coucou!

Aujourd'hui, encore un jour de grand beau. Au programme : une balade en ville cet après-midi, et si j'arrive à convaincre mon chéri, je voudrais bien aller courir. Mais il a commencé la musculation la semaine dernière, et il a mal aux articulations donc au mieux il m'accompagnera et me regardera courir... Ce serait bien d'autant que j'ai pas fait ma gym ce matin, j'ai peur qu'il se moque de moi. D'un autre côté si on va balader cet après-midi je dépenserait pas mal de calories aussi, mais non localisées. Enfin on verra bien, mais ça ne s'annonce pas un week end très diététique : pizza ce soir, mais ça ne me dérange pas, du moment que je fais attention la semaine prochaine. Et je suis pas obligée d'en manger la moitié.

Sinon j'ai déjà l'impression d'avoir perdu des fesses, j'ai l'impression que ma masse graisseuse à diminué. Ouf! Enfin même si ce n'est qu'une impression, ça fait quand même du bien au moral.

Week end chez mon chéri, qui commence pas trop mal. On a toujours des choses à régler, mais bon, on fait comme les psychiatres : plutôt que de parler du problème pendant des heures, on en parle un peu, ça ne le règle qu'à moitié, et après on fait comme si il y avait pas de problème, en espérant l'oublier. D'autres aapelleraient ça "faire l'autruche" lol. Mais bon, on verra bien ce qiu se passe. Je pense que ça ne sert à rien non plus de parler d'un souci pendant des heures, de le ressasser, ça fait plus de mal qu'autre chose, et c'est ce qu'on faisait avant de se séparer. Notre problème, c'est qu'on est têtus tous les deux, et qu'on a tendance à tout vouloir tout de suite. Alors maintenant on essaie de prendre un peu plus patience.

Enfin, je m'étale et me répète, alors je vous souhaite un bon samedi, en espérant que vous ayez un temps comme le mien.

Gros bisoux ;)

Eh oui! 41jours! Vous savez à quel point je réfléchis? trop sans doute ou trop peu. Bref, je me suis lassée d'internet au bout d'un moment car je ne faisais que ça. En plus j'avais l'impression de me confier plus à vous, autrement dit à des personnes que je ne connais pas vraiment, bien que ça fasse un moment, plutôt qu'à mes proches.

Finalement, je me suis dit que sur ce site j'avais rencontré des gens super sympas qui m'avait soutenue dans des moments de grande déprime. Alors j'avais envie dfe revenir vous voir.

Mon problème étant que j'ai du mal à ne pas tomber dans l'excès : ou trop ou trop peu (je parle ici de mon temps passé devant l'ordi).

Bien, quoi de neuf chez moi depuis tout ce temps? Eh bien je me rends compte que je n'ai pas beaucoup progressé par rapport à mon accomplissement, mais des choses ont changé, et je me tiens à quelques-unes de mes bonnes résolutions, la plus notable étant de me maîtriser pour ne pas me mettre en colère à tout bout de champs. C'est une chose difficile quand c'est le schéma familial et ma volonté est mise fréquemment à rude épreuve. MAIS j'y arrive un peu mieux. Au lieu de me mettre en colère, j'essaie d'abord de comprendre et d'être sûre que j'ai bien compris la chose qui est susceptible de m'énerver. Le plus dur c'est de l'appliquer avec mon copain, avec qui j'avais vécu une séparation étrangement fusionnelle et avec qui je me suis remis avec la ferme intention de ne pas répéter les erreurs passées. Lui a la même aproche, donc ça va, mais c'est dur. On était loin des retrouvailles féériques dont j'avais rêvé, car il avait peur que ça recommence comme avant qu'on se sépare. Mais ça s'arrange. On est plus naturels, et on parle beaucoup, pour être sûrs de se comprendre.

Sinon je suis toujours sans emploi, mais je ne cherche pas,ce qui provoque une grande incompréhension de la part de mon chéri. Mais c'est pas grave, de toutes façon il a du mal à comprendre qu'on ne fonctionne pas de la même manière pour un grand nombre de choses.

