Vous trouvez que vos bras sont trop flasques et que votre buste se relâche ? 

Un peu de sport, accompagné d’une alimentation équilibrée, suffit à redonner un joli galbe aux bras mous. Il en va de même pour le buste, qu’un peu de musculation raffermit efficacement. Pour retrouver des bras fins et musclés, et ne plus les cacher sous des hauts amples, suivez les conseils de Ligne en Ligne !
 

Pourquoi grossit-on des bras ?

Dans la vie de tous les jours, les bras sont peu sollicités. Particulièrement les triceps, zone où la graisse se fixe très facilement, surtout chez la femme.

Les bras sont formés par les muscles suivants :

• Le long supinateur, qui se situe entre le poignet et le coude. Ce muscle fonctionnel intervient dans tous les mouvements du bras.
• Les biceps, qui se situent entre le coude et l’épaule. Ces muscles assurent las flexions du coude et les mouvements de la main. Ils sont également responsable de l’effet « gonflette » lorsque sollicités en puissance.
• Les triceps, qui se situent entre le coude et l’épaule. Ces muscles permettent de fléchir le bras et l’avant-bras. Il s’agit de la zone de stockage de la graisse, chez la femme, et où la peau a tendance à se relâcher facilement.

 Révisez le contenu de votre assiette

Pour éviter l’apparition de bourrelets et le phénomène de ballonnement, il suffit de revoir ses habitudes alimentaires et de miser sur les bons aliments. Inutile de s’infliger un régime draconien pour maigrir du ventre. Suivez quelques règles simples, mais efficaces !

Du côté des habitudes alimentaires :

• Évitez les régimes draconiens ou à répétition, car ils favorisent le stockage et ont tendance à diminuer l’élasticité de la poitrine.
• Ne sautez pas de repas. Prenez plutôt une collation équilibrée si vous avez faim et peu de temps devant vous.
• Mangez à heures régulières, ce qui est bien meilleur pour votre organisme.
• Buvez régulièrement en dehors des repas, ou bien avant de manger. Cela facilite la digestion et l’élimination.
• Évitez de grignoter, ce qui relance le processus de digestion. Ou bien prenez une collation toujours à heure fixe.
• Ajustez vos apports énergétiques, car toutes les calories supplémentaires seront immédiatement stockées sous forme de graisse, dans les zones de réserve.

Du côté des aliments :

• Consommez des protéines (œufs, poissons, viandes, fromages, céréales complètes), pour permettre à votre organisme d’entretenir et de fabriquer du muscle.
•  Préférez les glucides non transformés  (céréales complètes, riz, pâtes…) aux glucides raffinés (gâteaux, bonbons, sodas…). Car les sucres rapides favorisent le stockage dans les zones de réserve.
• Buvez des infusions et de l’eau, pour drainer votre organisme.

Faites de l’exercice physique

Pour raffermir ses bras et son buste, rien de tél qu’un peu d’exercice physique. Mais attention, pas n’importe lesquels. L’idéal est de choisir des sports qui font travailler les muscles en longueur, pour les muscler tout en les affinant.

Les sports suivants sont parfaits pour des bras toniques et un buste ferme :

• La natation, sport idéal pour galber ses bras et raffermir les pectoraux. Quelle que soit la nage pratiquée, le résultat est très satisfaisant, à condition de tenir au moins 30-40 minutes au moins une fois par semaine.
• L’aquagym, pour se muscler en douceur. Avec la résistance de l’eau, le travail des bras est efficace et agréable, puisqu’il y a toujours l’effet de massage.
• Les sports de raquette, qui donnent des bras musclés. Le fais de frapper dans la balle sollicite tous les muscles des bras.
• Les sports de ballon, raffermissent les bras, grâce aux contacts main/ballon.
• La danse, car elle sollicite les bras et permet donc de les tonifier.
• La planche à voile, pour muscler tout le haut du corps, tout en raffermissant le bas. C’est un sport physique, mais complet.

