Désir, incroyable ce que peut recouvrir ce petit mot de cinq lettres ! Des choses conscientes, d'autres refoulées, des envies sages ou totalement débridées. Les femmes en parlent entre elles, les hommes entre eux, chacun évalue à son aune sa capacité à désirer l'autre, est-on dans la norme ? ou sommes-nous des refoulés ? Ah ! oui, on en cause... sauf en couple ! ou si rarement que ç'en devient anecdotique. En voyant nos amis je me demande pourquoi était-il si difficile d'aborder le sujet du désir entre partenaires amoureux. Qu'est-ce qui nous retenait d'aborder ce sujet pourtant crucial, quand il s'agit de la santé du couple ? pudeur ? honte de livrer ouvertement ses envies (ou non-envies) ? peur de heurter l'autre en lui avouant que le désir qu'on éprouve pour lui se raréfie ? de se voir juger ? jauger, peut-être ?de ne pouvoir assumer les envies de l'autre ? de se rendre compte que notre pouvoir de séduction n'a plus la cote ? Quelle part de complexes se cachent sous nos silences ? Dans bon nombres d'histoires drôles, les hommes sont présentés comme des obsédés, les femmes comme des frigides migraineuses. Mais quelle est la part du folklore, et celle du réel ? Ne sommes-ns pas finalement victimes de petites phrases assassines qui ns culpabilisent soit de trop désirer, soit de ne pas avoir assez souvent envie ? Où est la norme, d'ailleurs ? Existe-t-elle, même ? Et surtout, doit-elle exister ?

Dans ce monde virtuel
les mots parfois se veulent si cruels...


Les mots sont tous bien rangés dans le dictionnaire
Et pourtant ils prennent vie dans notre imaginaire,
Exprimant sans détour les plus pures vérités
Ou se drapant d'atours pour mieux dissimuler
Les plus noirs desseins, les pires ignominies,
Les mots sont-ils sincères ou bien de faux amis ?

Ils nous laissent entendre, qu'ils ne sont pas fragiles
Et puis ils se révèlent colosses aux pieds d'argile,
Se fissurant au joug de la lumière crue
De l'authenticité qui vient les mettre à nu,
Révélant sans nul doute les coupables mensonges,
Les abîmes de tourments où leur auteur vous plonge.

Ne servant pas de masque, se présentant limpides
Les mots perdent alors leur humeur perfide,
Véhiculant souvent sans aucune pudeur
Les plus belles émotions vécues dedans le cœur
De celui qui par eux, sans défense, se livre
Confiant envers ceux qui ouvriraient son livre.

Faut-il interpréter, faut-il juste comprendre ?
Convient-il d'écouter ou est-ce mieux d'entendre ?
Les écrits qui restent, les paroles qui s'envolent,
Les idées qu'on déteste, les méchancetés qui collent,
Les phrases qui caressent, les chansons qui apaisent,
Les confessions sincères, les rancoeurs mauvaises.

Les mots n'ont pas et parfois loin s'en faut
Une volonté propre à vivre sans défaut.
Les âmes qui les tressent ne sont pas toujours nobles
Comme le faux nectar né d'un mauvais vignoble.
Il nous faut séparer le bon grain de l'ivraie
Pour n'être pas à terre, pour n'être pas blessé.

Ils ne sont que des mots que des cerveaux mauvais
Détournent de leur sens, débauchent de leurs idées
Dans le but de faire mal, cherchant des proies faciles
Pour assouvir veulement une haine imbécile.
Au sein de bavardages amis, respectueux
Perdus parmi la foule, hélas, on ne voit qu'eux...

Jetez vous vos tickets de caisse, mégots, couches, canettes de soda, paquets entamés etc.

Evidemment personne ne vas me dire moi et pourtant tous les jours les societes de nettoyage sur les parking des hypers ou sur les trottoirs de nos belles villes oeuvrent dès 4h du matin et jusqu'à 22h pour nettoyer et encore nettoyer d'autant qu'une rue faite ou un parking nickel chrome à 8h30 est dans un état deplorable à 9h.

