En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres. |
qui ne s'est jamais plaint de son "petit ventre" ?
publié le 07/10/2008 à 09:06 |
comment allez vous en ce mardi ?
je me suis dépêchée de trouver un article à poster avant de commencer à travailler (pendant que je suis encore seule au bureau lol).
j'ai trouvé celui-ci intéressant, et j'espère qu'il vous plaira et que vous pourrez trouver des explications à cet inconvénient qui nous touche (ou nous touchera) toutes.
bonne lecture, je reviendrai plus tard, bises.
Ventre : le poids du stress
Jusqu'a présent, on distinguait deux manières de grossir : celle des femmes, dite « en poire », avec des dépôts adipeux localisés essentiellement autour des hanches et des cuisses ; et celle des hommes, dite « en pomme », où la graisse s'accumule sur le ventre...
On a longtemps cru que cette différence était le fruit d'une prédisposition génétique liée au sexe. Quelques études récentes remettent en question ce schéma simpliste.
A San Francisco, une équipe de chercheurs de l'université de Californie vient de démontrer que c'est peut-être le type de stress auquel les hommes – et de plus en plus de femmes – sont exposés et surtout leur façon de réagir qui déterminerait la localisation de la graisse. Les chercheurs ont d'abord séparé les femmes de poids « normal » en deux groupes selon la localisation de leurs dépôts adipeux : d'un côté, les « pommes » ; de l'autre, les « poires ».
Ces femmes ont ensuite été soumises à des épreuves susceptibles de les stresser (calculs arithmétiques rapides, exposés oraux face à un public, etc.), et cela, plusieurs jours de suite.
Résultat : les femmes qui avaient un peu de ventre et de fines jambes (adiposité de type masculin, donc en « pomme ») se sont avérées être celles qui réagissaient le plus fortement au stress et qui, les jours passant, ne parvenaient toujours pas à s'y habituer. A chaque nouvelle épreuve, leur taux de cortisol – hormone du stress par excellence – s'élevait, reflétant ainsi le prix payé par leur corps pour affronter l'événement. En revanche, les femmes à l'adiposité féminine (donc en « poire ») semblaient faire face avec beaucoup plus de sérénité mentale et moins de réactivité physiologique.
D'autres études, qui portent, elles, à la fois sur des hommes et des femmes, ont indiqué que la distribution de la graisse sur le ventre est plus fréquente chez les personnes anxieuses, sujettes à la dépression, ou aux prises avec des difficultés sociales (comme le chômage, un divorce, etc.).
Le stress s'accumule donc dans le ventre. Pourquoi cette découverte est-elle importante ? Parce qu'on sait que cette façon de grossir, longtemps l'apanage des hommes, est un facteur de risque classique pour les maladies cardio-vasculaires (hypertension, hyperlipidémie, maladie coronarienne, accidents vasculaires cérébraux) et même pour le diabète. Aujourd'hui, les femmes en sont à leur tour victimes. Espérons toutefois qu'elles sauront y faire face plus intelligemment.
COMMENT PERDRE DU VENTRE
Le stress, par la libération du cortisol qu'il entraîne, s'accumule dans le ventre. Trois parades : faire de l'exercice physique, identifier les causes du stress et tenter de les réduire (changer d'air professionnel ?), ou apprendre à y faire face plus sereinement (avec la méditation, par exemple).
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
- Méthode Savoir Maigrir |
|
ACCUEIL
COACHING
|
PREMIUM
FORUM PREMIUM
|
COMMUNAUTÉ
FORUM
|
RUBRIQUES
DOSSIERS
|
GUIDES
PLUS
|
|
Tags : ventre plat | maigrir des fesses | abdominaux | régime américain | régime mayo | régime protéiné | maigrir du ventre | |
Découvrez aussi : exercices abdominaux | recette wok | | ||
ANXA Partenaires : Recette de cuisine | Recette cuisine | |
Et je veux bien croire que le stress y est pour quelque chose!
bises salées de Bretagne au grand vent optimiste