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Un petit goût de miel, une saveur sucrée à faire frétiller la papille la plus endormie, c'est sûr, le pain d'épices est une vraie gourmandise.

Difficile alors de résister à ces belles tranches dorées ou à ces petits bonhommes rigolos qui exhalent un doux parfum de cannelle et qui ont cette saveur si particulière…

Cependant, souvent associé à la période de Noël, il est pour beaucoup, un ennemi du régime au même titre que les truffes, les bûches et autres petits biscuits de fêtes.

Mais si c'était tout le contraire ? Et si ces petites tranches de bonheur sucré pouvaient faire du bien aussi à notre ligne ? Entre rêve et réalité, la frontière est parfois si mince...

Le pain d’épices, bon pour la ligne

Avec en moyenne 60 kcal par tranche, l'équivalent d'une tranche de pain classique, le pain d'épices constitue un allié minceur de taille, notamment parce qu'il ne contient presqu'aucune matière grasse.

Quand on pense qu’une barre chocolatée fait en moyenne 450 kcal, on se dit qu'au royaume des gâteaux où graisses et beurre sont rois, ce petit carré épicé fait vraiment figure d'exception.

De plus, sa composition en épices diverses et variées (cannelle, gingembre, muscade, anis, girofle, etc.) facilite et stimule la digestion. Lorsque vous en achetez, veillez toutefois à bien lire sa composition : les précieuses épices du pain sont souvent remplacées par des arômes artificiels.

Sa constitution en glucides complexes et rapides ainsi que sa teneur en miel font également du pain d’épices un allié énergétique de poids que l’on recommande d’ailleurs aux sportifs avant et après un effort physique. Mais là encore, lisez attentivement sa composition : la production industrielle a tendance à privilégier les matières sucrantes au détriment du  miel.

Le saviez-vous ?

La production industrielle a souvent tendance à passer à la trappe les ingrédients qui font du pain d’épices un allié nutrition et santé incontestable. Pourquoi ne pas le faire soi-même dans ce cas ?

La recette du pain d'épices, contrairement à ce qu'on croit, est facile et les épices se trouvent facilement dans les commerces.

Au goûter ou en dessert avec un fruit, il deviendra ainsi l'ingrédient clé de vrais menus minceur.

Accompagné de figues, d'ananas ou de compotes, sur des brochettes de fruits ou poêlé avec des pruneaux, il permettra des desserts plus originaux.

Côté salé, il peut être tartiné de caviar d'aubergine ou de purée d'avocat, être mis dans un tajine de légumes,  être trempé dans une soupe de courges et de châtaignes, ou savouré en croûtons dans des veloutés de potiron ou de carottes...

Les occasions de le cuisiner et de se régaler tout en restant mince ne manquent pas avec le pain d'épices ! En voici la preuve avec quelques recettes...

La betterave, c'est bon !

Légume-racine comme la carotte et le navet, la betterave est plus réputée pour son goût sucré et sa couleur joliment pourpre que pour ses qualités d’allié minceur... A tort !

Qu'elle soit rouge, jaune ou blanche, la betterave se révèle aussi très douce pour la ligne. Crue, râpée ou cuite, elle se déguste à toutes les sauces !

La plus connue et la plus cuisinée de toutes reste sans nul doute la betterave rouge, avec son petit goût sucré. La betterave jaune, plus originale,  est idéale pour les marinades car elle apporte de la douceur. Enfin, la betterave blanche se prépare volontiers en salade ou encore en purée.

La betterave, bonne pour la ligne !

La betterave est idéale pour donner de la couleur et de la saveur à nos plats sans exploser les scores caloriques. En effet, la betterave a tout bon pour notre ligne avec seulement 42 Kcal/100g à son actif.

Allié anti-fatigue grâce à sa teneur en vitamines B, la betterave c’est aussi un cocktail santé étonnant ! Gorgée de minéraux et d’oligo-éléments, elle a aussi une forte teneur en calcium, magnésium, potassium et sodium.

Non seulement diurétique, tonifiante et reminéralisante, elle est également riche en fibres et donc la consommer permet d’avoir une bonne digestion.

Grâce aux bétalaïnes, pigments qui lui donnent cette couleur si particulière, la betterave a des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.
Bref, vous l'aurez compris, il est temps de mettre la betterave dans vos menus minceur !

Le saviez-vous ?

Pour enlever le goût de terre de la betterave, trempez-la dans du vinaigre avant de la cuisiner.

Envie de colorer son assiette de manière originale ?

Pour un effet visuel original, glissez un morceau de betterave dans l’eau de cuisson des pâtes, du riz ou autre plat et obtenez une jolie couleur rose bonbon. Effet surprenant garanti !

Prendre soin de sa ligne avec les feuilles de betteraves ?

Même si nous n’y pensons pas toujours, il est bon à savoir que les feuilles de betteraves, comme les épinards, peuvent se consommer crues ou cuites. Très riches en vitamines et minéraux, elles son également très a

Trop fade, sans goût, ce sont souvent les synonymes associés aux légumes ! Pas étonnant si vous les consommez uniquement à l’eau, à la vapeur ou nature.

Ils permettent d’apporter du volume au repas sans trop de calorie, mais surtout ils constituent une excellente source en vitamines et fibres.