Mes collegues des centres de tri et d'incinération sont affoles par la quantité de produit alimentaires qui sont collectés sur la voie publique des paquets à peine entamés de gateaux, des pizzas vendus par 3 et ou il reste 1 ou 2 pizzas dans le carton et la liste est longue .Pour ma part j'ai vu au moment de la quete pour la banque alimentaire lors d'une de mes inspections des gens qui venaient de donner arriver à leur voiture jeter un paquet de mikado à peine entamé.

QUE FAIRE POUR INCITER NOS CONCITOYENS A PLUS DE CIVISME.

Je ne sais pas, peut etre une greve de 48h des employés publics et prives de nettoyage pour montrer aux français que meme si l'on ramasse les poubelles chaque matin , une ville peut tres vite se transformer en decharge et cela uniquement à cause d'un manque de civisme.

A moins que chacun d'entre nous soyons capable de sermonner ceux pris en flagrant delit de pollution urbaine.

Jour après jour, au fil des mois, des années, il dépose ses marques à l'encre indélébile.

Il coule, en eau calme et pourtant impétueuse, sans que rien puisse faire obstacle à sa course perpétuelle.

Il est parfois en colère nous essayons de rattraper le temps mais nul ne le peut.

Il dessine autour de nos sourires, des yeux de longues griffures, comme autant de témoins des jours enfuis.

Sa patine couvre de sagesse les doutes les plus sombres et les rêves les plus fous.

Il atténue de son souffle les coups du sort et couvre de tendresse les coups de coeur.

Il éclaircit les chevelures et laisse au bord des lèvres le goût de miel des baisers si doux.

Il passe, inexorable, et laisse dans son sillage la richesse des joies et des chagrins, la douceur des souvenirs et des regrets aussi.

Il ouvre son éventail de chaque demain et garde au creux de son ombre les traces de toute mémoire.

..

Le temps... sablier de l'infini...

Dans ce monde virtuel
les mots parfois se veulent si cruels...


Les mots sont tous bien rangés dans le dictionnaire
Et pourtant ils prennent vie dans notre imaginaire,
Exprimant sans détour les plus pures vérités
Ou se drapant d'atours pour mieux dissimuler
Les plus noirs desseins, les pires ignominies,
Les mots sont-ils sincères ou bien de faux amis ?

Ils nous laissent entendre, qu'ils ne sont pas fragiles
Et puis ils se révèlent colosses aux pieds d'argile,
Se fissurant au joug de la lumière crue
De l'authenticité qui vient les mettre à nu,
Révélant sans nul doute les coupables mensonges,
Les abîmes de tourments où leur auteur vous plonge.

Ne servant pas de masque, se présentant limpides
Les mots perdent alors leur humeur perfide,
Véhiculant souvent sans aucune pudeur
Les plus belles émotions vécues dedans le cœur
De celui qui par eux, sans défense, se livre
Confiant envers ceux qui ouvriraient son livre.

Faut-il interpréter, faut-il juste comprendre ?
Convient-il d'écouter ou est-ce mieux d'entendre ?
Les écrits qui restent, les paroles qui s'envolent,
Les idées qu'on déteste, les méchancetés qui collent,
Les phrases qui caressent, les chansons qui apaisent,
Les confessions sincères, les rancoeurs mauvaises.

Les mots n'ont pas et parfois loin s'en faut
Une volonté propre à vivre sans défaut.
Les âmes qui les tressent ne sont pas toujours nobles
Comme le faux nectar né d'un mauvais vignoble.
Il nous faut séparer le bon grain de l'ivraie
Pour n'être pas à terre, pour n'être pas blessé.

Ils ne sont que des mots que des cerveaux mauvais
Détournent de leur sens, débauchent de leurs idées
Dans le but de faire mal, cherchant des proies faciles
Pour assouvir veulement une haine imbécile.
Au sein de bavardages amis, respectueux
Perdus parmi la foule, hélas, on ne voit qu'eux...

