Merci a ceux qui ont le courage de me lire malgré les fautes d'orthographes. J'espère que vous avez autant de plaisir a lire que j'ai eu à écrire ces quelques lignes. Sinon ma petite femme à eu un accident aujourd'hui rien de grave mais bon c'est jamais le bon moment pour avoir un accident. Que de la tôle froissé et c'est bien là l'essentiel. Elle était un peu paniqué mais ca va elle a repris le dessus en compagnie des flics et des gens d'Area. Donc la journée pourrait être morose mais j'ai décidé de lui offir un petit bouquet ce soir, je pense que ca lui fera plaisir. Rien n'est mieux qu'un peu d'amour quand tout est noir, non.

Allez HF&GL :)

« Salut, Sylvain ! » me dit-elle en me faisant sursauter. Je viens de perdre ma partie et je ne l’ai pas vu ni entendu arriver. Donald est à coté d’elle, et il n’a pas l’air bien. Elle a dû lui dire qu’elle l’avait reconnu et moi avec. Bon, je sens que ça va discuter sévère avec elle alors j’arrête ma partie de ping-pong. Elle me fait toujours son sourire de starlette. Elle a mis une minijupe avec des bottes qui arrivent aux genoux. A quoi ça sert une minijupe si c’est pour planquer ses jambes avec des bottes ? C’est nul ces bottes ! Son pull est bizarre, on  est en été mais elle a quand même mis un col roulé. Certes, il est fin, mais ça aussi c’est spécial quand même.

-          « Tu ne me fait pas la bise me demande-t-elle ? » Mais je l’ai déjà vu ce matin, et puis, on ne se connaît pas.

-          « Non, mais on s’est déjà vu ce matin. » J’essaie d’esquisser un sourire. Ca à l’air de marcher vu qu’elle me sourit à son tour.

-          « Donald, tu étais où cet après midi, je t’ai cherché partout. » Il n’a vraiment pas l’air bien.

-          « Avec mes parents, ils ont voulu aller en ville. » Bon, ça n’a pas l’air d’avoir été la joie en tout cas.

-          « Vous venez avec moi, on va rejoindre mes copines. » Ahhhhh ! mais non, non, et non ! Ca ne va pas la tête, je préfère de loin rester avec Donald et faire de bonnes parties de ping-pong.

-          « Oui, d’accord. » dit Donald. Il a l’air mieux d’un coup, mais bordel, on va pas aller avec ses copines quand même…Ces yeux me répondent que si, on va aller les voir.

-          « Bon ben ok. » dis-je dégoûté.

Sur le chemin, j’espère seulement qu’il n’y aura pas encore cette musique d’Images : les démons de minuits ». Cette musique est d’un nul. Je regarde Donald qui à du mal à venir me parler tant il semble collé à elle. On arrive doucement vers l’endroit où on les avait vu hier.

Il y a deux copines à elle sur place, je ne prends pas la peine de les regarder car je n’ai qu’une envie, repartir jouer au ping-pong. Laetitia fait les présentations et j’entends :

-          Ah, c’est lui qui... Je n’arrive pas à entendre correctement la fin, mais à vrai dire, je m’en fiche. Pendant qu’elles discutent un peu, Donald a le temps d’aller vers moi pour me dire :

-          Je me suis pris un râteau ! Un râteau ? C’est quoi ce truc encore !

-          C’est à dire ?

-          Mais tu n’y connais rien, toi, pas vrai ? Je le regarde sans comprendre ce qu’il veut me dire.

-          J’ai essayé de lui faire un Smack mais elle a esquivé et m’as dit qu’elle était attirée par quelqu’un d’autre. C’est quoi un Smack ? Attirée par qui ? Il est très bien Donald, mieux que moi en tout cas !

Pas le temps de continuer qu’elles nous appellent déjà. Laetitia me demande de m’asseoir à côté d’elle parce qu’elle à quelque chose à me dire. Putain mais c’est sûr, elle a toujours la bouche ouverte, celle-là.

-          Qu’est-ce tu veux ?!

