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Sous la direction d’Alain HOUZIAUX, Paul-Laurent ASSOUN, Jean-Denis BREDIN, Marie de HENNEZEL.Les Editions de l’Atelier, 2003Extraits par Henri Charcosset
Introduction, Alain Houziaux, page 9-24
Page 9, Lorsque nous vieillissons, nous avons l’impression de rester le même et que c’est le monde et les autres qui changent… Nous ne nous voyons pas vieillir.
Page 11, Une vie diminuée? Vieillir nous fait peur, pourquoi?… Cela se fait insensiblement…. Les menus plaisirs de la vieillesse nous procurent la même quantité de plaisir que les plaisirs soit disant intenses de la jeunesse….Les personnes âgées ne souffrent sans doute pas autant de leur vie étriquée qu’on pourrait le penser.
Page 12, La peur de vieillir. Ce qui est éprouvant, ce n’est pas tant le fait de vieillir, c’est plutôt la peur de vieillir… En fait la vieillesse autorise une certaine liberté. L’homme âgé est libre parce qu’il n’a plus rien à perdre, ni à gagner, ni même à conserver.
Page 14, Comment accepter de vieillir ?En s’y prenant très tôt. De façon générale, il faut « faire son deuil » avant d’être effectivement en deuil… Il faut « travailler à vieillir » avant d’être vieux… Ce travail de deuil à propos des pertes subies à chaque âge de la vie est essentiel, il permet d’aborder la vieillesse en douceur.
Page 15, L’ennui et le sentiment d’inutilité. La solitude ne devient pénible que lorsqu’elle suscite l’ennui…. L’ennui n’est pas l’apanage de la vieillesse. On ne s’ennuie pas forcément quand on est vieux… Le remède à l’ennui, c’est le contraire même de l’activité. C’est la paresse ! L’ennui c’est souffrir de ne rien faire. La paresse, c’est jouir de ne rien faire.On peut enfin s’adonner à l’essentiel de la vie : la rêverie et le goût de la contemplation. Plus une personne est dépendante et inutile, plus elle est utile. Parce que de la sorte, elle permet à d’autres de devenir utiles.
Page 19, Mourir guéri.«Guéri de la vie», de ses souffrances et de ses blessures. Mourir guéri, c’est mourir réconcilié avec la vie et avec sa vie. Sans doute faudrait-il concevoir la vieillesse comme une forme de convalescence, afin de mourir guéri des épreuves que l’on a dû endurer pendant son existence… Mourir guéri, c’est mourir consolé d’avoir vécu sa vie.
Ces petites phrases m'aident à avancer, Pas vous ?
Je passe en coup de vent vous donner de mes nouvelles.
Mon évaluation PNL est terminée.
Elle était composée d'un écrit d'un peu plus de trois heures: des définitions, souligner les prédicats dans un texte de GIONO, décrire un protocole, interrogation sur le méta modèle quels sont les présupposés en PNLet pour finir qelle est votre définition personnelle de la PNL.
D'un rapport sur un entretien praticien-sujet en vidéo
D'une mise en situation : un sujet un praticien un observateur : être chacun son tour l'un des personnages. En tant qu'observateur faire un compte renduécrit de ce que l'on a observé chez le praticien :
établissement du rapport, conduite, utilisation de quel protocole etc...
voilou. Je pense m'en être pas trop mal sortie.Résultats fin janvier
Par contre j'ai bien conscience qu'au niveau de la pratique, j'ai encore du chemin à parcourir, beaucoup.....Il faut dire qu'il était recommandé par notre professeur de se réunir entre les stages pour mettre en oeuvre de la pratique et que cela ne s'est pas fait, chacun restant dans son réseau.La plupart exerce déjà comme psy ou comme coach Vu que je suis au foyer et ben j'ai pas pu beaucoup oeuvrer comme on dit cela m'a manqué.
Ceci dit certains de mes partenaires sont déjà trés performants avec un talent certain et cela a été un régal de les voir pratiquer lors des exercices.
Maintenant, je vais faire un break, la maison est restée huit jours sans entretien, le repassage je ne vous en parle pas, me remettre à rafraichir la maison en vue de la vente et surtout préparer les fêtes, me plonger dans un livre,être plus présente sur le site et réfléchir à mon futur proche.
J'ai une pensée pour vous toutes, en particulier pour MONEC.