Quelques exercices spéciales bras galbés et buste ferme, à pratiquer chaque jour pendant 10 minutes :
 

• Exercice 1 (sans haltères) : Assis(e) sur le bord d’une chaise, les mains sont de chaque côté du buste. Décollez les fesses et descendez lentement en fléchissant les coudes au maximum, puis remontez. Répétez ce mouvement 12 fois, faites une pause, puis recommencez.

• Exercice 2 (sans haltères) : Au sol, appuyé(e) sur les mains et les genoux, qui sont écartés de 10-20 centimètres. Fléchissez les bras, en gardant le dos droit, et descendez le plus possible sans toucher le sol, puis remonter. Recommencez 12 fois, faites une pause, puis reprenez.

• Exercice 3 (avec haltères) : Assis(e) sur un tabouret, dos droit, une haltère dans chaque main, les bras sont levés à la verticale. Fléchissez l’avant-bras et ramenez l’haltère derrière la nuque, puis remontez doucement à la verticale. Répétez le mouvement 20 fois, faites une pause, puis recommencez. Idem pour l’autre bras.

• Exercice 4 (avec haltères) : Allongé(e) sur le dos, jambes fléchies à 90° et pieds au sol, une haltère dans chaque main, les bras sont levés à la verticale au niveau des épaules. Fléchissez l’avant-bras, puis remontez à la verticale. Recommencez 20 fois, faites une pause, puis recommencez. Idem pour l’autre bras.

Ne choisissez pas des haltères trop lourdes, ou vous risqueriez de travailler vos muscles en volume et non en longueur… Pensez également à inspirer et expirer à chaque mouvement.

Si vous en êtes capable, essayez d’augmenter progressivement la durée de chaque exercice. 

Prenez de bonnes habitudes au quotidien

Voici des astuces simples, pour raffermir ses bras et son buste :

• Tenez vous droit(e) que vous soyez debout ou assis(e).
• Étirez-vous chaque matin, en essayant de vous grandir le plus possible.
• Massez-vous sous la douche avec un gant de crin. Pratiquez la fameuse méthode du palper-rouler pour favoriser l’élimination des graisses (pincez la peau et la faire rouler dans tous les sens).
• Évitez de prendre des bains trop chauds, qui relâchent les tissus. Terminez plutôt votre douche par un jet d’eau froide pour raffermir les bras et les seins, et relancer la circulation du sang.
• Hydratez quotidiennement votre buste pour prévenir le relâchement.
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« J’aimerais maigrir des cuisses » disent souvent les femmes. Nombreuses sont celles d’entre nous qui souffrent d’une accumulation de graisse au niveau des cuisses. On l’ignore souvent, mais ces tissus adipeux n’affectent pas le bon fonctionnement du corps. Cette morphologie spécifique de type gynoïde répond en fait à une nécessité féminine de stockage de graisse en cas de besoin calorique plus important, durant des périodes telles que l’allaitement et la grossesse.

Considérés comme relativement disgracieux d’un point de vue esthétique,  ces tissus adipeux ne sont cependant pas une fatalité. Avec de la détermination et quelques bon conseils, vous êtes en mesure d’améliorer l’aspect de vos jambes et d’avoir des cuisses plus fines.

Ligne en Ligne vous donne quelques techniques pour pouvoir maigrir des cuisses.
 

Comment faire pour perdre des cuisses?

Le sport : un must mais lequel choisir ?

Pour maigrir au niveau des cuisses, il faut privilégier les sports d’endurance qui font travailler les membres inférieurs. La marche et le jogging sont préférables aux activités physiques telles que la natation, le vélo ou les rollers qui musclent un peu trop les fessiers et les quadriceps.
La marche vous aide à perdre du poids dans tout le corps. Elle améliore la circulation sanguine, affermit, tonifie sans rendre vos jambes volumineuses
Vous pouvez aussi utiliser la corde à sauter qui est également efficace en complément de la marche car les foulées bondissantes vous aident à gagner en tonicité sans prendre de volume musculaire. Les activités qui aident à renforcer les muscles posturaux (gymnastique, Pilates, aquagym) sont aussi une bonne alternative.

