Martin Seligman, père fondateur de la Psychologie Positive
Bonjour !!
Donc le père fondateur de la Psychologie Positive est Martin Seligman, l'un des plus prestigieux chercheurs en psychologie, qui a été aussi le président de l'Association américaine de psychologie.
Mais au delà de son CV qui finalement m'importe peu.. c'est surtout pour ses idées et sa passion pour la Psychologie Positive qu'il participe à promouvoir avec tout son coeur que je le considère comme une référence pour moi !
Ceci dit, il n'est pas le seul évidemment .. Martin Seligman, Ray Fowler et Mihaly Csikszentmihalyi sont considérés tous les trois comme les fondateurs de la Psychologie Positive en 1998.
La Psychologie Positive est en effet une approche récente, certains parlent même de la nouvelle science du bonheur .. Mais pour moi encore une fois, il s'agit avant tout d'une philosophie de tous les jours, d'une approche professionnelle, d'un leitmotiv et d'une passion..
Allez trève de blala.. je vais donc vous en dire un peu plus aujourd'hui sur l'origine de la Psychologie Positive pour Martin Seligman.
Psychologie Positive ?
Dans un avion, Martin Seligman entame une conversation avec un homme, chef d'entreprise. Ce dernier lui évoque la créativité et l'optimisme de ses employés. Alors que Martin Seligman lui explique que lui est chercheur en psychologie et qu'il s'intéresse particulièrement au sentiment d'impuissance comme facteur majeur de dépression, ce chef d'entreprise lui pose alors une question qui sera décisive dans la vie du futur fondateur de la Psychologie Positive :
"Et est-ce que vous vous intéressez à l'autre face de la médaille ?
Pouvez-vous prévoir quels sujets ne renoncent jamais ? "
En fait, le déclic a consisté à se poser la question du bien-être des personnes d'un autre point de vue que l'origine du mal-être ..
Pourquoi n'étudierions-nous pas l'origine du bien-être
et les facteurs favorisant l'optimisme et la motivation
plutôt que l'origine du mal-être et les facteurs favorisant la dépression ? ..
Cela peut sembler proche comme processus de recherche, mais en fait non.. les résultats ne sont plus les mêmes ! Et la recherche n'a plus le même objectif ! L'approche de la Psychologie change alors de vocation :
La Psychologie traditionnelle s'intéresse à aider les personnes qui vont mal à aller bien.
La Psychologie Positive s'intéresse à aider les personnes
à aller toujours mieux qu'elles aillent bien ou mal au départ.
Voilà pour aujourd'hui.. rendez-vous dans mon prochain article pour en savoir plus sur les recherches qui ont donc été menées et surtout sur leurs résultats obtenus.
En attendant, je vous invite donc à répondre à cette question :
pffffffff dur dur ... cé des choses intéressants à réfléchir !!!
je cogite .....
biz
Bon ,le positif c'est que je reviens te voir et que je trouve un nouvel article.
Que j'ai pris le temps de le lire.
Que je suis d'accords sur le principe.
Et c'est ma philosophie depuis que j'ai 13ans , c'est à dire prendre toujours le meilleur côté du chemin de ma vie.
Mais,je pense pas que tu vas me contredire,
c'est bien souvent le mauvais coté qu'on choisi pour la facilité.
Il est plus facile de pensé qu'on arrivera plus vite en bas en prenant la ligne droite au risque de se casser les côtes, que de prendre le chemin le plus long mais sécurisé.
La téhorie c'est bien,la pratique moins bien.
Tu me conseilles un psy face à face tu sais bien que je les fuis comme la peste.
j'ai essaye mais je n'ai pu faire que trois séances, et de plus mon médecin me l'a déconseillé.
Alors ,bon, avec vous deux, ça passe ,pourquoi?
Tiens Sylviane me dit de poser MES questions et c'est toi qui les as, tu vois tu auras au moins réussi à me faire sourire.
Pourquoi, je sais bien, je ne vous vois pas, je ne vous entends pas,vous ètes un peu comme un cahier sur lequel j'écris.
Je n'attends pas de réponse,mais je pense donc je vie.
voilà ma positive attitude.
Est- elle bonne? je ne sais pas, elle me permet d'avancer , ça me suffit pour l'instant.
Je vais partir en Gironde,je vais aller à la mer et j'espère revenir en meilleure forme dans trois semaines,c'est pas gagner,avec ma belle-fille plus déppressive que moi on va faire un bon tandem,je t'assure.
Bon je ne vais pas sapper le moral de tes troupes avec mes petits problèmes
Et je risque de prendre plaisir à venir t'embêter
a plus
Pierrette
au fait : "miss" ça me plait bien .
après "caliméro "ça change
Avec les voyages que j'ai pu faire, j'ai appris aussi à relativiser sur ce que je pourrais sentir comme négatif. Dans d'autres cultures, ce que l'on perçoit comme oppressant ou négatif, est considéré comme un fait naturel avec lequel on peut continuer à s'épanouir.
Un truc tout bête. Je me souviens d'une conversation que nous avions eu, mon mari et moi, en Inde l'an dernier avec un jeune garçon de 12 ans. Il nous disait qu'il était pauvre et que donc, il devait travailler après l'école. Mais, il ne le disait pas de manière négative, en train de se plaindre... non il le disait parce que c'était la vérité et qu'il devait vivre avec. Être pauvre ne devait pas le faire s'arrêter de vivre ou d'être heureux. C'était juste une donnée à prendre en compte dans son quotidien.
Cette manière de voir la vie du côté positif malgré tout, voilà ce que j'ai aimé chez ce garçon !