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Et oui, j'étais très contente, jeudi soir je suis allée à mon cours de gym habituel. Tout était pour le mieux. Mais voilà, jeudi soir au travail, je me suis cassée le petit orteil gauche. En quoi faisant? J'ai heurté violemment un carton à côté d'un appareil. Ca nous arrive de nous cogner les orteil, et je dois avouer que ce n'est pas agréable!!!!
Mais là, j'avais vraiment et je voyait mon orteil gonfler et devenir violet. Je ne pensais pas quand même que je l'avais cassé.
Mais quand je suis allée au urgences 2 H après. (J'ai attendu d'avoir moins de travail pour m'absenter du service) Le verdict est tombé, je ne me suis pas raté.
Alors normalement je devrais être arrêtée 6 semaines le temps de la consolidation (pour 1 petit orteil!!!)
Je me suis débrouillée pour que ce soit jusqu'à jeudi et je verrais pour la suite.
En revanche le sport devra attendre! Et là je pleure. En gros jusqu'à fin novembre je ne ferai rien.
Moi qui mettait remis au sport depuis le début de l'été après plusieurs moi de passage à vide!
Je suis dégoutée.
Je ne peux même pas aller chercher ma fille à l'école toute seule. Oui je pourrais en béquille mais il y a 1km voir 1km5. Disons que ce sera pour quand j'aurais pris l'habitude de marcher avec.
Voilà, je suis écoeurée, et c'est tout. Alors à plus.
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Elle n'avait rien dit même pas une synthèse. Donc mon mal-être était toujours présent. Comme je l'ai déjà dit, j'aurais eu une bonne amie à qui parler ça aurait été pareil à la différence c'est qu'une amie aurait essayé de me donner des conseils.
Sur ce je vais me mettre à table et vous souhaite bon appétit à toutes. Bisous
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suite
publié le 19/09/2007 à 12:18
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Pourtant, au lieu de rester calme comme à mon habitude, j'étais en colère, je criais, j'essayais de m'expliquer,...Au début il ne comprenais pas pourquoi j'étais dans tous mes états. Je lui ai dis qu'il ne m'écoutait jamais, qu'il n'écoutait jamais personne d'ailleur. Il n'y avait que lui. Bref je vous passe les détails et tout en criant je n'ai pu contenir mes larmes. Chose que je ne fais jamais de pleurer devant lui.
Mais là c'était trop fort. Il est sorti et je pense que ça l'a fait réfléchir et comprendre à quel point je souffre de l'hypocrisie qui nous entoure, de tous ces mensongeset ces manigances,....
Il est revenu comme si de rien n'était et à essayé de me faire sourire, faire penser à autre chose,..... et on a pu parler cette fois calmement malgré mes larmes qui ne s'arrêtaient plus de couler.
C'était agréable que pour une fois on puisse parler de chose importante sans crier(après explications), sans qu'il change de conversation ou qu'il sorte.
On a parlé et c'est très important pour moi.
Si bien que tout réuni, le mal être, les règles, le gonflement, envies sucrées,........... font que je suis pas dans mon assiette. J'essaie de relativiser mais ce n'est pas évident. J'ai l'impression d'avoir réveillé la bête qui sommeil en moi et qui me détruit à petit feu sans que je n'y puisse quoi que ce soit. Et il faut que je me sorte de ce néant avant qu'il ne soit trop tard. Et c'est pour ça que j'espère de tout coeur que cette psy pourra vraiment m'aider. Pas comme celle que j'étais allée voir il y a 2 ans.
Je parlais et elle me disait d'arrêter au bout de 30 min. Le RDV était fini et même si je voulais parler encore elle ne voulais rien entendre, jusqu'à ce que je dise un jour( au bout de 5 ou 6 séances) je pense que ce n'est plus la peine que je vienne. Je n'avais plus rien à dire ma colère était passée; mais la guérrison n'était pas au RDV.
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Je suis de retour. Pas très en forme mais de retour. Dans 1 semaine je dois avoir mes règles et comme je ne les ai pas eu depuis 2 mois environ; j'ai gonflé, je me sens mal.
Je me suis plus pesée pour ne pas prendre peur. Heureusement que je compense en faisant du sport.
Par contre, ça fait quelques jours je ne respecte plus rien. Je mange n'importe quoi du moment que c'est sucré.
Les gateaux au chocolat, le nutella,....j'en ai une envie très forte. J'essaie de boire beaucoup mais rien n'y fait.
J'espère qu'après mes règles tout rentrera dans l'ordre. De plus j'ai rendez vous avec un psy le 2 octobre. On verra bien si il peut m'aider et pourquoi pas trouver une réponse à mes crises de boulimie.
J'aimerais m'en sortir une bonne fois pour toute avec ce mal être continuel. Même si j'ai des moments où tout va, ils sont vite rattrappés par mes doutes, mes désespoirs.
