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Le diabète : comment l’alimentation peut aider
publié le 19/10/2021 à 04:22 |
Le diabète est une maladie chronique causée par une insuffisance ou un défaut d’utilisation de l’insuline qui entraîne un excès de sucre dans le sang. Que l’on craigne un diabète ou que l’on en ait un, et, quel que soit le type de diabète (type 1, type 2 ou gestationnel), nous nous interrogeons régulièrement sur la nature des aliments qu’il faut consommer et sur les différentes combinaisons possibles entre eux.
La conduite à tenir dans ce cas-là est tout à fait paradoxale, car il existe des règles communes aux trois situations, qui concernent principalement l’hygiène de vie et le mode alimentaire, mais en même temps les “interdictions” ou autorisations ne sont pas du tout les mêmes.
Tout dépend de la nature du diabète, mais, généralement, l’alimentation recommandée est celle d’une alimentation bénéfique pour toute la famille.
Elle doit couvrir vos besoins énergétiques et s’adapter à votre âge, votre corpulence et votre rythme de vie, et vous aider à prévenir les maladies cardiovasculaires, tout en maintenant impérativement une consommation suffisante de glucides complexes, en privilégiant ceux à index glycémique bas.
Diabètes de type 1 et type 2
Le diabète de type 1 est lié à un dérèglement, à un déficit d’insuline, une hormone régulatrice de la glycémie. Potentiellement très grave s’il n’est pas contrôlé, le diabète de type 1 est aujourd’hui très bien pris en charge (mais pas guéri) grâce à un apport d’insuline exogène.
Dans le cas du diabète de type 2, on observe une perturbation du métabolisme glucidique. Si elle apparaît progressivement et insidieusement, la maladie a des conséquences graves, voire mortelles, à long terme.
Le diabète gestationnel
En seconde partie de grossesse, les besoins en insuline sont plus importants. Il apparaît en effet une réponse biologique à l’insuline diminuée (résistance à l’insuline) à partir du deuxième trimestre. Ceci devrait provoquer une libération plus importante d’insuline pour réussir à faire rentrer le sucre dans les cellules et ainsi maintenir la glycémie stable.
Si ce phénomène n’est pas compensé, cela déclenche un diabète, qui peut ne durer que le temps de la grossesse : le diabète gestationnel. Un examen est effectué pour le vérifier entre la 24e et la 28e semaine.
Pendant les deux premiers trimestres, le taux sanguin d’insuline élevé permet la constitution de réserves maternelles. Au 3ème trimestre apparaît une réponse biologique à l’insuline qui détourne le glucose maternel au profit des tissus foetaux.
La glycémie
La glycémie est le taux de glucose présent dans le sang. Sa valeur normale à jeun varie entre 0.70g/l et 1.10g/l en moyenne. Elle peut également naturellement augmenter après un repas jusqu’à 1,4 g/l, puis revenir à la normale, généralement 2 heures après une prise alimentaire.
Entre 0.70g/l et 1.10g/l : c'est le taux de glucose normal par litre de sang, deux heures après une prise alimentaire. Au-dessus d'1.1 g, on parle d'hyperglycémie, entre 0.7 et 1 g, de valeur normale, et en-dessous de 0.7 g, d'hypoglycémie.
Lors d’une prise de sang, on mesure la glycémie. Après un repas, le pancréas sécrète de l’insuline pour faire rentrer le sucre dans les cellules. L’insuline permet de réguler cette glycémie.
Le diabète se caractérise donc par une hyperglycémie chronique, c’est-à-dire un excès de sucre dans le sang et donc un taux de glucose (glycémie) trop élevé.
Il est diagnostiqué lorsque la glycémie à jeun est égale ou supérieure à 1.26 g/l à deux reprises ou égale ou supérieure à 2 g/l à n’importe quel moment de la journée.
Quelle alimentation favoriser ?
Alors il y a deux choses : premièrement, les fibres. C’est très important chez un diabétique d’avoir une belle consommation de fibres parce plusieurs études ont établi un lien entre un apport élevé en fibres solubles et une sensibilité accrue à l’insuline et parce qu’elles vont diminuer la prise alimentaire globale.
Et la deuxième chose c’est de continuer à conserver un juste apport de glucides, votre corps en a toujours besoin ! En privilégiant les aliments qui ont des indices glycémiques bas. Cela veut dire qu’un aliment qui a un indice glycémique élevé, entraînera un pic de glycémie (taux de sucre dans le sang) avec un besoin accru d’insuline ; pendant qu’un aliment a un indice glycémique bas, entraînera une réponse plus basse et de la glycémie et des besoins en insuline.
Parmi les aliments à indice glycémique bas, on va citer le quinoa, les lentilles, les légumineuses, les patates douces mais là encore attention, on va préférer les patates douces vapeur plutôt que la purée. Pourquoi ? Parce que le simple fait de mixer ou de prolonger une cuisson excessivement, augmente l’index glycémique.
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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