Bonjour les copinettes,

Je sais je ne suis pas venue depuis très longtemps mais il y a eut des changements dans ma vie ...

Et j'écris ailleurs alors difficile d'être partout et surtout pas envie de rabacher !!!

J'espère que pour vous tout va pour le mieux ...

Je vous invite à visiter mon autre demeure et surtout laissez une trace de votre passage cela me fera plaisir ...

A très bientôt bisouxxx Doubs ....

http://lespoirauboutduchemin.over-blog.com/#

 C'est d'abord la lumière qui change, grâce à l'allongement des jours. Puis un bourgeon, le bruit d'une averse mélodieuse et surtout une sorte d'intuition, mélangée d'impatience. La nature est enfin sortie de sa léthargie, les jours rallongent. Le règne de la lumière va bientôt commencer.

Le ciel dégagé du coeur de l'hiver laisse toute la chaleur s'échapper dans l'atmosphère bien que la lumière du soleil reste fraîche et cristalline.

Dans les parcs, les jardins, on peut admirer les mosaïques des fleurs innombrables et déjà les pelouses sont tapissées de pétales de neige quand le vent d?est  a soufflé sur les arbres en fleurs comme les prunus.

On apprécie enfin les longs après-midi sereins et radieux, ainsi que les soirées passées entre amis, autour de la table, à se retrouver détendus et heureux pour partager le temps qui passe.

Même après le crépuscule, on sent dans l'air une certaine douceur, qui rappelle celle du jour dans la lumière délicate et indécise que la lune du printemps diffuse dans des contours indécis.

Et je m'étire, sous l'emprise de la langueur printanière : il ne s'agit pas d'un sentiment aussi nostalgique que celui que m'inspire l'automne, mais d'un état pensif, dans la douceur d'une nature à la fois changeante et inquiétante.

Que me réserve donc cette saison à la fois légère d'impressions et si chargée d'émotions !!!

Bonne journée bisoux Doux ...

En ce lundi, je me pose mil et une questions et cherche bien sûr des réponses ...

Nous sommes et je suis insaisissable, inconstante, imprévisible, impétueuse, capricieuse, coquine, polissonne, illogique, déconcertante, mystérieuse et légère comme le vent, aux variations infinies d’une matière impalpable, moi, la femme, je change au gré d’une puissance qui échappe à votre contrôle, Messieurs...

Comme le vent, j'ai la caresse aérienne, légère et la force destructrice. Souvent, quand vous m’attendez là, j'apparais ici, d'autres fois vous me croyez divinement heureuse alors que je me recroqueville sur ma douleur, ou bien je vous donne l'impression de déprime totale et voilà que mon rire vous transperce le cœur.

Si vos piètres ancêtres ont statué que tout mouvement est relatif et m'ont parfois considérée comme un objet, léger certes tel une plume au vent, il n'en est pas moins vrai que je vous observe vous agiter autour de moi. Vous, habitués à vous déplacer avec votre système archaïque de références primaires à cause desquelles vous ne pouvez comprendre les mouvements autonomes de la femme, qui ne devrait d'après vous exister que pour recevoir la décharge de votre plaisir.

Quant vous tentez de me faire croire que vous êtes pour l'égalité de la femme, vous me faites bien rire. Hypocrite ou léger, vous faites celui qui pardonne alors que devant votre rigidité d'esprit, j'esquive et louvoie comme un serpent, légère comme le vent.. et devant un non ferme de votre part, je souris et redouble de prudence pour arriver à mes fins.

Car moi, femme, depuis votre plus tendre enfance, mère, je sais prévoir tous vos besoins et je bouge avant vous pour vous donner l'impression que tout est stable autour de vous afin de ne pas vous effrayer... et en cela, je suis parfois le diable en personne afin de vous convaincre que tel était votre désir du moment et que je viens de le satisfaire alors que c'était simplement pour me satisfaire moi-même. Je sais exploiter toute erreur de ma part, dans une souplesse apparente et tout est dans l'art de vous faire croire que ce n'est que légèreté de vivre auprès de vous.

Pour moi, comme pour les poètes, les mots sont les fils qui me maintiennent au plus près de ma réalité et je m'en sers avec la prudence et la sensualité nécessaire pour me libérer du poids de l’existence que parfois vous m'imposer égoïstement.

