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1) Un riche banquier allait marier son fils et dit a celui-ci :
Dès demain, tu seras avec ta femme, il faut quand même que tu saches certaines choses...
Tiens, tu connais les doigts de la main ?
- Mais bien sur, papa ! Il y a le pouce, l'index, le majeur.
- NON ! NON ! L'interrompt le banquier. Ce n'est pas ça !
Il y a le doigt du : voyage, de la direction, de la jouissance, du mariage et, ENFIN, celui de la distinction.
- Ah bon ?
- Je t'explique, Simon, mon fils.
- Le doigt du voyage c'est : le POUCE, parce qu'il te permet de faire du stop.
- D'accord papa.
- Le doigt de la direction c'est : l'INDEX parce que : c'est celui que tu tends quand tu veux montrer quelque chose.
- Ok.
- Le doigt du mariage c'est : l'ANNULAIRE parce que : c'est là que tu vas passer ton alliance, Simon, mon fils.
- Oui papa.
- Et le doigt de la distinction c'est : l'AURICULAIRE parce qu'il faut le lever quand on boit une tasse de thé.
- Compris, papa ! Mais papa, tu as OUBLIÉ le doigt de la JOUISSANCE !
- Je gardais le MEILLEUR pour la fin, Simon , mon fils.
- Le doigt de la jouissance c'est : le MAJEUR. C'est : le plus BEAU ! Le plus LONG ! Pour la JOUISSANCE : tu MOUILLES ce DOIGT dans ta BOUCHE ET tu COMPTES tes BILLETS, mon Fils !
N.B. TOUS ceux qui ont PENSÉ mal : faites 3km de plus de marche ..........rire
2) C'est un lapin et un ours pas en très bon terme qui se promèment en forêt. Ils rencontrent une grenouille qui à leurs regards se transforme en fée.
La fée leurs dit que leurs regards l'a libéré de ce mauvais sort. Elle leurs dit qu'ils ont droit à trois voeux chacun.
La fée demande à l'ours ce qu'il veut comme premier voeu. Il répond qu'il voudrait que tous les ours de la forêt soient des femelles. Et hop les ours de la forêt deviennent des femelles sauf lui.
La fée demande au lapin ce qu'il veut comme premier voeu. Ben j'aimerais bien avoir... un casque. Et hop il se retrouve avec un casque sur la tête.
SUITE DANS COMMENTAIRE.
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Un chômeur postule pour un poste de déboucheur de chiottes chez Microsoft
Le directeur des ressources humaines le convoque pour l'entretien, puis lui fait passer un test (avec une ventouse toute neuve).
Il lui dit :
Tu es engagé, donne-moi ton email et je t'enverrai le formulaire rempli ainsi que la date et l'heure auxquelles tu devras te présenter pour commencer ton travail
L'homme désespéré, répond qu'il ne possède pas d'ordinateur, et donc pas d'email.
Le DRH lui dit alors qu'il est désolé, mais que s'il n'a pas d'email, cela signifie que virtuellement il n'existe pas et, comme il n'existe pas, il ne peut avoir le job.
L'homme sort, désespéré, sans savoir que faire, avec seulement 10 dollars en poche. Alors il décide d'aller au supermarché et d'acheter une caisse de 10kgs de fraises.Il fait donc du porte à porte pour vendre ses fraises au kilo, et en moins de deux heures, réussit à doubler son capital. Il répète l'opération encore trois fois et revient chez lui avec 60 dollars.
Alors, il réalise qu'il pourrait survivre de cette manière. Il part de chez lui tous les jours plus tôt et revient chez lui plus tard, et ainsi triple ou quadruple son argent chaque jour.
Peu de temps après, il achète une charrette, puis l'échange contre un camion et peu de temps après se retrouve avec une petite flotte de véhicules de livraison. 5 ans passent
L'homme est maintenant propriétaire d'un des plus grands réseaux de distribution alimentaire des Etats-Unis.
Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, choisit un plan d'assurance et quand la conversation prend fin, l'assureur lui demande son email pour lui envoyer la proposition.L'homme dit alors qu'il n'a pas d'email! "Curieux, lui dit l'assureur,vous n'avez pas d'email et vous êtes arrivé à construire cet empire, imaginez où vous seriez si vous aviez un email."
L'homme réfléchit et répond : Je serais déboucheur de chiottes chez Microsoft. SUITE DANS COMMENTAI
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MOURICE BEN FENECH se présente, pour un emploi, de vendeur dans un Super
Bazar où l'on vend de tout.