Niveau régime, j'étais assez mince quand j'ai arrêté de travaillé, et comme j'étais fatiguée et que je n'ai pas beaucoup bougé depuis, ben j'ai repris de la graisse, mais (oh bonheur!) pas du poids.
M'étant acheté un superbe bustier pour les fêtes, et que je veux être assez mince pour que ça fasse vraiment joli (même si c'est déjà pas trop mal), j'ai repris le sport. Une heure de musculation par jour, chaque matin, et je sens déjà une différence. Ce n'est pas au niveau de la silouhette, je me sesn plus dynamique, ce qui n'est pas négligeable non plus.

Poids actuel : 57,8(lundi)
Objectif : 56,8 un mois plus tard, soit le 17décembre.

Voilà, bon j'ai assez papoté comme ça, j'essaierai de revenir régulièrement.

Gros bisoux à toutes!

PS : vous m'avez manqué ;)

pas du tout le moral et sur les nerfs. Ca ira peut-être mieux après une nouvelle après-midi de sex and the city. Si ça va pas mieux je vais essayer de faire de la relaxation mais bon.

Bref, j'espère que vous ça va mieux que ça.

Bisoux à toutes

Bonne journée

J'ai pas trop mal dormi, sauf que comme parents sont pas là, la chatte Cléo dort avec moi, genre entre les jambes, et moi qui bouge beaucoup, ben je fais attention à pas lui donner des coups de pieds ou la faire voltiger quand elle est sur les draps. Je suis trop gentille, mais elle dort pas souvent avec moi, donc j'en profite.

Mais la journée a bien commencé, j'ai encore perdu 300g. J'espère que je ne les ai pas perdu dans la maison, sinon je risque de vite les retrouver ;) En même temps ça fait trois jours que je mange quasiment que des pa^tes sans rien dedans dessus ou dessous lol. J'avais des problèmes de digestion et ça me collait une migraine. Donc régime pâtes-tisanes (de romarin, de thym et fenouil, de camomille). Heureusement que j'aime ça, mais il y a que ça qui passait.
En tout cas je vais essayer de me remettre un peu aux abdos-fessiers, ce serait pas mal, mais sans forcer, je suis en train de récupérer doucement, je veux pas me crever ou me casser quelque chose (un muscle par exemple).Disons 5séries de 10abdos pour commencer, et autant de fessiers. Après on verra.

Bon hier je vous parlais du concept de "personne entière". J'ai trouvé ça dans le roman "La prophétie des Andes", excellent pour ceux qui s'intéressent aux énergies et tout.
En fait l'auteur explique que tant qu'une personne n'est pas entière, ses relations amoureuses (mais je pense qu'on peut l'étendre aux relations amicales fortes voire fusionnelles) sont vouées à l'échec. Il explique qu'à notre naissance nous pouvons symboliquement être comparés à des demi-cercles, comme des C et ceci tant que nous ne sommes pas accomplis, que nous n'avons pas une vraie personnalité, une force de vivre qui fait qu'on est heureux seuls. Une fois accomplis, nous sommes des cercles entiers, donc des personnes "entières". Si nous ne sommes pas accomplis quand nous entamons une relation amoureuse, elle est vouée à l'échec. Deux cas de figure : soit les deux personnes ne sont pas accomplies, soit une des deux l'est.

1) les deux personnes ne sont pas accomplies : elles forment alors un cercle entier en se rassemblant. Mais voilà, elles forment à deux une seule personne entière. Elles se soutiennent l'une l'autre, tirant leur énergie l'une de l'autre. Ca, c'est au début, mais au bout d'un moment, elles s'épuisent en énergie et ça ne marche plus, puisqu'elles n'ont plus rien à tirer l'une de l'autre. Commencent alors les disputes et cela finit le plus souvent en rupture.

