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bonjour mes amies c est vendredi !!
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2 millions de personnes souffriraient d'une dépendance à l'alcool. Un phénomène d'autant plus inquiétant que l'excès de boisson est à l'origine de plus de 35 000 décès. Mais arrêter est une épreuve extrêmement difficile. La thérapie comportementale et cognitive propose une approche pouvant aider à trouver la voie de la sobriété. Tour d'horizon…
L'excès de boisson est un véritable problème de société. Ainsi, entre 1,5 et 2 millions de personnes seraient dépendantes à l'alcool en France.
Dépendant ou non
Le traitement de l'addiction à l'alcool se rapproche des techniques employées dans le sevrage tabagique. Là encore, la motivation est en première ligne. Mais il faut pouvoir différencier un usage nocif d'une réelle dépendance. Pour cela différents questionnaires existent.
Citons notamment le "DETA" qui, schématiquement, va poser 4 questions :
Avez-vous déjà ressenti le besoin de diminuer votre consommation
Votre entourage vous a-t-il déjà fait une remarque sur votre consommation
Avez-vous remarqué que vous buviez trop
Avez-vous déjà eu besoin de prendre un verre le matin
Si vous avez deux réponses positives ou plus, vous avez peut-être un problème avec l'alcool.
Evaluer la motivation
La motivation est bien entendue essentielle pour arrêter. Il faut évaluer à quel stade se situe la personne dans son rapport à avec l'alcool :
Stade de précontemplation : "je n'ai pas de problème" ;
Stade contemplation : "j'ai peut-être un problème" ;
Stade de préparation à l'action : "je dois faire quelque chose" ;
Stade d'action : "je prends rendez-vous pour une consultation" ;
Stade de maintien : consolidation sur sevrage .
Il peut exister un stade supplémentaire, celui de la rechute. Dans ce cas, il s'agit de d'aider à la gestion de la "crise" pour limiter les dégâts.
Des outils pour gérer ses envies
La thérapie comportementale et cognitive peut aider les personnes alcoolo-dépendantes à garder leur motivation intacte et résister aux tentations. Les différentes approches utilisées sont notamment :
Amener un feed-back : il est très utile pour la personne de noter sa consommation afin de se rendre compte de sa prise de boisson réelle. En général, dès qu'elle commence à la noter, elle réduit d'emblée la quantité d'alcool ;
Gérer l'ambivalence : Il faut qu'elle puisse gérer son opposition entre l'envie d'arrêter et celle de continuer. Le thérapeute peut l'aider à mettre en perspective et l'amener à percevoir que les bénéfices sont plus importants en cas d'arrêt ;
Augmenter son sentiment d'efficacité : la personne dépendante doit se rendre compte qu'elle peut changer.
L'hôpital Louis Mourier (Colombes) propose une prise en charge par la thérapie comportementale et cognitive en six séances, qui aborde la gestion de l'envie de boire et des situations à risque, l'élaboration de stratégies pour résister, la gestion de la colère et de l'irritabilité, et qui aide à mettre en place un plan d'urgence en cas de récidive.
Un groupe anti-rechutes
Lors du stade de maintien, il faut consolider l'abstinence et prévenir les rechutes. Des séances en groupe sont alors une aide précieuse. Selon les lieux et les personnes 6 à 12 séances sont proposées. Elles seront précédées suivies de d'évaluation pour mesurer l'effet sur l'anxiété, la déprime… Discussions et jeux de rôle pour affronter certaines situations peuvent avoir lieu. Il peut aussi être définit des exercices à effectuer à l'extérieur… Dans certains cas, des groupes sont organisés en parallèle, pour les familles et les conjoints. Car soutenir l'entourage, trop souvent négligé lors de la prise en charge, est un facteur primordial de réussite.
cet apres midi c est ma pesee chez la nutritionniste .... on va bien voir car qu est ce que je mange mal en ce moment !!!!!
hier gateau et pain au mais !!! heureusement que je donne de bon conseil aux autres !!!! desolee !!!
j ai un mal de dos surtout le bas car je suis cambrée et vu que je ne fais plus de sport et bien quand je reste assisse ou si je me plie un peu aie aie aie !!!!..
je pense passer une radio quand meme depuis le temps .....comme quoi le sport a petite dose et bien fait ca entretien vraiment tout !!!!!
j attends de voir comment ca se passe pour le boulot de bernard car je voulai me prendre un velo pour pouvoir en faire pendant que bernard reprends la course a pied et oui maintenant que l on habite la campagne et bien autant en profiter ...
mais bon on verra coté finance car pour l instant c est pas ca du tout !!!
donc je vais attendre .....
Devenez Locavore
Article du : 06/11/2008
Réalisé par :
LUGUET
Vous faites vos courses au marché ? N’achetez que des produits de saison ? Sans le savoir vous êtes peut-être locavore. C’est-à-dire que vous consommez et mangez local.
Plus qu'une simple tendance, le mouvement locavore connaît un véritable engouement au Canada et aux USA. Nés il y a trois ans sur la côte Ouest des Etats-Unis, ses adeptes entendent alléger leur bilan carbone en choisissant exclusivement des produits de leur région. Ainsi, tout ce qui n'a pas été produit, préparé et emballé dans un rayon de 160 kilomètres est interdit. Un engagement personnel qui implique une grande rigueur. Adieu, fraises, salades ou tomates en hiver ! Les locavores mangent les fruits et les légumes de leur région à la bonne saison. Sur leur marché, ils s'efforcent de combiner produits bio et producteurs locaux, et sont parfois adeptes des AMAP (voir encadré ci-dessous).
Interview : 3 questions à Pierre RABHI *
Pourquoi manger des produits locaux ?
Pour l'effet important sur l’économie locale, pour réduire les transports aberrants d’aliments courants et par conséquent lutter contre la pollution et l’encombrement des routes. Avant l’humanité subvenait à tous ses besoins avec des produits locaux. Aujourd’hui, on a dévitalisé l’espace rural.
N’est-ce pas enfermant ?
Une communauté doit pouvoir s’organiser de façon à répondre au maximum de ses besoins dans son périmètre géographique : vêtements, alimentation… Cela ne veut pas dire se fermer aux échanges. On doit échanger sur la rareté et non sur les produits de première nécessité.
Chacun de nous peut agir ?
Il n’y a pas de petits gestes anodins. On peut infléchir le cours de choses en ayant une déontologie et un art de vivre. Manger des produits locaux, c’est se montrer solidaire des gens qui sont sur notre territoire plutôt que d’enrichir les trusts de l’alimentaire.
Note : * Pierre Rabhi est agro-écologiste, philosophe, écrivain et paysan. Il vient de publier Manifeste pour la terre et l'humanisme, éditions Actes Sud. Retrouvez-le sur le site www.terre-humanisme.org et sur son blog : www.pierrerabhi.org/blog
donc voila apres la pesee et bien verdic je n ai perdu que 400 gr en 1 mois et demis .....normal je mange et pas de sport ....
bref je stagne depuis aout mais bon ca va je ne reprends pas la seule chose qui m embete c est que je perds des muscles mais pas du gras ...
donc va faloir que je me bouge le popotin et oui la chirurgie trop chere