EN SURFANT SUR LE WEB IL M'ARRIVE SOUVENT DE TOMBER SUR DES ARTICES QUE J'AURAIS PU OU VOULU ECRIRE.
EN VOICI ENCORE UN D'AUDREY BERUBE MEMBRE DE CONVERSATION PAPILLON
Vous connaissez probablement cette citation d’Albert Einstein qui dit : "La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre à un résultat différent ".
A ce sujet, je sais qu’il nous arrive tous, à un moment ou à un autre, de rester enliser dans de vieilles habitudes. Souvent celles-ci ne nous servent plus et c’est alors que notre vie devient trop routinière, monotone et qu’il nous manque du piquant. Finalement, cela se reflète dans nos états d’être.
Pour expérimenter du nouveau dans notre vie, et même transformer celle-ci sous différents aspects, nous devons nous ouvrir à la nouveauté et lorsque nous demeurons dans nos habitudes, cela nous ferme à plein de possibilités.
Changer certaines de nos habitudes de temps à autre nous donne la chance d’observer ce qui se passe d’un autre point de vue ou d’un angle totalement différent.
Je considère qu’il ne faut pas attendre que la vie nous pousse malgré nous à faire des changements, mais plutôt d’en provoquer parfois. Commencer par de petits changements peut s’avérer une bonne façon de s’adapter à des changements plus grands.
Avant d’effectuer un changement, nous pouvons nous demander : " Quelle est la pire chose qui pourrait arriver si je faisais ce changement? Et si ce pire arrivait, serais-je capable de le gérer? "
Nous pouvons toujours choisir de faire des changements ou non. C’est à chacun d’entre-nous, et à personne d’autre, d’en évaluer le risque. Si l’idée de pouvoir faire ce changement nous apporte de la joie, du bonheur, c’est alors que nous savons quoi faire.
La vie est en perpétuel changement, que nous le voulions ou non. Tout se transforme de plus en plus à une vitesse éclair et si nous ne suivons pas le courant, c’est là que des malaises peuvent s’installer en nous.
N’attendons pas ces signes de la vie pour nous faire agir et nous transformer. Commençons graduellement en recherchant ce qui nous fait du bien quand on y pense, puis passons à des actions inspirées qui nous permettront de se réjouir de suivre ce courant de beauté et de bonté que la vie nous offre.
Bref, si nous désirons des résultats différents, modifions graduellement nos pensées et nos vieilles habitudes. Nous en récolterons une satisfaction intérieure qui fera nous sentir plus vivant, plus vibrant lorsque nous passerons à l'action !
Vous reconnaissez vos vraies amies lorsqu'elles ont besoin de vous ou quand vous avez besoin d'elles. Pour vous, l'amitié est un besoin, une nécessité dans la vie. Vous êtes quelqu'un qui, en général, demande assez peu mais vous n'êtes pas prête à pardonner celui ou celle qui vous refuse son secours alors que vous l'avez sollicité. Vous êtes très attachée à l'idée de rendre service car pour vous, une amitié doit être sans cesse relancée, éprouvée et démontrée. Quand vous aidez quelqu'un sans y être contrainte, c'est toujours à vos yeux un acte d'amitié. Pas étonnant que vous comptiez autant d'amis, hommes et femmes...
Dont acte ! pourtant je pense qu'en amitié comme en amour il ne doit pas y avoir d'exigence
seulement de la clarté dans la relation, de la sincérité un état d'être inconditionnel
je n'ai jamais vécu l'expérience d'un refus d'aide signifiant de la part de mes amis et je ne cherche pas à rendre service " à tout prix" et c'est vrai que je demande également assez peu :
de la chaleur et des marques d'affection ça oui j'en ai besoin :=)
Cela fait quatre ans que j'en suis éloignée mais je sens en moi leur présence et la force de leur amitié. je les aime.
Si, d'une part, vous ne deviez seulement demeurer qu'avec vos désirs et préférences et si, d'autre part, vous ne deviez jamais vous égarer à même l'exigence que vos désirs et préférences soient absolument satisfaits, il va de soi que vous ne vous perturberiez que très rarement et ce, à propos de quoi que ce soit.
J'avoue que la présente affirmation sous-tend un certain perfectionnisme. Toutefois, je suis convaincue que vous pouvez arriver à comprendre celle-ci par simple et pure logique. Je m'explique.
