Reprendre de bonnes habitudes : manger des légumes !!!
en finir avec l'alcool, surtout la biere ! ! !
je suis trés batracien aujourd'hui
le défi :
cette semaine je vais essayer de mettre en pratique ce que je dis, ce ne sera pas évident car la tentation est toujours aussi grande, bon la semaine derniere , j'ai redressé la barre d'1 kg, revenue au poids du départ 97 kg mais j'ai perdu tout le bénéfice d'avant pendant mes vacances, aussi cette semaine je suis à la maison sauf mardi( réunionite au boulot) et je vais m'appliquer à suivre un régime comme il faut quitte à me faire violence : toujours s'occuper les mains et l'esprit, faire à nouveau le grand ménage dans la maison, au jourd'hui je commence par la chambre : nettoyage à fond, la conchita va travailler, c'est la machine à vapeur
,j'ai déjà mis les draps à laver, et hop je passe ensuite l'aspi et dans la foulée je fais les carreaux et quand ce sera fini je vous mets la foto à plus ....
Spectacle donné lors du jubilé de Jerusalem en 1998.
Chanson écrite en 1967 par Naomi Shemer quelques jours avant la guerre de six jours.
Depuis, cette chanson est devenue une chanson culte qui accompagne très souvent la "Hatikva" (hymne national israélien)
L’air des montagnes est limpide comme le vin
et l’odeur des pins
est portée par le vent du soir
au son des clochettes.
Tandis que dorment l’arbre et la pierre
enfouie dans son rêve,
la ville qui reste solitaire
une muraille dans le cœur.
Jérusalem d’or, de bronze et de lumière,
Pour toutes tes chansons, ne suis-je pas un violon ? (bis)
Comme ils sont à sec les puits !
La place du marché est vide.
Et nul oeil ne guette la montagne du Temple
Dans la Vieille Ville.
Et dans les grottes des rochers
Hurlent les vents
Et nul ne descend vers la Mer Morte
Par la route de Jéricho.
Jérusalem d’or, de bronze et de lumière,
Pour toutes tes chansons, ne suis-je pas un violon ? (bis)
Mais venue aujourd’hui chanter pour toi
Et te tresser des louanges
Je ne suis pas à la hauteur du moindre de tes enfants
ni du dernier des poètes.
Car ton nom brûle les lèvres
Comme le baiser d’un séraphin
Si je t’oublie Jérusalem...
Toi qui es toute d’or.
Jérusalem d’or, de bronze et de lumière,
Pour toutes tes chansons, ne suis-je pas un violon ? (bis)
Nous sommes revenus aux puits des eaux,
au marché et sur la place.
Un shofar appelle sur le Mont du Temple
dans la Vieille Ville.
Et dans les grottes des rochers
Des milliers de soleil rayonnent
Nous reviendrons et descendrons vers la Mer Morte par la route de Jéricho.
Jérusalem d’or, de bronze et de lumière,
Pour toutes tes chansons, ne suis-je pas un violon ? (bis)