2) une des deux personnes est accomplie : elles forment un cercle et demi, donc toujours pas deux personnes entières. Là, une des deux personnes est heureuse sans avoir à tirer son énergie de l'autre, tandis que l'autre a besoin du premier pour être heureux, car c'est de lui qu'il tire son énergie. Là encore, ça ne peut pas marcher, bien qu'une des deux personnes aie toujours de l'énergie à donner à l'autre, l'autre dépendra du premier, et ne le supportera pas indéfiniment.

La personne non accomplie célibataire : elle ne sera jamais heureuse, ne pouvant tirer d'énergie de nulle part, alors qu'il faut qu'elle la cherche en elle-même.

La personne entière célibataire : elle sera heureuse la plupart du temps, car elle tirera de l'énergie d'elle-même, et saura se ressourcer dans des endroits, des situations de repos qu'elle connaitra. Elle n'aura besoin de personne pour être heureuse, n'ayant besoin de compléter son cercle puisqu'il est déjà complet.

Vous me suivez? J'espère que j'ai été claire. En tout cas, ça m'a pas mal éclairée sur ma propre situation : j'ai toujours eu besoin de l'approbation des autres, et je n'ai jamais été heureuse célibataire sauf pendant un court temps il y a deux ans et demi. Comme si j'avais toujours besoin de quelqu'un pour me définir : mes parents, mes camarades de classe, mes amies, mes copains... J'en déduis que je ne suis toujours qu'un demi-cercle, et me compléter est exactement le mot qui correspond à mon envie depuis des mois, bien que je ne voulais pas risquer de perdre mon copain avant sans être sûre de ce dont j'avais besoin. Maintenant que j'ai le temps de penser, je sais que c'est ce qu'il me faut.

Voilà. J'espère qu'encore une fois vous trouvez pas ça lourd tout ce que je vous ai raconté, sinon, tant pis! de toutes manières vous n'aurez probablement pas tout lu!

Bisoux à toutes, et bon dimanche!

Il y a toujours plein de premières fois dans la vie : le premier mot qu'on dit, c'est la première fois qu'on parle, la première fois qu'on fait un pas, la première fois qu'on va à l'école, qu'on va au collège, qu'on fait un sport, qu'on embrasse quelqu'un, qu'on tombe amoureux, qu'on fait du mal à quelqu'un, qu'on fait l'amour, qu'on se dispute avec son premier chéri, qu'on rompt, qu'on fait un dessin qui ressemble à quelque chose, qu'on plante une fleur, que quelqu'un nous fait du mal, etc. (Bon, c'est pas nécessairement dans l'ordre.)

Et puis à force de vivre, on arrête de faire certaines choses à cause de certaines circonstances : faire un sport parce qu'on a une entorse, se maquiller parce qu'on s'est fait virer du travail, pratiquer un art parce qu'on a plus le temps ou l'argent ou l'inspiration, voir ses amis parce qu'on habite trop loin, arrêter de les appeler pour la même raison, etc.

Et puis on se rend compte que ça nous manque, et que sans toutes ces petites choses qui font que c'est nous, on se sent mal, justement parce que ça fait parti de nous.

