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A toutes celles qui ont des enfants et qui fêtent Halloween.
Je n'ai jamais fêté Halloween........................ alors, maintenant à mon age............ vous pensez.
Je ne sais même pas si les enfans dans le village le fêtent........................
Aujourd'hui il fait un temps magnifique, c'est Super, j'adore le soleil............
Pour Tempslibre.
Je vous donne la recette d'un dessert que ma maman nous faisait en automne quand nous étions enfants. Nous appelions ca une "tête de nègre", mais je ne sais pas si c'est son vrai nom. Nous adorions ca. En vous écrivant, j'ai plein de souvenirs qui me submergent. Je ne vais pas mettre les quantités car je ne les connais pas. Ma maman a toujours fait toutes ses patisseries "au pif". Une de mes soeurs continue à faire cette recette également "au pif". J'ai d'ailleurs du l'appeler car je ne me rappelais plus très exactement la recette.
Il vous faut:
des chataignes, du lait ou de la crème fraiche, du sucre ou du sucre vanillé (selon les gouts) du chocolat noir.
Préparation:
Retirer la première enveloppe des chataignes, les mettrre à cuire dans de l'eau salée. Lorsque les chataignes sont cuites enlever la deuxième peau. Passer les chataignes au moulin à légumes, ajouter peu à peu le lait ou la crème fraiche pour constituer une purée onctueuse mais consistante. sucrer. dresser la purée de chataignes en dome sur un plat. Faire fondre le chocolat et le verser sur le dome.
Laisser refroidir puis mettre au frigo 1 à 2 heures.
Gros bisous Geny
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Comment allez-vous bien aujourd'hui????????????
Moi un peu fatiguée, mal dans les jambes, mais c'est normal après être restée debout, hier, toute la journée derrière un stand............... y a bien longtemps que je n'avais pas fait ca.
Et oui, hier, c'était la "Foire aux fruits d'automne", manifestation locale, ayant lieu tous les ans le dernier dimanche d'octobre. Toutes les associations locales tiennent un stand. Donc faisant partie de la G.V. je me suis proposée pour aider à tenir le stand car les volontaires ne sont pas nombreuses.
Donc hier matin, debout à 7h30 pour confectionner 3 tartes aux pommes pour vendre sur la stand et après direction la foire. Je suis rentrée à 18 h, complètement nase. Ben oui debout toute la journée, je n'ai plus l'habitude. Heureusement il a fait un temps vraiment Magnifique, il a fait même chaud.
Que je vous dise, chacune d'entre nous avait fait, tartes, gateaux, beignets, cannelés, pour vendre. Nous avions également une tombola. Et d'après la trésorière notre journée à été bonne.
Alors sur cette foire on pouvait trouver............... beaucoup de brocante............ de quoi chiner à loisir................du fois gras, des fraises, des boudins, des crèpes, des gaufres, du cidre, des chataignes grillées, du miel, des cucurbitacées en autres, car je n'ai pas tout vu étant derriere le stand toute la journée.
Voila pourquoi je ne suis pas venue sur le blog hier....................
Aujourd'hui le temps est complètement changé, brume, temps très gris, je crois même qu'il bruine, mais pas de gelée ce matin.
Bon assez papoter pour aujourd'hui y a mon ménage qui attends.................
Passez une très bonne jounée
Gros bisous Geny
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Comme je ne peux le faire de vive voix, par l'intermédiaire d'aujourdhui.com, je te souhaite un TRES JOYEUX ANNIVERSAIRE;
Puisque ce soir tu es en famille, profites en bien, après tout ce n'est qu'une fois par an.
Je t'embrasse très très fort ma sylvie Geny
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C'est la question que je me suis posée ce matin en me pesant. Et oui le samedi matin, jour de pesée....... Et ce matin en entrant dans la salle de bains, j'ai parlé à Gertrude, je lui ai demandé si elle allait m'annoncer une bonne nouvelle, sinon.................... dehors. Donc je suis montée............et là..................... oh surprise!!!!!!!!!!! elle a indiqué 91.500 kg, donc - 1.800 kg cette semaine, je n'y croyais tellement pas que j'ai recommencé l'opération 4 fois et toujours le même résultat. J'étais hyper contente ca m'a mis de très bonne humeur. Mais je peux vous dire que je n'y crois toujours pas................ si c'est vraiment vrai, c'est super. En plus il fait un temps magnifique, ciel bleu sans aucun nuage............... j'adore. Bon ce matin c'était bien gelé, mais pas grave..................