De manière générale, vos préférences s'expriment comme suit:
"J'aimerais beaucoup obtenir le succès, l'approbation des autres ou le confort. Toutefois, rien ne prouve que je doive absolument obtenir ceux-ci. Si je devais ne pas obtenir le succès, l'approbation des autres ou le confort, je n'en mourrai pas. Je pourrai encore être raisonnablement heureux - peut-être pas aussi heureux, mais heureux quand même - sans l'obtention partielle ou totale de l'objet de mes désirs."
"Je déteste l'échec, le rejet ou l'inconfort. Toutefois, si je devais expérimenter ces inappétences, non seulement je pourrai le supporter, mais je ne m'effondrerai pas. Je pourrai encore être raisonnablement heureux - peut-être pas aussi heureux, mais heureux quand même - si je fais l'expérience de l'échec, du rejet ou de l'inconfort dans ma vie."
Toutefois, lorsque vous insistez que vous devez toujours avoir ou faire une chose quelconque, vos exigences s'expriment généralement comme suit:
"Parce que je désire obtenir le succès, l'approbation des autres ou le plaisir, je dois absolument - sous toutes conditions pratiques - obtenir ceux-ci. Et si je ne reçois pas le succès, l'approbation des autres ou le plaisir - lesquels je dois absolument obtenir - ce sera affreux et épouvantable. Je ne pourrai le supporter. Non seulement cela fera de moi une personne de piètre valeur, mais le monde sera pour moi un horrible endroit où vivre. Et comme j'ai la certitude que je n'obtiendrai jamais ce que je désire, je ne pourrai jamais être heureux."
Il va se soi que si vous pensez de cette manière rigide, vous ressentirez fréquemment les morsures de l'anxiété, de la dévalorisation, de l'hostilité, du découragement et de l'apitoiement. D'ailleurs, fort à parier que vous avez déjà fait cette douloureuse expérience! Toutefois, rassurez-vous: il en est de même pour tout un chacun... et pour moi aussi!
…….
l'anxiété sévère et la rage - proviennent largement de pensées grandioses propres à l'exigence.
"Même lorsque je me sens inférieur et inadéquat?", demandez-vous. Et oui! Au risque de vous surprendre, même l'émotion de dévalorisation demeure ironiquement le résultat de vos exigences!
CHANTAL BEAUPRE
Retrouvez l’intégralité du texte http://chantalbeaupre.typepad.com/alafinepointedesemotions/
LILIREVE coachée par MONEC: j'aimerai affiner ma silhouette, je déteste stagner dans ma perte de poids comme en ce moment, mais je choisis de ne pas en faire une exigence et de conserver ma joie de vivre et de ne pas m'apitoyer ni me décourager
* SE PERMETTRE DE COMPRENDRE ET D’ACCEPTER AUTRUI SANS ARRANGEMENT
« M’accepter tel que je suis, permettre à l’autre personne de s’en rendre compte, est la tâche la plus difficile que je connaisse et je n’y réussis jamais pleinement. Mais le seul fait de me rendre compte que c’est là ma tâche a été très enrichissant »
« Ouvrir des voies de communication qui permettent aux autres de me faire part de leurs sentiments et de leur univers tel qu’ils le perçoivent »
Consentir à la différence manifestée par la subjectivité d’autrui, agréer des relations nettement opposées à ses projets, ne dissout pas la force du moi mais l’alimente. Il se produit comme un renforcement des potentiels réciproques, des tonalités respectives.
« Il est toujours enrichissant pour moi de pouvoir accepter une autre personne »
Quand cela est rendu possible, car cette constatation ne signifie nullement un état de consonance permanent, obtenu sans effort ni sans délai, devant n’importe quelle personne ou dans n’importe quel groupe. Et elle ne conduit nullement à un besoin impulsif d’accommodement qui reviendrait à une complicité ou une dépendance. Au contraire pose Rogers « Plus je suis prêt à reconnaitre ce qu’il y a en moi et chez l’autre, moins j’ai le désir d’essayer d’arranger les choses »
* L’EXPERIENCE GUIDE
« Chaque fois que j’ai fait confiance à un sentiment interne et non intellectuel, j’ai découvert la sagesse de mon action »
C’est que cette confiance accordée en profondeur à ce que ressent et pressent naturellement dans le moment un individu se relie à une conception intense de l’expérience.
