Android Pay faisait partie des nouveautés les plus intéressantes de celles qui ont été dévoilées par Google durant sa dernière conférence I/O.

Et alors que le lancement de la version stable d’Android Marshmallow n’est plus très lointaine et qu’Apple vient de présenter ses nouveaux produits, Google lance Android Pay aux Etats-Unis.

A l’instar d’Apple Pay, Android Pay se base sur la technologie NFC et pourra être utilisé avec les scanner d’empreintes digitales que le système d’exploitation Android va supporter nativement à partir de la version 6.0 de celui-ci.

Cependant, ce scanner ne sera pas obligatoire, puisque comme le précise Google dans un billet de blog, les seules conditions pour payer avec Android Pay seront d’avoir d’un téléphone doté d’une puce NFC et que celui-ci tourne sous la version Kit Kat.Pour la compatibilité, Android Pay va supporter les cartes American Express, Discover, MasterCard et Visa, délivrées par une liste de banques américaines.

Certains grands noms comme Citi et Fargo manquent à l’appel, mais Google affirme qu’il ajoutera plus d’établissements à la liste au fur et à mesure.Théoriquement, Android Pay pourra être utilisé pour faire des paiements sur tous les terminaux « tap and pay » ou, si vous voulez, tous ceux qui sont déjà compatibles avec la technologie NFC.

Et la firme de Mountain View affirme qu’au lancement, son nouveau système de paiement mobile pourra être utilisé dans plus d’un million d’endroits à travers les Etats-Unis.L’application Android Pay pourra être téléchargée sur le Play Store et sera même préinstallée sur les nouveaux smartphones compatibles vendus par les trois principaux opérateurs téléphonique américains, à savoir Verizon, AT&T et Sprint.

Sinon, concernant les utilisateurs de Google Wallet, voici les explications de la firme de Mountain View : « Si vous êtes un utilisateur de Google Wallet, vous serez en mesure d’accéder à Android Pay grâce à une mise à jour de votre Application Wallet ».En revanche, aucune mention n’est faite d’une éventuelle arrivée du système de paiement en Europe. La concurrence peut donc encore dormir sur ses deux oreilles.

Mercredi soir, Apple a dévoilé pas mal de choses, pour ne citer que l’iPad Pro de plus de 12 pouces (avec son stylet et son clavier à la Surface), les nouveaux iPhone 6S et 6S Plus, ou encore Watch OS 2.

Mais si vous pratiquez le binge-watching, il y a de très fortes probabilités pour que parmi toutes les nouveautés annoncées par Apple durant sa conférence du 9 septembre, celle qui vous a le plus fasciné c’est la nouvelle Apple TV.

Pour rappel, la télécommande de celle-ci inclut un nouveau bouton « Siri » qui vous permet de faire des commandes vocales comme « Siri. Je veux voir une comédie dramatique », « Siri. Montre-moi des films Jason Bourne », etc.

Mais ce qu’Apple a peut-être omis de mentionner durant sa keynote, c’est que cette fonctionnalité ne sera visiblement pas disponible dans tous les pays.

C’est du moins ce que suggère la documentation de l’Apple TV qui indique que les utilisateurs en Australie, au Canada, en France (rassuré ?), en Allemagne, au Japon, en Espagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis pourront profiter de la fonctionnalité « Siri Remote ».

Dans les autres pays (près de 72), l’appui sur le bouton « Siri » permettra d’ouvrir une « application de recherche à l’écran ».

On ne sait pas encore exactement à quoi cette application, également appelée Apple TV Remote, va ressembler. Mais certains médias suggèrent qu’il pourrait simplement s’agir d’une interface qui permettra à l’utilisateur d’entrer sa recherche de façon plus « manuelle ».

En tout cas, si vous n’êtes pas dans l’un des pays cités plus haut, vous ne pourrez peut-être pas profiter des commandes vocales de l’Apple TV comme montrées sur cette publicité.

Ne voulant pas laisser l'exclusivité des offres étudiantes à Apple et son programme Back to School (lire : Back to School 2015 est disponible en France !), la Fnac vient à son tour de lancer une offre destinée aux jeunes qui souhaitent acheter un Mac. Il s'agit pour le revendeur français de vous reverser 5% du montant du Mac sous forme d'un bon d'achat, en plus de la classique remise immédiate de 5% réservée aux adhérents du site. L'offre sera en place jusqu'au 3 septembre.

