Choisir sa randonnée
C’est parce qu’une randonnée ne s’improvise pas que la Fédération Française de Randonnée Pédestre propose des parcours
classés par niveau de difficulté. Les «R1»
correspondent à des randonnées faciles de 4 à 5 heures de marche sur sentiers bien tracés et balisés. Les «R2»
regroupent des itinéraires en plaine ou sur des sentiers
de montagne de 5 à 6 heures, plutôt difficiles (fortes pentes notamment).
Enfin, les «R3» et «R4» désignent des randonnées alpines
pour lesquelles une bonne forme physique est obligatoire
(entre 6 et 10 heures de marche). Choisissez donc un
parcours en fonction de votre forme physique !
Partir bien équipé
Tout marcheur vous le confirmera : on ne part jamais à l’aventure
sans un minimum d’équipement. Partez toujours avec un sac
à dos à bretelles larges, adapté à votre taille. Mettez-y l’essentiel :
un vêtement de pluie, une paire de chaussettes de rechange,
un canif, une gourde ou une bouteille d’eau, des fruits secs et
des barres énergétiques, des mouchoirs, du papier hygiénique,
un sac pour vos déchets. Sans oublier une carte topographique,
une boussole, une petite lampe de poche, une trousse de
premiers secours, de la crème solaire, des lunettes de solei
et des allumettes étanches. Pensez également à emporter
votre téléphone portable s’il vous arrive une mésaventure,
ainsi que vos papiers d’identité et un peu d’argent liquide.
La randonnée, ça use les souliers !
Le plus important dans la randonnée, ce sont les pieds !
Donc pour un maximum de confort, il faut les chouchouter.
Bannissez tout de suite les baskets et optez pour une paire de
chaussures montantes crantées, résistantes à l’eau. Prenez une
demi-taille supérieure à la vôtre, vous éviterez frottements e
t échauffements qui favorisent l’apparition d’ampoules.
Portez toujours des chaussettes en coton ou en laine,
plutôt qu’en nylon, matière contribuant à la transpiration
. Et préférez des vêtements amples et légers pour vous
sentir à l’aise. Et surtout gardez en tête qu’il faut préserver
la beauté des sites que vous traverserez.
En randonnée, soyez respectueux de la nature.
La rando en famille
A partir de l’âge de 4 ou 5 ans, vous pouvez sans problème
emmener vos enfants en balade, sans pour autant trop vous
éloigner de votre point de départ au cas où ils fatigueraient.
Une poussette tout terrain 3 roues ou un porte-bébé dorsal
deviendront alors de précieux alliés ! De manière générale,
optez pour des sentiers courts d’environ 5 km, faciles d’accès
et aux paysages variés, donc source d’intérêts et éventuellement
de petits jeux. Privilégiez les marches avant midi et garnissez
votre sac à dos de bouteilles d’eau et de quelques collations,
d’un chapeau et d’une paire de lunettes de soleil par enfant,
de crème solaire et d’une trousse « anti-bobos ». Pensez
également à l’appareil photo jetable qui transformera vos aventuriers
en herbe en reporters ! Et, cela va de soi, faites des pauses
régulièrement sans forcer le rythme de marche naturel de vos
enfants. Rendez la promenade ludique en proposant un but
comme par exemple la réalisation d’un herbier, la découverte
de certains animaux ou un pique-nique dans une clairière.
Les 10 commandements du randonneur
1- Préparez votre itinéraire avant de partir.
2- Vérifiez la météo une heure avant le départ.
3- Ne surestimez pas vos forces. Le temps moyen d’une
randonnée est de 3 km en 1 heure.
4- Munissez-vous de l’équipement de base indispensable.
5- Marchez de préférence le matin ou entre 16h et 20h.
6- Pendant la randonnée, vérifiez régulièrement votre
localisation sur la carte.
7- Arrêtez-vous toutes les heures une dizaine de minutes.
