En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres. |
Kilos stress: quelle mangeuse êtes-vous ?
publié le 04/12/2012 à 09:17 |
Bonjour,
Certains d'entre vous sont sûrement stressés avec les fêtes de noël qui approchent.
Voici donc une petite séance de rappel : Le stress vous pousse à manger davantage et favorise le stockage des graisses :
C’est l’ennemi n°1 de votre silhouette !
Mangeuse déprimée, compulsive ou émotive ? Selon votre profil, découvrez la meilleure façon de retrouver votre ligne et de tenir l’anxiété à distance grâce à mes conseils.
La mangeuse déprimée (celle qui est toujours insatisfaite)
L’environnement est parfois source de mal-être qui peut se traduire par un pessimisme chronique et un désintérêt pour l’acte alimentaire. En résulte une alimentation déstructurée, peu diversifiée, peu équilibrée à l’origine d’un surpoids.
Un rééquilibrage alimentaire, un choix judicieux des aliments ainsi qu’un rythme de vie sain et régulier seront les solutions pour une perte de poids réussie et une vie plus épanouie.
Par exemple, il s’agira de favoriser les aliments qui sont bons pour le moral : poisson gras, céréales complètes, banane, légumes secs, les fruits secs, les produits laitiers et certaines eaux minérales.
La mangeuse émotive (celle qui descend une tablette de chocolat à la moindre contrariété)
Une alimentation déséquilibrée, insuffisante au moment des repas, un stress ambiant à canaliser, est souvent à l’origine de la mangeuse émotive où à la moindre contrariété, la tablette de chocolat va y passer pour un plaisir instantané !
Rééquilibrer l’alimentation avec un programme agréable à suivre et quelques touches de gourmandises sera la clé.
Il s’agira de faire 3 repas légers et 2 collations par jour, de privilégier les céréales complètes, les fruits et les légumes riches en fibres « coupe-faim », les œufs, la viande, le poisson, le tofu riches en protéines, qui rassasient longtemps.
La mangeuse compulsive (elle mange toute la journée)
La compulsion est caractérisée par une force intérieure qui pousse un individu à accomplir certains actes et à laquelle il ne peut résister sans angoisse. La compulsion alimentaire, c’est l’envie irrépressible de manger un aliment. Il est important d’apprendre dans ce cas à reconnaître la faim car cette envie est indépendante de la faim.
En mangeant continuellement, on exprime un besoin de posséder davantage, non seulement d'aliments, mais de tout ce dont on se sent privé à ce moment-là (affection, attention, sollicitude, temps...). Le comportement alimentaire est perturbé afin de se faire plaisir et d’essayer d’oublier les soucis du quotidien, seulement la sensation de réconfort est de courte durée et laisse place souvent à la culpabilité et à une nouvelle envie de manger : c’est un cercle vicieux qui s’installeen même temps que les kilos.
Les interdictions, ou parfois même la perspective de devoir se priver, entraînent des compulsions, alors attention aux régimes restrictifs.
Il faut revoir essentiellement la qualité de ce que l’on mange, c’est à dire le temps, le rythme, la durée, la disponibilité, le plaisir et non parler de quantité.
Bonne journée !
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
- Méthode Savoir Maigrir |
|
ACCUEIL
COACHING
|
PREMIUM
FORUM PREMIUM
|
COMMUNAUTÉ
FORUM
|
RUBRIQUES
DOSSIERS
|
GUIDES
PLUS
|
|
Tags : ventre plat | maigrir des fesses | abdominaux | régime américain | régime mayo | régime protéiné | maigrir du ventre | |
Découvrez aussi : exercices abdominaux | recette wok | | ||
ANXA Partenaires : Recette de cuisine | Recette cuisine | |
merci
merci
Je pense que chacune d'entre nous à pu se retrouver dans chacun de ces 3 portraits à un moment de la vie. L'important c'est que cela ne dure pas, et pour ça, il faut être bien accompagnée. En ce qui me concerne, j'ai eu une éducation alimentaire assez stricte, de part ma grand-mère. Style : interdiction de prendre du pain, féculents, gâteaux, chocolat, surtout si j'avais pris 1kg, car j'en été privée au point de ne pas aller aux anniversaires des copines ! Ma grand-mère été quelqu'un de très mince, rigide, qui ne supportait pas les personnes enrobées, pour vous situer. J'ai fait des cures de haricots vert et poisson dès l'âge de 14 ans. (C'est peut-être pour ça que j'ai été anorexique pdt un certain temps). je ne le suis plus. j'ai un mégacôlon, problème de digestion. Manger n'est pas un plaisir pour moi, et les fêtes m'angoisse car, j'ai peur de prendre du poids, même en faisant, attention. (Je pense que mon Subconscient a garder cette éducation stricte, qui fait qu'à l'heure d'aujourd'hui : manger = poids). Je suis en ménopause, j'ai pris du poids comme certaine femme à cette période de la vie, et comme je ne "contrôle plus mon corps, comme je le voudrai", ça m'angoisse. "Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger", cette phrase continue de me suivre dans mes pensée. (J'ai connu l'obésité suite à 1 traitement Neuroleptique pour l'épilepsie, suivi pdt 26 ans). Si, le Dr Cohen, peut m'aider,par apport à mon passé alimentaire, je le remercie par avance.ploum
Je pense que chacune d'entre nous à pu se retrouver dans chacun de ces 3 portraits à un moment de la vie. L'important c'est que cela ne dure pas, et pour ça, il faut être bien accompagnée. En ce qui me concerne, j'ai eu une éducation alimentaire assez stricte, de part ma grand-mère. Style : interdiction de prendre du pain, féculents, gâteaux, chocolat, surtout si j'avais pris 1kg, car j'en été privée au point de ne pas aller aux anniversaires des copines ! Ma grand-mère été quelqu'un de très mince, rigide, qui ne supportait pas les personnes enrobées, pour vous situer. J'ai fait des cures de haricots vert et poisson dès l'âge de 14 ans. (C'est peut-être pour ça que j'ai été anorexique pdt un certain temps). je ne le suis plus. j'ai un mégacôlon, problème de digestion. Manger n'est pas un plaisir pour moi, et les fêtes m'angoisse car, j'ai peur de prendre du poids, même en faisant, attention. (Je pense que mon Subconscient a garder cette éducation stricte, qui fait qu'à l'heure d'aujourd'hui : manger = poids). Je suis en ménopause, j'ai pris du poids comme certaine femme à cette période de la vie, et comme je ne "contrôle plus mon corps, comme je le voudrai", ça m'angoisse. "Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger", cette phrase continue de me suivre dans mes pensée. (J'ai connu l'obésité suite à 1 traitement Neuroleptique pour l'épilepsie, suivi pdt 26 ans). Si, le Dr Cohen, peut m'aider,par apport à mon passé alimentaire, je le remercie par avance.ploum