Exercices spécifiques recommandés par Ligne en Ligne pour maigrir des cuisses

Ligne en Ligne a sélectionné 3 exercices simples et ludiques que vous pouvez faire, dès aujourd’hui, chez vous. Avant de commencer ces exercices, n’oubliez pas d’étirer et d’échauffer votre corps afin de ne pas vous faire mal. Nous vous conseillons aussi de commencer lentement et ne pas faire trop de séries dans un premier temps, surtout si vous n'êtes pas de nature sportive. Si vous ressentez de la fatigue, faites une pause tout de suite. Si vous sentez que l'une des parties de votre corps vous fait mal, arrêtez l'exercice et recommencez les jours suivants si la douleur a disparu.
 

Premier exercice pour maigrir des cuisses

Asseyez-vous bien droit(e) sur une chaise pourvue d'un dos. Mettez des poids sur vos chevilles. Levez une jambe, puis l'autre, puis les deux. Cet exercice aide à tonifier vos jambes et cuisses tout en fortifiant les muscles de votre estomac. Faites une petite série au début (de 15 à 20 mouvements) puis augmentez graduellement le nombre de séries.
 

Deuxième exercice pour maigrir des cuisses

Allongez-vous sur le côté, tendez vos jambes et levez-les 10 centimètres au-dessus du sol. Gardez les collées l'une à l'autre. Marquez une pause lorsque les 2 jambes se trouvent tout en haut du mouvement. Ensuite redescendez-les lentement vers le sol. Répétez ce mouvement 5 fois puis changez de côté. Faire cet exercice de 2 à 3 minutes par jour (au début) fera du bien à vos cuisses. Augmentez progressivement la durée jusqu'à 5 minutes par côté (donc 10 au total) une fois que vous êtes habitué(e) à l'exercice.
 

Troisième exercice pour maigrir des cuisses

Ce mouvement est similaire à l’exercice précédent mais en décollant les 2 jambes. Allongez-vous sur le côté, gardez une jambe collée au sol et levez l'autre jambe vers le plafond (vos jambes formant un angle de 90°). Descendez ensuite la jambe qui se trouve en l'air lentement jusqu'à ce qu'elle touche celle qui se trouve collée au sol, avant de la faire redécoller doucement. Cet exercice tonifiera les muscles de vos cuisses et réduira leur volume.

aliments à éviter pour maigrir des cuisses

Pour pouvoir maigrir des cuisses, l’exercice physique reste indispensable, mais il faut aussi revoir son alimentation. Pour arriver à un résultat satisfaisant, il faudra éviter les sucres rapides qui se transforment directement en graisse dans le corps surtout s'ils sont consommés en dehors des repas. Consulter notre article sur le régime IG. Evitez surtout les boissons gazeuses sucrées, qui aggravent la rétention d'eau. Limitez aussi les lipides (matières grasses) dans votre alimentation. Mangez les féculents sans assaisonnement huileux (pain complet, pommes de terre, pois, céréales complètes, riz brun, etc.). Ne consommez pas plus de 30 grammes de graisse par jour. Si vous remarquez que vous avez tendance à stocker de la graisse au niveau de vos cuisses, tout excès de graisse que vous consommez des aliments et des boissons iront tout droit à cet endroit.

En somme, les aliments à éviter sont :

• Les confiseries et gâteaux (gâteaux apéritifs, viennoiseries, pâtisseries ...),
• Les alcools (bière , vin, whisky...),
• Les sodas et boissons gazeuses,
• Les sauces telles que la mayonnaise et la moutarde.

De plus, privilégiez l’eau comme boisson (le thé vert est possible) et augmentez aussi votre consommation de fruits et légumes.

