Après la garde à vue, la plainte contre Obispo et Jenifer

Obispo et Jenifer ont été relâchés hier soir

Le chanteur-compositeur Pascal Obispo et la chanteuse Jenifer ont été relâchés jeudi soir après avoir été placés en garde à vue après avoir agressé un photographe à Paris (VIème), a-t-on appris de sources proches de l'enquête. Rue princesse (VIe), le chanteur déjeunait dans un restaurant, avec trois amis dont la chanteuse Jenifer, selon les premiers éléments de l'enquête, et s'en est pris à un photographe "qui l'avait surpris" peu après 13h00.

Le chanteur est suspecté d'avoir molesté ce dernier, avait-on indiqué de même source. Le chanteur et les trois autres protagonistes de cette affaire avaient été conduits au commissariat du VIe arrondissement de Paris et placés en garde à vue pour être entendus par la police. La nature des blessures du photographe n'a pas été précisée.

En mars dernier, le chanteur avait déjà déposé plainte contre un autre paparazzi qui le harcelait depuis plusieurs semaines près de chez lui dans le XVIème arrondissement. Le photographe avait également déposé plainte de son côté dans cette affaire.

je marche seul

comme un bâteau dérive,

sans but et sans mobile,

je marche dans la ville,

tout seul et anonyme;

la ville et ses pièges,

ce sont mes privilèges,

je suis riche de çà,

mais çà ne s'achète pas.

j'm'en fous, j'm'en fous, de tout,

de ces chaînes

qui pendent à mon cou,

j'm'enfuis, j'oublie,

je m'offre une parenthèse, un sursis.

je marche seul,

dans les rues qui se donnent,

et la nuit me pardonne,

je marche seul, en oubliant les heures,

je marche seul,

sans témoin, sans personne,

que mes pas qui résonnent,

je marche seul, acteur et voyeur...

se rencontrer et séduire,

quand la nuit fait des siennes,

pour mettre sans le dire,

juste les yeux qui traînent;

quand la vie s'obstine,

en ces heures assasines,

je suis riche de çà,

mais çà ne s'achète pas.

j'm'en fous, j'm'en fous, de tout,

de ces chaînes qui pendent à mon cou,

j'm'enfuis, j'oublie,

je m'offre une parenthèse, un sursis.

je marche seul,

dans les rues qui se donnent,

et la nuit me pardonne,

je marche seul, en oubliant les heures,

je marche seul,

sans témoin, sans personne,

que mes pas qui résonnent,

je marche seul, acteur et voyeur ...

je marche seul,

quand ma vie déraisonne,

quand l'envie m'abandonne,

je marche seul,

pour me noyer d'ailleurs.

 je marche seul,

dans les rues qui se donnent,

et la nuit me pardonne,

je marche seul,

en oubliant les heures.

 je marche seul,

sans témoin, sans personne,

que mes pas qui résonnent,

je marche seul,

acteur et voyeur

dans les nuits qui se donnent,

je marche seul,

et la nuit me pardonne,

je marche seul,

en oubliant les heures,

je marche seul ...

                                   à demain.....