Pour profiter de l'offre, vous devez donc être adhérent Fnac, et voir 26 ans au maximum. La grande différence avec l'Apple Store éducation, qui propose une remise immédiate de 6% à 8% selon la gamme d'ordinateur en plus du casque Beats offert jusqu'au 18 septembre, est donc de ne pas nécessiter d'être véritablement étudiant. S'il est donc évident qu'Apple propose une promotion largement plus compétitive que la Fnac avec Back to School, l'offre du revendeur français reste toujours bonne à prendre pour les lycéens et jeunes ne bénéficiant pas du statut d'étudiant.

Les premiers tests effectués par l'opérateur américain Verizon sont stupéfiants : les réseaux qui succéderont à l'actuelle 4G LTE pourraient multiplier les débits par 30, voire même par 50. Les spécifications de la future 5G ne sont pas encore arrêtées, mais de nombreux acteurs de l'industrie testent déjà diverses technologies. Verizon devrait lancer une phase de test sur le terrain dès l'année prochaine, et espère qu'une première offre soit commercialisée dès l'année 2017. Bien évidemment, il ne faut pas s'attendre à un iPhone supportant ce nouveau réseau aussi tôt, mais le successeur de la 4G pourrait donc débarquer plus tôt que prévu. La Corée du Sud espère d'ailleurs pouvoir disposer d'un premier réseau préliminaire pour les Jeux olympiques d'hiver de 2018, qui se dérouleront à Pyeongchang.

À l'heure où la 4G peine encore à couvrir une majorité de la population française, ce genre d'effet d'annonce a de quoi faire sourire. Néanmoins, les usages qui pourraient émerger de l'arrivée de tels débits seraient potentiellement révolutionnaires. L'arrivée de la 5G pourrait ainsi faire décoller les services de vidéo à la demande en Ultra HD, et une intervention chirurgicale pourrait par exemple être diffusée en direct et en très haute qualité entre deux hôpitaux. Tout cela en consommant moins d'énergie que les puces 4G actuelles !

L'Apple Store a beau ne plus avoir d'existence propre depuis son intégration directe au site d'Apple au début du mois dernier (lire : L'Apple Store a... disparu !), Apple a toujours la possibilité de fermer les différentes sections de son site dédiées à la vente, et c'est précisément ce qu'il vient de se passer à plus de cinq heures de la conférence spéciale de ce soir.

Voilà donc la preuve, s'il en fallait encore, que de nouveaux produits feront leur apparition ce soir sur la boutique en ligne d'Apple. Rendez-vous à 19h sur Consomac pour le début des hostilités !

D'abord spécialisée dans le B-to-B, Plantronics a développé au fil du temps son activité auprès du grand public et des gamers. Toujours dans cet esprit, la firme californienne ajoute un nouveau casque à son entrée de gamme, le BackBeat Sense.

Ce casque nomade supra-aural, petit frère du BackBeat Pro, propose des caractéristiques plus épurées. Il ne pèse que 140 g et son aspect est beaucoup moins massif. il se dote d'un double arceau en aluminium et caoutchouc souple. Les oreillettes et l'arceau intérieur sont recouverts de coussinets en similicuir non amovibles. Les commandes physiques, situées sur chaque oreillette, permettent de contrôler l'ensemble des fonctionnalités (pause/play, navigation entre les pistes, volume…).

Pour ce qui est ces fonctionnalités, le BackBeat Sense propose des Smart Sensor, des capteurs qui permettent de mettre sur pause la lecture ou de la relancer si le casque est retiré des oreilles ou reposé. Cette fonctionnalité était déjà présente sur le BackBeat Pro, tout comme l'Open Mic, aussi appelé Street mode, qui permet d'utiliser les 2 micros embarqués pour écouter ce qui se passe aux alentours. Le Backbeat Sense communique sans fil via le Bluetooth 4.0 A2DP et offrirait 100 m de portée. En outre, il dispose du multipoint actif, qui permet de se connecter à deux appareils simultanément. Par exemple, si vous êtes connecté à votre ordinateur et votre smartphone et que ce dernier reçoit un appel, le casque passera en priorité sur l'appel reçu. Enfin, le casque annonce une autonomie de 18 heures, avec un temps de recharge de 2h30.