Et malgré ce que vous croyez, Messieurs, je me suis depuis longtemps libérée de votre tutelle et s'il m'arrive parfois de me refuser comme une vierge offensée après vous pourtant avoir cédé si facilement d'autres fois, c'est simplement que j'aime à vous rappeler que je suis libre de mes actions, de mon corps et de vous donner mon amour.

C'est peut être aussi pour cela que tant de femmes deviennent Bi ou Homo ? Posez vous les bonnes questions Messieurs et, nous avancerons vers le meilleur des Mondes ...

Bonne semaine les copinettes bisouxx tout Doubs,

Nat.

Comme je le dis chaque semaine ouffff voilà vendredi ... encore une belle journée sur la Franche Comté, fraiche mais arrosée de Soleil ....

Encore des dizaines de dossiers à traiter .... tous ces mots mis les uns au bout des autres ...

Ha ! les mots que l'on jette parfois et qui sont de petits cailloux semés au hasard de la vie, petits points de repère quand le temps de la réflexion ralentit notre pensée.

Ha, les mots... ces mots à peine dits, et ravageant si fort à l’intérieur, ou bien les mots du regret, mal dits, maladroits, qui creusent le cœur en profondeur sans pitié, cisaillent et poursuivent le chemin sans remords en laissant derrière eux le chaos, la douleur, les larmes, ou encore ces ombres de mots tus, assombris, trahis par le temps, oubliés depuis longtemps. . .

Et ce mot dit après un silence, ce mot qui pèse lourd car étant le résultat d’une certitude ou d’une réflexion !

Sur ces mots ...bisouxxx tout Doubs ...

La vie passe son temps à transformer notre futur en passé. Mais ce qui rythme le temps d'un être, c'est le nombre de "première fois" : premier amour, premier baiser, premier job, premier salaire, première voiture... car ce sont ces premières fois qui retiennent le cours du temps dans les filets de la mémoire en freinant sa fuite. Hélas, en général, ces premières fois diminuent avec l'âge car vieillir c'est découvrir de moins en moins. Etre capable d'inventer en permanence du neuf c'est rester jeune sinon de corps du moins d'esprit.

Et vous première fois ???

Voilà, l'enjeu économique de l'été commence au printemps : j'ai X kg à perdre... Je dis X, c'est plutôt XX mais j'aime bien placer la barre un peu haute... Je ne dis pas … parce que ça fait un peu boudin, grosse mémère.

Donc, je ne me sens pas grosse mais je suis juste un peu grasse, quelques bourrelets disgracieux qui se focalisent plus dans ma tête que sur mes hanches mais tout de même un peu sur mon ventre...

Alors que faire ? j'ai déjà anticipé pourtant depuis un mois : plus de sucreries (enfin presque plus), quelques gélules "miracle", des 24h minceur et autres mixtures fadasses... mais rien n'y fait : ils sont bien là ces kilos superflus. Alors j'ai retenté : régime hyperprotéinés, dissociés, ananas ou yaourts, WW.

Sauf qu'ils s'accrochent tant et si bien que moi je décroche...

Voilà, j'ai craqué, une fois, une seule fois mais elle est imprimée dans ma mémoire et ne veut plus en sortir... Souvenir délicieux  de chocolat noir aux pépites d’oranges accompagnés de Pims orange tant qu’à faire autant frôler l’orgie du choc... et rien que de l'écrire j'en ressens encore le gout riche et onctueux avec une petite pointe d'amertume qui meurt sur le bout de la langue. Et hum ! le goût sucré du chocolat qui fond sur ma langue  et...

et ?

Et puis merde, ils sont là, ils y resteront... jusqu'à ce qu'ils décident de perdre pied et de me larguer. Parce que moi, j'ai fait ce que j'ai pu et je veux bien cohabiter avec eux encore un temps... Disons deux ou trois mois. Après, ils pourront toujours se planquer sous mon manteau ou enfin décider de s'envoler avec les hirondelles.

Bon régime à vous !!!

Il existe deux cycles qui rythment nos vies, les deux sont intenses, et je pense que tout le monde peut s'y reconnaître.

Le 1er :

" La série des coups durs " Tout commence par des petits détails (le pain grillé du matin est carbonisé) mais cela peut rapidement devenir une accumulation de tuiles (travail : dur dur, santé : bof, sous : limite, amour : rien voire très négatif ...) Tout s'enchaîne.