Le patron lui demande s'il a de l'expérience.
Si j'ai de l'expérience ? Dans la vente ? Aaiaiaiaille, ti me demande ça à
moi, Mourice Ben F'nech ? J'suis le Roi de la vente, moi ! Mon cousin il
avait une boutique, j'ai tout vendu. Maintenant il est parti au souleil
tellement j'l'ai rendu riche...
Sir la tête de ma mère, y'a pas meilleur vendeur que moi.
Le Patron, amusé par la situation, décide d'essayer le jeune homme pour la
journée.
Le soir, il revient pour voir ce qu'il a bien pu vendre.
" Alors, combien de ventes as-tu fait aujourd'hui ? "
" Une seule, sur ma tête Patron, il est v'ni qu'un client "
" Ce n'est pas très brillant ça, et une vente de combien ? "
" Seulement 200.000 Euros, patron "
" Quoi ? 200.000 ? Tout rond ? Mais...comment ça ? "
Et Mourice, il raconte :
" Y a un type qu'est v'ni et j'li ai vendu un hameçon. Pis, j'li propose la
petite canne à pêche au lancer et une série de mouches. Et comme j'li dit
qu'il peut pas pêcher sans être bien équipé, j'li vendi aussi la grande
canne
avec la ligne et les bouchons et un moulinet.
"Sir la tête de ma mère, t'en as jamais vi un comme ça «, que j'li dis. "
ti peux r'monter Moby Dick avec ça."
Après, pour pas qu'il ait honte devant les autres pêcheurs, j'li ai
vendu l'équipement, les bottes, le ciré et le bob. Parce qu'avec sa canne
toute neuve, s'il a pas l'équipement, y va passer pour un plouc, hein chef?
Et les clients de Ben F'nech, ils peuvent avoir l'air cons mais pas l'air
plouc.
Pis, j'li demande où il va aller pêcher. I'mm dit " sur la côte " .
Alors, j'li dis qu'il f'rait bien d'acheter un bateau pour pêcher au
large,
et j'li vends le hors-bord de 12 mètres avec les deux moteurs. Et j'li
demande comment y va emmener son bateau sur la côte. Y savait pas.
Alors, j'li ai vendu la nouvelle Mercédès et une remorque pour tracter le
bateau.
SUITE DANS COMMENTAIRE.
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Si je tenais la puce qui me pique,
Qui me point
Dans mon pourpoint,
Je la piquerais d’un si bon point
Qu’elle s’en souviendrait du pique,
Du point
Qu’elle m’a piqué dans mon pourpoint.
Félix son porc tua,
Sel n’y mit,
Ver s’y mit,
Son porc gâta.
Haut nid pie a
Bas nid caille a,
En mare cane est.
Au bout du pont
La cane y coud
La poule y pond.
Alors, vous arrivez à articuler ? Vite ? Bravo !!!!
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Blagues
publié le 12/11/2007 à 08:47
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1)Un homme sortait de chez lui lorsqu'il vit un cortège funèbre
inhabituel arrivant au cimetière tout proche.
Un corbillard, suivi d'un second corbillard avec derrière, un homme
seul avec un pit-bull en laisse.
Quelques pas derrière lui, environ 200 hommes marchaient en file indienne..
Ne contenant pas sa curiosité, l'homme s'approche respectueusement de
l'homme au chien et lui dit:
"Je suis désolé de vous déranger et je sais que le moment est mal
choisi, mais je n'ai jamais vu un enterrement comme celui-ci.
C'est l'enterrement de qui ?"
"Ma femme"
"Que lui est-il arrivé ?"
"Mon chien l'a attaquée et l'a tuée."
"Et qui est dans le deuxième corbillard ?" .
"Ma belle mère. Elle a essayé d'aider ma femme et le chien s'est retourné contre elle."
Entre les deux hommes, un moment de silence poignant...
"Je pourrais vous emprunter votre chien ?"
"Mettez vous dans la file"....
2) Chirac et Bush sont dans un bar en Arabie Saoudite, en train de boire un verre d'alcool lorsque la police saoudienne les arrête.
La consommation d'alcool est une offense grave en Arabie Saoudite.
Ainsi, ils sont tous les deux condamnés sur le champ à 20 coups de fouet.
Alors qu'ils se préparent à leur punition, le cheik leur annonce:
- C'est l'anniversaire de ma première épouse aujourd'hui, et elle m'a demandé de permettre à chacun de vous d'exaucer un souhait avant d'être fouettés.
