relâchent, la pression sanguine augmente et la tension s’atténue.
Chaque bracelet contient une puce qui contient des algorithmes et des fréquences qui interréagissent avec le champ d’énergie (celui qui se trouve tout autour de vous ). Lorsque ce bracelet est placé à des endroits clés tels les pieds ou les mains (qui sont, rappelons-le, les zones du corps humain qui regroupent le plus de terminaisons nerveuseset zones reflexologiques), il « accorde » votre corps sur les bonnes fréquences.

Effets notoires :
- Améliore l’équilibre et la force
- Améliore la souplesse
- Meilleure concentration
- Réduis le stress et la tension
- Récupération après effort plus rapide
- Réduction du jet lag
C’est ce qu’on peut lire sur le site des marques qui fabriquent les fameux bracelets dont tout le monde parle (les deux principales sont (pas de marques et... pas de marques).

Sérieusement, si vous êtes en contact avec le monde de la glisse, vous avez sûrement dû avoir droit au test : «Tiens-toi sur une jambe, écarte les bras, résiste et je vais essayer dete faire tomber. »
Ça tient presque du miracle, lorsque l’on fait le test

 test de souplesse

test d'équilibre

Une fois qu’on sait tout ça, on est rassuré ?

Ce produit ne peut en aucun cas être assimilé à un traitement médical ou à un médicament. Ses effets, bien réels, restent néanmoins tributaires de nombreux facteurs et d’une personne à l’autre, ceux-ci pourront s’avérer différents, dans leur intensité essentiellement.
Des stars connues dans le monde entier ont adopté le bracelet comme de nombreux cyclistes du Tour de France. Présenté tel un bracelet "magique" par les adeptes de ce bijou, ce bracelet ne fait pas l’unanimité du côté des professionnels de santé.Certains d’entre eux parlent d’un "effet placebo", d’autres adhèrent au concept.

Et oui l'apéritif, on s'en préoccupe rarement, tout ce qui nous intéresse c'est le repas qui va suivre.

Quand on fait la liste des courses en prévision d'une réception, après un rapide coup d'œil, pour voir s'il reste assez gâteau apéro, on passe directement à la suite…

Et pourtant, l'apéritif est un moment important quand on reçoit à dîner. C'est le première partie de la soirée, censée décontracter et mettre en appétit. Si celle-ci est réussie, la suite n'en sera que plus facile ne bâclez donc pas l'étape "apéro". Il ne s'agit pas de vous mettre en quatre - on sait que vous avez toutes un dîner à préparer derrière - mais de concocter un apéritif light et bon,revisitant les fondamentaux d'une cuisine simple..et légère

la vinaigrette

 Le problème de la vinaigrette : trop vinaigrée elle pique.

Le problème de certains aliments : ils "boivent" la vinaigrette (le thon en boîte, les pommes de terre, la feta...). Alors on a tendance à ajouter de l'huile, qui crée une sorte de "film" et nappe bien le tout.

En plus, c'est quand même drôlement bon, l'huile ! hein...et ben non

 il faut Choisir des vinaigres peu acides :vinaigre de cidre, balsamique, de banyuls et de xérès. Ou utiliser du jus d'orange, pamplemousse ou citron quand la recette s'y prête agrémentée d'épices et d'herbes fraîches ou sèches,

pour multiplier ainsi les saveurs.

Pour des sauces épaisses, le fromage blanc, le yaourt, les petits-suisses remplacent plutôt bien la mayonnaise.

Essayez la Piémontaise assaisonnée au fromage blanc + moutarde + 1 cuillère d'huile et de vinaigre.

Étonnamment léger et bon !

La forme

Pensez aux brochettes de fruits (pomme, poire, raisin, ananas, melon, pastèque entre autres) et de fromage allégé.

Ayez la main légère pour tartiner pâté, tarama ou oeufs de poisson, tous riches en matières grasses et en cholestérol.

Pensez aux rillettes de poissons, de sardines ou de thon.

