Longtemps considéré comme une épice peu noble, le curcuma -surnommé "le safran des pauvres" ou "le safran des Indes" (il n'a aucune parenté avec le safran, mais ils partagent le même pouvoir colorant), revient aujourd'hui à l'honneur. Et pour cause. C'est au cours des dernières décennies que les scientifiques ont découvert les nombreuses vertus médicinales de cette épice encore peu connue en Occident, où elle est plutôt utilisée comme colorant alimentaire. Et la recherche continue, donnant des résultats de plus en plus encourageants.
Le curcuma fait en effet désormais partie des aliments considérés comme protecteurs contre le cancer. David Servan Schreiber en parle dans son livre Anticancer et le professeur Béliveau lui dédie un chapitre dans son ouvrage Les aliments contre le cancer (écrit avec le Dr Gingras).
Et les vertus du curcuma ne s'arrêtent pas là ! Ce rhizome semble en effet être l'épice idéale pour combattre la plupart des pathologies liées à notre mode de vie actuel. Problèmes cardiovasculaires, inflammations, troubles d'ordre digestif, stress, manque d'antioxydants... ne sont qu'une partie des problématiques sur lesquelles le curcuma, à l'aide des curcumines qu'il contient, peut avoir une action intéressante.
Un grand nombre d'études nous parviennent du monde entier, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d'ailleurs l'exemple depuis des millénaires. Ils l'utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l'on déguste sur le subcontinent indien. Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces "remèdes de bonnes femmes", qu'ils estimaient être liés à des croyances sans fondements. Aujourd'hui, preuves scientifiques à l'appui (des centaines d'études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu'une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n'ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être.
La santé étant un bien précieux, le curcuma est à accueillir comme un des dons que la nature nous a mis à disposition pour la sauvegarder !
L'association à retenir : curcuma et poivre
Des études en laboratoire ont cependant montré que le curcuma ingéré n'est pas complètement absorbé par l'organisme humain qui tend à en éliminer une partie. On dit que la curcumine possède une faible biodisponibilité. Lorsqu'elle est prise seule, seulement 5 à 60% de curcumine est absorbée par voie intestinale. Heureusement, il existe une solution...
Longtemps considéré comme une épice peu noble, le curcuma -surnommé "le safran des pauvres" ou "le safran des Indes" (il n'a aucune parenté avec le safran, mais ils partagent le même pouvoir colorant), revient aujourd'hui à l'honneur. Et pour cause. C'est au cours des dernières décennies que les scientifiques ont découvert les nombreuses vertus médicinales de cette épice encore peu connue en Occident, où elle est plutôt utilisée comme colorant alimentaire. Et la recherche continue, donnant des résultats de plus en plus encourageants.
Le curcuma fait en effet désormais partie des aliments considérés comme protecteurs contre le cancer. David Servan Schreiber en parle dans son livre Anticancer et le professeur Béliveau lui dédie un chapitre dans son ouvrage Les aliments contre le cancer (écrit avec le Dr Gingras).
Et les vertus du curcuma ne s'arrêtent pas là ! Ce rhizome semble en effet être l'épice idéale pour combattre la plupart des pathologies liées à notre mode de vie actuel. Problèmes cardiovasculaires, inflammations, troubles d'ordre digestif, stress, manque d'antioxydants... ne sont qu'une partie des problématiques sur lesquelles le curcuma, à l'aide des curcumines qu'il contient, peut avoir une action intéressante.
Un grand nombre d'études nous parviennent du monde entier, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d'ailleurs l'exemple depuis des millénaires. Ils l'utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l'on déguste sur le subcontinent indien. Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces "remèdes de bonnes femmes", qu'ils estimaient être liés à des croyances sans fondements. Aujourd'hui, preuves scientifiques à l'appui (des centaines d'études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu'une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n'ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être.
La santé étant un bien précieux, le curcuma est à accueillir comme un des dons que la nature nous a mis à disposition pour la sauvegarder !
L'association à retenir : curcuma et poivre
Des études en laboratoire ont cependant montré que le curcuma ingéré n'est pas complètement absorbé par l'organisme humain qui tend à en éliminer une partie. On dit que la curcumine possède une faible biodisponibilité. Lorsqu'elle est prise seule, seulement 5 à 60% de curcumine est absorbée par voie intestinale. Heureusement, il existe une solution...
Longtemps considéré comme une épice peu noble, le curcuma -surnommé "le safran des pauvres" ou "le safran des Indes" (il n'a aucune parenté avec le safran, mais ils partagent le même pouvoir colorant), revient aujourd'hui à l'honneur. Et pour cause. C'est au cours des dernières décennies que les scientifiques ont découvert les nombreuses vertus médicinales de cette épice encore peu connue en Occident, où elle est plutôt utilisée comme colorant alimentaire. Et la recherche continue, donnant des résultats de plus en plus encourageants.
Le curcuma fait en effet désormais partie des aliments considérés comme protecteurs contre le cancer. David Servan Schreiber en parle dans son livre Anticancer et le professeur Béliveau lui dédie un chapitre dans son ouvrage Les aliments contre le cancer (écrit avec le Dr Gingras).
