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C'est une femme qui entre dans un magasin de jouets pour acheter une poupée Barbie à sa fille.
Elle demande au vendeur qui lui présente les différents modèles disponibles.
Il lui dit :
- Il y a la barbie adolescente à 18 Euros, la Barbie adulte à 32 Euros et la barbie divorcée à 350 Euros
La femme s'interroge :
- Pourquoi la barbie divorcée est aussi chère?
Et le commis de répondre :
- Parce qu'elle vient avec l'auto de Ken, La maison de Ken, le bateau
Tarte tatin ananas gingembre
Ingrédients :
. 1 ananas
. 450 g de pâte brisée
. 100 g de beurre salé
. 200 g de sucre de canne
. 1 c. à café rase de gingembre en poudre
Préparation :
Préchauffez le four th.7 (210°C).
Epluchez et coupez l’ananas en petits triangles.
Versez le sucre dans une sauteuse. Ajoutez le beurre coupé en morceaux et faites cuire doucement jusqu’à obtention d’un caramel blond.
Ajoutez les morceaux d’ananas et faites-les cuire jusqu’à ce qu’ils soient caramélisés.
Saupoudrez l’ananas de gingembre et laissez refroidir quelques minutes.
Beurrez un moule à tarte, répartissez l’ananas caramélisé dans le fond du moule. Posez la pâte par-dessus et enfournez.
Faites cuire 20 à 25 min. La pâte doit être dorée.
Sortez le moule du four. Posez une assiette dessus et laissez refroidir 5 min.
Démoulez, laissez tiédir et servez .
Commentaires :
Servie tiède avec une boule de glace vanille pacane c'est un délice
Par les temps qui courent le père Noël est obligé d'avoir des gardes du corps!!
Et de surveiller son véhicule !!
Mais c'est pas ça qui va lui faire perdre le moral !!
Et pour nous une petite blague :
Grand-mère demande à sa petite-fille:
- Qu'est-ce que tu veux comme cadeau de Noël?
- Une pilule contraceptive! - répond la fillette.
- Quoi?!!!
- Mamie, réfléchis: j'ai déjà cinq poupées, ça suffit!
Cet article est en deux parties car tout ne rentre pas sur un seul.
Donc vous trouverez la suite plus bas....
Le désir à bout de souffle la panne de désir. D’où vient ce mal individuel et sociétal? Faut-il le combattre ou le comprendre? Par Fabienne Cabado ( EXTRAITS)
On peut n'en avoir jamais éprouvé, regretter celui qui animait le couple à ses débuts, le stimuler par des relations extraconjugales ou des aventures, le chercher désespérément dans les magazines, dans Internet ou sur les écrans de cinéma, il ne suffit pas de claquer des doigts pour le faire apparaître ou disparaître. Le désir est aussi fragile qu'il peut être puissant.
Énergie vitale liée aux émotions, il est soumis aux excès d'une société de consommation qui a tant galvaudé l'acte sexuel qu'elle a fini par le désacraliser… Alors qu'elle devrait être un moment de rencontre privilégié, la sexualité se consomme trop souvent comme n'importe quelle marchandise : elle occasionne rarement un véritable échange et laisse chacun dans une forme de solitude à deux……
……Faire durer le désir est un enjeu de toujours, accru par l'allongement de notre espérance de vie … C'est aussi une préoccupation stimulée par l'intérêt grandissant que l'on porte à l'épanouissement personnel. Parallèlement aux analyses classiques se dessine la nécessité d'apprivoiser l'intimité pour donner une chance au désir de résister aux assauts du temps. À cet effet, la psychologue et psychothérapeute Francine Chabot suggère d'accepter le fait que le désir puisse s'étioler et nous invite à en habiter l'absence au lieu de chercher à tout prix à la combler. Qui sait ce que nous pourrions apprendre sur nous-mêmes et sur l’autre? Le rôle de la psyché
…….Si on s'en tenait à ces mécanismes chimiques et à la réponse physiologique, le désir humain serait un phénomène plutôt simple. Cependant, on ne peut en nier la dimension psychique, qui a le pouvoir d'interférer dans les processus biologiques. Le désir est en effet largement conditionné par les images reçues de la sexualité et les expériences passées, mais aussi par l’estime que l’on a de soi et par le degré de menace pour son intégrité ou au contraire de confiance que suscite l’autre. On ne peut nier non plus que le désir prend chez les humains des formes distinctes de la seule nécessité de reproduction. Ainsi, plus que tout, la pérennité du désir dans le couple passe par la qualité de l'intimité créée entre les conjoints. Cela implique que l'on se penche sur soi, sur l’autre et sur l'interaction entre les partenaires.