La liposuccion

Le derniers recours pour avoir de belles cuisses, après les régimes et les exercices physiques adaptés reste la liposuccion. Certaines femmes, après un amaigrissement sans sport, peuvent se faire enlever l'excédent de graisse par ce procédé. Cependant, si la sédentarité persiste, la graisse reviendra dans les cuisses dès les kilos repris.
 

Et surtout n’oubliez pas

Pour des questions hormonales, la graisse autour des cuisses est la plus lente à partir, il vous faut donc être patiente et bien viser le long terme (de 6 mois à un an) pour espérer changer de physionomie. De même, choisissez les exercices qui vous conviennent et que vous ferez avec un sentiment de plaisir et non d’obligation. Dans le cas inverse, vous ne pourrez pas tenir le rythme sur la période requise.

Quel mangeur êtes-vous ?

Nous sommes tous différents. Cependant, certaines études sociologiques tendent à démontrer qu’il n’existe pas 50 000 façons de se nourrir. Ainsi, que l’on soit un homme ou une femme, jeune ou âgé(e), nous appartenons à un profil particulier de mangeur. Quelles sont les différentes catégories de mangeur identifiées par l’OCA et le Crédoc ? Mais surtout, à quel groupe appartenez-vous ? Venez le découvrir en direct sur Ligne en Ligne.
 

Pourquoi réaliser une typologie des mangeurs ?

En fonction des consommations déclarées des mangeurs et des principaux facteurs qui y sont associés, l’OCA (Observatoire des Comportements Alimentaires), en union avec le Crédoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), a réussi à regrouper les individus en différents groupes de mangeurs.

Ce classement a pour but d’étudier la consommation alimentaire de la société française à un instant t et d’en estimer l’évolution.
 

« Dis-moi ce que tu manges et je te dirai qui tu es »

S’il existe autant de typologies que de sociologues qui se sont penchés sur le sujet, nous nous contenterons de vous présenter ici le classement des mangeurs le plus souvent utilisé pour trier la population française.
 

Les différents types de mangeurs sont ainsi :

Les petits mangeurs diversifiés qui représentent environ 15% de la population française.Ce groupe est majoritairement constitué de femmes (80%) de plus de 45 ans (67%) et vivant en banlieue parisienne (31%).

L’alimentation des personnes de ce groupe est globalement variée et équilibrée. Elle se caractérise par un apport énergétique faible (environ 1800Kcal/jour) et une richesse en fruits, légumes et produits laitiers.

Ce comportement alimentaire semble donc exemplaire et reste très à l’écoute des discours nutritionnels. Il faut cependant éviter de sombrer dans une obsession calorique pouvant à terme conduire à une alternance de privations et d’excès, néfaste pour l’organisme autant que pour l’équilibre psychologique.

Les gros mangeurs diversifiés qui ont un apport énergétique important et varié. La consommation de pain, de beurre, de fromage, de plats en sauce et de sucre est importante dansce groupe composé majoritairement d’hommes vivant en région parisienne (35%). L’obésité et le surpoids sont ici plutôt fréquents.

Pour diminuer le risque de maladie cardiovasculaire, Ligne en Ligne conseille donc aux gros mangeurs diversifiés de limiter la consommation d’aliments caloriques au profit des fruits et légumes, ainsi que de pratiquer une activité physique régulière.

Les jeunes mangeurs ou mangeurs pressés. Ce groupe constitue 34% de la population française et regroupe majoritairement des jeunes de moins de 34 ans (75%). Il s’agit en outre d’un groupe plutôt masculin avec 60% d’hommes.

Les habitudes alimentaires de ce type de mangeurs ne sont pas forcément un modèle de référence : on mange ici sur le pouce des produits vite prêts et ne nécessitant pas de la grande cuisine (riz, pâtes, pizzas/quiches, chocolat, biscuits…). L’apport calorique quotidien avoisine ainsi les 2000Kcal.
Le véritable problème de ce groupe, en plus d’un manque notable de temps, est l’absence de plaisir culinaire mais également une insuffisance d’apport notable en fer, calcium, carotènes et vitamines.

