Vous souhaitez éviter fatigue, angoisse, insomnies ou surexcitation incontrôlée ? Pensez à la relaxation !

Parole, respiration, pensée et visualisation sont à la base de cette technique.

A vous de trouver le type de relaxation qui vous correspond le mieux :

- Musicothérapie : visualisation dans un contexte musical.

- Reiki : personne allongée, yeux fermés, imposition des mails par le practicien sans jamais toucher le corps.

- Training autogène : contrôle de la respiration et des battements cardiaque sur l'indication du thérapeute. Autonomie du sujet car entraînements à des exercices quotidiens par la suite.

- Hypnose : suggestions faites pour amener le patient à un mieux-être pendant qu'il est en état de somnolence.

- Sophrologie : ton de voix neutre et régulier de la part du thérapeute pour entraîner un mode de respiration particulier et des phases de méditation chez le sujet.

La réussite d'une thérapie par la relaxation dépend de la faculté d'abandon du sujet à la technique proposée, de sa confiance envers le praticien et de sa croyance en son propre pouvoir.

Des petits conseils qui peuvent servir à tout le monde (y compris moi !) ....

-  Etre capable de s'intéresser à de nombreux sujets. 

Donner à chacun l’impression d’être intéressant, se tourner vers des personnes timides et faire participer activement ses interlocuteurs à la conversation.

- Etre clair dans sa manière de s'exprimer.

Ne pas commencer ses phrases par des « si », c’est un signe d’hésitation. 

Affirmer son avis et ses opinions sans s'excuser.

- Ne pas se dévaloriser.  

- Parler à la première personne pour endosser la responsabilité de ce que l'on pense, ressent et fait. 

Soutenir le regard de son interlocuteur (marque de sincérité). 

- Quand quelqu’un émet une critique, aller par exemple dans son sens pour éviter un accrochage.

Neutraliser les remarques négatives en tournant de manière positive un reproche que l’on nous fait.

• J'y vais seul(e) ou j'en profite pour emmener des amis ?  
• Plutôt centré sur une thématique comme la découverte d'un pays ou d'un produit ?
• Avec une durée d'une heure, d'une demi-journée ou d'une journée entière ?

Voici le genre de questions à vous poser avant de vous inscrire à un cours de cuisine ! 

Pour les débutants, n'oubliez pas de le préciser lors de votre inscription. 

Pour les gastronomes avertis, tournez-vous vers les écoles de cuisine professionnelle ou les cours des grands chefs, par exemple.

Evidemment, les prix sont variables. A Paris, un atelier de 3 heures coûte autour de 90 euros contre 70 euros en province. 

A vous de découvrir ce que vous propose votre ville !

Certains se diront que tout cela reste quand même très cher...

Pourquoi ne pas vous rassembler entre blogueuses pour partager vos petites astuces ? !

Connaissez-vous la librairie Boulinier à Paris ?

Non ?!

Il faut avouer que moi non plus avant ce week-end... Après 7 mois de vie en région parisienne, pourtant...

En général on apprécie les livres tout neufs mais finalement quand ils ont leur histoire (on est souvent amené à se dire : "Mais pourquoi son précédent propriétaire a souligné cette phrase en particulier ?" ) et qu'en plus ils sont à 1€ ou 2,50€, c'est très sympathique aussi ! 

Je vous conseille d'aller vite faire un tour au 20, boulevard Saint-Michel ! 

Ne m'en voulez pas si vous êtes amené(e) à acheter de nouvelles étagères pour votre bibliothèque !!

Petit rappel fait dans "Nutrition infos" du 3ème trimestre (Alice Benoit) :

Allergies versus intolérances 

Beaucoup de personnes amalgament allergies et intolérances. Ce qui les différencie : la mise en place de mécanismes immunologiques. Ainsi, les intolérances et les fausses allergies alimentaires miment cliniquement les réactions allergiques, mais ne mettent pas en jeu des immunoglobulines (Ig E). Par ailleurs, les intolérances sont doses dépendantes, et leurs effets métaboliques peuvent être évités en réduisant les doses d'aliment ingéré. L'intolérance au gluten, par exemple, autrement appelée maladie coeliaque, se caractérise par une intolérance permanente à une ou plusieurs fractions protéiques du gluten. Elle provoque une atrophie villositaire responsable d'une malabsorption des nutriments (fer, calcium et acide folique, en particulier). Il existe également des allergies au blé ou au gluten, qui mettent en jeu des mécanismes immunitaires différents (avec sécrétion d'Ig E), mais celles-ci sont rares. Autre exemple : l'intolérance au lactose, qui concerne 5% des adultes, se caractérise par un déficit enzymatique en lactase. A la clé : des douleurs abdominales dans les heures suivant l'ingestion du lait, une diarrhée et des gaz. Ces symptômes traduisent la disparition physiologique de la capacité à digérer le lactose. Dans pareille situation, les yaourts, fromages blancs et fromages, qui contiennent peu, voire plus de lactose, peuvent être consommés sans souci. En revanche, l'allergie aux protéines du lait de vache, qui touche  0,5 à 4% des nourrissons, est une vraie allergie alimentaire. 