L'application Plantronics HUB (iOS, Apple Watch et Android uniquement) peut être téléchargée pour étendre les possibilités du casque. Elle permet de changer la langue des annonces vocales parmi 14 langues (anglais américain et britannique, cantonais, danois, français européen, allemand, italien, japonais, coréen, mandarin, norvégien, russe, espagnol européen et suédois) ou de connaître l'emplacement du casque via la diffusion d'une tonalité ou via la consultation d'une carte à l'aide la fonction BackTrack. Côté son, peu d'informations. On nous promet un son extrêmement détaillé, avec un équilibre idéal entre des basses riches, des aigus cristallins et des médiums naturels.

Proposé en deux jeux de coloris, blanc/caramel ou noir/expresso, le Plantronics BackBeat Sense sera très bientôt disponible au prix de 179 €. Il sera accompagné d'un câble avec connecteur mini-jack 3,5 mm muni d'une commande/micro, un câble micro-USB/USB pour la recharge ainsi qu'une housse de transport. Vous pourrez d'ailleurs retrouver son test ce jeudi.

iEC Technology est un fabricant encore méconnu de périphériques et de produits nomades. Nous testons ici son ECBT001, une enceinte portable qui promet un son naturel avec de profondes basses et une utilisation fluide grâce notamment à des commandes complètes et à la présence d'un kit mains-libres.

La ECBT001 se présente sous la forme d'un petit cube, ceint à la taille d'un fin liseré bleu. Le châssis de l'enceinte est fait d'un matériau anthracite laqué, style hématite polie. Ce petit objet, on en est certain, on l'a croisé cet été au rayon parfumerie pour homme au gré d'une flânerie duty free.

Le haut-parleur diffuse le son vers le sommet du crâne de l'enceinte : contrairement à l'habitude, c'est donc la surface supérieure qui est perforée pour laisser l'onde acoustique la traverser. Étonnant. À l'arrière, un port micro-USB pour la recharge de l'appareil et une entrée analogique en mini-Jack pour l'utilisation filaire de l'appareil.

Où sont les commandes, vous demandez-vous ? De façon très peu pratique, elles se situent en dessous de l'enceinte. Un commutateur permet la mise sous/hors tension de l'enceinte, tandis que trois boutons se chargent de la navigation et du niveau d'écoute. Ce niveau d'écoute est indépendant de celui de la source à laquelle l'enceinte est connectée en Bluetooth (smartphone, tablette, baladeur). Attention, contrairement à la plupart des enceintes, une seule pression sur la commande morceau suivant/+ passera au morceau suivant. Une pression prolongée sur ce même bouton augmentera le niveau. Quelque peu contre-intuitif...

Bien loin de l'IFA qui nous occupe actuellement, HTC vient de lancer la commercialisation en Chine de son nouveau Desire 728.

Doté d'un écran de 5,5 pouces, le Desire 728 se contente d'une dalle IPS de définition HD. En conséquence, la résolution n'atteint pas vraiment des sommets, avec seulement 267 ppp. Au cœur de l'engin, l'animation d'Android 5.1.1 (Lollipop) est confiée à un SoC signé MediaTek. Baptisé MT6753, il s'appuie sur 2 Go de mémoire vive pour tirer le meilleur de ses 8 cœurs d'architecture Cortex A53 ici cadencés 1,3 GHz. La mémoire interne, de son côté, atteint 16 Go, tandis qu'un port microSD permet de s'offrir un peu plus d'espace de stockage.

Au dos du smartphone, HTC a misé sur l'habituel APN de 13 Mpx, relayé en façade par un non moins habituel capteur de 5 Mpx. La connectivité, pour sa part, inclut la 4G de catégorie 4 (jusqu'à 150 Mb/s), le Wi-Fi b/g/n, le Bluetooth 4.1 et le GPS. On remarque en outre la présence d'un second port SIM. Accusant des dimensions peu contenues de 157,9 x 77,8 x 7,87 mm pour un poids de 153 g, le Desire 728 n'en profite pas pour autant pour embarquer un accumulateur XXL : il accueille une classique batterie de 2 800 mAh.

