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Minceur, strategies nouvelle generation SURPOIDS, DES CHIFFRES ALARMANTS "Surpoids, obésité : l'épidémie ! Il apparaît désormais qu'il n'y a pas d'exception nationale à ce phénomène mondial". La Recherche, avril 2000.
L'obésité est actuellement l'un des problèmes médicaux majeurs les plus fréquents dans les pays industrialisés, avec 1,7 Md d'êtres humains.
En France, d'après les dernières enquêtes alimentaires, 19% des hommes et 12% des femmes souffrent d'un surpoids conséquent, avec un Indice de Masse Corporelle supérieur à 27. L'obésité infantile monte par ailleurs en flèche. Dans 3 ans, nous serons 15 millions de français à être concernés et 60 millions d'européens ... de quoi faire réfléchir !
Durant les 40 dernières années, l'enjeu majeur du poids était surtout de nature esthétique, dit bien-être externe. Mais les priorités ont changé au profit du bien-être interne. En un mot, il s'agit désormais de la Santé des consommateurs et de tous les risques vitaux liés à une alimentation de plus en plus technologiquement modifiée et déséquilibrée.
Le surpoids est un danger vital, inutile de se leurrer. Les études épidémiologiques montrent clairement que l'obésité s'accompagne d'une augmentation bien réelle de la mortalité, du risque de diabète, d'hypertension artérielle, de maladies cardiaques, de problèmes articulaires, d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies dégénératives diverses.
Notre alimentation a plus changé en 50 ans qu'en 5 siècles
Durant des millénaires et jusqu'à il y a une cinquantaine d'années, l'alimentation traditionnelle se composait principalement, dans l'ordre décroissant des associations, de glucides lents, de protéines et de lipides. De plus, elle était naturellement riche en fibres et en nutriments essentiels. Les desserts étaient réservés aux occasions exceptionnelles et l'on ignorait le grignotage, les boulimies.
Cette alimentation se révélait parfaitement adaptée au mode de vie de ces époques : le travail s'associait à une réelle sollicitation physique permanente - pour se déplacer, on marchait - et le chauffage n'était pas généralisé, le corps puisait sur ses réserves pour compenser ... Bref, on se dépensait physiquement et énergétiquement à égalité de ce que l'on se nourrissait ... parfois moins : les maigreurs de carences étaient fréquentes.
Aujourd'hui, et dans le monde entier, l'alimentation s'est complètement modifiée : on consomme - dans l'ordre décroissant des quantités caloriques - des glucides rapides, des lipides et des protéines.
Ces aliments sont de plus en plus raffinés, ce qui augmente encore leur densité calorique jusqu'à 40%. Ils sont désespérément pauvres en fibres et en nutriments essentiels, qui trouveraient pourtant toute leur utilité dans la digestion, le transit et surtout l'assimilation. Sans compter les sucres rapides - dérivés glucosés, glutamates - qui s'immiscent partout dans les additifs, les conservateurs, les stabilisants ... Et leurs corollaires biologiques et digestifs directs : les grignotages incessants, les crises d'hypoglycémie, de spasmophilie, les boulimies, les fringales ...
Dans le même temps, notre mode et nos rythmes de vie ont été bouleversés : on se dépense peu, on passe de la voiture au métro, du train à l'avion. La climatisation est une donnée de base et travailler signifie le plus souvent s'asseoir derrière un bureau ou une machine ...
On pourrait se résigner ... Mais aujourd'hui, tous les problèmes de surpoids se retrouvent liés à la santé bien plus qu'à l'esthétique. Alors, impossible de les passer sous silence et de ne pas trouver de solution efficace et surtout durable.
MECANISME DE LA FAIM ET DES FRINGALES
Faim : état de désir biologique qui conduit spécifiquement à la recherche et à la consommation d'aliments.
Satiété : permet l'interruption de l'ingestion d'aliments, désigne l'état de non-faim qui suit un repas.
Quand la glycémie baisse, c'est à dire la présence de sucre dans le sang, notre cerveau nous envoie le signal de faim qui nous incite à manger. Quand les cellules ont reçu leur dose de glucose - le carburant dont elles ont besoin pour fonctionner - elles font savoir au cerveau qu'il n'est plus utile de continuer à manger. C'est la satiété.
Le blocage de signal de faim va durer tant qu'il y aura assez de glucose dans les cellules, principalement cérébrales. Les récepteurs stomacaux interviennent aussi mais en deuxième position.
