A nouveau 15 jours sans blogger pour cause de séjour Rhône-Alpin chez mes parents pendant l'absence de chéri-chéri. En cinq semaines les petits n'auront croisé leur père que pendant sept petits jours...

Jusqu'à présent mes vacances se passent plutôt bien. Le soleil est bien présent dans le ciel (enfin jusqu'à aujourd'hui) mais aussi dans ma relation mère-enfants. Seulement 3 tempêtes sont venue perturber ce lien si indescriptible qui se tissent au quotidient.

La première une lieu samedi après une agréable journée avec ma meilleure amie et marraine de Lucas. 45 minutes de route sépare la maison de mes parents à celle de mon amie. Lors dès quinze premier kilomètres il a fallut que je m'arrête pas moins de six fois pour cause de hurlements intempestifs provenant de mon cher Mathéo. En cinq mois j'ai appris à supporter les colères de mon petit bouddha parfois possédé par le démon. A la sixième pause commençant à me demander si j'arriverai à bon port avant un nouveau levé du jour j'ai fini part déplacer mon cher prince de la place arrière gauche à la place avant droite (ouf ils sont encore dans les cosy - mais plus pour longtemps...). La crise s'arrêta là...

Mardi, après un passage épique j'ai int*rmahé (imaginez une maman de deux nourrisons de 5 mois sans poussette avec un chariot ne permettant de contenir qu'un seul cosy...) j'emmena mes enfants chez leur grand-mère paternelle devenue il y a un mois assistante maternelle et gardant deux filles de moins de 15 mois. (15 mois et 5 mois pour être précise). Quatre bébés et deux adultes dans un salon de 20m² ça donne beaucoup d'agitation. Je repris la route direction chez mes parents en fin d'après midi et pour une raison que j'ignore encore, Mathéo se remis à hurler à peine installé dans la voiture. Je fis rapidement une halte pour remettre mon petit prince en passager avant. Mais cette fois ci le subterfuge ne fonctionna pas et la crise continua. La dite crise continua également une fois arrivé à bon port et ce malgré une très confortable installation sur le tapis de jeu puis dans les bras de papi et enfin dans les bras de maman. Mais la crise continua et se propagea à Lucas... Après moulte tentatives de les calmer en joueant, chantant et faisant le clown je pris la décision quelque peu discutable de les mettre chacun dans une chambre et de les laisser pleurer. Ma capacité à faire face à leur pleurs ayant pris un bon coup je partie prendre une douche. A la sortie de mon moment de détente Mathéo dormait, Lucas jouait. La crise était terminée.

La troisième crise se passa hier, et se fut la plus terrible. Elle commença par une bête histoire de bib donner en premier à Mathéo et d'un bavoir oublié. Mais mon frère était là et lui les bébés il s'est pas trop gérer. Il paniqua dès les premiers pleurs et transmis son stress aux petits loups. Moi fatiguée (et énervée par un problème de lait et quelques sous-entendu de ma mère...) j'explosa rapidement. Je remis les enfants chacun dans une chambre les laissant pleurer le temps de me calmer. Mais avant de retourver mon calme il fallait que je crache ma tension et un regretable "j'en ai marre de ces gosses je vais les mettre à l'ADASS!" sorti (attention ne les appellez pas je les aime mes gosses!). Regretable car mon frère paniqua encore plus et appella mon père lui demandant de rentrer au plus vite. J'ai été destabilisé et vexé par cette reaction. Mais doucement je me suis reprise, et le cours des choses repris dans le calme...

Aujourd'hui, peut être à cause de cette dernière crise il fait tout gris dans ma tête. Ou alors c'est à cause de l'essai de ma tenue pour le mariage de ma cousine la semaine prochaine. Tenue qui comme toutes les autres dévoile mes hanches élargies, mon ventre épaisie et flasque et mes bras rebondis par la maternité... 

Sur ce bon week end de pâques

PS: Oréa fécilitation pour ta petite puce!

Gwen, je pense bien fort à toi et t'envoi toutes mes ondes possitives! Si je peux t'aider au niveau assurance pour l'accident de voiture n'hésite pas.

A toutes les autres je pense bien à vous et ne vous oublie pas. Désolé de ne pas prendre de le temps de vous commenter, mais sachez une chose, j'adore vous lire!