-          Tu veux sortir avec moi ??? Elle débloque, là, on est déjà dehors…Oups, je commence à comprendre et l’effroi m’envahit.

            Je suis tout en sueur quand j’arrive chez moi, mes parents me dévisagent. Pourtant, tout semble redevenu normal entre mes jambes.

- J’ai couru, c’est pour ça que je transpire. Réflexion débile mais bon.

- Oui, on t’a vu arriver, mais pourquoi tes lunettes sont dans ta main, elles sont cassées ?

 

            Sylvain passa toute l’après midi à ne pas penser au soir même. Il pensait qu’elle voulait se moquer de lui pour ce qu’il avait dit (crié) hier, lui donner une bonne leçon en quelque sorte. En plus, il avait peur. Il n’était jamais sorti avec une fille. Il était ce qu’on appelait à l’époque un puceau. Sylvain ne s’était jamais demandé comment on faisait quand on sortait avec une fille. Il voulait demander conseil à ses parents mais abandonna en sachant que son père se moquerait de lui et que sa mère n’aurait rien dit.A un autre moment, il pensa demander à ces copains du camping mais abandonna très vite en se disant que ce qu’il gagnerait, ce serait de se faire appeler puceau le reste de ses vacances. L’après midi, il alla à la piscine, il pensait trouver Donald mais il n’était pas là. Heureusement pour lui, elle n’était pas là non plus.

 

            Il avait donc ressenti les effets de ce mal dévastateur pour la première fois en 1987. Il était le seul à l’avoir ressenti sur les 6 milliards d’individu qui peuplait la planète. Chacun continuait sa petite vie tranquillement sans savoir que 30 ans plus tard, ce mal si sournois, si imperceptible, allait donner lieu à la plus grande hécatombe de tous les temps. Il l’avait ressenti mais ne s’en était pas aperçu, pas encore. Ce n’est que quelques dizaines d’années plus tard qu’il pourrait faire cette analyse. Chacun des habitants de son monde était exposé. A chaque instant ce mal grandissait mais pour l’instant ce qui intéressait le monde, c’était ce nouveau courant de musique insupportable qu’était la techno. Les journaux disait de ce courant que finalement, il n’était pas différent du rock’n’roll à l’époque. Le tube phare de cette année et de ce style musical était « TECHNOTRONIC : Pump Up The Jam » pouvant être traduit comme « fais monter la sauce ». Le double sens sans équivoque de ce titre en faisait bondir plus d’un !

 

            Le soir arrivait et Sylvain ne tenait plus en place. Peurs, excitations, timidité, tout se mélangeait dans son esprit comme dans son corps. Ces sens faisaient un de ces vacarmes ! La seule chose qui le calmait, c’était Technotronic et sa musique lancinante. Il n’avait pas spécialement de rendez-vous alors il décida de retrouver, comme d’habitude, ses copains au ping-pong. Il fut réellement soulagé quand il vit qu’elle n’était pas là. Il pourrait passer une soirée tranquille à jouer avec ces amis. Donald n’était pas là non plus, Dieu seul savait où il était passé toute l’après midi. Il recommença à tourner autour de la table, rigolant et jouant du mieux qu’il pouvait. Il regardait de temps à autre si aux alentours, n’arrivait pas Donald, ou la fille qui lui avait donné rendez-vous. Rien, personne. C’est quand il ne les attendait plus qu’ils arrivèrent, en même temps, côte à côte. S’il les avait vu, il aurait vu que Donald était triste mais que ce n’était pas le cas de Laetitia. Elle le regardait fixement, le dévisageant de la tête au pied.

 

Bon aujourdhui petit civet de cerf a midi et hier soir, crevette au cury, c'était trop bon. Bon, tout s'est bein passé, mon fiston à été un ange, vraiment super soirée. J'adore les jours de semaine qui coule comme un torrent.

- C’est quoi ton nom ? Me demande-t-elle tout en me souriant. C’est sur, je vais me faire avoiner. Dans son regard je sens qu’elle me chasse. Il faut vite que j’imagine un vieux balourd à lui raconter.

- Heu, Sylvain, pourquoi ? Ma voix chevrote et en plus, elle est en train de muer ! Je dois avoir l’air ridicule.

