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Je ne peux pas répondre aux messages perso. C'est pô juste !!!
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1) Dans un musée maritime anglais est conservé l’objet qui sans exagération peut être considéré comme le plus tragique, le plus fantastique et le plus émouvant qu’on puisse imaginer.
De quoi s’agit-il ?
Précision importante : cet objet provient d’un naufrage.
2)Un homme qui aimerait bien être heureux marche sur un chemin. Après quelque temps, il rencontre un sage qui lui dit : "Plus loin, le chemin se divise en deux parties ; l’une mène au bonheur, l’autre au malheur et tu ne pourras pas revenir sur tes pas. L’embranchement est gardé à tour de rôle par deux frères. Tous deux savent où se trouve le bon chemin ; mais l’un dit toujours la vérité et l’autre ne peut que mentir. On ne sait jamais si l’on a devant soi le menteur ou celui qui dit la vérité. Quelle question devras-tu poser à celui que tu rencontreras pour trouver le bon chemin ? Tu n’auras droit qu’à une seule question !"
Grand classique des énigmes du genre pseudo-paradoxe, celle-là est un formidable casse-tête. La bonne question tient en une seule phrase !
3) Quel animal découpé en morceaux et passé à la moulinette n’en meure pas ?
Pour celles qui n'aiment pas les maths, je vous rassure, ces énigmes ne demandent aucun calcul.
Bonne journée et gros bisous
Demain, un conte .
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Le père prit donc avec elle le chemin du château. Après plusieurs jours de marche, ils y arrivèrent sur le soir, et le loup blanc ne tarda pas à paraître. L’homme lui dit : Voici la personne que j’ai rencontrée la première en rentrant chez moi. C’est ma fille, celle qui avait demandé la rose qui parle. –Je ne vous ferai point de mal, dit le loup blanc, mais il faut que vous ne disiez à personne rien de ce que vous aurez vu ou entendu. Ce château appartient à des fées ; nous tous qui l’habitons, nous sommes enchantés ; moi je suis condamné à être loup blanc pendant tout le jour. Si vous gardez le secret, vous vous en trouverez bien. La jeune fille et son père entrèrent dans une chambre où un bon repas était servi ; ils se mirent à table et, bientôt, la nuit étant venue, ils virent entrer un beau seigneur : c’était le même qui s’était montré d’abord sous la forme du loup blanc. –Vous voyez leur dit-il. Ce qui est écrit sur la table : ici on ne parle pas. Ils promirent tous les deux encore une fois de ne rien dire. La jeune fille s’était retirée depuis quelque temps dans sa chambre, lorsqu’elle vit entrer le beau seigneur. Elle fut bien effrayée et poussa de grands cris. Il la rassura et lui dit que, si elle suivait ses recommandations, il l’épouserait, qu’elle serait reine et que le château lui appartiendrait. Le lendemain, il reprit la forme de loup blanc, et la pauvre enfant pleurait en entendant ses hurlements.
Après avoir encore passé la nuit suivante au château, le père s’en retourna chez lui. La jeune fille resta au château et ne tarda pas à s’y plaire : elle y trouvait tout ce qu’elle pouvait désirer ; elle entendait tous les jours des concerts de musique, rien n’était oublié pour la divertir.
Cependant, sa mère et ses sœurs étaient dans une grande inquiétude. Elles se disaient : Où est notre pauvre enfant ? Où est notre sœur ? Le père, à son retour, ne voulut d’abord rien dire de ce qui s’était passé ; (Suite dans commentaire)
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Enfin, il arriva un jour devant un beau château, d’où sortait un murmure de voix, il prêta l’oreille et entendit qu’on parlait et qu’on chantait. Après avoir fait plusieurs fois le tour du château sans en trouver l’entrée, il finit par découvrir une porte et entra dans une cour au milieu de laquelle était un rosier couvert de roses : c’étaient ces roses qu’il avait entendues parler et chanter. Enfin, dit-il, j’ai donc trouvé la rose qui parle ! et il s’empressa de cueillir une des roses.
Aussitôt un loup blanc s’élança sur lui en criant : -Qui t’a permis d’entrer dans mon château et de cueillir mes roses ? Tu seras puni de mort : tous ceux qui pénètrent ici doivent mourir. – Laissez-moi partir, dit le pauvre homme ; je vais vous rendre la rose qui parle.