L’œuvre du temps
Stress, fatigue, maladies, naissance, intrusion des familles, préoccupations personnelles et financières de même que conflits non résolus se classent également au rang des ennemis du désir. Mais ce qui le mine particulièrement est la fusion prolongée entre les conjoints. Parmi les stratégies classiques à mettre en place pour préserver le désir, on nous conseille souvent de créer des distances (jardin secret, activités sans l'autre, espace réservé dans la maison...), de prendre soin de soi et de maintenir le mystère (éviter de tout dire, de tout partager...). Mais cela ne suffit pas à la longue à combler la diminution de l'attirance physique, qui peut même disparaître. On a beau vouloir rester comme au premier jour, la proximité n'est pas garante del'instauration d'une réelle intimité. Pour durer, le désir n'a en effet pas le choix de se transformer, car on se lasse de l'autre dans la mesure où l'on évite soigneusement, de part et d'autre, de se rencontrer.
…..Le degré d'intimité est bien plus révélateur de la vitalité d'un couple que la force du désir ou la fréquence des relations sexuelles. Ainsi, d'après son expérience, le couple passe par une première étape de fusion et de connivences, où l'autre ne fait que renforcer le fantasme qui nous a conduit à en tomber amoureux. La sexualité apparaît alors davantage comme un moyen de perpétuer un rêve et de s'éviter soi-même que de rencontrer réellement l'autre. Peu à peu, l'image idéalisée se craquelle pourtant et le désir s'assèche. Déçu, irrité, on prend de la distance; on évite celui ou celle qui ne nous maintient plus dans l'illusion, mais nous place désormais face à nos fragilités les plus secrètes et à nos lieux intérieurs les plus douloureux. Le défi consiste alors à survivre à la confrontation entre les deux univers que porte chacun des conjoints. L'asthénie sexuelle peut devenir à cette occasion une forme de refuge. Mal négociée, cette période de désillusion sur soi et sur le couple annonce trop souvent la rupture. Traversée, elle ouvre les portes à la compréhension et au partage et permet le passage nécessaire de la fusion à la différenciation.
Il semble en effet logique que, si les individus évoluent, le couple ne peut rester statique. …..le couple semble passer par les mêmes étapes de développement affectif que l’enfant. Le premier stade est celui de la fusion, dans lequel on ne fait qu'un avec l'autre. On a alors le sentiment d'être seuls au monde. Vient ensuite le temps de la différenciation : on se démarque, on s'affirme en vérifiant que la relation résiste à ce premier détachement. Dans la phase d'exploration, on s'éloigne de l'autre, on fait des choses sans lui. Puis le rapprochement se reproduit; on se donne des objectifs communs, on établit des règles de fonctionnement. Dans cette période de coopération, on est clairement engagé et attentif à l'autre. Enfin, la maturité du couple est atteinte. Arrivé au stade de la synergie, on est deux tout en étant sûr du lien qui unit le couple. C'est alors qu'on peut créer et construire ensemble.
Chacune des étapes de cette lente évolution connaît de nombreux revirements et retours en arrière; tout comme le couple, elle n'est jamais achevée. Elle s'accompagne de découvertes et de prises de conscience souvent génératrices de conflits, d'où la nécessité d'établir une communication de qualité. C'est là le meilleur des liants; son efficacité est bien supérieure à l'étude approfondie de techniques sexuelles censées raviver le désir. Ainsi, communication et respect de l'autre permettent d'affirmer les identités et les besoins de part et d'autre et de gérer les désaccords.
