Les fêtes de fin d'année , la hantise pour certains . Entre "qu'est-ce -que je vais bien pouvoir faire cette année ?", "Mes efforts pour perdre du poids vont être anéantis !", "Des lendemains difficiles : digestion, fatigue."
Diététique et réveillon ne sont pas incompatibles. On pense, petits fours, foie gras, saumon, huîtres, chapon, bûche, champagne, ... Il s'agit surtout de maîtriser les quantités : manger un peu de tout en quantité raisonnable. Ce qui veut dire qu'il n'est pas nécessaire de préparer un repas digne de Pantagruel , qu'il est possible d'alléger un peu les recettes notamment en matières grasses et de se faire plaisir.
Il est conseillé d'éviter la charcuterie en apéritif, les chips, les cacahuètes, gras et caloriques, et qui par ailleurs sont salés et poussent à boire un peu plus. Préférer les légumes, les petits toasts à base de garniture faite avec du fromage frais et des crevettes, du saumon, de la ciboulette. Les cocktails sont très sucrés, opter pour des alcools secs, avec modération, ce qui évitera les maux de tête du lendemain.
L'entrée est par tradition à base de foie gras, saumon, ou coquillages. Elle peut être complétée de crudités ou non.
Le plat principal peut se composer de poisson, volaille, gibier, autruche, antilope, cuisinés rôtis au four.
Les accompagnements ne sont pas uniquement des féculents, mais aussi des légumes, ce qui permet d'alléger le repas. C'est aussi le moment d'innover, de réhabiliter certains légumes oubliés.
Le plateau de fromages est plutôt suivi d'un dessert léger, style sorbet et salade de fruits.
Et si le dessert est une bûche, elle est précédée d'un fromage frais, en faisselle par exemple nappée d'un coulis de fruits.
Il existe toutes sortes de pains : aux céréales, aux noix, aux olives, complet, de seigle, pain d'épices. Leur atout : riches en fibres, en vitamines, ils allient variété, plaisir, et diététique.