- Tu ne me demandes pas le mien ? Ses yeux ne quittent pas les miens ! Mais qu’est-ce qu’elle me veut, celle là !

- Ah oui, c’est quoi ton prénom ? Je m’en fous, mais je ne veux pas lui donner de raison supplémentaire de me décalquer.

- Laetitia !!! Elle a l’air contente. Comme il est nul son prénom !

            Heureusement pour moi une nouvelle partie commence et les mecs m’appellent. Donald quant à lui est parti se réfugier je ne sais où. Il m’a vraiment laissé dans la merde là. Il ne faut pas que je perde ! Je sens son regard sur moi comme un poids de 5000 tonnes voulant m’écraser. Si je perds, cette fichue discussion recommencera, c’est sûr ! Autant dire que je m’applique mais cela ne sert à rien car au troisième tour, je me fais sortir. Le poids était devenu trop lourd à porter. Elle est en train de discuter avec ses copines alors je la regarde. Elle n’est pas très grande, un peu grassouillette, elle a un visage rond, et ses cheveux semblent être blonds avec des racines noires ! C’est bizarre !!! Elle se retourne d’un coup et je suis pétrifié net. J’ai vraiment envie d’être ailleurs…

Elle se rapproche de moi.

- Sylvain, tu peux enlever tes lunettes ? Ca y est, elle va me mettre une baffe, et comme un con, je les enlève !

- Je te trouve très beau, sans. Hein, j’avais Donald et maintenant, j’ai Dingo, la folle du camping ! Là, je ne sais plus quoi penser, quoi dire, j’ai qu’une envie, me réveiller de ce cauchemar.

            Récapitulons, normalement, je suis moche. Normalement, elle m’as vu hier et sais qui je suis. Normalement, le truc entre mes jambes ne se durcit que des fois, le matin. Oh putain ! C’est quoi chez les mecs, c’est pas les règles, c’est quoi ce bordel ! Et je suis au milieu de tout le monde, ça va se voir !!! La Honte !!! Ah oui, elle est en chasse mais pas pour la même chose que je pensais tout à l’heure, c’est pour tout autre chose. Mais je ne suis jamais sorti avec une fille, moi, et puis je veux jouer au ping-pong. Faut que je trouve une réponse vite.

- Bon ben je remets mes lunettes alors….Je dis n’importe quoi, mais alors là n’importe quoi, elle me regarde comme un martien.

- Noooon, st’euplaiiit, Sylvaaaain. Et cette bosse entre mes cuisses qui n’arrête pas d’enfler.

- Bon, il faut que j’y aille, mes parents m’attendent pour manger. Allez, salut.

- On se revoit ce soir ? Mais elle va me lâcher avec ses beaux yeux bleus, sa bouche pulpeuse, ces petits seins, et ses jambes à l’air. Tous ces détails arrivent en même temps dans ma tête, et entre mes jambes, j’ai l’impression que j’indique le Nord et que tout le monde peut suivre cette direction. Pour me débarrasser d’elle, je lâche un Oui pendant que je m’éloigne rapidement.

Week end étant la fin de la semaine, quel est le mot pour dire la fin du week end ?....

Salut tout le monde!

Comment vas chez vous, la forme, les fomes ? Bon, ben moi me suis déchirer le grand muscle abdominable vendredi aprem. Mais c'était pour la bonne cause. Enfin voilà c'est fini mais je vis quand même continuez à en faire quelques uns chaque jour. Sinon, ce week end était plutot pas mal, bien occupé, et sympathique, j'ai vu hancok, c'est un film marrant. J'aime le cinéma où il ne faut pas réfléchir. Sinon vous, quoi de neuf ? Ah oui mon fils a du jus c'est pas possible, quelqu'un aurait il le bouton éteindre sur lui ? Le week prochain c'est des anciens collegues de bureau qui viennent à la maison ca promet :).

Bonne semaine a  tous!