Un sujet qui me tient à coeur...                     

D'après le bimestriel Cerveau et Psycho n°37 - Janvier/Février 2010 :

(Karen Schrock - journaliste scientifique à New-York)

Le pouvoir de la musique résulterait de sa capacité à détourner les systèmes cérébraux dédiés à d'autres fonctions, tels le langage, les émotions et le mouvement.

La musique déclenche des émotions qui se synchronisent chez les auditeurs.

Le chant et la danse facilitent l'attachement émotionnel, contribuant à cimenter les liens sociaux.

Les mélodies influent sur l'humeur et sur la psychologie plus efficacement que les mots.

En effet :

- Dans les boîtes de nuit, la musique est utilisée pour susciter des émotions positives, mettre les corps en mouvement et favoriser les rencontres. Ces trois aspects sont aujourd'hui considérés, à la lumière des neurosciences, comme trois des principales influences qu'exerce la musique.

- La musique stimule différentes aires cérébrales : le cortex auditif, dédié à l'audition, des centres moteurs tels que le cervelet et l'amygdale cérébrale, le carrefour des émotions.

- Dans toutes les cultures, on aime faire de la musique en groupes. On chante ou on joue d'un instrument. La musique renforcerait la cohésion sociale en tissant des liens émotionnels entre les individus.

- La musique entraînante amorce les mouvements énergiques. Cet effet expliquerait pourquoi tant de personnes aiment écouter du hip-hop ou du rock en faisant du sport.

- La tonalité chantante avec laquelle les adultes s'adressent instinctivement aux bébés pourrait activer leur capacité innée à ressentir la musique. 

Pour les casaniers s'intéressant un minimum à la musique ou à la danse ou pour ceux qui hésitent encore : repensez votre façon de voir les choses, cela ne pourra vous apporter que du positif une fois le pas franchi !

Voici un article déniché sur le site de Santé Magazine :

 Santé : faites un bilan !

(Angélique Fragnier)

"Même en étant en bonne santé, il est nécessaire de renouveler régulièrement différents examens et vaccins. Piqûre de rappel des indispensables, en fonction de l'âge et du sexe."

Voici le lien :

http://www.tendance-sante.fr/maladies-medicaments/article/detail/sante-faites-un-bilan/

Vous y trouverez :

•  Le chek-up de base : rappel antitétanique tous les 10 ans, vaccin contre l’hépatite B vivement conseillé si profession médicale ou paramédicale ou si vie sexuelle à risque (partenaires multiples), bilan dentaire annuel et surveillance des grains de beauté.

• Le bilan santé entre 20 et 40 ans : visite chez le médecin généraliste une fois par an préconisée, pour vérifier les paramètres biométriques (poids, taille, tension artérielle, etc.).

Femmes : examens gynécologiques : deux frottis cervico-vaginaux à un an d’intervalle avant 25 ans (dépistage du cancer du col de l’utérus) puis un frottis tous les trois ans. Si sous contraception orale :  un contrôle sanguin nécessaire au moins une fois au début du traitement et vaccin contre la rubéole indispensable en cas de grossesse.

• Le bilan santé de 40 à 50 ans : électrocardiogramme (ECG) de repos en cas de reprise du sport,  ophtalmologiste (presbytie), prise de sang pour contrôler la glycémie et le cholestérol et mammographie, recherche de sang dans les selles (cancer colorectal) et coloscopie si antécédents familiaux.

• Le bilan santé de 50 à 60 ans : électrocardiogramme de repos en cas de reprise du sport et éventuellement d'effort, bilan sanguin élargi tous les trois ans en fonction de l’état de santé et des particularités de la personne :

- la créatinine (santé des reins)

- un ionogramme sanguin (vérification des ions sodium, potassium, calcium)

- la numération sanguine

- le dosage de l'hormone TSH (vérification de la thyroïde)

- la vitesse de sédimentation (recherche d’inflammation)

- la recherche d’albumine, de sang et de globules blancs dans les urines (analyse urinaire)

- le bilan hépatique

- pour les hommes, un dosage marqueur de la prostate (le PSA).

+ recherche de sang dans les selles une fois tous les deux ans

Femmes : mammographie tous les deux ans, ostéodensimétrie (ostéoporose)

• Le bilan santé à partir de 60 ans : mêmes examens que pour les 50-60 ans + visite annuelle chez l’ophtalmologue : dépistage du glaucome et de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), et dépistage audiométrique (baisse de la qualité auditive), plus particulièrement en cas de troubles de l’audition.

Alors n'oubliez pas de prendre soin de vous et de vous assurer une bonne santé le plus longtemps possible !

Bonjour, je m'appelle Aurore et je suis diététicienne de Jean-Michel Cohen sur Savoir Maigrir et Savoir Réduire Son Cholestérol.

Cet espace sera notre lieu de rendez-vous : j'y partagerai tous les articles ou news qui m'auront interpellée et les sujets qui me tiennent à coeur.

A bientôt !!