-Non, non, répondit le loup blanc, tu mourras.-Hélas, dit l’homme, que je suis malheureux : ma fille me demande de lui rapporter la rose qui parle, et, quand enfin je l’ai trouvée, il faut mourir ! –Ecoute, reprit le loup blanc, je te fais grâce, et, de plus, je te permets de garder la rose, mais à une condition : c’est que tu m’amèneras la première personne que tu rencontreras en rentrant chez toi. Le pauvre homme le promit et reprit le chemin de son pays. La première personne qu’il vit en rentrant chez lui, ce fut sa plus jeune fille.
-Ah ! ma fille, dit –il, quel triste voyage ! -Est-ce que vous n’avez pas trouvé la rose qui parle ? lui demanda – t- elle. – Je l’ai trouvée, mais pour mon malheur. C’est dans le château d’un loup blanc que je l’ai cueillie. Il faut que je meure. –Non, dit –elle, je ne veux pas que vous mouriez. Je mourrai plutôt pour vous. Elle le lui répéta tant de fois qu’enfin il lui dit : Eh !bien ! ma fille, apprends ce que je voulais te cacher. J’ai promis au loup blanc de lui amener la première personne que je rencontrerais en rentrant dans ma maison. C’est à cette condition qu’il m’a laissé la vie. – Mon père, dit –elle, je suis prête à partir.
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Enfin, il arriva un jour devant un beau château, d’où sortait un murmure de voix, il prêta l’oreille et entendit qu’on parlait et qu’on chantait. Après avoir fait plusieurs fois le tour du château sans en trouver l’entrée, il finit par découvrir une porte et entra dans une cour au milieu de laquelle était un rosier couvert de roses : c’étaient ces roses qu’il avait entendues parler et chanter. Enfin, dit-il, j’ai donc trouvé la rose qui parle ! et il s’empressa de cueillir une des roses.
Aussitôt un loup blanc s’élança sur lui en criant : -Qui t’a permis d’entrer dans mon château et de cueillir mes roses ? Tu seras puni de mort : tous ceux qui pénètrent ici doivent mourir. – Laissez-moi partir, dit le pauvre homme ; je vais vous rendre la rose qui parle.
-Non, non, répondit le loup blanc, tu mourras.-Hélas, dit l’homme, que je suis malheureux : ma fille me demande de lui rapporter la rose qui parle, et, quand enfin je l’ai trouvée, il faut mourir ! –Ecoute, reprit le loup blanc, je te fais grâce, et, de plus, je te permets de garder la rose, mais à une condition : c’est que tu m’amèneras la première personne que tu rencontreras en rentrant chez toi. Le pauvre homme le promit et reprit le chemin de son pays. La première personne qu’il vit en rentrant chez lui, ce fut sa plus jeune fille.
-Ah ! ma fille, dit –il, quel triste voyage ! -Est-ce que vous n’avez pas trouvé la rose qui parle ? lui demanda – t- elle. – Je l’ai trouvée, mais pour mon malheur. C’est dans le château d’un loup blanc que je l’ai cueillie. Il faut que je meure. –Non, dit –elle, je ne veux pas que vous mouriez. Je mourrai plutôt pour vous. Elle le lui répéta tant de fois qu’enfin il lui dit : Eh !bien ! ma fille, apprends ce que je voulais te cacher. J’ai promis au loup blanc de lui amener la première personne que je rencontrerais en rentrant dans ma maison. C’est à cette condition qu’il m’a laissé la vie. – Mon père, dit –elle, je suis prête à partir
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1)Un homme d´affaires doit se rendre à l´étranger pour quelques jours; il
convoque le bon Saïd, son fidèle domestique, et lui explique la situation :
- « Tu vois, je dois aller à l´étranger quelques jours ; fais bien
attention à ce que tout se passe bien ici, et pour n´importe quel
problème, appelle-moi. »
- « Oui monsieur, toi pas faire de soucis ».
Après quelques jours, l´homme d´affaires, n´ayant pas de nouvelles,
appelle Saïd :
- « Ciao, Saïd, comment ça va?"
