Poême de PABLO NERUDA , prix NOBEL de littérature 1971
Il meurt lentement
Celui qui ne voyage pas,
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n'écoute pas de musique,
Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux,
Il meurt lentement ,
Celui qui détruit son amour-propre
Celui qui ne se laisse jamais aider,
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l'habitude,
refaisant tous les jours le même chemin,
Celui qui ne change jamais de repéres,
ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu,
Il meurt lentement celui qui évite la passion
Et son tourbillon d'émotions,
Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
Et répare le coeurs blessés,
Il meurt lentement
Celui qui ne change pas de cap
Lorqu'il est malheureux
Au travail ou en amour
Celui qui ne prend pas de risque pour réaliser ses rêves,
Celui qui pas une seule fois
N'a fui les conseils censés....
VIS MAINTENANT!
RISQUE-TOI AUJOURD'HUI!
AGIS TOUT DE SUITE !
NE TE LAISSE PAS MOURIR!
NE TE PRIVE PAS D'ETRE HEUREUX!
Quand j'ai découvert ce poème, je me suis dit que je le pensais mot pour mot. Alors merci à Pablo Néruda, d'avoir su le dire avec ce talent. Il était d'origine chilienne. ( 1904-1973). Grand voyageur.
gros bisous soeurette
Bonne nuit
gros bisous soeurette
PS: je fais un petit copier-coller .............
gros bisous soeurette
Pour les poireaux, je les faits au jambon, ou je les manges comme ça nature.
gros bisous soeurette a ce soir
Bisous et bonne journée !
merci de nous l'avoir écrit, biza+