Hum ! Ail ! Ho ma tête…
Pourquoi je n’arrive pas à ouvrir mes yeux, ho ma tête, mais que se passe-t-il ?
Le soleil est déjà haut dans le ciel est brille de mille feux, il fait déjà chaud et ce n’est pas un temps à être perdu sans eau. Je suis là sur le sol, j’ai l’air mal en point. On dirait que je suis blessée, j’ai du mal à bouger. je marmonne quelques mots incompréhensibles à se demander si je parle une langue précise. Non loin de là on aperçoit une grande hutte avec de grandes ouvertures en guise de portes ou de fenêtres…
Hum ! Ho mes yeux, ça brule, je n’y vois rien.
Il fait nuit, quelque part dans une grande ville. Une moto, sur le haut d’un grand immeuble, Il y a en face une grande bâtisse emplie de lumière. Une femme qui attend patiemment le signal…
Derrière les fenêtres il y a les habitués qui me regardent de façon étrange, ils se concertent mais aucun ne sais qui je suis. Ils trouvent étonnant que je ne me sois pas fait attaquer par un tigre à dents de ou un Parasaure moqueur.L’odeur du sang aurai dû les attirer. Puis en cette saison les Rhinoféroces ne font pas de cadeaux, ils chargent sans pitié aucune. Je m’agite, marmonne, je me couvre les yeux et me tient la tête en gémissant.
C’est ok pour nous Tryniti, c’est quand tu veux.
C’est parti…
La moto crisse des pneus, la jeune femme ferme la glissière de son casque et s’aplatie pour prendre de la vitesse en poussant un grand crie de guerrière. Elle démarre en trombe et s’élance dans le vide.
Hum, ma tête.
J’ouvre les yeux tout doucement.
Qu’est-ce qui se passe ?
Je regarde autour de moi désorienté sans comprendre.
Ho ce soleil, c’est étrange.
Puis je me regarde d’un air intrigué en frisant l’hystérie.
Mais où est mon blouson, c’est quoi cet accoutrement, c’est une blague ou quoi.
Puis à la limite de la folie me mets à crier.
Mais où suis-je ?
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