Cela dit, le conflit a des vertus dont il serait dommage de se priver. En exprimant clairement son mécontentement par la colère, on évite l’accumulation de frustrations et le ressentiment qui en découle. L'intimité et la confiance mutuelle permettent alors de ne pas craindre de façon excessive le rejet possible et les représailles et de prendre le risque de se faire entendre. Chacun des partenaires ne peut alors que sortir grandi de cette expérience et apprendre que, bien qu'elle se fasse le plus souvent dans des lieux difficiles, la rencontre peut être fructueuse pour soi comme pour l'autre.
Ennemi numéro un
On dit que la peur est le plus grand facteur d'inhibition du désir…... La peur se décline malheureusement sur plusieurs modes …….La peur de l'intimité que nous avons évoquée est identifiée à la peur d'aimer. Toutes deux sont le triste héritage de nos histoires familiales et s'accompagnent d'une anesthésie affective nuisible à la libre circulation de l'énergie tant sur le plan physique que psychique. Il s'avère alors plus facile de fuir dans le travail ou les loisirs, de se satisfaire par une activité masturbatoire, de créer des conflits pour éviter le rapprochement et de rompre quand l'investissement affectif devient trop évident. ….
La peur du plaisir découle généralement d'un autre héritage : celui de la morale dans laquelle nous baignons, quelles que soient nos croyances religieuses. Le mépris du corps a en effet dévié le désir de sa nature exubérante; il oriente encore trop souvent la femme vers une sexualité passive, exempte de sensibilité, voire d'orgasme. …….Ainsi, il n'est pas si évident qu'on puisse faire l'amour juste pour le plaisir. Et pourtant, la jouissance combat l'angoisse, stimule la bonne humeur et l'activité intellectuelle, réduit la douleur et détend les muscles. Pourquoi nous priver de ses bienfaits?
Tout un défi
Le défi consiste donc à nous défaire du conditionnement qui nous mène à percevoir le désir comme l'unique baromètre de la santé du couple. S'il est vrai qu'il faut chercher à nourrir nos fantasmes au lieu de les réprimer et à satisfaire nos besoins au lieu de les nier, nous devons le faire en composant avec ce que nous sommes réellement plutôt qu'en maintenant à tout prix une image idéalisée de nous-même et de l'autre. L'intimité profonde ne peut se tisser que dans l'exploration de nos vulnérabilités réciproques. Le plus grand tort que nous puissions faire au désir, finalement, est de l'empêcher de se transformer et, surtout, de s'absenter.
Blague du jour :
C'est un vieux couple qui se présente à sa visite médicale annuelle.
Après avoir terminé son examen, le médecin demande au vieil homme :
- "Vous me semblez en pleine forme. Y a-t-il des questions que vous voudriez me poser sur votre santé ? "
- et bien oui, docteur. Quelque chose me turlupine. Quand je fais l'amour avec ma femme la première fois, j'ai souvent chaud et je suis en sueur... Mais lorsque je fais l'amour la deuxième fois, j'ai souvent froid et parfois même la chair de poule."
Le docteur répond : - Hmmm, c'est intéressant. Je vais faire des recherches dans ma bibliothèque là-dessus. En attendant, faites entrer votre femme pour que je l'examine elle aussi."
La vieille dame entre dans le cabinet et le vieux mari va l'attendre dans la salle d'à côté. Le docteur fait l'examen, puis dit à la femme :
"- Tout est parfait, comme pour votre mari. Cependant il m'a demandé pourquoi il avait chaud lorsqu'il faisait l'amour la première fois, et froid lorsqu'il faisait l'amour la deuxième fois... "
Alors la vieille dame dit :
" - Quel idiot ! C'est tout simplement parce que la première fois, c'est au mois de juin, et la deuxième, c'est au mois de décembre !..."