Avis donc à tous les mangeurs pressés que vous êtes : prenez le temps de cuisiner et de diversifier votre alimentation (plus de légumes et de fruits et moins de produits gras).

Les gros mangeurs monotones pour lesquels les repas se doivent d’être nourrissants.

Si vous avez tendance à consommer régulièrement et en grande quantité du fromage, de la charcuterie, des abats, de l’alcool, des pommes de terre ou encore du café, alors c’est que vous appartenez à ce groupe. Il constitue 11% de la population française, est majoritairement composé d’hommes (90%) âgés entre 25 et 54 ans, ne pratiquant pas de sport (61%) et fumant tous les jours (40%).

L’alimentation est ici peu diversifiée et se caractérise par une richesse énergétique (environ 2500Kcal/jour) et par un dédain des fruits et légumes.
Attention car le gros mangeur monotone cumule les facteurs de risque cardiovasculaire : tabac, sédentarité, alcool, alimentation grasse… Il est donc temps de réagir !

 
Les mangeurs standards qui représentent 27% de la population, avec une majorité de femmes, et qui se caractérise par l’absence de préférences alimentaires. Le niveau de consommation des différentes catégories d’aliments est ainsi proche de la moyenne.

Ces habitudes alimentaires sont relativement représentatives de l’alimentation traditionnelle française.

Nos conseils nutritionnels seraient dans ce cas de maintenir la diversité alimentaire tout en diminuant l’apport calorique et également d’augmenter la pratique d’une activité physique.

Maintenant que vous savez à quel type de mangeur vous appartenez, il est temps de modifier votre alimentation afin de vous rapprocher au plus du discours nutritionnel du PNNS (Programme National Nutrition Santé).

Notre transit varie en fonction de notre alimentation et de notre rythme de vie.

La constipation peut se retrouver dans diverses situations assez fréquentes :

• Mauvaise alimentation
• Voyages
• Changement des habitudes du quotidien
• Manque de sommeil
• Manque d'eau
• Période pré-menstruelle chez la femme
• Syndrome du côlon irritable

L'alimentation peut largement contribuer à l'amélioration du transit. Parce que cette lourdeur dans le bas du ventre est insupportable, voici quelques conseils simples : 

• Les fibres deviennent vos meilleures alliées !

- Préférez les féculents complets ou semi complets plutôt que blancs ou raffinés (riz, pain, pâtes complètes).

- Vous pouvez mélanger les All Bran (céréales très riches en fibres) à vos céréales habituelles du matin.

- Vous pouvez ajouter une cuillère à café ou à soupe de son dans vos yaourts.

- Ne négligez pas les légumes cuits et les fruits (en particulier les pruneaux et un kiwi le matin).

• N'oubliez pas de bien vous hydrater

Buvez beaucoup d'eau nature, tisane, thé, bouillons. Les eaux comme Hépar et Contrex enrichies en magnésium peuvent faciliter le transit.

• Enfin, pratiquez une activité physique :  vous en ressentirez les bienfaits sur votre transit!

Concernant les ballonnements souvent associés à la constipation 

- Evitez de mâcher du chewing-gum trop longtemps et trop souvent

- Evitez également les boissons gazeuses

- Vous pouvez consommer de manière occasionnelle du charbon végétal (vente en pharmacie) en cas de repas copieux.

J'espère que tous ces conseils amélioreront votre quotidien.

Le brocoli, c'est bon !

Le brocoli, c’est un peu comme un bel inconnu dans la rue : on l’observe, mais de loin, et sans vraiment savoir pourquoi, on n’ose pas trop s’en approcher.

Et pourtant une fois qu’on apprend à le connaître, (on parle du brocoli bien sûr, pour les beaux inconnus on ne peut rien faire), on s’aperçoit vite qu’en plus d’être très bon, il cache de nombreux secrets forme et minceur, qu'il nous dévoilera avec plaisir de juin à novembre.

En velouté, en purée, en mousse, venez découvrir les bienfaits du brocoli, ainsi que de délicieuses recettes qui vous rendront complètement accros à cet excellent légume !