Quelle soirée ! Je me réveille doucement. Je suis content d’être en vacances avec mes parents et sans mes frères. Mon esprit embrumé s’éclairci peu à peu. Je me rappel la soirée d’hier et ces filles nous criant dessus comme des sirènes de police. Cette sensation, avec Donald, que nous étions les plus forts. Mais une fois qu’elles se sont levées, nous avons détalé comme des lapins. J’aime cette sensation que procure la peur et l’excitation tout en même temps. C’était quoi la musique de daube au fait… Ah oui, un truc qui faisait «  …Les démons de minuits, ils m’entraînent jusqu'à l’insomnie… »

            J’ai pris mon petit déjeuner et je vais rejoindre tranquillement Donald qui m’attend vers le hall « ping pong ». Là je vois trois filles sur le banc entrain d’attendre une place pour jouer. Je n’aime pas quand il y a des filles qui regardent jouer, ça me rend tout patraque. En plus Donald n’est pas encore arrivé alors, je dois attendre avec elles. Aujourd’hui j’ai mis mon t-shirt avec une île dessus sur fond de bande violette fluo (c’est la mode en ce moment). J’ai mon short long jaune fluo et mes basquets ainsi que ma casquette rouge avec des idéogrammes dessus. Je m’assois sur le banc le plus loin des filles pour attendre Donald.

            Oh merde, je crois qu’il y en a une qui était avec les autres filles hier soir ! J’espère qu’elle ne va pas me reconnaître sinon je suis cuit. Rahh, les boules et Donald qui n’arrive toujours pas. Ha si le voilà ! Il est habillé dans le même style que moi, la classe, quoi ! Je crois que lui aussi l’a reconnue.

-Sylvain, tu as vu les filles, là dit-il en chuchotant

-Oui, pourquoi ?

- Il n’y a jamais de filles au ping-pong le matin me dit-il.

Là je réfléchis et me dit que oui, effectivement, il n’y a jamais de filles au ping-pong le matin. Je commence à transpirer sérieusement.

-Elles étaient toutes les trois là bas, hier, tu sais ?

-Ha bon, je n’en ai reconnu qu’une seule et encore je ne suis pas sûr. Bon, on fait comme si de rien n’était ?

-Ok

            On s’avance tranquillement vers la table de ping-pong afin de signifier qu’on aimerait bien jouer. De là, on engage la conversation avec les mecs présents pour faire une tournante. J’aime bien les tournantes, comme ça tout le monde joue. On court autour de la table et on tape la balle chacun son tour, celui qui rate est éliminé, ainsi de suite. Je ne suis pas mauvais à la tournante. Le seul problème que je rencontre, c’est que la fille que je crois avoir reconnue me dévisage des pieds à la tête.

            Mon cœur s’accélère, je commence à transpirer, je vois que Donald aussi l’a remarquée. Ses gestes se font plus brusques. Son regard devient évasif, quant à moi, j’essaie de faire bonne figure, de ne pas montrer mon anxiété. Ca y est j’ai gagné la première partie ! Comme c’est dur de tourner autour de la table en échappant à son regard. Je rate la balle et me fais aussitôt éliminer. Elle se lève, et viens vers moi. Ahh, je commence à paniquer, Donald rate à son tour et se barre de l’autre coté. Le salaud !

- Tu joue bien au ping-pong me lance-t-elle !

- Heu, ha bon, oui, peut-être… Là je me dis que c’est la fin, elle m’as reconnu et va me le faire payer.

Coucou !

Bon ben hier, mon fiston est tombé malade avec un petit 39.1 de fièvre. Malgré cela il est resté gentil toute la journée. Le docteur a dit que c'est une angine. J'aime pas quand mon fils est malalde! Ma femme est restée hier, aujourd'hui, il sera chez ces grand parents. Repos total, vive Pepa pig :)

Et moi + 400g sur la balance je vas me mettre un gros coup de pied au C...

++

Sauver quelqu’un… Sylvain n’avait pas idée de ce que ça allait impliquer. Pensez-vous, à 14 ans, on ne pense pas à ces choses là. De plus, il pensait que sauver quelqu’un, c’était le seul moyen de faire une Bonne Action. Tout au long de sa vie, Sylvain décrivit ce rêve à de nombreuses personnes finalement, mais sans donner le sens qu’il lui accordait. Pour ceux qui l’écoutaient, c’était le rêve puéril d’un adolescent, rien de plus. Aucun d’eux ne pouvait savoir que ce serait grâce (à cause ?) de lui, que certains survivraient.