Mais les légumes ne sont pas forcément synonyme de cuisine sans saveur. Voici quelques astuces et idées pour les cuisiner et mieux les apprécier.

• En gratins : avec un peu de béchamel, de fromage râpé et en option de la chapelure. Passez le tout au four.

• En purée : moulinez les légumes tout simplement: purée de brocoli, de céleri… Vous pouvez y ajouter 1 cuillère à soupe de crème fraîche, du sel, du poivre pour y donner du goût.

• En poêlée : ces mélanges astucieux et pratiques de légumes déjà préparés et assaisonnés. Ils mettent de la couleur dans les assiettes. 

• En soupe : parfait l’hiver pour se réchauffer, bien se caler et s’hydrater.

• Cuisinés avec des herbes, aromates, épices, coulis de tomate 100% naturel. Des haricots sur un lit d’oignons caramélisés sont quand même plus appétissants que des haricots verts vapeur.

• En crudités : elles passent en général bien mieux que les légumes cuits. Un panaché rafraîchissant de tomate-concombre légèrement assaisonné avec du vinaigre balsamique.

• Mélangés avec un peu de féculents : une ratatouille de légumes passera beaucoup mieux avec du riz blanc par exemple. Les aubergines, poivrons, tomates se marieront parfaitement avec des pennes ou coquillettes. Les légumes de couscous avec de la semoule. Le concombre et les tomates avec de l’ébly ou du quinoa.

• En flan ou en omelette : omelette aux champignons, flan de courgettes. Les œufs se marient très bien avec les épinards. On gardera les quiches et les tartes de manière plus occasionnelle car elles sont denses en calorie : plutôt grasses et peu volumiques mais agréables à manger, donc pourquoi s’en passer, mais à limiter.

Toutes ces idées correspondront également parfaitement aux enfants qui sont bien connus pour ne pas aimer les légumes. Il est important de renouveler les tentatives pour les faire goûter, sans forcer. C’est à cet âge que les goûts se forment

Créé 2012-01-25

Et composition nutritionnelle

Il fait partie des aliments stars du moment mais d’où vient-il ? Depuis quand l’Homme en consomme-t-il ? Il aurait une mauvaise image dans le diététiquement correct mais ne renferme-t-il pas des atouts nutritionnels?

L'origine

Le foie gras existe depuis l’époque égyptienne, ce qui remonte à 3000 av. J.-C. On en a les preuves grâce à des fresques représentant les gavages d’oies dans les tombes remontant à cette époque.

Les Egyptiens avaient déjà remarqué que les oies avaient tendance à stocker les graisses au niveau de leur foie en prévision de la migration. Ils ont alors eu l’idée de les gaver avec des figues sèches.

Actuellement c’est exactement le même procédé qui est utilisé en France, sauf que l’on remplace les figues par du maïs broyé. Suralimentées avec trois à cinq repas par jour, les oies voient leur foie gonfler, jusqu’à tripler de volume.

Outre le foie gras produit, les carcasses de volailles ainsi engraissées fournissent également d'autres produits intégrant notre cuisine, comme les magrets, les cuisses ou les cous servant à l'élaboration de spécialités tel que le confit d'oie ou de canard.

D’un point de vue nutritionnel

Il existe deux principaux types de foie gras produits et consommés en Europe : le foie gras d’oie et le foie gras de canard de Barbarie.

Par rapport aux canards, les oies produisent les foies les plus lourds mais les moins fondants car elles ont un taux de graisses plus faible. 

Avantages

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la composition en graisse du foie gras n’est pas nutritionnellement incorrecte.

Quel type de gras?

Il contient à la fois des acides gras monoinsaturés et saturés.

•  Les acides gras monoinsaturés sont ceux que l’on retrouve notamment dans l’huile d’olive. Il offre l’avantage de diminuer le mauvais cholestérol, celui qui favorise les maladies cardio-vasculaires (LDL). Il a donc un rôle protecteur des vaisseaux.

• Les acides gras saturés par contre favorisent la production de mauvais cholestérol, mais ceux qui entrent dans la composition du foie sont très peu absorbés par l’organisme.

Par conséquent la consommation de foie gras confère une bonne source pour les acides gras monoinsaturés.

Les vitamines?

Plus intéressant encore, le foie gras est une excellente source de vitamine B9.

Elle empêche l’accumulation dans les artères d’une substance toxique, l’homocystéine, qui favorise l’apparition de plaque d’athérome (plaque de gras au niveau des vaisseaux), à l’origine des maladies cardio-vasculaires.

Le foie gras est donc un bon protecteur des maladies cardiovasculaires ! A première vu on ne l'aurait pas cru!

Bémol

• Le gavage entraîne une augmentation importante des graisses du foie au détriment des protéines et de l’eau. Comme tout aliment riche en graisse (bonne ou mauvaise), il devient très énergétique ! Ne l’oublions pas, le foie gras reste gras même si c’est du bon gras.

Comptez 440 calories pour 100 g. Pour avoir un aperçu, la crème fraîche (non allégée) contient 320 calories pour 100 g.

• Enfin, le foie gras renferme également très peu de minéraux. 

Vous l'avez donc compris, le foie gras, pourquoi pas mais comme tout aliment gras, en quantité raisonnable. Inutile de le banir non plus!  C'est une denrée que l'on déguste! On évitera également de cumuler sa consommation avec d'autres aliments riches en graisse au même repas.

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