Lancé en Chine à un prix étonnamment élevé — l'équivalent de 239 € —, le terminal pourrait bien débarquer en Europe sous peu. Un certain Desire 728G est d'ores et déjà listé sur la version allemande du site de HTC.

En marge de ses résultats financiers et de ses bonnes performances en matière de recrutement, Free a aujourd'hui attiré l'attention sur sa couverture réseau. Selon l'opérateur, depuis fin juin, 50 % de la population a accès à sa 4G.

D'après les chiffres communiqués par l'ANFR (qui se basent sur les déclarations des opérateurs), Free comptait, au 1er juillet 2015, 3 991 antennes 4G actives. Sachant que l'opérateur ne déploie son réseau très haut débit mobile que sur la bande de fréquence des 2,6 GHz, ses déclarations du jour signifient qu'il est parvenu à couvrir la moitié des habitants de l'Hexagone avec moins de 4 000 sites en s'appuyant sur une fréquence réputée pour sa faible portée. À titre de comparaison, même SFR-Numericable, qui dispose pourtant (entre autres) de plus de 3 000 antennes émettant sur la "fréquence en or" des 800 MHz, ne se risque pas à évoquer plus que les 53 % attribués par l'Arcep — même si son objectif de fin d'année demeure fixé à 65 % de la population.

Doutes pratiques mis à part, c'est une annonce importante pour l'opérateur. Souvent pointé du doigt pour la faiblesse de ses prestations en 3G — plus ou moins unanimement attribuées à l'itinérance sur le réseau Orange —, il montre que le déploiement de son réseau avance à bon train. Il assure d'ailleurs que ses propres infrastructures couvrent déjà 80 % de la population en 3G, tandis que le très haut débit mobile Free, de son côté, devrait être à la portée de 60 % de métropolitains d'ici à la fin de l'année 2015. Une promesse qui n'a rien de surréaliste si l'opérateur continue de planter plus de 300 antennes par mois.

Pour rappel, sur le front de la 4G, deux opérateurs disposent d'une nette longueur d'avance. En matière de couverture de la population, c'est Orange qui propose le réseau le plus étendu, avec une couverture revendiquée de 76,5 %, contre "seulement" 72 % pour Bouygues Telecom. Selon les derniers chiffres de l'Arcep (qui n'ont pas été actualisés en 2015), c'est toutefois ce dernier qui propose la meilleure couverture du territoire, avec 23 % du sol métropolitain.

Focus Numérique est un magazine web exclusivement dédié à la photo, réalisé par l'équipe des Numériques. Parmi nos dernières publications, retrouvez notre duel de zooms adaptés aux hybrides Micro 4/3, la rencontre avec le photographe François-Xavier Marit, un exercice photo sur l'exposition multiple, notre inspiration de la semaine et le retour sur l'histoire de Man Ray, l'homme rayon.

Aujourd'hui, pour ce troisième duel optique nous affrontons deux incontournables de l'univers des compacts à objectifs interchangeables équipés de capteurs Micro 4/3 (appareils Panasonic et Olympus). Il s'agit de l'équivalent 24-70mm f/2.8 constant. D'un côté nous avons le Panasonic Lumix 12-35mm f/2.8, et de l'autre l'Olympus M.Zuiko 12-40mm f/2.8. Lequel de ces deux objectifs est le plus performant ? Réponse dans notre duel.

Le Championnat du monde de natation a eu lieu cet été à la Kazan Arena, en Russie, avec son lot de médailles, de records et de photographies plus spectaculaires les unes que les autres. Parmi elles, vous avez sans doute vu des photographies réalisées sous l'eau et diffusées par l'AFP. Leur auteur s'appelle François-Xavier Marit et, depuis plusieurs années, il a fait de la photographie "underwater" sa spécialité. Nous l'avons rencontré.
 
La double exposition, également appelée exposition multiple ou encore surimpression, consiste à superposer des prises de vues capturées à des instants différents de façon à créer une image unique. Réalisable aussi bien avec un appareil photo argentique que numérique, cette technique permet de produire des clichés surprenants et de créer du sens par l'association de deux sujets distincts. Voici quelques astuces qui vous aideront à vous exercer.