Eh ben moi, pour la première fois depuis longtemps, je ne sais pas combien de temps exactement, j'ai pris une décision, sans doute la plus folle et la plus spontannée depuis longtemps : je suis allée en ville (3KM) à vélo.
Vous vous direz : wouw, c'est dingue! cette fille-là, elle ose des trucs hyper extravagants!!! mdr. Bon ok, ça n'a vraiment rien d'exceptionnel, je vous l'accorde. Simplement, je me suis un peu retrouvée : depuis des années j'avais du mal à prendre une décision, aussi minime soit-elle (la tablette de chocolat 85% de cacao que j'adore à 1€02 ou la tablette de chocolat à 72% de cacao qui est moins chère à 0€97? OUHHHHH! le dilemne!) Quand j'en prenais une (de décision, pas de tablette de chocolat...miam...), il fallait la plupart du temps que je me concerte avec quelqu'un : mes parents, mon copain, mes copines. J'avais absolument besoin de leur avis, et j'avais du mal à saisir toutes les possibilités et solutions.  Mais tout à l'heure, alors que je me demandais comment j'allais parcourir ces trois km (mes parents avaient la voiture pour le week end), je ne voyais que deux solutions : à pied, mais c'est long, ou avec la navette qui passe une fois par heure. Et là, l'illumination : le vélo. Il faut savoir aussi que j'ai peur en vélo, je me suis fait renversé quand j'avais 10ans, mais rien de grave, mais j'ai peur, et c'est une grosse route que je dois emprunter. Bref, je l'ai fait, j'étais bien fière de moi, j'ai rien dit à personne, j'ai fait ça comme une grande. Ou plutôt comme une personne entière.

Tiens je ne vous ai pas parlé du concept de personne entière? Ben je vous en parlerai demain, sinon ça fera encore un blog de trois mètres de long, et même si on est en week end, vous n'avez pas que ça à faire ;) (surtout si on est en week end d'ailleurs lol).

Alors bisoux et bonne soirée à toutes et bon week end même s'il est déjà commencé.

PS : il est moche ce chien.

c'est le propre de larupture : on sait qu'on est plus ensemble, mais on n'arrive pas à le ressentir. On garde les réflexes d'avant : penser que c'est lui quand on reçoit un message ou un appel avant de se souvenir un fraction de seconde plus tard qu'on est plus avec lui, regarder l'heure, constater qu'il est huit heure, qu'il va nous appeler comme tous les soirs, regarder les connectés sur msn, et cliquer sur son pseudo pour lui faire un coucou, penser à lui raconter quand il nous arrive quelques chose de drôle...

Je sais pas trop où j'en suis, mais je sais qu'il faut en passer par là, et je ne démords pas quand même du fait que rompre était la meilleure chose à faire. Même si éventuellement on se remettait ensemble un jour, ce serait dans un moment, parce que je ne suis pas prête à me remettre avec qui que ce soit. J'ai toujours autant de mal à faire confiance aux gens, quels qu'ils soient, même mes propres parents. Je travaille là-dessus, mais ça se fait pas en quelques jours. Je sais qu'il faut que j'y arrive. Le problème vient de moi : je n'ai pas confiance en moi. A partir de là, je ne peux pas avoir confiance en les autres vu que je ne me fais pas confiance pour choisir les bonnes personnes en qui mettre ma confiance. Vous avez suivi? lol

Sinon, je me suis pesée ce matin, cela faisait déjà quelques semaines que je ne m'étais pas pesée, et OH!!! surprise des surprises, je ne fait plus que 57,9! et sans forcer! Je me suis juste dit que je ne voulais pas regonfler après avoir acquis en travaillant une jolie silhouette un peu moins ronde et un peu plus ferme, et donc depuis que je me suis arrêtée je fais assez attention, ce qui n 'est pas chose facile avec mes parents, parce qu'ils sont fatigués aussi et le soir, on choisi trop souvent la solution de facilité : les pâtes. Bref, pas grave, ce soir ils vont au marché, et je me chargerai de la cuisine parce que le soir souvent j'ai un gros coup de barre, le truc à m'endormir sur ma chaise, donc je les laisse faire, mais là je vais me requinquer. Bref, ça va changer.

Passez une bonne journée! Gros bisoux à toutes! Et merci pour tous vos coms de soutien, ça fait trop plaisir!

