TU M’AURAS…PAS
Ça y est …la campagne collective de vaccination est lancée depuis le 20 Octobre pour une période de 4 mois.
Elle débute par les personnels soignants…qui, il faut le reconnaître se font vacciner…à reculons. Ils font partie de la première vague, le vaccin utilisé est le Pandemrix de GSK un vaccin avec adjuvant…2 doses espacées de 3 semaines.
« La vérité fait tache, la moitié des médecins et les 2/3 des infirmiers refusent la vaccination pour eux-mêmes » explique à 20minutes.fr Thierry Amouroux, secrétaire du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI CFE CGS)
« Ils ont même eu du mal à trouver des volontaires pour la venue de la ministre à l’hôpital Necker » s’amuse- t- il. Mais selon lui, pour pallier la faible participation des professionnels, ces derniers subissent des pressions de leur hiérarchie. « La direction insiste auprès des cadres supérieurs, qui répercutent sur les cadres de santé, jusqu’aux soignants » décrit le syndicaliste.
Une insistance qui colle avec le « discours culpabilisateur » du gouvernement, selon lui. La ministre de la Santé a fait appel au sens de responsabilité des soignants en les incitant à faire un « geste citoyen ».
« La vaccination n’est pas obligatoire mais fortement recommandée » a martelé en écho Didier Houssin, directeur général de la santé
Aux alentours du 20 Novembre, le vaccin sans adjuvant de Sanofi Aventis devrait obtenir son autorisation de mise sur le marché. Il est destiné aux femmes enceintes (à partir du 2eme trimestre).
L’Italie, la Suède, les Etats-Unis, le Canada, Le Japon ont commencé leur campagne de vaccination. Hier la Grande Bretagne, le 26 Octobre… l’Allemagne…avec les même hésitations ou refus de se faire vacciner.
L’épidémie ne suscite pas de panique mais elle soulève quelques interrogations :
Pourquoi y a-il des victimes bien portantes. ? Le Tamiflu évite-t-il les complications ? Pourquoi le vaccin est-il contreversé ? Faut-il se faire vacciner ou non ?
TU M’AURAS…PASÇa y est …la campagne collective de vaccination est lancée depuis le 20 Octobre pour une période de 4 mois.Elle débute par les personnels soignants…qui, il faut le reconnaître se font vacciner…à reculons. Ils font partie de la première vague, le vaccin utilisé est le Pandemrix de GSK un vaccin avec adjuvant…2 doses espacées de 3 semaines.« La vérité fait tache, la moitié des médecins et les 2/3 des infirmiers refusent la vaccination pour eux-mêmes » explique à 20minutes.fr Thierry Amouroux, secrétaire du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI CFE CGS)« Ils ont même eu du mal à trouver des volontaires pour la venue de la ministre à l’hôpital Necker » s’amuse- t- il. Mais selon lui, pour pallier la faible participation des professionnels, ces derniers subissent des pressions de leur hiérarchie. « La direction insiste auprès des cadres supérieurs, qui répercutent sur les cadres de santé, jusqu’aux soignants » décrit le syndicaliste.Une insistance qui colle avec le « discours culpabilisateur » du gouvernement, selon lui. La ministre de la Santé a fait appel au sens de responsabilité des soignants en les incitant à faire un « geste citoyen ».« La vaccination n’est pas obligatoire mais fortement recommandée » a martelé en écho Didier Houssin, directeur général de la santéAux alentours du 20 Novembre, le vaccin sans adjuvant de Sanofi Aventis devrait obtenir son autorisation de mise sur le marché. Il est destiné aux femmes enceintes (à partir du 2eme trimestre).L’Italie, la Suède, les Etats-Unis, le Canada, Le Japon ont commencé leur campagne de vaccination. Hier la Grande Bretagne, le 26 Octobre… l’Allemagne…avec les même hésitations ou refus de se faire vacciner.L’épidémie ne suscite pas de panique mais elle soulève quelques interrogations :Pourquoi y a-il des victimes bien portantes. ? Le Tamiflu évite-t-il les complications ? Pourquoi le vaccin est-il contreversé ? Faut-il se faire vacciner ou non ?
Bisous, Muriel.
J'écris déjà la recette sur une feuille de l'ordi et j'attends ta réponse pour savoir où la déposer.
Sur aujourd'hui
ou sur orange ?