Les news !

     La balance je vais la balancer, ça va pas trainer ! Toujours bloquée… en tout cas, elle n’est pas descendue la vache !

Grrrr grosse colère (et pas que la colère qu'est grosse... grrr !

     Sinon, il faisait bien frisquet malgré le faible rayon de soleil en début d’après-midi. On décide de faire un feu de cheminée (entre parenthèses, marre aussi de nettoyer l’âtre chaque jour).

     Donc Jip sort l’aspirateur, vous savez, le rescapé sauvé du bûcher in extrémis, et commence à aspirer le tour de l’âtre, bien éteint cette fois, je vous rassure.

Je ne vous dis pas le nuage de poussière qui est sorti, tel un ouragan, du cul de l’aspirateur !

On voyait pas à un mètre. Le couloir blanc, sous une bruine noire, le fog londonien anglais en pire et en noir…! Pfiouuuu !

      Le Jip il a crié, la Colette a toussé pire que la Dame aux Camélias et a bondi ouvrir les portes-fenêtres en grand, ce qui n’a fait que déplacer le nuage plus largement grâce au courant d’air d’ailleurs, et la Titi en a profité pour prévenir tous les voisins en hurlant au jardin. (si Miss Tictic faisait la sieste, c’est loupé hi hi)

     Le cumulonimbus noir s’est juste un peu déplacé pour bien laisser son empreinte partout sous le courant d’air produit. Et la Titi après s’être bien crottée les pattes dans la boue, a déposé ses empreintes partout sur mon carrelage nickel en sautant comme un cabri !

Idem pour Vanille.

Elles auront voulu apposer l’une sa ‘patte’ et l’autre sa griffe, au nouveau décor apocalyptique sans doute !

Des artistes méconnues mes bêtes, pas vrai ?

Avant : musée au carrelage miroir

Pendant : fog londonien

Après : paysage après Tsunami.

Vous dis pas le boulot !

Bof, ça nous a occupés finalement et quel plaisir de se réchauffer après !

       Julien est renté en coup de vent, une fois les dégâts provoqués par le tsunami réparés, il emmène sa belle danser jusqu’à l’aube, elle a dix-huit ans aujourd’hui. Majeure, la dulcinée !

Il lui offre une montre Dolce Gabana  blanche sertie de faux diamants et d’un pendentif cœur, la moitié de sa paye je suppose… ça me rappelle, à ma première paye, j’avais bien offert une guitare au Jip, ah ! Insouciance de la jeunesse !  

C’est beau l’amoùr !