Je viens juste en coup de vent pour dire que je commenterai mon blog, les jours où je ne ferai pas sport. Sinon, je ne sais plus quand je pourrai dormir.

Je profiterai de ces soirs également pour venir lire mes blogs préférés.

Mais ce soir, c'était sport ! Alors... à demain ? 

Eh bien, j'abandonne l'idée de faire le coaching du site, puisque je n'ai toujours pas de nouvelles et me tourne vers Fricker. 

Je suppose que l'équipe d'aujourd'hui.com me répondra demain ? Elle est sans doute en week-end (ah bon ? Y'a pas que moi qui y ait le droit ?)

J'ai déjà trouvé une motivation auprès des filles addict à la Fricker attitude. Le régime n'est pas vraiment végétarien, mais il n'est pas difficile d'enrayer la viande par d'autres produits : oeufs, soja, etc...

Je n'ai pas fait de vrais repas aujourd'hui. Prise par une flemmite aïgue, je n'ai eu envie que de flaner, lire, regarder des films et préparer ma journée de demain. Celle du 1 er jour... du grand jour !

J'étais prête à aller faire ma première marche aussi, mais il semblerait que la tuyauterie du ciel ait une fuite et depuis cette nuit, un flot sans fin se deverse sur nous, rendant nos sorties à la campagne dangereuses.

Ben tant pis... J'avais préparé mon MP3 avec une séance Jiwok qui initie à la marche (enfin, la marche musclée j'entends, car mettre un pied devant l'autre, je l'ai appris quelques décennies en arrière). Si le temps boude encore, je testerai autre chose.

Mon dernier repas trop gourmand m'attend. Demain, c'est une autre femme qui viendra écrire ! (enfin... p'tet bien).

Ah samedi... J'aime car je ne travaille pas. Celui-ci a été spécialement improductif. J'ai passé une partie de la journée à chercher le fonctionnement de ce site, ses possibilités et les avantages qu'on peut en tirer.

Mon coaching (qui m'a coûté la modique somme de 29.9 €) ne fonctionne toujours pas, malgré mes relances (ou mes suppliques). Déçue, j'ai demandé à ce que le second mois ne soit pas reconduit. J'espère au moins qu'ils auront ce message...  

Celà dit, si je suis grosse, l'équipe d'aujourd'hui.com n'y est pour rien et si je suis de fâcheuse humeur quand je regarde mon coaching désespérément vide, ça ne doit pas justifier du poids en plus. Ce serait trop facile...

Mais c'est vrai que le coup de main m'aurait bien motivée. Là, je n'ai plus vraiment envie de suivre leur plan alimentaire (lequel ? Je ne l'ai pas).

Par contre, l'envie de me bouger naît dans mon esprit. J'ai préparé mon podomètre pour demain et me suis inscrite dans le groupe des sportives. Peut-être que de me bouger les fesses, me donnera moins envie de manger tout et n'importe quoi ?

Côté nourriture, j'ai au moins noté mes calories. Je doute de ne pas dépasser les 1500 calories pour aujourd'hui, mais les compter les aura malgré tout réduites par rapport à d'habitude.

Là, j'ai envie d'une douche chaude, très chaude, de me caler dans mon canapé avec une couverture tirée sous le menton pour bouquiner un roman sans prise de tête. Il est temps que mon samedi ressemble à un samedi comme je les aime...

Mon estomac est plombé. Il faut bien avouer que cette crêperie est divine et que tout, de la galette au caramel salé qui recouvre la crêpe du dessert, est fait maison.

On ne rentre jamais là par hasard. Il y a toujours un jour à fêter, une personne proche à séduire, une bambinette à enchanter, pour pousser la porte de cet antre aux mets dangereusement délicieux.

Comme la raison avait du rester à la maison, je ne compte pas les frites du goûter (celles bien chaudes qu'on trouve dans une friterie ambulante, qui se trouve pil-poil dans cette rue où il fait toujours si froid), qui sont venues alourdir davantage chaque pas que je faisais.

Heureusement, un jour comme celui-ci finit par toucher à sa faim fin et nous aide à bouder le dîner sous peine de tout dégobiller sur les chaussons de son voisin (ou sur son chien qui attend patiemment qu'un truc tombe... ben voilà, il est servi).

Mais demain est un autre jour. J'ai un podomètre tout neuf et un coaching pour un mois ici... Enfin, ma session ne marche pas et pour l'instant, la seule chose qui risque de maigrir c'est ma motivation. 

J'ai écrit à l'équipe pour qu'elle me vienne en aide. Ayez pitié de moi car les Princes qui sont dans mon placard n'ont rien de charmants. Ils sont ronds et blindés d'un chocolat hautes calories et la seule chose qu'ils souhaitent obstruer, ce sont mes pauvres artères. 

Oups, j'ai encore oublié aujourd'hui que ma silhouette rebondie n'avait rien de bien saillant et que bouder le pain avec la purée devait devenir une règle de la table.

Och, je n'ai pas pensé à refuser les spéculoos à tremper dans mon café noir. Un vrai délice... 

Ouille, je n'ai pas su refuser le goûter si joliement préparé par ma petiote...

Et pour une raison que j'ignore, je boude mon miroir et me fiche de trimballer ces bouées de chair autour de ma pauvre taille épuisée.

Heureusement que je suis végétarienne parce que ma gourmandise finirait bien par me faire ronger le bout de mon nez !

Demain crêperie, mais en rentrant le soir, je zieute ma liste des courses et samedi, le dos droit et l'oeil inquisiteur, je partirai à la chasse aux aliments qui rendent beaux à l'intérieur comme à l'extérieur.

En attendant, que vais-je manger, ce soir ? 

A la cantine il y a des frites. Et comme elle ne sont pas cuites à la végétaline, elles restent croustillantes et délicieuses.

Dans le placard de mon bureau, ma collègue y fourre à tout va des kinders mueno et des ton chéri à la cerise. C'est comme les mouches en plein été : dès que les portes sont ouvertes, ça pullule et colle dès qu'on les approche.

A la maison, les petits pains suédois craquent sur mon passage. Le gruyère enrobé et délicat se couche dessus après avoir glissé sous sa chair tendre, un drap de beurre.

Tout ce qui m'entoure appelle le vice grisant qui chatouille le palais. Je suis potelée, charnue, moelleuse mais je sais pourquoi...

Pour me donner bonne conscience, j'ai acheté le podomètre qui se connecte sur le site.

Ma conscience étant au top, je vais aller sortir le pain du four encore chaud. Un pain délicieux, brûlant, sur lequel va fondre tout ce qui le touchera. Moi compris... Je sais bien, on n'est pas sorti du pétrin.

Je n'aurai mes menus minceur (quel vilain nom) que vendredi et c'est tant mieux car j'ai pris 1/2 journée, ce jour-là, pour emmener ma mouflette déjeuner à la grand-ville. Je connais une crêperie honteusement délicieuse qui fait couler à flot du caramel salé sur ses crêpes sucrées. 

Indécense quand tu nous tiens...