Le 2nd :

" La série des 'coïncidences " Au moment où l'on croit que tout est désespéré, on rencontre La Bonne Personne ou les bonnes personnes, qui vous confirment que ce en quoi vous croyiez n'est pas que du vent, et qu'il faut tenir bon.

Alors la chaleur dans le cœur revient et, certes, fragile mais convaincu, on se lance à nouveau en avant pour un avenir ensoleillé ou du moins en surface  ...

Bon mercredi à plus tard bisouxxx tout Doubs les copinettes ...

Quiche aux Epinards

1 rouleau de pâte feuilletée ou brisée

- 150g à 200g d’Epinards

- 150g  blanc de poulet

- 4 œufs

 - 20 cl de crème allégée

- 100g de gruyère râpé allégée

- 1 càc de Maïzena

- 2 càc de moutarde forte

- 250g chèvre frais

- sel et poivre

Laver et essorer les épinards. Mixer les feuilles. Couper le jambon (ou la garniture en fonction de votre choix)  en fines lanières. Fouetter les œufs, la crème, la Maïzena, le râpé, du sel et du poivre. Tapisser de pâte un moule à tarte de 24 cm de diamètre. Piquer le fond à la fourchette. Tartiner d'une fine couche de moutarde forte. Eparpiller les épinards  et le blanc de poulet. Recouvrir avec le mélange œufs-crème et le fromage de  chèvre coupé en tranches.

Cuivre 20 mn à 30mn dans le four préchauffé Th 7.

Démouler et servir chaud avec une salade de mâche.

Il est possible de cuire un peu les épinards avant, juste en les faisant blanchir.

Bon appétit ...les copinettes ...

De blog en blog nous sommes côte à côte, nos mots se croisent, nos bulles se touchent... Nous partageons nos mots pour rendre la toile plus belle. Comme des pinceaux humains nous glissons sur la toile, avec nos visions à l’encre noire nous sculptons l’arrondi du cadre, et nos doigts minutieusement éclaircissent à la chaux nos fonds intérieurs. Nous avons des tiroirs que nous ouvrons tour à tour. Pas commode comme exercice mais nos espoirs attendris prennent forme. Il sera désormais difficile de briser l'univers imagin'air créé par nos mots. Instant de magie ou de dernier cri, tout ce décrit sous nos yeux, peu à peu il devient. Il existe.  Gros plan sur deux mains emmêlées... Mais il suffit d'ouvrir la focale pour que nous réalisions que nous sommes beaucoup plus nombreux, à aimer les mots. Reliés par ces organes qui nous permettent de nous toucher anonymement. Nous nous soutenons contre les vides et les trop-pleins. Nous nous rassurons mutuellement par nos mots inaudibles déposés en commentaires. Présence muette qui s’échappe des écouteurs. Nous recevons l’écho et avançons. Il n’y a pas de concurrence, uniquement des forces qui s’emboîtent. Le choix est irrationnel et donc inutile. Véritables maillons vivants d’une chaîne invisible. Non, je rectifie, visible, mais immatérielle, impalpable. La matière physique arrive au second plan alors que les émotions qui en débordent sont vraies. Devant nos productions qui défilent devant les yeux de chacun, nous faisons notre toile. L’infiniment petit, les ailes des anges, les atomes attirés, nous bâtissons notre édifice, les uns grâce aux autres. Et l’édifice nous bâtit à son tour.
A qui appartiennent ces deux mains ?

A deux d’entre-nous, assurément.

Quiche Poireaux et Saint Jacques

Pr 4/6 personnes : Temps de préparation : 5 mn - Temps de cuisson : 40 mn

- 60 cl de Fondue de Poireaux aux St Jacques Liebig

- 4 œufs entiers

- 60 g de fromage râpé allégé

- 2 cuillères à soupe de farine ou Maïzena

- 1 rouleau de pâte feuilletée ou brisée allégé ou 3 feuilles de brick

1. Préchauffez votre four à 240°C.

2. Étalez la pâte au fond d'un moule à tarte et piquez à la fourchette.

3. Mélangez à froid les œufs et la farine, puis ajoutez les 600 ml de soupe (si vous utilisez une brique d'1 litre, remuez-la bien avant d'en verser une partie, afin que les St Jacques ne restent pas au fond)

4. Versez la préparation sur la pâte, parsemez de fromage râpé puis faites cuire 40 mn à 200°C.

Si vous aimez plus d’épaisseur verser toute la brique.

Bon appétit ... servir avec une salade verte (sauce vinaigrette allégée) ...