Le brocoli, bon pour la ligne

Premier atout du brocoli : il ne contient pas plus de 25 kcal pour 100 g, ce qui explique qu’il soit un des produits phare du régime crétois.

Ce légume, particulièrement pauvre en calories, est donc un allié minceur incontournable !

Deuxième atout du brocoli : sa richesse en eau et en fibres qui contribuent à activer la fonction rénale de l’organisme.

Enfin, le brocoli présente de nombreuses propriétés préventives contre certains cancers : d’une part parce qu’il contient des vitamines B9 (qui auraient un impact sur le risque de cancer colique) ; d’autre part grâce à sa haute teneur en composés soufrés, qui réduisent également le risque de cancer.

Le saviez-vous ?

Vous pouvez conserver vos brocolis enveloppés dans un film plastique, dans le bac à légumes du réfrigérateur, 4 à 5 jours. Le brocoli se congèle aussi très bien, à condition d’avoir été blanchi 5 minutes à l'eau bouillante et soigneusement égoutté.

Pour préparer le brocoli, passez-le sous l'eau, en sectionnant la tige et en le faisant cuire brièvement : pas plus de 5 minutes à la vapeur, 7 à 10 minutes dans l'eau bouillante.

Pour qu'il conserve sa belle couleur verte, plongez-le, sitôt cuit, dans de l'eau glacée quelques instants.

Vous pouvez consommer les tiges comme des asperges et préparer les bouquets (fleurs et feuilles) comme pour un chou-fleur : gratin, salade, poêlée, purée, potage, terrine…

La clémentine, c'est bon !

Aaah la clémentine ! Après l'effort de l'épluchage, vient le réconfort de la dégustation : son petit goût acidulé et juteux fait toujours sensation.

Particulièrement appréciée de novembre à février, la clémentine n’est pas seulement la complice de nos pauses goûters : elle se prête aussi volontiers à nos "p'tits-déjs" vitaminés et à nos "chefs-d'oeuvre" sucrés-salés.

Mais est-ce que ce petit plaisir sucré serait en plus ultra-léger ?

La clémentine, bonne pour la ligne

La clémentine réserve de bonnes surprises à notre ligne : bien qu’étant la plus sucrée de tous les agrumes, elle ne compte que 46 kcal pour 100g !

Ainsi, 2 clémentines pour le goûter, c’est une "pause-gourmandise" à 50 kcal à peine ! Et comme la pulpe de la clémentine est très riche en vitamine C, cette pause goûter vous apportera aussi du tonus et vous aidera à lutter contre la fatigue, ce qui en fait un fruit particulièrement recommandé lorsque les températures commencent à tomber.

D'autre part, sa teneur élevée en magnésium et en fer contribue au bon fonctionnement du système musculaire et nerveux. Une petite douceur qui permet de dire adieu aux coups de barres et autres baisses de moral, c’est quand même une sacrée copine la clémentine !

Pour celles ou ceux qui ont parfois du mal à s’y retrouver entre clémentine et mandarine :

La clémentine est en fait le résultat du croisement entre la mandarine et l'orange amère, que l'on nomme bigarade. Elle est quasiment dépourvue de pépins, et possède une chair fine et parfumée, ce qui explique qu'au fil des ans, elle ait détrôné la mandarine sur les étals des marchés. Petite et ronde, sa peau est le plus souvent orangée, parfois rougeâtre.

Maintenant que vous maîtrisez parfaitement la différence clémentine/mandarine, on peut vous parler de la clémenvilla, que l’on croise de plus en plus souvent sur nos marchés.Ce fruit est l'hybride d'une clémentine et d'un tangelo (lui-même issu du croisement entre une sorte de mandarine, et d'un pomelo, vous suivez toujours ?). Elle possède encore moins de pépins et se révèle beaucoup moins fragile et davantage parfumée que notre chère clémentine.

Vous voilà prêt(e)s à vous régaler en toute connaissance de cause !