Tu ne connais pas ton bonheur de pouvoir cueillir une fleur c'est si facile avec tes doigts pense à ceux qui n'en ont pas, de t'exprimer selon ton coeur c'est si facile avec ta voix pense a ceux qui ne peuvent pas, la nature dans sa splendeur s'offre à toi regarde là pense à ceux qui ne voient pas, écoute cet oiseau siffleur trouve-t'on plus beau que ce chant là ? Pense à ceux qui n'entendent pas, être aimer par l'âme soeur pouvoir la serrer dans tes bras pense à ceux que l'on n' aime pas prends conscience de ton bonheur estime-le à sa juste valeur alors tout s'é clairera si tu penses à tout ceux-la !!!

cette nuit je bosse alors a demain les amies

Un professeur de philosophie se présente un jour devant la classe avec une série d'objets inhabituels qu'il pose sur son pupitre, face à ses étudiants.

Le silence intrigué de l'assistance étant acquis, le professeur prend un bocal de cornichons (vide) et commence par le remplir jusqu'au bord supérieur de pierres d'un diamètre situé entre 6 et 7 cm.

Une fois ceci terminé, il demande à la classe si le bocal est rempli.

Les élèves répondent que oui.

Le professeur prend alors un sachet rempli de gravillons et le verse dans le bocal. Il agite le tout, pour égaliser, et voilà que le gravier remplit tous les espaces encore vides.

Après avoir complété cette manipulation, le professeur demande une fois encore si le bocal est maintenant bien rempli. La classe répond, hilare et intriguée, que oui.

Le professeur se saisit alors d'un petit sac de sable et en verse le contenu dans le bocal. Évidemment, le sable se fraie un passage dans les interstices qui sont encore disponibles, au grand contentement de la classe.

Voyez-vous, dit le professeur en s'adressant à ses étudiants, j'aimerais que vous compariez ceci à votre propre existence:

« Les grosses pierres représentent les choses véritablement importantes, comme la famille, le couple, la santé, les enfants. Ces choses qui font que, même si vous perdez tout le reste, votre vie n'en demeurera pas moins remplie.

« Les gravillons représentent, quant à eux, les choses qui sont importantes, mais non essentielles, comme le travail, la maison, la voiture ».

« Enfin, les grains de sable peuvent être comparés aux choses sans importance ».

« Si vous commencez par mettre le sable dans le bocal, il ne restera plus assez d'espace pour le gravier ou les pierres ».

Il en va de même avec votre vie :
Si vous gaspillez votre disponibilité et votre énergie pour les petites choses, il ne vous restera jamais assez de temps, ni de place, pour ce qui est essentiel à votre bonheur

Je suis né Blanc ! L'origine pourrait être Africaine ou autre, découvrant que les Blancs ont celle-ci géographiquement au même titre que les Africains. Et de ces couleurs de peau, je me moque royalement, sachant que depuis l'aube de l'humanité, la sexualité reproductrice de la gent humaine s'est depuis longtemps débarrassée de ce détail pour préserver l'espèce, ce qui prouve encore plus que la peau n'est pas affaire de race, mais de contexte génétique dont le code n'est en rien discriminatoire.
Car il me semble que naissant violet, il arrive que l'on soit blanc de rage, rouge de colère, bleu au froid…(vous en aurez surement d'autres !!!).
Aussi, fruit d'utérus successifs dont personne n'a, à déterminer la couleur, plus beau et plus pur dans l'humanité n'est pas la couleur de peau, mais l'amour, la solidarité et la tolérance.

Le racisme est un sujet qui concerne tout invidividu de notre société. A tout moment chacun peut être confronté au racisme, quel que soit son sexe, sa couleur, sa religion ...

Je connais des voix pleines, et qui me remplissent de leur vibration, qui me nourrissent, qui m'enrichissent...je connais des voix qui m'envahissent comme une musique bienfaisante, qui chantent et vibrent en ondes de fougue et de vie...

Je connais des voix vides, ou qui me vident de ma substance...je connais des voix monocordes qui ont oublié comment c'était de grimper vers l'enthousiasme, qui sont rentrées dans le rang de la médiocrité, de la grisaille... des voix mortes.

J'aime les voix de ceux que j'aime...leur symphonie....au téléphone jpx y passer des heures, je reconnais les voix, des sons que j'aime. Les mails et sms , même s'ils véhiculent des mots profonds et tendres, me prive de mon essentiel : la voix, la voix, la voix.....