Une journée où je suis pas du tout d'accord avec mon alimentation. Pas de viande ni de poisson ni d'oeuf mais des conneries. Au total, pas assez de kcal (je répète : je n'aime pas consommer moins que les besoins que réclament mon corps pour fonctionner correctement, à savoir environ 1600kcal/jour).
Seulement voilà, la nuit dernière, je me suis endormie 2h, puis insomnie pendant 4h. On peut pas dire que ça soit très reposant, même si j'ai finalement réussi à me rendormir vers 4h du mat. Il faut dire aussi que les dernières semaines, j'ai mit mon rythme à rude épreuve en dormant de manière entrecoupée en août et en étant totalement déréglée à cause de mes exams en septembre.
Comme je l'ai déjà dit, chez moi, qualité de sommeil et qualité alimentaire vont souvent de pair. Le problème c'est qu'aujourd'hui, je me suis levée, j'ai pas petit dej parce que c'était presque l'heure du déjeuner, du coup au déjeuner j'avais pas vraiment très faim, au dîner j'ai été calée à une vitesse grand V, ce qui ne m'a pas empêché de manger des conneries.
Par contre j'avais pas envie de manger de viande aujourd'hui. Ca m'arrive de plus en plus souvent. J'aime ça, je n'ai pas de convictions qui m'en empêchent (je considère l'homme comme omnivore et je pense que la viande fait partie intégrante de son alimentation) seulement voilà, il y a des jours où j'ai pas du tout envie d'y toucher... et ça arrive de plus en plus régulièrement. Seul hic, à la fin de la journée, cet apport et ces calories manquantes se font ressentir. Tout accumulé, j'ai la tête qui tourne un peu là, et être restée une bonne partie de la journée devant l'ordi n'arrange rien. Demain, je vais acheter du steack haché du cheval (oui je sais, pour certains il est impensable d'en manger, personnellement, ça ne me choque pas plus que de manger une vache, je ne vois pas en quoi l'un serait choquant et pas l'autre, comme si un cheval valait mieux qu'une vache... bref !) en espérant que cela m'inspire, en temps normal j'aime beaucoup ça et c'est une viande très bonne en termes nutritifs. Le tout c'est d'espérer que ça passera une fois dans mon assiette, que je ne réfléchirai pas trop et que ça ne me rebutera pas. Ca fera du bien...
Autre souci, les quantités consommées aujourd'hui ça va pas non plus. Je devrais être contente, c'est souvent la partie la plus difficile pour moi quand il faut rééquilibrer, arriver à limiter les quantités. Le "hic" c'est que l'estomac prend l'habitude qu'on lui donne. On peut manger beaucoup et n'être rassasié qu'au bout d'une certaine quantité puis habituer son estomac à réduire ses besoins. Mais quand on l'habitue à se contenter de pas trop manger, augmenter les quantités devient aussi un exercice compliqué. Enfin, si je remplace les quantités de conneries du jour par de l'alimentation saine, peut être que cela suffira...