Et les vertus du curcuma ne s'arrêtent pas là ! Ce rhizome semble en effet être l'épice idéale pour combattre la plupart des pathologies liées à notre mode de vie actuel. Problèmes cardiovasculaires, inflammations, troubles d'ordre digestif, stress, manque d'antioxydants... ne sont qu'une partie des problématiques sur lesquelles le curcuma, à l'aide des curcumines qu'il contient, peut avoir une action intéressante.
Un grand nombre d'études nous parviennent du monde entier, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d'ailleurs l'exemple depuis des millénaires. Ils l'utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l'on déguste sur le subcontinent indien. Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces "remèdes de bonnes femmes", qu'ils estimaient être liés à des croyances sans fondements. Aujourd'hui, preuves scientifiques à l'appui (des centaines d'études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu'une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n'ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être.
La santé étant un bien précieux, le curcuma est à accueillir comme un des dons que la nature nous a mis à disposition pour la sauvegarder !
L'association à retenir : curcuma et poivre
Un grand nombre d'études nous parviennent du monde entier, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d'ailleurs l'exemple depuis des millénaires. Ils l'utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l'on déguste sur le subcontinent indien. Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces "remèdes de bonnes femmes", qu'ils estimaient être liés à des croyances sans fondements. Aujourd'hui, preuves scientifiques à l'appui (des centaines d'études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu'une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n'ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être.
La santé étant un bien précieux, le curcuma est à accueillir comme un des dons que la nature nous a mis à disposition pour la sauvegarder !
Un grand nombre d'études nous parviennent du monde entier, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d'ailleurs l'exemple depuis des millénaires. Ils l'utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l'on déguste sur le subcontinent indien. Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces "remèdes de bonnes femmes", qu'ils estimaient être liés à des croyances sans fondements. Aujourd'hui, preuves scientifiques à l'appui (des centaines d'études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu'une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n'ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être.
Bonjour à toutes et à tous !
Longtemps considéré comme une épice peu noble, le curcuma -surnommé "le safran des pauvres" ou "le safran des Indes" (il n'a aucune parenté avec le safran, mais ils partagent le même pouvoir colorant), revient aujourd'hui à l'honneur. Et pour cause. C'est au cours des dernières décennies que les scientifiques ont découvert les nombreuses vertus médicinales de cette épice encore peu connue en Occident, où elle est plutôt utilisée comme colorant alimentaire. Et la recherche continue, donnant des résultats de plus en plus encourageants.
Le curcuma fait en effet désormais partie des aliments considérés comme protecteurs contre le cancer. David Servan Schreiber en parle dans son livre Anticancer et le professeur Béliveau lui dédie un chapitre dans son ouvrage Les aliments contre le cancer (écrit avec le Dr Gingras).
Et les vertus du curcuma ne s'arrêtent pas là ! Ce rhizome semble en effet être l'épice idéale pour combattre la plupart des pathologies liées à notre mode de vie actuel. Problèmes cardiovasculaires, inflammations, troubles d'ordre digestif, stress, manque d'antioxydants... ne sont qu'une partie des problématiques sur lesquelles le curcuma, à l'aide des curcumines qu'il contient, peut avoir une action intéressante.
Un grand nombre d'études nous parviennent du monde entier, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d'ailleurs l'exemple depuis des millénaires. Ils l'utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l'on déguste sur le subcontinent indien. Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces "remèdes de bonnes femmes", qu'ils estimaient être liés à des croyances sans fondements.
Aujourd'hui, preuves scientifiques à l'appui (des centaines d'études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu'une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n'ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être. La santé étant un bien précieux, le curcuma est à accueillir comme un des dons que la nature nous a mis à disposition pour la sauvegarder !
L'association à retenir : curcuma et poivre
Des études en laboratoire ont cependant montré que le curcuma ingéré n'est pas complètement absorbé par l'organisme humain qui tend à en éliminer une partie. On dit que la curcumine possède une faible biodisponibilité. Lorsqu'elle est prise seule, seulement 5 à 60 % de curcumine est absorbée par voie intestinale. Heureusement, il existe une solution... Pour en augmenter la biodisponibilité, le curcuma doit être associé à une petite quantité de poivre noir (qui contient une substance, la pipérine). L'association avec le poivre permet d'augmenter de façon variable mais considérable l'absorption du curcuma !
On voit que la sagesse populaire indienne avait devancé la recherche scientifique il y a bien des siècles, en les associant dans la composition du curry. En effet la pipérine permet à notre organisme d'augmenter jusqu'à plus de 1000 fois l'absorption de la curcumine. De quoi ne pas nous laisser indifférents d'autant que 1% seulement de poivre noir par rapport à la quantité du curcuma suffit pour que l'alchimie se réalise. De plus le curcuma étant soluble dans les corps gras, les études ont montré qu'il est mieux absorbé au niveau intestinal lorsqu'il est associé à un corps gras, comme à de l'huile d'olive.
Je vous laisse tester cela en cuisine, à très bientôt !
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Source : Huffington Post