Malgré que je sois arrivée à en parler avec mon ami, d'une partie de ce mal être qui me ronge (dans son cas c'est sa famille et ses filles), ça ne me soulage pas pour autant.
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Samedi, déjà le WE. Que ça passe vite. C'est un WE où je travaille. La nuit a été correct. Mais hier soir je suis allée au cours de gym énergétique.
Et quel grand bien cela procure. On est vidé des tensions qui nous s'encre en nous, et ça aide à un meilleur sommeil.
Vous allez me dire oui mais tu travaillais. Effectivement, mais quand je pouvais m'allonger, j'avais un meilleur repos.
C'est un cours que j'attendrai avec impatience. Il me procure le plus grand bien.
A part ça, la routine, un peu de fatigue, il faut se mettre au ménage, mais j'avoue que je n'en ai nul envie.
Bien je vais me préparer car je vais mener vers16H ma fille à la fête foraine. Bisous et à plus.
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Aujourd'hui, je me suis bien reposée et je suis allée faire du sport. Ca fait énormément de bien.
En fait ma vie est faite de haut et de bas, donc je peux aller très bien et le lendemain être au plus bas.
La chance que j'ai, c'est que je suis de nature optimiste, et ça me permet de remonter la pente.
Mais, depuis quelques mois, j'ai un peu plus de mal. Depuis le mois de mars, je suis sous antidépresseurs. Ca me fait du bien et mon docteur m'a prescrit encore pour 3 mois, je sens que j'en ai encore besoin.
Elle m'a orienté vers un psy, mais le problème, la dernière fois que j'en ai vu un (et c'était la 1ere fois), j'ai été déçue. En réalité elle n'a rien fait de plus que de m'écouter. J'aurais pris une amie, je lui aurais parlé, ça aurait fait le même effet.
Il est vrai que je vais essayer dans consulter un autre, en espérant cette fois qu'il pourra vraiment m'aider et apporter des réponses.
Mais ce qui me remonte le plus le moral et qui me fait le plus grand bien, c'est ma fille. Mais j'ai l'impression qu'elle ressent mon mal-être et lorsque c'est le cas, elle est vraiment très proche de moi.
Elle est en temps normal, très câline, affectueuse, mais encore plus dans ces moments là. J'ai l'impression que les rôles sont inversés et que c'est elle qui veut me protéger, me consoler, comme je le fais avec elle quand elle a un chagrin ou simplement envie d'un gros câlin.
Je sais que toutes les mères complimentent leur enfant, mais ma puce est vraiment un amour. Pleine de vie, d'entrain, gentille, elle est toujours avec moi pour préparer à manger ou à faire le ménage.... Bon il est vrai que comme tout enfant, il lui arrive d'être pénible est surtout de vouloir nous répondre de temps en temps. Mais on rétablit vite fait la situation.
Bon assez parlé de moi. Je vais vous laisser et bonne nuit à toute. Bisous
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Mon ami je n'en voulais plus mais surtout je ne lui aurais rien demandé. Je tiens à le préciser, ce n'est pas pour de l'argent que j'ai voulu ma fille. Bien au contraire. Pour cette raison, je ne risque pas d'avoir honte de dire que je l'ai piégé. Et si c'est à refaire je le referais sans hésiter. Il n'y a que ma fille qui compte.
Et quand je repense au passé, les larmes me montent aux yeux tous les souvenirs que j'ai eu du mal en enfouir au fond de moi ressurgissent, comme une claque en pleine figure. Et je déprime, me posant mille questions, me disant que je suis bête et que je mérite tout ça! Quand ma lucidité revient, je me dis que NON je ne mérite pas ça. Ma seul erreur, mais que je ne considère pas comme une erreur, serait d'avoir piégé mon ami. Et je devrais payer pour ça!Alors que je ne lui aurais jamais demandé de l'argent, je ne l'aurais jamais mené devant les tribunaux comme toutes les autres, j'étais prête à aller voir un avocat pour signer des papiers comme quoi je ne lui demanderais jamais rien. Il m'a toujours ri au nez.
Alors je me dis que je paye pour toutes les autres. Il n'a jamais su leur dire en face ce qu'il pensait d'elles et de leur attitude. Je sais c'est normal me direz-vous qu'un père donne une pension alimentaire. Le problème, elles sont allées plus loin que ça. Elles se sont toujours émicées dans notre vie. Elles ont toujours comploté pour trouver la meilleure façon de nous mettre des bâtons dans les roues.........Et ça j'ai de plus en plus de mal à le supporter. Je veux une vie tranquille pour ma fille et moi. Je n'embête personne donc je veux qu'on me laisse tranquille. Défois je me dis que je devrais agir comme elles. Mais à quoi bon, je n'en ai rien à faire de ces personnes alors pourquoi me pourrir la vie?
Bon je me suis bien défoulée mais je vais arrêter car vous allez me trouver saôulante si vous me lisez. Mais ça fait du bien.