 

Sylvain était obsédé par cette idée.

Il guettait les enfants traversant au carrefour en espérant que l’un d’entre ne serait pas vu par un de ces « chauffards à la con » comme disait son père quand il était encore en vie. Il s’imaginait la scène : lui courant vers le gosse, sautant au travers de la chaussée, harponnant le marmot, faisant une roulade en évitant le pare-choc de la voiture de justesse, ou même en étant légèrement percuté. Il était un héro, son héro. D’autres fois,  il se voyait dans un ascenseur qui tombait suite à une rupture de câble. Pendant la chute, il se voyait expliquer aux personnes avec lui comment faire pour en réchapper.

« Dès que vous voyez marqué 1 sur l’indicateur, vous sautez de toutes vos forces verticalement, comme ça, ça sera comme si nous tombions d’un seul étage ». Sylvain sauvait ainsi 2 ou 3 personnes d’un seul coup. Il réfléchissait à tout autant d’actions plus ou moins spectaculaires afin de sauver des vies. Ces journées étaient remplies de cette attente, de cette impatience.

 

A cette époque, il était mince voir maigre. Sur ces jambes, on ne voyait que 2 genoux proéminents. Sur son torse, les côtes étaient visibles, même de loin. Il avait une coupe de cheveux classique : la raie sur le coté. Il était brun et avait des millions de tâches de rousseur sur la figure. Pour finir, il portait des lunettes, et son œil droit partait un peu sur l’extérieur quand la fatigue se faisait sentir.

A ce moment là, les filles ne l’avaient jamais intéressé, et d’ailleurs, elles lui rendaient bien.

 

Cet été là (les premiers flirts se passent toujours en été, non ?), ces parents avaient loué un mobile home dans un camping sur la côte d’azur. C’était sympa, à part la chaleur qui l’empêchait de dormir. Bizarrement, quand Sylvain était en vacances, son obsession de sauver quelqu’un s’évanouissait. Il n’avait pas vu ses frères de toutes ces vacances qui étaient, lui semblait-il, comme volatilisés. Plusieurs activités étaient proposées, il y avait du ping-pong, une piscine, un terrain de volley. Il s’était fait plusieurs copains de son âge avec qui il jouait toute la journée au ping-pong. Le soir, de temps en temps, ils se promenaient ensemble dans l’obscurité naissante du camping.

Un de ces fameux soirs, ils entendirent une musique vers un endroit qui était parsemé d’herbe. Cette musique était entraînante mais Sylvain n’arrivait pas à l’apprécier, il la détestait. Il ne savait pas que 3 ans plus tard, il l’entendrait souvent comme une piqûre pour lui rappeler ces vacances là. Il était minuit quand son copain (surnommé Donald) à cause de son imitation exceptionnelle du héro de Walt Disney cria vers cette musique en imitant la chanson. Des voix de filles s’élevèrent : « Ho, les merdeux, allez jouer ailleurs. Donald renchérit suivi de Sylvain qui hurlait : « Hé les filles, c’est nul votre musique de merde ».

1ere journée d'abdo, et ben ca fait mal. Je suis allé jusqu'au bout de mon petit ventre et j'ai cru que j'allais ne pas pouvoir manger le soir. 480, ca fait pour vous donner une idée du trente abdos l'heure (16heures) J'en ai fait au boulot aussi, je priais pour que personne ne tombe sur moi pendant l'exercice....Vive la salle de réfectoire que personne n'utilise...Aujourd'hui j'espère faire aussi bien mauis je n'en suis pas sur. Quelle idée j'ai eu en participant a ce défi :)

Enfin bon LE SEX FAIBLE n'as qu'a bien se tenir.

PS : oui oui c'est de la provoc en régle avec une pointe de machisme primal. En même temps c'est pour vous motiver les filles :)

Allez je redescend de mon arbre :)