Vous êtes gentil et tout le monde reconnaît en vous cette qualité dont vous êtes fier. Mais tout de même, certaines personnes vous prennent pour un naïf et d’autres abusent tout simplement de votre gentillesse. Que faire pour pouvoir rester gentil tout en étant ferme lorsqu’il le faut
- Créez une nouvelle image : ne pas confondre identité et comportement La gentillesse est avant tout un comportement. Ce n’est pas un caractère. Lorsque nous confondons les deux, nous avons peur dans notre inconscient de cesser d’être cette personne gentille qui fait notre identité. Il est donc impossible que ce dernier nous laisse adopter un comportement « méchant ». Notre inconscient fait tout pour nous empêcher d’avoir une image contraire à celle que nous avons de nous-mêmes. On entend souvent ces expressions : « je ne sais pas me mettre en colère », « je ne peux pas me fâcher », « je n’arrive pas à dire ce qui ne va pas »…
Nous avons donc besoin de dissocier notre image interne de notre comportement de gentillesse. Ou encore, additionner à notre image de quelqu’un de cool, quelqu’un de ferme et d’intransigeant. Pour cela, nous pouvons utiliser notre imagination
Visualisez-vous entrain d’être ferme. Prenez une situation dans votre vie où vous cherchez à avoir un comportement pas gentil selon vous. Fermez les yeux et regardez vous en train de faire ce que vous n’arrivez pas à faire dans la réalité. Utilisez des images claires dans votre tête. Une fois que cela est fait, associez-vous à ces images. Il se peut que vous soyez entrain de vous voir entrain d’être intransigeant. Fusionnez avec la personne que vous êtes entrain de voir. Ressentez votre corps au moment où vous agissez comme vous le souhaitez. Faites cela autant que possible. Ceci intégrera dans votre inconscient une nouvelle possibilité qui est celle d’être ferme.
On apprécie certes les autres pour leur gentillesse mais aussi pour leur fermeté. Dans les deux cas, il ne s’agit que de comportements et d’actions. Vous n’êtes pas gentil, mais vous vous comportez de façon gentille. Vous pouvez donc vous vous comporter aussi de façon ferme.
- Affrontez le rejet : Deux peurs nous empêchent d’avancer dans la vie, la peur de l’échec et la peur du rejet. Ce qui nous empêche d’être ferme avec les autres est la peur profonde et souvent inconsciente du rejet. On nous a appris lorsque nous étions petits que pour être aimé et apprécié, il faut être gentil. Et en grandissant, nous avons remarqué effectivement que la gentillesse nous donne une bonne place parmi nos proches et nos amis. Nous devenons donc de plus en plus gentils et les autres réagissent en abusant de plus en plus de cette gentillesse. Et c’est là que démarre notre malaise qui n’est lié, bien évidement, qu’à notre attitude. J’ai demandé une fois à quelqu’un qui est très ferme comment se fait-il qu’il arrive à dire ce qu’il faut sans avoir peur de la réaction des autres. Il m’a répondu : « j’ai des personnes qui m’aiment dans ma vie et pour qui je compte, et cela me suffit. Les autres, je n’ai pas peur qu’ils me détestent».Nous avons un besoin vital d’être acceptés et appréciés par les autres. Mais lorsque nous faisons dépendre ce besoin à tout le monde et à n’importe qui, nous devenons dépendants. Cherchez et déterminez les personnes qui ont un amour inconditionnel pour vous comme vos parents, vos proches, votre conjoint ou quelques amis. Comptez sur la sécurité qu’ils vous procurent en matière d’amour et d’acceptation. Imaginez ensuite que tous les autres 6 milliards d’individus vous détestent. Qu’est ce que cela peut bien vous faire si vous êtes sûr que vous agissez en cohérence avec votre conscience et que vos proches vous comprennent ?
- Inspirez-vous des autres :Une façon très efficace pour transformer nos comportements est de se laisser influencer par les autres. Ainsi, nous pouvons le faire consciemment en choisissant les personnes dont nous voulons nous inspirer. Côtoyez donc ceux que vous voyez être fermes. Observez-les entrain d’exprimer leur fermeté. Demandez leur comment ils arrivent à être intransigeants. Prenez votre temps pour pouvoir changer et passer d’une personne trop gentille et à une personne très gentille. Mais sachez que tout se passe dans nos têtes.
Quand on vous demande quelque chose qui vous gêne, répondez-vous OUI alors que vous avez furieusement envie de répondre NON ? Réussissez-vous à affronter les situations délicates quand c'est votre patron ou votre conjoint qui pose la question ?
