Si je me suis spécialisée, il y a déjà bien longtemps, dans les problèmes de surcharge pondérale c’est qu’un jour j’ai été confronté au problème.
A l’âge de 17 ans environ, suite à des problèmes de dos (lombalgies) j’ai été contrainte par le médecin d’arrêter toute activité sportive. Moi qui faisait quinze heures de sport par semaine. J’avais gardé mon appétit de sportive et en moins de 6 mois j’avais pris 6 ou 7 kilos. Plutôt que de prendre le problème à bras le corps, je me suis culpabilisée, dénigrée et pour me réconforter j’ai non seulement mangé en plus grande quantité mais je suis également tombée dans le piège du grignotage – consolation. Et là le cycle infernal a commencé jusqu’à totaliser un surpoids de 20 kilos.
J’ai alterné des phases de régimes miracles avec des phases quasi boulimiques. Ces régimes miracles et autres poudres de perlimpinpin ne m’ont jamais rien fait perdre à part de l’argent et de l’estime de moi.
A l’époque je ne connaissais pas l’impact des convictions malsaines et des pensées négatives. Si seulement ! Je n’aurais pas passé une dizaine d’années à me battre contre des kilos qui n’étaient ni plus ni moins que l’expression d’un mal être.
Plusieurs circonstances dans ma vie comme l’arrivée des mes enfants, mon diplôme d’infirmière, m’ont permis de reprendre confiance en moi et de chasser inconsciemment ces pensées négatives. Quand je me suis reconvertie dans la thérapie et le coaching j’ai achevé de faire disparaître les résidus de pensées négatives mais là, en toute conscience.
A l’heure d’aujourd’hui je mène une vie saine, je n’ai plus mal au dos alors que je pratique le ski, la natation, la randonnée et même du jogging et surtout des étirements qui ont été salvateurs pour mes lombaires. J’ai banni à tout jamais quelques aliments qui ne servent à rien au niveau nutritionnel, à savoir, les chips, l’alcool (à part le vin que j’apprécie à l’apéritif et aux cours des repas en quantité raisonnable bien entendu), les fritures et les pâtisseries indigestes.
Régulièrement, lors de mes consultations en cabinet je rencontre des personnes qui se sabotent toutes seules « à l’insu de leur plein gré » ! Quand elles prennent conscience des raisons qui les ont poussé à agir de telle ou telle manière elles peuvent enfin adapter un nouveau comportement. C’est également à ce niveau que nous, coachs, nous intervenons. Comme disait Jacques Salomé « j’ai pris conscience que la roue de mon vélo était dégonflée mais cela n’a pas suffit à la regonfler ». En effet, il est nécessaire de passer à l’action et d’entreprendre de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour s’occuper de soi de façon positive et bénéfique.
Cessons de nous malmener et de ressasser ces fameuses pensées négatives. Cessons de raisonner « Problèmes » et pensons « Solutions ».
J’utilise souvent ce petit exercices avec mes clients : Sur une feuille ou dans votre blog dressez la liste des problèmes que vous rencontrez de façon récurrente et à la suite imaginez les solutions envisageables (même si elles ne vous paraissent pas réalisables pour l’instant). Vous occuperez ainsi votre cerveau avec des solutions et non avec des problèmes. Ce travail est très proche de celui des croyances limitantes que nous abordons au cours de notre programme mais il peut vous préparer efficacement à donner le meilleur de vous-même. Alors pourquoi ne pas essayer ?
A l’âge de 17 ans environ, suite à des problèmes de dos (lombalgies) j’ai été contrainte par le médecin d’arrêter toute activité sportive. Moi qui faisait quinze heures de sport par semaine. J’avais gardé mon appétit de sportive et en moins de 6 mois j’avais pris 6 ou 7 kilos. Plutôt que de prendre le problème à bras le corps, je me suis culpabilisée, dénigrée et pour me réconforter j’ai non seulement mangé en plus grande quantité mais je suis également tombée dans le piège du grignotage – consolation. Et là le cycle infernal a commencé jusqu’à totaliser un surpoids de 20 kilos.
J’ai alterné des phases de régimes miracles avec des phases quasi boulimiques. Ces régimes miracles et autres poudres de perlimpinpin ne m’ont jamais rien fait perdre à part de l’argent et de l’estime de moi.
A l’époque je ne connaissais pas l’impact des convictions malsaines et des pensées négatives. Si seulement ! Je n’aurais pas passé une dizaine d’années à me battre contre des kilos qui n’étaient ni plus ni moins que l’expression d’un mal être.
Plusieurs circonstances dans ma vie comme l’arrivée des mes enfants, mon diplôme d’infirmière, m’ont permis de reprendre confiance en moi et de chasser inconsciemment ces pensées négatives. Quand je me suis reconvertie dans la thérapie et le coaching j’ai achevé de faire disparaître les résidus de pensées négatives mais là, en toute conscience.
A l’heure d’aujourd’hui je mène une vie saine, je n’ai plus mal au dos alors que je pratique le ski, la natation, la randonnée et même du jogging et surtout des étirements qui ont été salvateurs pour mes lombaires. J’ai banni à tout jamais quelques aliments qui ne servent à rien au niveau nutritionnel, à savoir, les chips, l’alcool (à part le vin que j’apprécie à l’apéritif et aux cours des repas en quantité raisonnable bien entendu), les fritures et les pâtisseries indigestes.
Régulièrement, lors de mes consultations en cabinet je rencontre des personnes qui se sabotent toutes seules « à l’insu de leur plein gré » ! Quand elles prennent conscience des raisons qui les ont poussé à agir de telle ou telle manière elles peuvent enfin adapter un nouveau comportement. C’est également à ce niveau que nous, coachs, nous intervenons. Comme disait Jacques Salomé « j’ai pris conscience que la roue de mon vélo était dégonflée mais cela n’a pas suffit à la regonfler ». En effet, il est nécessaire de passer à l’action et d’entreprendre de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour s’occuper de soi de façon positive et bénéfique.
Cessons de nous malmener et de ressasser ces fameuses pensées négatives. Cessons de raisonner « Problèmes » et pensons « Solutions ».
J’utilise souvent ce petit exercices avec mes clients : Sur une feuille ou dans votre blog dressez la liste des problèmes que vous rencontrez de façon récurrente et à la suite imaginez les solutions envisageables (même si elles ne vous paraissent pas réalisables pour l’instant). Vous occuperez ainsi votre cerveau avec des solutions et non avec des problèmes. Ce travail est très proche de celui des croyances limitantes que nous abordons au cours de notre programme mais il peut vous préparer efficacement à donner le meilleur de vous-même. Alors pourquoi ne pas essayer ?
Bonne journée