Salut les filles,

jeudi soir, comme d'habitude on s'est appelé avec mon copain, et ça se passait plutôt bien, et en fin de compte encore un truc m'a déçue donc j'ai abordé le sujet de notre avenir et de sa décision.
Il m'a dit qu'il voulait qu'on arrête là, et je lui ai dit que moi c'était pareil, malgré tous les sentiments qu'on a l'un pour l'autre. j'ai versé quelques larmes mais vu que je travaillais vendredi je voulais pas craquer tout de suite. Sauf que c'était une erreur, vendredi je suis rentrée chez moi en début d'aprem et j'ai dormi 2h. J'avais envie de pleurer presque tout le temps mais ça sortait pas. Finalement hier soir j'ai pleuré un bon quart d'heure, mias c'était pas seulement pour la rupture, c'était pour toutes les autres choses que j'ai retenu depuis 2ans. Je me suis calmée doucement, et je me sentais mieux après. C'est aussi le fait d'être avec mes parentss qui m'a aidé. J'ai pleuré sans retenue, sans honte sans culpabiliser du genre "je veux pas lui imposer ça" comme avec beaucoup de monde. PEndant longtemps je me suis dit que j'avais assez pleuré comme ça donc je refusais de pleurer encore, je luttais pour pas pleurer, et j'ai compris ces jours-ci que ça fait plus de mal que de bien/ Bref, j'ai compris pas mal de choses en une semaine.

Je suis pas ravie de cette rupture, mais je pense que ça va me permettre un certain nombre de choses. Jusque là je me sentais toujours mal en célibataire, comme si j'avais besoin d'être avec quelqu'un pour me définir. Ca va me permettre de me retrouver, de me reconstruire seule, sans personne pour m'aider. Je sens que je vais y arriver. De toutes manières j'en ai besoin. Je suis pas très bien parce que j'ai pas l'impression que ce soit différent de ces denrières semaines, mais bon, en fait, on était déjà plus vraiment ensemble...

On a dit qu'on restait en contact. Demain je vais passer chez lui, je vais récupérer mes affaires et lui rendre les siennes. C'était pas pressé, mais j'ai reçu du courrier chez lui et il y a un paiement de quand j'ai travaillé cet été et c'est un peu urgent  lol donc autant faire d'une pierre deux coups. Je pense pas rester longtemps chez lui, même s'il veut discuter, je suis pas prête, bien que j'aie beaucoup de choses à lui dire.

Je me dis que peut-être un jour on se remettra ensemble, quand il aura mûri et moi aussi, quand je me serai reconstruite. Mais j'attends pas après ça, c'est pas raisonnable.

Bon, je vous laisse, j'ai des choses à faire, toujours à mon rythme, sans forcé parce que j'en ai marre qu'on m'en impose un. Allez, passez une bonne journée!

Bisoux!

C'est un homme qui tarde à venir au lit. Il tourne en rond dans la chambre, en s'arrêtant parfois devant la fenêtre avec un regard très inquiet. Au bout d'un moment, sa femme lui demande la raison de ce manège. Il lui répond : "J'ai un gros problème. tu sais mon cousin, celui qui habite en face, eh bien je lui dois 10000 euros, et je devais les lui rendre demain. Mais je ne les ai pas." Sa femme se lève, ouvre la fenêtre sous le regard stupéfait de son mari, et appelle le cousin d'en face. Elle lui dit : "Eh, tu sais, mon mari, tes 10000 euros, il les a pas, il pourra pas te les rendre demain." Elle referme la fenêtre et dit à son mari : "Voilà maintenant, c'est lui qui l'a, le problème".

Rien de plus aujourd'hui, toujours un peu fatiguée mais pas autant qu'il y a une semaine où je dormais même la journée. Je vais revoir un peu le contenu de ma formation aujourd'hui, histoire que demain je me retrouve pas complètement paumée face aux gens. Eh oui, je reprends demain. Je ne sais pas si je vais continuer mon travail. Deux choses sont sûres : je ne m'arrêterai pas tant que mon responsable m'aura pas rendu un exemplaire de mon contrat de travail, sinon je n'ai aucune preuve sue j'ai travaillé ; et si je fais de nouveau un malaise, il n'auraont pas besoin de me virer parce que je partirai de moi-même. Je suis pas naïve et j'en parlerai avec mon responsable dès demain.
Ca me stresse un peu de reprendre demain. Mais il faut bien, j'ai besoin d'argent, et j'aime bien ce travail de toutes manières. Maintenant que j'ai réglé quelques soucis que j'avais depuis des années dans ma tête, ça devrait aller mieux.

