Et oui, aujourd'hui, j'avais permis au soleil de se lever plus tôt que moi. Et bien, il ne m'a pas obéi alors tant pis, je ferai sans lui, non mais quoi, il commence vraiment à être trop capricieux, alors pour moi, je tourne la tête, et je vais être Zen ef faire en sorte que ces quelques pensées que je vais vous citer soient les miennes aujourd'hui :
"Tout bonheur commence par un petit déjeuner tranquille" (Somerset Maugham): c'est fait. Et, en plus j'ai adopté les principes d'Angel Demon : j'ai fait ma gym avant le déjeuner.
"Soyez assis avec toute la majesté inaltérable et inébranlable de ma montagne. Laissez votre esprit s'élever ^rendre son essor et planer dans le ciel"(Sogyal Rinpoche). Bon, je vais m'y employer.
"Qui triomphe de lui même possède la force"(Lao Tseu). Celui là, je l'associe aujourd'hui et les autres jours au régime. Pour les derniers kilos, je me le mets bien en tête.
"Pensée également pour TatieCalice qui passe normalement aujourd'hui sur la table d'opération. Reviens nous vite.
Voilà, je vais être zen aujourd'hui. Pourtant, quand on pointe son regard du côté de l'actualité, il y a en ce moment un fait divers qui me révolte et dont je vous mets l'article ci-dessous :
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Josef Fritzl, 73 ans, a avoué lundi avoir séquestré sa fille dans sa cave pendant 24 ans et avoir eu avec elle des relations d'où sont nés sept enfants, et l'Autriche cherchait à comprendre comment de tels faits avaient pu si longtemps passer inaperçus.
L'homme avait monté un scénario diabolique et sophistiqué, selon les premiers éléments de l'enquête, et ni son entourage, ni les autorités n'avaient pendant toutes ces années eu le moindre le soupçon.
Josef Fritzl a reconnu avoir construit un réduit de 60 m2 dans la cave de sa maison, y avoir séquestré sa fille Elisabeth depuis 1984 - elle a 42 ans aujourd'hui - et trois des sept enfants auxquels elle a donné naissance.
Il a ensuite avoué les relations incestueuses et a fini par admettre avoir fait usage de la violence.
"Il a reconnu être le père des sept enfants de sa fille, dont l'un est décédé en bas âge", a indiqué Gerhard Sedlacek, le porte-parole du parquet de Sankt-Pölten, en charge de l'enquête.
Le suspect a été présenté à un juge en début de soirée et devait être placé en détention préventive pour deux semaines dans un premier temps. Selon M. Sedlacek, il ne fait pas de doute que cette détention sera prolongée en attendant la clôture de l'enquête et l'inculpation formelle.
L'affaire a éclaté samedi après l'hospitalisation, à la mi-avril, de l'un des enfants séquestrés, Kerstin, âgée de 19 ans, souffrant d'une mystérieuse maladie.
Les médecins ont alors recherché la mère de la jeune fille pour pouvoir mieux diagnostiquer le mal.
Or Elisabeth Fritzl avait été officiellement portée disparue depuis 1984 et aurait vécu avec une secte dans un endroit inconnu. En réalité, elle était séquestrée par son père dans sa cave.
L'un des sept enfants issus de ces relations incestueuses, un jumeau, est mort peu après la naissance. Le septuagénaire a admis avoir brûlé le corps dans la chaudière de son immeuble.
Trois autres ont été adoptés par le couple Fritzl après un scénario diabolique élaboré par le père. Les bébés ont été déposés à quelques années d'intervalle sur le seuil de la maison avec des lettres d'Elisabeth disant qu'elle ne pouvait pas les élever.
Elisabeth et les six enfants ont été placés en observation dans une unité psychiatrique de la clinique régionale, où leur état psychologique semblait satisfaisant.
En revanche, l'épouse de Josef, Rosemarie, 69 ans, avec qui il a eu sept enfants, serait dans un état psychologique préoccupant, selon le responsable des services sociaux de la ville, Heinz Lenze.
A sa libération, le dernier des enfants d'Elisabeth, un bambin de 5 ans, qui n'était encore jamais sorti de la cave où il était séquestré avec sa mère, un frère et sa soeur Kerstin, s'est réjoui auprès de l'assistante sociale de pouvoir "enfin monter dans une vraie voiture". Il n'en avait vu qu'à la télévision.
Selon les photos fournies par les enquêteurs, le réduit de 60 mètres carrés construit par Josef Fritzl était gardé par une porte en béton armé munie d'une serrure électronique dont il était le seul à connaître le code.
A l'intérieur, il y avait trois petites pièces, des sanitaires, une douche, une kitchenette et une télévision.
Les enquêteurs ont décrit en Josef Fritzl, un ancien électricien, un individu "très dynamique, dominant et autoritaire", qui "a simulé et maîtrisé la situation à la perfection" jusqu'à ce qu'il cède aux supplications de sa fille Elisabeth et accepte de faire hospitaliser Kerstin, mourante.
La jeune femme, toujours entre la vie et la mort lundi, n'a pas été violée, selon les premières conclusions des enquêteurs. Elle pourrait toutefois, comme ses frères et soeurs, avoir fait l'objet d'abus sexuels.
Les journaux parlant de "maison de l'horreur" à Amstetten, une bourgade à 150 kilomètres à l'ouest de Vienne, s'interrogeaient sur l'"aveuglement" des autorités, qui "comme avec Natascha Kampusch", ont été incapables de mettre fin plus tôt à ce drame.
Kidnappée par un déséquilibré à l'âge de 10 ans en 1998 et retenue pendant huit ans et demi dans le sous-sol d'un pavillon de la banlieue de Vienne jusqu'à son évasion en août 2006, Natascha Kampusch, aujourd'hui âgée de 20 ans, a proposé lundi son aide aux victimes d'Amstetten.
Et bien voilà, j'avais commencé Zen, mais là, je ne suis plus si zen que cela.