Passez une excellente journée
Je vous fais plein de gros bisous Geny
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HISTORIQUE DE LA GROTTE
Fin 1953, au soir tombant d'une froide journée d'hiver, une équipe du spéléo-club de Périgueux errait dans les taillis du Cluzeau.
Sous un pointement de roches vives, se dissimulait un terrier de renard obstrué par des pierres et impénétrable. Un léger brouillard sortait de ce méat, l'indice ne pouvait tromper : il y avait derrière un souterrain qui respirait et par là-même trahissait sa présence. La chatière d'entrée fut dégagée rapidement. Derrière, un couloir sombre plongeait vers l'inconnu : la grotte de Villars venait d'être révélée.
Après avoir aménagé un passage, les découvreurs : Marie Claude FERRES - Yann JEZEQUEL - Robert de FACCIO - Bernard PIERRET et Pierre VIDAL pénètrent avec émotion dans un jardin merveilleux aux allures fantastiques.
En de nombreuses expéditions, les spéléologues vont explorer tout un enchevêtrement de galeries et de salles s'étendant sur plus de 13 kilomètres et plusieurs niveaux.
Cinq ans plus tard, en décembre 1958 une nouvelle découverte allait faire de Villars un sanctuaire : au cours d'une exploration, Pierre VIDAL membre du spéléo-club de Périgueux observe de nombreuses peintures préhistoriques dissimulées sous la calcite : Villars est une grotte ornée.
L'abbé BREUIL expertise les peintures et en 1959 la grotte de VILLARS est ouverte au public.
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LA GROTTE
Un concentré de 600 m de couloirs et de galeries, au cheminement aisé, permet de mesurer la splendeur de la grotte. Toutes les voutes, toutes les parois, tous les planchers sont hérissés de calcite, stalactites, stalagmites, draperies, piliers excentriques... tous les types de concrétions se rencontrent dans cet univers privilégié. Les coloris purs de teinte blanche ou légèrement ocrée sont admirables. L'art pariétal est lui aussi bien représenté. Les peintures préhistoriques datées de l'époque magdalénienne, soit 17 000 ans sont le témoignage authentique de l'art de nos ancêtres. Certaines, comme la rotonde des chevaux, sont recouvertes d'une fine péllicule de calcite qui leur donne cette couleur bleue si particulière.
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C’est au tout début des années 1990 que la Ville de Terrasson, forte de son patrimoine naturel et bâti, en surplomb de la Vézère, a eu la volonté de s’engager sur la voie du développement touristique. Parallèlement naissait une réflexion sur la création d’un site structurant, moteur dans le développement de la cité.
L’idée proposée par le Maire, Pierre DELMON, de créer un jardin contemporain de 6 hectares, au cœur de la Ville ancienne, voulait inscrire la culture et le tourisme au titre d’un véritable axe de développement pour la Ville, en complémentarité des richesses du Périgord Noir et de l’Aquitaine.
Un véritable pari à l’époque, pour une ville à vocation industrielle.
Ce pari engagé et gagné par la municipalité a d’abord pris la forme d’un concours remporté par Kathryn Gustafson et l’architecte Ian Ritchie, confirmant l’ambition internationale du Projet.
Créer les Jardins de l’Imaginaire relève dès lors de l’art !
C’est en 1997 que les Jardins de l’Imaginaire ouvrent leurs portes au public, pour accueillir aujourd’hui 40 000 visiteurs entre avril et octobre.
Créer de toute pièce un site touristique n’impose pas nécessairement de faire table rase de l’existant. Bien au contraire ! Idéalement situé face à la ville ancienne de Terrasson, ce site naturel offrait des terrasses panoramiques et une richesse botanique, favorables à une création de qualité.
Il ne restait plus qu’à inventer les Jardins de l’Imaginaire.
Le nom « Vézère » est spontanément associé à « berceau de l’Humanité ».
C’est donc tout naturellement que la création des Jardins de l’Imaginaire s’est appuyée sur cette originalité. Les Jardins créés à Terrasson seraient une évocation de l’histoire de l’Humanité à travers l’histoire des jardins.
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Par rapport à la complexité de l’histoire des jardins, l’idée force de Kathryn Gustafson a été de présenter des «fragments» d’histoire des jardins, en faisant référence de façon allusive aux mythes universels liés à la nature.Les Jardins de l’Imaginaire seraient ainsi un ensemble de jardins à thèmes.