SAVOIR DIRE NON 1) Fuyez la facilité, c'est un piège.C’est tellement plus facile de dire OUI que de dire NON. Quand on répond OUI à une demande, on est sympa, on a l’impression d’être aimé (à court terme), on ne déclenche pas une discussion qui n’en finit pas, voire un affrontement qui va nous mettre mal à l’aise. Nous disons OUI car nous avons horreur de la violence, qu’elle soit verbale ou physique.
2) Evitez le OUI qui va pourrir la situation.Souvent, on dit OUI alors qu’on aurait eu envie de dire NON. Ouh la la … Ce OUI que vous vous imposez va vous poursuivre pendant longtemps ; vous allez le ruminer jusqu’au jour où le NON va sortir avec violence, au mauvais moment, là où vous ne pourrez plus arrêter le coup et entamer une négociation. Donc, plutôt que de refuser en disant NON, on louvoie, on esquive, on tourne autour du pot. En un mot, on « procrastine ». On commence à se pourrir la vie. 3) Evitez le NON réactif. Parfois, on dit NON mais on le dit mal. Écoutant sa colère ou submergé par ses émotions, on monte sur ces grands chevaux et cette soudaine agression de l’interlocuteur déclenche son agression en retour. C’est le début d’un long combat qui va coûter du temps, de l’énergie, de l’argent. Souvent, c’est un combat sans fin. 4) Construisez le NON sur votre OUI profond.Comment dire un «bon» NON ? C’est simple, il faut que votre NON repose sur un OUI, un OUI fort, profond, intime. Ce OUI c’est le OUI de vos valeurs. Il correspond à ce que vous voulez absolument protéger, ou changer ou créer. Ce OUI intime est le socle représenté par vos intérêts supérieurs avec lesquels vous ne voulez pas, vous ne pouvez pas transiger. 5) Utilisez le NON positif. C'est ici où vous allez expliquer à votre interlocuteur le pourquoi intime de votre NON, tout en mettant bien en avant les points sur lesquels vous êtes d’accord,en expliquant les points qui vous importent le plus, les points sur lesquels votre NON repose et pour lesquels vous assumez votre refus, sans regrets ni remords.
6) Respectez l'autre (n'insultez pas l'avenir). Pour ouvrir la porte au NON positif, il faut montrer du respect à la proposition de votre interlocuteur, être attentif, ne pas rejeter d’emblée son point de vue même si l’on reste ferme sur ses positions. Et c’est facile car on les a bien identifiées. 7) N'oubliez jamais que le vrai NON est celui qui ouvre une nouvelle porte.Un NON n’est jamais une catastrophe.
L'élection du premier Africain-américain au poste de président est un événement historique à forte valeur symbolique pour les Etats-Unis et l'ensemble de la planète qui s'est mobilisé autour de la candidature du sénateur de l'Illinois.
L'Aventure commence pour OBAMA, L'Amérique et le Monde !
"
"Porté au pouvoir sans doctrine véritablement établie, le voilà chargé du rêve américain, ouvert et souriant, préférant le calme au drame, la raison à l'excès. Il est l'homme qu'il faut. A lui d'inscrire ce moment dans la marche du temps."
* 1 pâte brisée,
* 4 cuillères à soupe de noix de coco,
* 1/2L de crème pâtissière,
* 3oeufs,
* 150g de sucre de canne,
* 75g de farine
* le zeste de citron et l'extrait de vanille
Etaler la pâte brisée dans le moule à tarte, puis la piquer avec une fourchette. Etaler ensuite la confiture de coco, la crème pâtissière et la pâte obtenue en mélangeant la farine avec les oeufs, le sucre, le zeste de citron et l'extrait de vanille.
Faire dorer pendant 25 minutes au four(thermostat 6)
Couvrir d'un papier sulfurisé et cuire encore 10 minutes.
Se déguste tiède ou froid, en dessert ou quatre heures! hummm délicieux
Mes articles précédents m’amènent à vous parler de :
« LA LOI DE L’ATTRACTION »
Pouraborder ce sujet je vous ai mis deux vidéos à visionner pour comprendre de quoi il s’agit.
Dans la première vidéo la jeune femme nous donnent un outil (inspiré de la pnl semble t-il) pour positiver dans la vie, appuie ce dernier sur un concept intéressant « la loi de l’attraction »mais assorti d’une connotation religieuse ou ésotérique ondes émises par le cerveau, d’aimant psychique d’autres parleront du pouvoir de l’âme….
