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Blog de LACALLAS

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  • Conte : Bonarien
    publié le 16/01/2008 à 08:46


    De nouveau, on mesura, de l’or cette fois, avec le boisseau de la belle-sœur, la glu ne manquait pas dans le fond et Bossedur, par sa femme, apprit qu’on avait mesuré de l’or. Il questionna Bonarien qui répondit :

    -Mon cher frère, avec les cendres de la chèvre, je me suis rendu dans un village Tamang, où je les ai très bien vendues !

    Le frère était crédule, il tua ses trois chèvres et les brûla, puis se dirigea vers un village Tamang pour ten


  • Conte : Bonarien
    publié le 15/01/2008 à 08:53


    L’épouse de Bossedur, curieuse de nature, ne trouva rien de mieux que de mettre dans le fond un peu de glu. Quand on eut mesuré le sésame, on rendit le boisseau à la belle-sœur.

    Bossedur fut consterné à la vue de son champ dévasté. L’épouse furieuse l’invita alors à regarder de près le fond de la mesure. Bossedur sut que son frère était le coupable. Il décida de se venger et , la nuit, tua le buffle de Bonarien. Bonarien transporta son buffle mort dans le champ d’un brahmane et l’installa de telle façon qu’il avait l’air de brouter. Le brahmane arriva bientôt armé d’un b


  • Conte: Bonarien
    publié le 14/01/2008 à 08:55


    Bonarien était comme son nom l'indique un bon à rien. Son frère, qui se nommait Bossedur, un travailleur acharné. Bonarien aimait flâner, rêver, et sa femme en eut assez de le voir paresser :

    -Depuis que nous sommes mariés, nous n'avons rien acquis; ton frère, lui, est très prospère, il est en train de défricher de nouveaux champs, va donc travailler aussi !

    Bonarien n'était pas contrariant, il se dirigea vers les champs, s'assit sur un petit monticule de terre près de son frère en plein labeur et le regarda faire. Toute la journée il resta là à fumer, et, le soir, il rentra chez lui.

    -J'avais travaillé dur, dit-il à sa femme.

    Le jour sui


  • Blagues pour finir la semaine
    publié le 11/01/2008 à 08:24


    1) Lettre d'une blonde à son fils...

    "Mon grand,

    Je t'écris quelques mots pour que tu saches que je t'écris. Donc, si tu reçois cette lettre, cela voudra dire qu'elle est bien arrivée. Sinon, préviens-moi, que je te l'envoie une seconde fois.

    Je t'écris lentement, car je sais que tu ne lis pas rapidement.

    Dernièrement, ton père a lu une enquête disant que la plupart des accidents se produisent à quelques kilomètres de la maison, c'est pour cela que nous avo


  • Blagues dans le coin
    publié le 10/01/2008 à 08:19


    1) Un viticulteur appelle l'INAO et fait un scandale au téléphone…  
     « Vous comprenez, c'est inadmissible : ma parcelle de vigne est en bordure de l'appellation Saint Estèphe. Juste un chemin les sépare. C'est la même terre, le même soleil, la même exposition et pourtant moi je n'ai pas le droit de produire du Saint Estèphe… Mon voisin vend ses bouteilles 150 €, et je ne trouve pas d'acheteur pour les miennes si je dépasse 15 € »  
    Excédé, l'expert de l'INAO finit par lui dire : « Vous êtes marié ? » &nb


  • Conte : Un médecin, un renard, un serpent
    publié le 09/01/2008 à 08:01

    L’administrateur était un homme prudent. Il fit arrêter le jeune médecin, et jeter dans un cul-de-basse-fosse, où il l’oublia. La nouvelle de cette arrestation ne fit pas grand bruit, et même le grand seigneur, qui pour l’heure se portait à merveille, avait bien d’autres choses en tête. Mais le récit des malheurs du jeune médecin arriva au bout de quelques semaines dans la forêt. Le renard, le premier, l’apprit ; il en informa aussitôt le python. Ce dernier avait considérablement grandi ; il mesurait à cette époque trois mètres quatre-vingt dou


  • Conte :Un médecin, un renard, un serpent
    publié le 08/01/2008 à 08:12


    Le renard, qui avait recouvré son humeur courtoise, remercia longuement le médecin. Le jeune python, qui avait fait une sieste très agréable, eut du mal à quitter son nouvel ami. Mais, enfin l’étrange compagnie se sépara, et chacun retourna à ses affaires, à sa vie.

     

    Trois années s’écoulèrent au sablier du temps. Le jeune médecin avait réussi au - delà de ses espérances. La protection d’un grand seigneur, dont il avait heureusement soigné une horrible enflure à la jambe, lui valut une riche clientèle. Il était demeuré bon et compatissant, attentif aux pauvres ge


  • Suite du conte :
    publié le 07/01/2008 à 08:24


    Soudain, il aperçut un serpent python qui essayait désespérément de se maintenir à la surface. Il tendit spontanément la main pour lui porter secours, mais le renard, levant haut son museau pointu, s’exclama : « Cher monsieur, avez-vous perdu la raison ? Laissez cet horrible reptile se noyer. Il n’y a pas assez de place sur cette planche pour nous trois ! » Le médecin s’obstina et réussit à tirer hors de l’eau le jeune serpent. A peine sauvé, celui-ci se glissa voluptueusement sur les genoux de son protecteur, qui posa une m


  • Suite du conte (qui est assez long) Un médecin, un renard, un serpent
    publié le 04/01/2008 à 08:48


    Il contemplait le désastre, ballotté sur son morceau de porte, au milieu des flots boueux, quant il aperçut un renard, au pelage roux sombre, l’œil éteint, la queue trempée, rabattue, qui se noyait à quelques mètres de lui. Il se pencha aussi loin qu’il put en dehors du radeau improvisé, et tendit la main au renard. La tentative était périlleuse, et le médecin faillit perdre l’équilibre. Mais, il réussit à ramener le goupil sur la planche à côté de lui.


  • Conte : Un médecin, un renard, un serpent (suite demain)
    publié le 03/01/2008 à 09:12


    Il y a de cela des ères et des ères, au - delà même du souvenir… vivait dans l’Etat de Jambdivida un jeune médecin, doué de tous les talents, qu’un chagrin d’amour contraignit à l’exil. Il erra longtemps sur les routes de l’Inde, et finit par arriver dans une province inconnue, où il résolut de se fixer. Ce médecin était un homme bon, il pratiquait les *« quatre incommensurables », et sa compassion envers tous les êtres vivants respectait la règle des dix vertus.(*Voeux d'être intègre en tout et envers tous)



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