Merci Argil de m'avoir expliquer comment mettre de la musique directement sur le blog. Je viens de faire un essai, cela marche. Et comme j'aime beaucoup cette chanson de Cabrel, je vous l'offre. Je ne vous explique pas comment faire. ARGIL l'a déjà fait, alors si cela vous dit allez visiter son blog et vous aussi vous saurez. Et oui, ce site ne sert pas que pour les régimes et bien heureusement, on apprend plein de choses. Allez bisous à vous tous, bonne soirée et merci encore une fois Argil, ce soir, j'ai appris encore quelque chose grâce à toi. Bisous à tous, bonne soirée, bon week end.

Et, cette chanson, si l'auteur me le permet, je la dédie à mon fils aîné Nickolas, qui vient de vivre une rupture et qui rappellera sûrement à chacun de nous, même si nous connaissons aujourd'hui le bonheur, nos premiers amours (ah, nostalgie, quand tu nous tiens). Donc, je vous mets les paroles de cette chanson, ce sera ma citation du jour, bien qu'un peu longue, mais enfin, une fois, n'est pas coutume.

T'avais mis ta robe légère, moi l'échelle contre un cerisier

t'a voulu monter la première, et après

Y'a tant de façons, de manières de dire les choses sans parler

et comme tu savais bien le faire, tu l'as fais

le sourire, une main tendue et  par le jeu des transparences

ces fruits dans les plis du tissu qui balancent

s'agissait pas de monter bien haut, mais les pieds sur les premiers barreaux

j'ai senti glisser le manteau de l'enfance

On a rien gravé dans le marbre

mais j'avoue souvent y penser

chaque fois que j'entends qu'un arbre est tombé

un arbre, c'est vite fendu, le bois quelqu'un a dû le vendre

s'il savait le mal que j'ai eu à descendre

d'ailleurs ensuite, j'ai descendu de tous ces jeux de transparence

ces fruits dans les plis du tissu qui balancent

j'ai trouvé d'autres choses à faire et d'autres sourires à croiser

mais une aussi belle lumière, jamais

A la vitesse où le temps passe, le miracle est que rien n'efface l'essentiel

tout s'envole en ombres légères

tout sauf ce goût de fièvre et de miel

tout s'est envolé dans l'espace, le sourire, la robe, l'arbre et les chairs

A La vitesse où le temps passe, rien, rien, n'efface l'essentiel

J'ai trouvé d'autres choses à faire et d'autres sourires à croiser

mais une aussi belle lumière, jamais

Et voilà que du sol où nous sommes

Nous passons nos vies de "mortels"

à chercher ses portes qui dorment

vers le ciel.