Bush étant le premier, il réfléchit pendant un moment puis dit:
- S'il vous plaît, attachez un oreiller dans mon dos. Ceci fut fait, mais l'oreiller ne résista qu'à 10 coups de fouet. Quand la punition fut terminée, Bush dû être emporté en train de saigner abondamment et de pleurer de douleur.
Vient alors le tour de Chirac.
Le cheik se tourne vers lui et dit:
- Vous venez d'un des endroits les plus beaux du monde et votre culture est une des plus fines au monde. À cause de cela, vous avez le droit à deux souhaits!
Chirac lui répond:(suite de cette blague dans commentaire, page suivante)
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1) Pourquoi les batteries sont mieux que les hommes ?
-Parce qu'elles ont au moins un côté positif !
2) Pourquoi les hommes c'est comme des crabes ?
-Parce que tout est bon sauf la tête !
3) Pourquoi les hommes c'est comme les spermatozoïdes ?
-Parce que un seul sur un million est utile...
4) Pourquoi un homme c'est comme un magnétoscope ?
-Avant, arrière, avant, arrière, eject !
LE DICTON DES ALCOOLIQUES...
1 - Quand un verre est plein on le vide. Et quand il est vide on le plaint.
2 - On boira du lait quand les vaches mangeront du raisin.
3 - Conduire ou choisir, il faut boire.
4 - Si l'alcool vous gêne dans le travail arrêtez le travail.
5 - Boire au volant, c'est pas bien ! Faut boire à la bouteille.
6 - L'alcool tue lentement. M'en fous je suis pas pressé...
7 - Qui boit sans soif vomira sans effort.
8 - Vaut mieux être bourré que con, ça dure moins longtemps.
9 - L'eau est un liquide si corrosif, qu'une seule goutte suffit pour troubler le pastis.
10 - La sobriété est une hallucination due au manque d'alcool.
11 - Qui boit, s'enivre. Qui s'enivre, s'endort. Qui s'endort ne pèche pas. Qui ne pêche pas va au paradis.
Moralité : buvons !
BON WEEK END A TOUS !
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Le chasseur à qui le sanglier avait échappé s’est mis en colère, et il a battu l’homme à la chemise.
On ne dit pas « que Saint Antoine te protège » à une bête qui veut s’échapper.
Mais alors, que faut-il dire ?
Eh bien ! Il faut dire « D’abord celui-là, ensuite un autre ! »
L’homme à la chemise arrive dans un autre pays ; là, il rencontre un mort que l’on conduisait au cimetière.
Voilà que l’homme s’écrie :
D’abord celui-là, ensuite un autre
Les gens qui conduisaient le mort au cimetière ont été indignés; et ils ont battu l’homme à la chemise, et lui ont fait des reproches :
On ne dit pas cela, quand on voit porter un mort en terre !...
Mais, alors, que faut – il dire ?
Il faut dire « Pater Noster » et Ave Maria ».
Je le dirai, maintenant, mais vous m’avez quand même battu !
Il marche, marche, arrive à une grand-route ; et là il trouve un âne mort.
Voilà l’homme à la chemise qui se met à genoux, et fait sa prière.
Un passant descendait la route, il le voit et s’en étonne.
« Que fais – tu là ?
Je dis « Pater Noster » et « Ave Maria ».
Ce n’est pas comme ça qu’il faut faire ! ceux –là, on les prend par les pieds, et on les jette au loin.
Cette fois- là, l’homme à la chemise n’a pas été battu, mais il s’est souvenu de ce qu’on lui avait dit.
Il marche, marche, arrive à un pont. Là, au pied d’un figuier, un cantonnier était couché, et sommeillait.
Voilà que l’homme à la chemise l’aperçoit ; il l’empoigne par les pieds, et le jette dans la rivière !
Cette fois- là, il a été arrêté, et on l’a mis en prison.
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Une fois, il y avait un homme qui était descendu au bord de la mer. Il avait enlevé sa chemise, et s’était mis à la laver.
Voilà qu’il passe un bateau chargé de charbon, allant en Italie. Quand l’homme a vu passer le bateau, il s’est mis à crier :
Venez ici ! venez ici !
Alors, les gens du bateau se sont approchés de la terre : certains sont même descendus à terre.
L’homme, les voyant venir, a demandé :
-Est-elle blanche, ma chemise ?
Les gens du bateau étaient fâchés ; ils lui répondent :
-Comment ? Vous nous avez fait venir pour ça ?
Et ils se sont mis à lui donner des coups de pied dans le derrière !
L’homme à la chemise se met à gémir :
Mais … que faut-il dire, alors ?