- « Tout très mal ! »
- « Pourquoi ? Qu´est-ce qui s´est passé ? »
- « Manche de la pelle cassé »
- « Mais Saïd, sacrebleu, tu m´as presque flanqué un infarctus Tu me
dis que ça va mal, et ce n´est que le manche de la pelle qui est cassé !? »
Mais, pris de remords, il pense que Saïd pourrait se froisser, et il
cherche alors à adoucir le ton :
- « Comment c´est arrivé ? »
- « Oh rien, j´enterrais le chien »
- « Quoi ?! mon chien, que j´aime comme un fils ?! Mais comment s´est
arrivé ? »
- « Tombé dans piscine ! »
- « Mais Saïd, c´est un Terre-neuve, un chien qui nage; comment
a-t-il pu se noyer dans la piscine?"
- « Pas d´eau dans piscine, et lui tombé, mort »
- « Mais comment ça, il n´y avait pas d´eau dans la piscine ?! Mais
puisque la semaine dernière on a fait le nettoyage et mis l´eau pour
l´été ! »
- « Oui mais l´eau prise par pompiers pour éteindre incendie »
- « Incendie, mais quel incendie Saïd?"
- « La maison pris feu ! »
- « Ma maison ?! Mais comment ça s´est passé ? »
- « Chapelle ardente de madame maman, une bougie près de tenture,
tout brûlé . »
- « Chapelle ardente, ma mère est morte ? Mais on a fêté l´autre jour
ses 70 ans, et elle était en pleine forme!"
- « Oui, mais hier nuit votre mère n´arrivait pas à dormir, alors
allée demander aide à votre femme, mais l´a vue dans le lit avec votre
meilleur ami, et elle morte d´infarctus ».
- « Mais enfin Saïd, ma femme me trahit avec mon meilleur ami? Suite dans commentaire
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Il est bien sûr systématique d'arriver à 9, quel que soit le nombre de départ. Choisissons un nombre au hasard, par exemple 1309832. Si l'on additionne tous les chiffres, puis tous les chiffres du nouveau nombre, etc... , on parvient au chiffre 8. Cela signifie que le reste de la division par 9 de ce nombre est égal à 8, on dit encore que ce nombre est égal à 8 modulo 9. Si l'on modifie l'ordre des chiffres, on obtient un nouveau nombre, lui aussi égal à 8 modulo 9. Et la différence entre ces 2 nombres, elle, sera donc obligatoirement égale à 9 modulo 9, ce qui explique le résultat obtenu (faites le calcul et vous verrez) Cela permet de faire des tours de "magie (Voir l'explication de Raska qui a gagné et qui a droit à une demande, ainsi que Senga qui l'a expliqué autrement) Voir conte ds commentaire
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Le 9, toujours le 9
François-Marie AROUET, dit VOLTAIRE, est né en 1694. Considérons les 4 chiffres composant son année de naissance, soit 1, 6, 9 et 4 et réordonnons-les de manière totalement aléatoire pour former un autre nombre de 4 chiffres. Supposons que l'on parvienne à 9641, on soustrait alors le plus petit de ces 2 nombres au plus grand, c'est à dire ici 9641 - 1694; on trouve alors 7947; additionnons les 4 chiffres obtenus: 7+9+4+7 = 27, et recommençons jusqu'à n'avoir plus qu'un seul chiffre: 2+7=9 ; on aboutit donc à 9. Rien d'extraordinaire me direz-vous. On aurait cependant obtenu le même résultat avec un autre arrangement, par exemple 1496 ou 4691, etc... On aurait obtenu également le même résultat en partant d'un autre nombre de base, par exemple l'année de naissance de Charles DARWIN ou d'Isaac NEWTON. En fait, on aurait même pu former un nombre de base plus grand, en incluant le mois et jour de la naissance d'un grand homme. Maintenant, faîtes l'essai avec votre propre date de naissance.
Si vous aboutissez également au chiffre 9, êtes-vous taillé pour laisser votre nom dans l'histoire ou y a-t-il une raison pour arriver systématiquement au mystérieux chiffre 9 ? Solution demain+un conte.Bon début de semaine.
2) Petite blague :Comment appelle-t-on un nain qui sort d'une boulangerie avec une baguette ?
Un agenda... car c'est un petit qu'à le pain !
* Comment appelle-t-on un nain qui vient d'acheter un étang ?
Un mollusque... c'est un petit qu'à la mare.
* Comment appelle-t-on un nain avec une radio sur l'épaule (style rappeur) ?
Un slip... c'est un petit qu'à la son.
* Et un nain dans un bar ?
Un supplice..., c'est un petit qu'à le verre.
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*Le matin de bonne heure, la paysanne réveilla ses filles, les aida à s’habiller et à se parer et les fit partir avec le paysan.