Sinon les verrines si pratiques et si tendance sont vos parfaits alliés pour une présentation originale, chic et  personnalisée. Un gaspacho ? Par ici la verrine. Une mousse ? Une crème ? Un tiramisu ? Pensez verrines

 On peut varier a l'infini selon les gouts:

-petite ratatouille(petits cubes de poivrons,courgettes,aubergines cuits séparément parfumés au basic).

-mousse depetit pois,poivron rouge et haricot vert.

-dés de tomate basilic huile d'olive,guacamole et dés de crevette

Sinon

-dés de tomates,dés de mozza petit morceau de saumon fumé ,huile d'olive basilic et cressin.

-mousse de crabe tapenade d'olive et mousse aubergine ou poivron jaune.

la recette: 

Saveurs océan pour 4 verrines

1/4 concombre

2T saumon fumé

4 crevettes roses

Petites crevettes roses

Fromage blanc 0%

Citron

Qlq branches d'aneth

Laver le concombre.

Le couper en deux et enlever les pépins à la cuillère.

Couper la chaire en petits dés (laisser la peau).

Placer les petites crevettes roses dans le fond des verrines. Recouvrir d'un mélange de fromage blanc, citron et aneth.

Placer les dés de concombre dans les verrines. Ajouter le saumon fumé coupé en fines lamelles.

Décorer d'une branche d'aneth et d'une crevette non décortiquée.

pour d'autres recette, visiter ces blogues :

Bleuaga

delphinetika


linavierus


littelwife


felinecabotine


solel45


ascencion


missouba


gouel


lousie

On arrive dans une période de l'année remplie de pièges nutritionnel, donc pour les contourner on applique ces regles simple:

On se fixe des limites
Si on oublie son régime durant quelques heures, on veille quand même à ne pas devenir complètement amnésique… L’organisme est capable de gérer un écart ponctuel, mais il pourrait en revanche mal s’accommoder d’une farandole de réveillons et autres repas de fête.

Alors on s’autorise un petit extra, mais on n’enchaîne pas les festivités sur plusieurs jours, car ces excès pourraient vite peser très lourd sur la balance.

On prévoit des quantités raisonnables

Pour ces occasions, on met les petits plats dans les grands, on cuisine différemment, plus sophistiqué, plus riche… bref on invite la gastronomie à sa table. Mais si on parle de festin, attention quand même à ne pas verser dans la débauche de nourriture. On en fait un peu plus, d’accord, mais pas non plus de quoi vivre sur les restes pendant 8 jours !

On a la main légère sur les petits fours

C’est LE piège à éviter. Parce qu’ils ont un air de fête, qu’on a l’impression légère de picorer (et aussi parce qu’on a faim à l’heure de l’apéritif !), les petits fours, canapés et autres amuse-bouches sont toujours une tentation à laquelle il est difficile de résister. Mais ne vous laissez pas abuser par leur petite taille : l’air de rien, ils sont très gras, et donc très caloriques.

On ne s’interdit rien…
Se dire qu’il va falloir faire des choix, qu’on ne va pas pouvoir manger de tout, c’est déjà, avant d’avoir commencé, se mettre dans une situation de frustration. Alors plutôt que de lorgner sur le foie gras en se disant « c’est pas bien », prenez-en une tranche et savourez !

Chocolats : on déguste sans dévorer
Chocolats, pâtes de fruits, marrons glacés… Les fêtes de fin d’année arrivent souvent accompagnées d’une ribambelle de friandises. Bien connu pour ses vertus bienfaisantes sur le moral, le chocolat est malheureusement tout aussi connu pour ses effets dévastateurs sur la ligne. Une fois encore donc, si on se laisse tenter par quelques petites douceurs, on veille quand même à ne pas tomber dans la boîte…

on ne se met pas à la diète pour compenser

Si on ressent le besoin de s’alléger après les excès de la veille, on le fait intelligemment pour ne pas traumatiser son organisme une seconde fois. L’idée n’est pas de se priver, alors on oublie le duo bouillon de légumes/tisane que le corps risque de prendre comme une punition, et on retrouve une alimentation « normale », saine et équilibrée.