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Je ne me plains pas de ma vie, j'en prends mon parti. Je l'ai choisi, est-ce que j'ai toujours eu le choix. Je n'en débattrais pas car je crois que je ne serais plus objective.
Disons que j'aurais pu partir depuis longtemps mais je ne l'ai pas fait. J'ai essayé, mais il est toujours revenu à la charge m'empêchant de faire mon deuil. Et donc, je finissais toujours par craquer et faire un pas en arrière. Après c'est ma fille qui m'a empêché d'agir sous un coup de tête.
Elle adore son père, et je ne pouvais me résoudre à les séparer. Je sais dans l'histoire je ne pense pas à moi.Mais pour moi, le bohneur de ma fille passe avant tout.
Je ne la gâte pas ni la pourri, mais c'est mon bébé, mon amour. Je l'ai tellement désiré. A mes yeux, j'avais réussi ma vie professionnel, j'étais et je suis toujours titulaire, ma vie amoureuse était un désastre et l'est toujours, alors je voulais un enfant. J'ai toujours aimé les enfants et je m'occupais de ce de mon ami. J'en voulais un à moi avant de le quitter. J'ai été égoiste mais je ne voulais pas me retrouver seul dans une ville où je n'avais et je n'ai toujours personne.
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Bonjour tout le monde, aujourd'hui je me sens complètement déprimée.
Hier soir, mon conjoint m'a cassé les pieds, je suis partie au travail en colère.
et maintenant, je ne suis pas mieux, la colère je la garde en moi et c'est le dégout, la solitude, l'échec de ma vie qui remonte en surface.
En général, j'essaie de regarder toujours devant et de ne pas ressasser le passé. Je suis du genre optimiste.
Mon ami m'en a tellement fait voir, lui et surtout sa famille ses filles son ex femme....Vous me direz mais que fais-tu avec lui?
C'est la question que je me pose toujours quand il m'énerve, je ressasse le passé et je me dis que je suis maso.
Quand je regarde devant moi, je me dis que ça ira mieux et ça va quand même mieux; mais se sera encore mieux quand on aura quitté ce nid de vipère où on vit.
L'éloignement ne pourra que nous faire du bien. Dans tous les cas le jour où je suis mutée, si mon conjoint décide de faire marche arrière, eh bien tant pis pour lui. Je ne me retournerais pas, ma fille en souffrira certainement mais je serais épaulée par ma famille et je lui expliquerais la situation, qu'elle n'est en rien fautive et que nous l'aimons très fort tous les 2. C'est des choses de la vie malheureusement. Elle aura mes cousins pour jouer.....
Quand je suis dans cet état, je serais capable de tout. Hier en venant travailler, j' ai pensé qu'à une chose, me mettre en l'air avec la voiture. Je pense que j'aurais pu passer à l'acte si le visage de ma fille n'était pas survenue. C'est grace à elle que je tiens que j'ai la force de me battre, sinon sans elle il y a longtemps que j'aurais abandonner.
Je sais que mes propos peuvent-être fort mais je sens que je suis en pleine crise, et heureusement pour moi je suis au travail. J'ai donc une motivation de plus pour m'accrocher.
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Suite
publié le 08/09/2007 à 21:18
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Suite de mon dialogue.
Normalement demain je vais faire 1 h 1/2 de vélo. Et mon programme pour la semaine prochaine : pour LUNDI j'irais marcher car je ne pourrais pas aller à ma gym. 18H réunion à l'école et le soir, je travaille.
Mardi pareil car le matin je dormirais et le soir reboulot.
Mercredi : idem mais j'irais plutôt faire du vélo pour changer.
Jeudi : gym (body pump, abdos, fessiers, poitrine). En général le cours est complet, c'est génial. La prof super.
Vendredi : gym énergétique et directement au travail. Ce cours j' adore vraiment. Je me suis arrangée avec la collègue pour arriver un peu en retard.
Et oui, le cours est de 20 h à 21 h; et je commence à 21 h. Le temps d'arriver, je serais au travail vers 21 h 20-25. La collègue doit quitter à 21 h 15. C'est pas beaucoup mais c'est vraiment sympa de sa part.
Samedi et dimanche : vélo et marche car le matin je dormirais.
Ce sera une bonne semaine quand même.
Je suis très contente de moi car je ne craque plus sur les sucreries. J'arrive à me contrôler, je ne dirais pas que je suis guerrie mais en bonne voie.
Maintenant il manque plus que mon cycle redevienne normale. Car malgré tous mes efforts, j'ai un peu gonflé, et comme je n'ai pas eu mes règles cette fois ci pour changement de contraceptif!!!
Alors le résultat, je suis ballonnée et gonflée.
C'est pour ça que le sport est très important il me permet de limiter les dégâts. Bien pour cette journée qui se termine, je vais également vous laisser et reviendrais demain pour vous faire part de mon humeur. lol !!!!
BISOUS A TOUS ET TOUTES.