Bon, ben j'ai pas plus à raconter. Passez une bonne journée! Gros bisoux ;)

PS : en photos, des pierres fines, dont je fais la collection, car c'est ma passion. Celles-ci ce ne sont pas les miennes, ce sont:

turquoise · hématite · chrysocolle · œil-de-tigre

quartz · tourmaline · cornaline · pyrite · sugilite

malachite · quartz rose · obsidienne flocon de neige· rubis · agate mousse

jaspe · améthyste · agate à rubans bleutés · lapis lazuli

Voici la définition de la rancune selon mediadico: ressentiment tenace.

Ce matin je me suis réveillée tôt, et j'ai eu du mal à me rendormir. Dans ces cas -là, je reste couchée parce que j'ai trop sommeil pour me lever. J'ai réfléchi un moment, et je me suis rendue compte que depuis un peu plus de 2ans, j'ai accumulé de nombreuses rancunes, envers toutes les personnes qui m'ont fait du mal :
_mon ex, le belge, que j'ai rejoint en Belgique pour deux semaines et qui m'a fait comprendre qu'à mon départ ce serait fini entre nous (c'était pas prémédité je pense). Ca a été la relation sérieuse la plus courte et la plus traumatisante.
_mes anciennes amies, avec qui je me suis disputée et qui se sont monté la tête contre moi, certaines vraiment en colère contre moi, les autres suivant le mouvement pour pas se retrouver seules et ma laissant...seule. Ou presque puisque j'avais d'autres amis. Heureusement!!!
_tout un tas d'autres personnes qui un jour m'ont fait une réflexion mal venue, ou que j'ai interprété de travers, ou maladroite...
_mon chéri, dont je me suis toujours méfiée, en pensant que tant de gentillesse ne pouvait que cacher quelque chose, une sorte de perversion (pas hyper prononcée)...
Et maintenant, où est-ce que j'en suis, n'ayant pas réussi à pardonner quoi que ce soit à qui que ce soit, sauf à mon chéri, mais pas tout? Eh bien je suis à bout de force. Je suis épuisée nerveusement, émotionnellement, et du coup, physiquement.

A quoi ça m'a avancé d'accumulé toute cette rancoeur? A rien. Ca ne m'a apporté rien de bon. Que du mauvais. En terme énergétique (je m'intéresse beaucoup à la relation corps/esprit), j'ai accumulé des mauvaises énergies durant au moins 2ans, eten voulant les combattre à tout prix, je les ai refoulés en refoulant mes sentiments, et en combattant, j'ai épuisé toute mon énergie. Et maintenant, je souffre d'épuisement, mon corps exprime ce que j'ai refoulé pendant 2ans, parce que je ne peux pas en supporter davantage.

C'est pourquoi j'ai décidé de repenser à toutes les situations dont je me souvienne qui ont abouti à de la rancoeur, afin de tourner la page. Les plus difficiles à tourner seront certainement les plus vieilles... Il s'agit pas de pardonner, simplement de passer à autre chose.
Et pour mon copain, j'ai décidé de ne pas lui en vouloir s'il me quitte ou si c'est moi qui prends la décision parce que lui ne se décide pas. A quoi ça nous avancerait? Je pense qu'on a déjà assez souffert... Ca ne ferait que raviver d'autres douleurs passées, et ce serait encore plus difficile de tourner cette page-là. Je lui en voudrais pourquoi d'ailleurs? Parce qu'il est pas asez mûr pour assumer une relation sérieuse? Parce qu'il considère toujours que sa famille c'est ses parents plutôt que la personne qu'il a choisi (que ce soit moi ou quelqu'un d'autre)? Parce qu'il me fait souffrir? Lui aussi souffre. Il a des défauts, mais c'est pas un connard qui prend plaisir à me faire souffrir. D'ailleurs, il a toujours un peu d'amour pour moi, même si c'est pas aussi fort qu'avant.
Non, il vaut mieux prendre les choses comme elles viennent, et recommencer à tirer des leçons de mes expériences, aussi douloureuses soient-elles...