Mais comment traiter de façon allusive autant de modèles culturels ?
Tout simplement en faisant référence aux éléments invariants des Jardins de l’Humanité. L’eau, la terre, le vent, les perspectives…sont autant d’éléments qui symbolisent sur le site de Terrasson la nature dans tous ses états.
Etre enraciné en Périgord, s’intégrer au paysage, tout en associant des matériaux à haute technologie ou des lignes architecturales très contemporaines, était une gageure. Pari gagné ! Le mariage d’éléments indigènes et de modernité révèle le caractère de ces jardins.
Ainsi naissaient les Jardins de l’Imaginaire.
Pure création de l’esprit, ces Jardins sont faits pour rêver.
Avec force recherche esthétique et poétique, les créateurs offrent le plaisir d’un grand jardin, le plaisir d’une belle promenade.
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Le 4 juin 1853, Marie Elodie Duroux épouse Desmoulin met au monde, dans un modeste immeuble de Javerlhac, bourg dont son père est le premier magistrat, un enfant de sexe masculin qui sera prénommé Fernand. Le conjoint de la jeune femme, Antoine Desmoulin, est originaire du hameau des « Chauzes » lieu-dit regroupant quelques maisons bâties sur les hauteurs de la rive gauche du Boulou non loin de Paussac. C'est là que les deux époux, juste après leur mariage, auraient du venir initialement s'installer dans la propriété familiale où était né 22 ans plus tôt Antoine (1). Pour des raisons qui demeurent conjecturales, Javerlhac, entre Nontron et Angoulême, aura finalement leur préférence ; le ménage s'y établit créant un petit commerce d épicerie et de mercerie. Mésentente du couple, difficultés financières…la boutique ne sera exploitée qu'une seule année puis revendue. Le père du jeune Fernand quitte Javerlhac pour Périgueux en 1858. Un départ peut- être solitaire pour la préfecture de la Dordogne où, selon certains, miné par l'alcool, il serait mort, à l'époque de l'effondrement du Second Empire, dans le dénuement le plus total.
En compagnie de son fils, Marie-Elodie aurait quant à elle gagné Angoulême : dans le lycée du chef lieu de la Charente le jeune Fernand poursuivra ses études secondaires obtenant, à 17 ans, son baccalauréat. Diplôme en poche l'adolescent monte à Paris faire « Médecine ».
Le projet n'aura pas grande suite et pourtant les carnages des Thiers et Galliffet – 30 000 communards au bas mot assassinés dans les rues et immeubles de la capitale au joli mois de mai 71- auraient pu lui fournir matière à dissection et études anatomiques ! Sa vocation sans doute était toute autre ; il la trouvera rapidement en faisant jouer ses relations comme son probable modèle de papier, Rastignac.
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Fernand Desmoulin cousine au second degré avec Alcide Dusolier ; l'homme qui a abandonné lui-même la toge pour la plume possède quelque influence. Secrétaire de Gambetta dès septembre 70 sa carrière politique sera féconde puisque successivement il occupera les fonctions de sous- préfet puis de conseiller général, de député et enfin de sénateur puis questeur. Beau profil d'arriviste formaté par la loge maçonnique l'Avenir de Nontron dont il sera « vénérable ». A Paris, la diaspora Périgourdine compte aussi d'autres membres influents dont Antonin Debidour, de la loge Les Amis Persévérants et l'Etoile de Vésone réunis (sic) de Périgueux. Grouillot en 1871 d'Ernest Picard ci-devant ministre de l'intérieur, agrégé d'histoire, docteur es- lettres et futur inspecteur général de l'instruction publique, Debidour le Nontronnais semble avoir encouragé et soutenu les dispositions de son jeune protégé pour les arts plastiques en l'introduisant dans les ateliers de Bouguereau, Luc Olivier Merson et Félix Bracquemond.
Avec de tels « parrains » et de tels « maîtres »,Desmoulin qui était loin d'être dépourvu de talent, perce et s'affirme en peu de temps. Vers 1880, dessinateur et aquafortiste réputé, il illustre « Sapho » d'Alphonse Daudet ; ses gravures accompagnent les œuvres d'Hector Malot, d'Edmond et Jules Goncourt, de Victor Hugo, de Frantz Jourdain, de Jean Richepin… On les retrouve aussi dans des rééditions du cardinal de Retz, de Léopardi…