-Eh bien ! dites donc « vent en poupe ! vent en poupe ! »
- Je le dirai ! mais vous m’avez quand même battu !
Là-dessus, l’homme à la chemise s’en va un peu plus loin. Il arrive dans un grand champ, et trouve un tas de blé qui prenait feu. Le voilà qui monte sur le tas de blé, en disant tout haut :
-Vent en poupe ! vent en poupe !
Alors, un de ceux qui cherchaient à éteindre le feu, l’a battu, en disant :
On ne dit pas ça ! Quand le feu brûle, on n’invoque pas le vent !
-Mais que faut –il dire, alors ?
- Il faut dire : que Saint Antoine te protège, que Saint Antoine te protège !
-Bien ! je le dirai ! mais ne me battez plus.
Là-dessus, l’homme à la chemise s’en va un peu plus loin. Il arrive devant des chasseurs, qui poursuivaient un sanglier, et s’approche d’eux en criant :
-Que Saint Antoine te protège ! que Saint Antoine te protège !
Et voilà que le sanglier s’est sauvé dans le maquis.Suite demain.....*(Au fait sur la balance on peut lire "va courir")
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Blagues
publié le 06/11/2007 à 08:40
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1) L'inventeur de la moto Harley Davidson, Arthur Davidson, décède et monte au ciel.
À la porte, St Pierre dit à Arthur : - Vu que vous avez été un homme bon et que vos motos ont changé le monde, votre récompense sera de rencontrer Dieu en direct, sans anges gardiens !Dieu reconnaît Arthur et commente : - Ainsi, vous êtes l'inventeur de la moto Harley Davidson Arthur répond : - Oui, c'est moi.Dieu commente : - Eh bien, il n'y a pas de quoi être fier d'avoir inventé quelque chose qui est instable, fait beaucoup de bruit, pollue outrageusement et coûte une fortune. Arthur est embarrassé un instant, mais finit par dire : - Excusez moi, mais vous n'êtes pas l'inventeur de la femme ?
Et Dieu dit : - Mais oui !
Eh bien, dit Arthur, de professionnel à professionnel, il y a de graves défauts de conception dans votre invention : 1. Il n'y a pas de constance dans le design du pare-choc avant,
2. Ça caquette constamment à haute vitesse,
3. L'arrière est trop mou,
4. L'entrée est placée trop près de la sortie,
5. La peinture est à refaire constamment,
6. Il y a des fuites tous les mois et je constate aussi que ça pisse trop souvent,
7. Et les coûts de maintenance sont vraiment excessifs.
Hummmm, vous marquez des points, là, réplique Dieu ; attendez !
Dieu va sur son ordinateur céleste et tape quelques mots. Il imprime les résultats et il les lit à Arthur : - C'est vrai qu'il y a des défauts dans mon invention, dit Dieu, mais selon tous les sondages, il y a plus d'hommes qui enfourchent mon invention que la vôtre !!!!!!
2) Ma femme et moi étions assis dans le lit la nuit dernière, discutant des choses de la vie. Nous parlions de l'idée de vivre ou mourir.
Je lui dis:
"Ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d'une machine ou de potions quelconques. Si tu me vois dans cet état, débranche tous les éléments qui me maintiennent en vie"
Sur ce, elle s'est levée, a débranché le cable de la TV et m'a enlevé ma bière.
Salope ....
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Blagues
publié le 05/11/2007 à 08:57
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1) Deux Belges (pardon amis Belges) marchent dans la rue. Soudain, ils aperçoivent une crotte de chien :
Le premier dit alors à l'autre :
- Dis, tu crois que c'est une merde de chien?
- Je ne sais pas, goutte!
Il met alors son doigt dedans et répond :
- Oui, il me semble bien. Attend, je goutte !
Le second met aussi son doigt dedans et le lèche soigneusement :
- Ouaih ! ça c'est de la merde de chien !
- Eh ben, heureusement qu'on n'a pas marché dedans !
2) Un homme entre dans la douche au moment précis ou sa femme en sort, lorsque la sonnerie retentit à la porte de leur maison.
La femme s'enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d'entrée :
C'est Laurent, le voisin de palier.
Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, il lui lance :
- Je te donne 800€ immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre.
Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette.
Il l'admire à loisir, puis lui tend 800€.
Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d'œil, elle remonte dans la salle de bain.
Son mari, encore sous la douche, lui demande:
- C'était qui ?
- C'était Laurent
- Super, il t'a rendu les 800€ qu'il me devait ?