Et pour reprendre du poil de la bête, une petite chanson des Ogres de Barback qui reste dans la tête et donne de l'entrain toute la journée...car ça me fait plaisir ;-)

Hier dans l'après-midi je me suis bien reposée, jétais zen et positive, j'ai fait de la relaxation, et ça marché. Jusqu'à ce que je téléphone à mon copain. Un efois de plus j'ai été déçue de sa voix sans entrain, l'entrain qu'il avait avant, sans douceur, sans tendresse, sans gentillesse. Je lui ai dit que j'avais résisté à la tenatation de lui faire la surprise de l'attendre chez lui hier soir, et je lui ai demandé ce que ça lui aurait fait. Réponse : "je sais pas je suis trop fatigué". J'en ai eu marre. Je lui ai demandé encore une fois si ça allait durer encore longtemps, parce qu'en attendant qu'il se décide entre rompre ou continuer avec moi pour de vrai, en redevenant comme il était, l'homme dont je suis tombée amoureuse, en se disant simplement que c'était le passé, que je lui ai dit je sais pas combien de fois que je regrettai mon comportement, mais qu'il avait aussi des choses à se reprocher, que ça changerait... Il m'a encore dit "j'ai besoin de temps". Je lui ai dit que moi j'en pouvais plus, ça fait déjà deux semaines que je le laisse tranquillement à réfléchir tandis que je fais semblant de rien, et que j'attends comme une cloche. Je lui ai dit que l'amour c'était pas ça, de faire poireauter sans savoir ou on va. SI encore il se remettait en question, je pourrais tenir plus longtemps mais c'est pas la cas, et j'ai pas l'impression que sa famille l'aide dans ce sens.
Donc, je lui ai dit sur un coup de tête que je ne regrette pas, que je lui laissais encore une semaine, pour qu'il se décide, pour qu'il se remue un peu le mou. Ce week end il faudra qu'il ait choisi, et s'il a pas choisi, j'abandonne. Ca sert à rien de continuer sans savoir où on va. Je vais pas attendre 107ans que monsieur se décide au risque de m'entendre dire que c'est fini. A quoi ça rime?
J'ai pensé cette nuit (j'ai super bien dormi du coup ) à lui laisser une semaine de plus, comme ça on pourrait voir comment se passe ce week end. Sauf que ça sert à rien de plus : s'il est comme ça au téléphone, pourquoi serait-il différent en face à face?
Je suis épuisée. Aujourd'hui j'ai de nouveau la tête qui tourne, comme par hasard.
Je suis toujours foolle de lui. Ou plutôt de l'homme que j'ai connu, pas celui qui m'appelle tous les soirs, bien que le premier soit toujours par là. Mais je peux rien faire pour que le premier soit là, c'est pas à moi de décider. A lui de voir s'il m'aime assez pour lâcher prise avec le passé, ou pas.
Du coup, j'ai décidé de pas m'inquiéter à l'avance de sa décision, tout en prenant en compte les deux décisions qu'il peut prendre. Pourquoi m'inquiéter? Ma santé est déjà assez fragile comme ça. Il faut que je fasse confiance à la vie. S'il reste avec moi, tant mieux, je serai la plus heureuse du monde. S'il ne reste pas avec moi, c'est qu'on était pas fait l'un pour l'autre.

"SI LE PROBLEME A UNE SOLUTION, IL NE SERT A RIEN DE S'INQUIETER.
SI LE PROBLEME N'A PAS DE SOLUTION, S'INQUIETER NE SERT A RIEN."

Vous en pensez quoi?

Bisoux à toutes.