Présenté comme cela, tout parait simple. Alors, pourquoi continue-t-on à manger même lorsqu'on a plus faim ? En d'autres termes, comment se régule la prise de nourriture ?
Pourquoi, sans faim, nous continuons à manger
1. Parce que le glucose que nous ingérons ne va pas toujours forcément là où il doit : il peut très bien s'orienter rapidement vers nos cellules graisseuses, alors que ce n'est pas forcément là qu'il est le plus utile.
2. Parce qu'un dérèglement des centres de contrôle cérébral et mécanique de l'appétit peut s'installer progressivement. Avec, en invités indésirables, boulimies, fringales et grignotages.
3. Parce qu'on est stressé, fatigué, perturbé, et que les signaux envoyés par les cellules n'arrivent pas forcément indemnes au cerveau.
Trois causes qui se conjuguent en problèmes minceur majeurs : fringales chroniques, faims intolérables, crises hypoglycémiques, grignotages, spasmophilie, baisses de moral, boulimies ...
Prendre le problème différemment et le résoudre
Les résultats de toutes les enquêtes scientifiques ciblant les problèmes de prise de poids convergent vers 3 facteurs épidémiologiques : la faim et les grignotages, la difficulté de contrôler son alimentation au quotidien, le découragement face aux efforts à fournir pour déloger les kilos superflus.
Alors, comment sortir de cette impasse ? Face aux nouvelles données de ce 3ème millénaire, face à nos modes de vie et à nos habitudes alimentaires, comment proposer une méthode minceur immédiatement et visiblement efficace, assortie d'un vrai rééquilibrage en profondeur, et donc à long terme ?
Les Laboratoires de Recherche ont désormais une ligne directrice, créer une méthode capable d'agir sur tous les fronts, sur tous les leviers minceur à notre disposition :
- combattre les fringales,
- contrôler l'alimentation en quantité mais surtout en qualité (ce qui est une démarche nouvelle),
- pouvoir agir de façon ciblée sur la cellulite ...
CONTROLER LA QUALITE ET LA QUANTITE Tout le monde, y compris les scientifiques, s'accorde aujourd'hui à considérer la prise de poids comme un problème de santé primordial. Trop longtemps, l'enjeu majeur était resté de nature esthétique, et il le reste encore aujourd'hui. Mais les données et les priorités ont changé, la prise de poids constitue désormais un enjeu de santé bien réel.
L'INDEX GLYCEMIQUE AU COEUR DES PREOCCUPATIONS
Aussi, la nouvelle génération minceur, c'est accepter de prendre en compte que "l'Index Glycémique est au centre des mécanismes de prises de poids". Science et Avenir, février 1999.
IG
Classification chromatique des aliments
20%
Légumes (sauf carottes, betteraves, petits pois et pomme de terre), lentilles, fructose, prunes, pamplemousses, cerises, crustacés, poisson, noisettes, noix.
Plus l'Index Glycémique d'un aliment est élevé, plus il convient d'en contrôler l'assimilation. Durant les dernières décennies, l'approche diététique prioritaire était basée sur la notion de "quantité de calories". Cette notion, désormais, se révèle très incomplète car il manque le véritable facteur de stockage des calories : l'Index Glycémique des aliments. Cette notion est directement liée à l'importance de la réponse insulinique induite par la digestion de l'aliment. Plus l'Indice Glycémique est élevé, plus il participe au stockage graisseux. Plus il convient de savoir le contrôler en l'associant ou en le diluant.
Attention : la notion d'Index Glycémique ne concerne pas seulement les féculents, les desserts et le sucré - bonbons, chocolat, sodas - mais tout autant les protéines et les lipides. Classer les aliments selon leur IG est la meilleure méthode pour bien diriger son alimentation : on connait enfin ceux que l'on peut manger à discrétion, modérément, ou en aussi petite quantité que possible.
Cette classification remet par ailleurs en cause un certain nombre d'idées reçues : les carottes, l'allié préféré de tous nos régimes à l'approche de l'été, ont un IG de l'ordre de 80% ! Alors que les lentilles, que l'on évite soigneusement dès l'arrivée du printemps, ont un IG de l'ordre de 30% ... Une excellente occasion, en somme, de faire le point sur nos vrais amis et nos vrais ennemis !