Effectivement sur ce registre nous sommes sur le niveau logique des croyances.
Mais attention croire ne veut pas dire gober n’importe quoi.
Croire en soi (estime de soi, confiance en soi) oui, valider pour siennes les croyances des autres (les petits bonhommes verts existent) DANGER !
Plutôt que d’imaginer des ondes un aimant intérieur on peut entendre par loi de l’attraction tout simplement « attirance ».En effet si je suis positive, je souris etc… j’envoie à autrui un message au travers de mon comportement généré par cet état. Viendront vers moi les gens attirés par ce comportement tous ceux qui veulent rire un bon coup partager un optimisme ambiant etc
Si je pense « négatif », j’ai des émotions des ressentis négatifs ce que traduira mon attitude corporelle (épaules voutées, tête baissée) mes comportements ( marche lente trainante, manque d’entrain ou agressivité etc..) et ne viendront vers moi que les gens me reconnaissant parmi les leurs et ils viendront alimenter ma sinistrose avec leurs propres ennuis, leur bobologie et c’est bien légitime.
Ce qui ne veut pas dire que si vous êtes une positive vous ne devez pas aller « contaminer » un négatif. En effet dans la vidéo 2 lesdétracteurs des sectes, interviewés alertent sur le fait que croire à la loi de l’attraction veut dire que ce qui est préconisé c’est fuir tout ce qui est négatif, les pauvres, les malades, les moches, les déprimés, les loosers c'est-à-dire pratiquer la discrimination
C’est une chose de ne pas attirer vers soi toutes les calamités de la terre s’en est une autre que de tendre la main vers son prochain
Bref, ceci pour expliquer comment la PNL voit le fonctionnement de la subjectivité de l’individu :
Elle appelle cela l’index de computation ou index de conscience :
Nos processus internes (PE) c'est-à-dire notre façon de pensée et de filtrer la réalité influencent nos états internes (EI) c'est-à-dire nos émotions, nos ressentis qui eux-mêmes déterminent nos comportements externes (CE) .
Ces trois éléments inter agissent entre eux c'est-à-dire pas forcement dans l’ordre que je viens de décrire. Ainsi ça peut être d’abord (EI) j’ai peur donc je pense que l’environnement est dangereux (PE) et j’adopte le comportement adéquat pour moi (fuir combattre ou autres) ou alors je suis fatiguée (CE) je pense que je suis malade (PE) je m’inquiète (EI) …..
Donc je pense positif, je ressens positif j’agis positif et ça c’est COMMUNICATIF En PNLon parle de FEEDBACK….
La psychologie moderne aborde aussi « LA PENSEE POSITIVE »
Pour conclure aller vers un développement personnel en testant des outils dits non scientifiques (basés sur des postulats des croyances) de manière écologique (qui ne peut pas me faire du mal) OUI s’embarquer dans des croyances Ubuesques ou sectaires et faire PORTNAWAK NON !
dans la vidéo 2 les détracteurs disent des choses censées mais mélangent les deux usages du mot croyance ; d’une part le rapport de l’individu à la divinité, à la cosmogonie et aux mythes et de l’autre les hypothèses tenues pour vraies relatives aux choses de la vie courante.
Si je crois que penser positivementpeut me faire du bien même si ce n’est pas prouvé scientifiquement vais-je me priver d’essayer ? Et si la jeune femme n'obtient pas sa cadillac rose est ce bien grave ?
Mais avoir toujours à l’esprit la mouvance sectaire se poserà chaque fois les bonnes questions : Est-ce écologique ? est ce que ça tient la route ? qui pourrait exploiter ma croyance la détourner l’exploiter….
Alors optimiste ou pessimiste ? Verre à moitié plein ou à moitié vide ?
Ce qu’on peut constater c’est que dans un cas comme dans l’autre la quantité d’eau dans le verre sera la même.
Mais quel va être votre ressenti selon que vous allez vous dire il me reste ENCORE la moitié à boire, ou il ne me reste SEULEMENT que la moitié à boire
Alors allez vous la faire cette petite liste ? moi je vais tenter l’expérience :