« La vie dans ce qu’elle a de meilleur est un processus d’écoulement, de changement, où rien n’est fixe mais où des opérations positives sont possibles »
* L’ORIENTATION POSITIVE
« Mon expérience m’a montré que fondamentalement tous les hommes ont une orientation positive »
« Lorsque les personnes sont valorisées et qu’on leur donne la liberté de sentir et d’être, certaines orientations apparaissent dans le choix des valeurs. Ces orientations n’ont rien de chaotique, mais au contraire surprennent par leur caractère convergent »
C.Rogers : « c’est dangereux d’exprimer des sentiments vrais et spontanés. C’est destructeur car une telle expression peut démolir les défenses intellectuelles des autres, érigées avec tant de soin….
l’expression ouverte, sans inhibition, des sentiments chaleureux est quelque chose qui vous rend à tout le moins mal à l’aise, et au pire vous fait peur et vous rend exagérément prudent et négatif » ….. « J’ai appris que ce n’est pas dangereux ni de donner ni de recevoir des sentiments chaleureux et positifs »
« L’expérience clinique montre que bien souvent les sentiments les plus profondément refoulés sont nos sentiments positifs, d’amour, de bonté, de confiance »
« Les dits sentiments sont en fait redoutés parce que leur expression ou leur réception met en position vulnérable et en risque de dépendance. Si je dis à quelqu’un ‘je vous aime’ je suis vulnérable et je m’expose à être rejeté d’une façon effroyable. Si je dis ‘je vous hais’ je m’expose tout au plus à être attaqué et là je puis me défendre »
A ceux qui le taxent de légèreté et d’oubli des réalités criminelles ou morbides C.Rogers réplique « Je suis tout à fait conscient du fait que, par besoin de se défendre contre des peurs internes, l’individu peut en arriver à se comporter de façon incroyablement cruelle, horriblement destructive, immature, régressive, anti sociale et nuisible. Il n’en reste pas moins que le travail que je fais avec de tels individus, la recherche et la découverte des tendances très positivement orientées, qui existent chez eux comme chez nous tous, au niveau le plus profond, constituent un des aspects les plus réconfortants et les plus vivifiants de mon expérience »
* S’ECOUTER, S’ACCEPTER SOI-MÊME
Car il n’est pas commode de s’accueillir, de s’écouter soi même.
Une personne n’accède pas nécessairement à toutes les informations, à toutes les harmoniques qui l’habitent : elle peut différer ou disjoindre les prises de conscience, les notes, qui tendent à émerger en elle ; elle peut établir des préférences sur certains de ses sentiments ou de ses attirances et se détourner partiellement de soi ou d’une partie de soi, refusant par exemple ses imperfections ou dissonances. Ce faisant elle désintègre partiellement le processus d’unification et de « résolution » ou décision qui est à l’œuvre dans sa subjectivité, elle désaccorde sa « présenciation » à elle-même, elle diminue ses chances d’action et de relation : elle diminue sa possibilité de « vérification » dans la rencontre d’autrui. Elle diminue sa tension réelle, assourdissant sa tonique. « Mon intervention est plus efficace quand j’arrive à m’écouter et à m’accepter et que je puis être moi-même » Intervenir sur les autres personnes suppose au préalable, convenir de soi et donc de ses défauts et limitations de sa tessiture en ce que celles-ci sont constitutives de l’articulation de notre subjectivité par rapport à celle des autres.
* LIMITATION ET NEGATION
« Lorsque je puis accepter d’avoir de multiples défauts et lacunes, de commettre de nombreuses erreurs et d’être souvent ignorant là où je devrais être bien informé, d’avoir des préjugés là où je devrais avoir l’esprit largement ouvert, d’éprouver des sentiments qui ne sont pas justifiés par les circonstances,- alors je puis être beaucoup plus réel, plus authentique. De même, en ne portant pas d’armures et en ne faisant rien pour me montrer différend de ce que je suis, j’apprends beaucoup plus même à partir des critiques et de l’hostilité -, je suis beaucoup plus détendu et je puis être beaucoup plus proche d’autrui. En outre le fait que j’accepte de me montrer vulnérable entraine chez les autres tellement plus de sentiments réels à mon égard que j’en suis vraiment récompensé »
La négation (niée) des fantasmes par le contact vital des limites rend les relations à soi et à autrui plus réelles et plus intenses. « Plus l’individu s’accepte fini, plus reculent ses limites, plus il apparait comme un champ d’être toujours en expansion »
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