Dans ces conditions, on comprend aisément que le contrôle global et durable du poids passe par l'obligation de maîtriser les deux baromètres du stockage des graisses : la Densité Calorique et l'Index Glycémique. S'intereser autant à la quantité qu'à la qualité
Pour maîtriser son poids, il faut donc s'intéresser autant à la quantité de nourriture absorbée qu'à sa qualité. Contrôler le quantitatif et le nombre de calories ingérées, voilà qui paraît simple : il suffit de moins manger ! Mais il convient aussi - et surtout - de gérer au plus juste le qualitatif alimentaire, c'est à dire la proportion exacte entre les glucides, les lipides, les protides, avec en donnée constante, la notion déterminante d'IG global. Et là ... c'est beaucoup plus compliqué ...
D'abord, pas facile de l'appliquer au quotidien. Chez soi, on n'a pas toujours le temps de s'y consacrer. A l'extérieur, on n'a pas toujours la possibilité de manger ce qu'il faudrait. Mais il y a une autre difficulté plus déterminante : nous ne sommes pas familiarisés ou éduqués à jongler avec cette notion. Ce pourquoi, tant de régimes sont voués à l'échec. Alors que reste-t-il ?
Les substituts de repas ou les en-cas classiques sont intéressants au niveau du contrôle calorique pur mais ils ne tiennent pas toujours compte du paramètre essentiel au contrôle du poids, c'est à dire l'IG. D'où sensation de faim et effet rebond assuré. Privation d'alimentation étant synonyme de frustration.
Les hyperprotéinés sont très efficaces pour leur action "TGV" mais ne semblent pas répondre sur le long terme à un équilibre métabolique durable. D'où l'effet yoyo à l'arrêt du régime avec, en général en plus des kilos repris, quelques uns en prime.
Les barres énergétiques comme en-cas sont destinées à une activité physique, comme soutien de l'effort, et ne sont certainement pas conçues dans le cadre d'une perte de poids.
Quelle solution convient-il alors d'adopter, existe-t-il des solutions miracles ?
Oui, si l'ensemble des phases minceur sont respectées et conjointement approchées :
- diminuer la densité calorique,
- veiller à l'Index Glycémique,
- prendre plaisir à manger,
- arrêter de grignoter,
- déloger la cellulite.
RAPPEL SUR LA CELLULITE ET SA FORMATION Considérée comme une atteinte à l'harmonie de la silhouette, la cellulite est une source de préoccupation importante, surtout lorsque les beaux jours arrivent.
Un phénomène typiquement féminin
Phénomène féminin par excellence, la cellulite est sous dépendance hormonale, ce qui explique que certaines périodes de la vie d'une femme soient plus propices à sa survenue : puberté, grossesse, ménopause ou tout simplement syndrome pré-menstruel.
Cependant, les hormones n'expliquent pas tout et de nombreux facteurs entrent en ligne de compte comme l'hérédité, une mauvaise circulation sanguine, une alimentation déséquilibrée, la sédentarité ou le stress.
mon alimentation
Petit-déjeuner :
eau mineral
Déjeuner :
toast+ haricot+ bacon+the
Goûter ou snack :
2 bananes + eau
Dîner :
Porc -fume+riz+epinard
Verres d'eau :
5
Calories consommées :
0 kcal
(1) commentaires
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babsinette
publié le 25/01/2009 à 18:24
Je t'envoie ce joli ballon aux reflets multicolores...(oh imagines, lol)...Bon j'avoue ça fais un peu mail chaine, mais je trouve ça tellement mimi !
Les ami(e)s sont comme des ballons.... Une fois que tu les laisses partir,
Tu ne peux les rattraper. Donc, je vais t'attacher avec ma corde du cœur
Afin de ne pas te perdre car je tiens beaucoup à toi. Tu peux envoyer ces
ballons à tous ceux que tu considères tes amis, incluant moi, et vois
Combien de ballons te reviennent. Et, si quatre ballons te reviennent, tu
connaîtras tes vrais ami(e)s, et qui sait, peut être une bonne nouvelle que
Tu attends depuis longtemps t'arrivera....Bisous
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Les ami(e)s sont comme des ballons.... Une fois que tu les laisses partir,
Tu ne peux les rattraper. Donc, je vais t'attacher avec ma corde du cœur
Afin de ne pas te perdre car je tiens beaucoup à toi. Tu peux envoyer ces
ballons à tous ceux que tu considères tes amis, incluant moi, et vois
Combien de ballons te reviennent. Et, si quatre ballons te reviennent, tu
connaîtras tes vrais ami(e)s, et qui sait, peut être une bonne nouvelle que
Tu attends depuis longtemps t'arrivera....Bisous