8- En cas de blessures légères (ampoules, écorchures, ..) ou de blessures plus handicapantes comme une entorse, essayez
de rentrer au plus vite et/ou contactez les secours.
9- Vous êtes perdu ? Revenez sur vos pas si vous êtes à
moins de 2 heures de votre point de départ. Sinon, étudiez attentivement votre carte pour trouver un sentier, un lac
ou une route. L’idéal est de repérer à l’avance un ou deux itinéraire(s) « de secours ».
10- Marchez pour le plaisir et non la performance.
Et n’oubliez pas que marcher, c’est aussi respecter la nature
La randonnée est une formidable école de savoir-vivre et de
respect de l’environnement. Quelques règles à se remémorer
afin de préserver la beauté des sites que vous traverserez :
ne pas marcher en dehors des sentiers balisés pour ne pas
abîmer la végétation à proximité, parler à voix mesurée, faire
du feu uniquement aux endroits destinés à cet effet avec du
bois mort et non des branches fraîchement coupées, respecter
les animaux en s’abstenant de les nourrir, ramasser ses déchets
et ne rien jeter dans les cours d’eau.
Du printemps à l’automne, les géraniums fleurissent nos balcons et nos massifs.
Exubérance des formes et des couleurs
Excellents couvre-sol, les géraniums s’associent avec bonheur à d’autres plantes comme par exemple les pivoines, les rosiers, la lavande ou les bruyères.
Plantation, entretien
Idéalement, vous aurez planté vos géraniums au printemps
quand la terre se réchauffe.
Ou à l’automne lorsque la végétation se prépare au repos
de l’hiver. Pour obtenir un résultat dense et luxuriant,
regroupez-les par 5. Et une fois plantés, arrosez-les
copieusement.
Peu exigeants question qualité de terre et situation
(ensoleillée comme ombragée), les géraniums doivent
aussi leur succès à leur grande facilité d’entretien.
Pour favoriser un bon enracinement, l’arrosage régulier
durant les semaines qui suivent la plantation est à surveiller.
Ensuite, une ou deux fois par semaine suffisent, selon la météo.
Si la fertilisation est inutile dans les massifs, elle est
recommandée pour les spécimens élevés en bacs ou en pots. Supprimez régulièrement les tiges défleuries pour favoriser la nouvelle végétation. Et n’hésitez pas à les rabattre (c’est à dire couper le feuillage à la base de la plante) après la floraison principale. Pendant l’hiver, il suffit de rentrer ses jardinières à l’intérieur où on surveillera ses boutures, même si à priori les géraniums ne craignent pas le froid.
Le b.a.-ba du bouturage
Simple et efficace pour démultiplier ses plants, le
bouturage se pratique avant l’arrivée du froid.
Coupez avec un sécateur une pousse saine, non fleurie
, munie de tiges bien dressées. Avec un greffoir,
incisez la base de la bouture puis coupez les feuilles
à 6 cm environ de la base.
Trempez ensuite la tige dans une poudre d’hormones
de bouturage puis plantez-la dans un pot, préalablement
rempli de terreau. Tassez enfin la terre en laissant
1 cm de rebord pour que l’eau pénètre facilement.
Pour une pousse harmonieuse, on place la bouture
à la lumière, dans un endroit sec et protégé du froid.
finalement oui j ai recu mon chequier donc vite je dois faire
le gasoil et les courses bernard a faim !!!!!!et moi j en ai au
moins pour 3h00ou 4h00 dans les magasins tranquille !!!!!
pour les courses et bien ce matin je m en vais apres avoir fait mon blog (pour vous acceuillir mes amies )
donc j achete juste l essentiel et bien sur je vois 50% sur les chocolats de paques ...alors la mon cerveau n a fait qu un tour et bien sur j ai pris des oeufs et j en ai mangé dans la voiture puisque j avais oublié de dejeuner ce matin oui c est rare mais ca m arrive !!!!