Aujourd'hui, je me suis bien reposée et je suis allée faire du sport. Ca fait énormément de bien.
En fait ma vie est faite de haut et de bas, donc je peux aller très bien et le lendemain être au plus bas.
La chance que j'ai, c'est que je suis de nature optimiste, et ça me permet de remonter la pente.
Mais, depuis quelques mois, j'ai un peu plus de mal. Depuis le mois de mars, je suis sous antidépresseurs. Ca me fait du bien et mon docteur m'a prescrit encore pour 3 mois, je sens que j'en ai encore besoin.
Elle m'a orienté vers un psy, mais le problème, la dernière fois que j'en ai vu un (et c'était la 1ere fois), j'ai été déçue. En réalité elle n'a rien fait de plus que de m'écouter. J'aurais pris une amie, je lui aurais parlé, ça aurait fait le même effet.
Il est vrai que je vais essayer dans consulter un autre, en espérant cette fois qu'il pourra vraiment m'aider et apporter des réponses.
Mais ce qui me remonte le plus le moral et qui me fait le plus grand bien, c'est ma fille. Mais j'ai l'impression qu'elle ressent mon mal-être et lorsque c'est le cas, elle est vraiment très proche de moi.
Elle est en temps normal, très câline, affectueuse, mais encore plus dans ces moments là. J'ai l'impression que les rôles sont inversés et que c'est elle qui veut me protéger, me consoler, comme je le fais avec elle quand elle a un chagrin ou simplement envie d'un gros câlin.
Je sais que toutes les mères complimentent leur enfant, mais ma puce est vraiment un amour. Pleine de vie, d'entrain, gentille, elle est toujours avec moi pour préparer à manger ou à faire le ménage.... Bon il est vrai que comme tout enfant, il lui arrive d'être pénible est surtout de vouloir nous répondre de temps en temps. Mais on rétablit vite fait la situation.
Bon assez parlé de moi. Je vais vous laisser et bonne nuit à toute. Bisous