Celui-ci les conduisit à l’endroit même où un jour, il avait laissé Manéchatsé. Les jeunes filles s’assirent sous le sapin. Elles bavardèrent et, selon leur habitude, finirent par se disputer. Bien que vêtues chaudement, elles étaient transies.
Voilà que le Froid s’approche. Il saute d’un arbre à l’autre et fait craquer les branches. Arrivé sur le grand sapin, il se penche et demande :
-Avez-vous chaud, jeunes filles ? Avez-vous chaud, les belles ?
--Ah ! nous sommes presque gelées, répondent –elles avec brusquerie.
Le Froid commence à descendre, faisant craquer plus fort les branches du sapin.
-Avez-vous chaud, jeunes filles ? Avez-vous chaud, les belles ?
-Va au diable ! répondent-elles grossièrement. Que nous veux –tu ? Nous ne sentons plus nos bras ni nos jambes !
Le Froid descendit tout près d’elles et les deux sœurs, glacées jusqu’aux os, moururent.
Le lendemain, la vieille dit à son mari :
-Attelle le grand traîneau pour transporter les coffres de mes filles et va vite les chercher, il fait très froid aujourd’hui.
Le paysan s’apprêta rapidement et partit pour le bois.
Arrivé sous le grand sapin, il découvrit les deux jeunes filles inanimées. Il ne lui restait qu’à les coucher sur le traîneau et à les ramener à la maison.
Cependant la vieille préparait un bon repas pour ses filles. Son chien aboyait :
-Hou ! Hou ! Le vieux va rentrer. Hou ! Hou ! les deux filles mortes il va ramener.
La paysanne se fâcha et lui jeta un morceau de bois.
-Ce n’est pas vrai, cria –t- elle, le vieux va rentrer et ramener mes filles, comblées de cadeaux !
Mais le chien s’obstinait à répéter :
-Hou ! Hou ! les deux filles mortes il va ramener !
Le traîneau s’arrêta devant l’isba, la vieille sortit en courant et s’arrêta, pétrifiée.
-Qu’as-tu fait de mes filles ? cria-t-elle à son mari.
suite dans commentaire.
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répond gentiment Manéchatsé en claquant des dents.
Le Froid descend sur les branches, il les fait craquer encore plus fort et demande de nouveau : As-tu chaud, jeune fille ? As-tu chaud, la belle ?
-Oui, j’ai chaud, grand-père, répond –elle doucement, la respiration coupée par le vent glacé.
Le Froid descend tout près d’elle : As-tu chaud, jeune fille ? As-tu chaud, la belle ?
Mais, Manéchatsé, raidie par la bise, ne répond plus. Alors, le Froid a pitié d’elle. Il la recouvre d’une belle pelisse, étend sur elle de chaudes couvertures, lui parle avec douceur et lui cadeau d’un grand coffre plein d’argent, de jolies robes et de parures précieuses.
Le lendemain matin, la paysanne se leva de bonne heure, et réveilla son mari.
-Attelle vite, lui dit-elle, va voir les nouveaux mariés.
Elle était certaine que Manéchatsé était morte de froid, mais pendant qu’elle faisait cuire des crêpes, son chien aboyait :
-Hou ! hou ! Manéchatsé va rentrer. Hou ! Hou ! de belles choses elle va rapporter !
La vieille se fâcha et lui lança un morceau de bois.
-Ce n’est pas vrai, tu veux dire qu’on va ramener Manéchatsé morte de froid !
Mais le chien s’obstinait à répéter :
Manéchatsé va rentrer, de belles choses elle va rapporter !
Cependant le vieux attela son cheval et partit. Il trouva sa fille saine et sauve, vêtue d’une belle pelisse et assise sur un coffre plein de cadeaux. Sans s’attarder à lui demander des explications, le paysan mit le coffre sur le traîneau, y fit asseoir sa fille et la ramena à la maison.
Quel ne fut pas l’étonnement de la vieille quand elle vit revenir sa belle-fille bien vivante et bien parée de beaux vêtements ! Quelque temps après, elle dit à son mari :
-Emmène mes filles dans la forêt, elles auront des cadeaux encore plus beaux que ceux de Manéchatsé.
Le matin de bonne heure, la paysanne réveilla ses filles, les aida à s’habiller et à se parer et les fit partir avec le paysan.