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*ETRE VRAIMENT SOI-MÊME « Le but de la vie est d’être vraiment soi-même » Il ne s’agit pas d’un truisme, mais subtilement d’un projet de devenir, afin de peser dans le concert du monde et d’y établir sa note personnelle, son octave des possibilités originales.
Lutter pour se dégager des fausses identifications, des façades que nous empruntons pour faire chorus à autrui, paraitre à l’unisson des autres.
Les comportements de complaisance, de collusion sont socialement recommandés et entretenus au lieu de maintenir notre tonalité propre.
On pourrait volontiers croire à l’utilité de fixer devant autrui, par nos comportements, une sonorité conventionnelle de soi, fiable parce que constante et imperturbable. Il n’en est malheureusement rien. Toute complaisance, toute inertie, toute fixité à un masque, à un indicatif entrainent des interférences de contradictions et des biais sans fin. Car je ne suis pas ce que je prétends être. De la sorte « mes paroles communiquent un certain message, mais je communique aussi d’une manière détournée l’agacement que j’éprouve, ce qui crée une certaine confusion chez l’autre personne et la rend moins confiante, bien qu’elle puisse être inconsciente de ce qui crée la difficulté entre nous » L’unisson faux devient confusion.
Toute subjectivité n’est pas toute faite, toute donnée, toute unie, mais en élaboration continue de son harmonie autonome et de sa densité de réalité. « Puis- je avoir une personnalité assez forte pour être indépendant de l’autre ? »
« Mon moi intérieur est il assez fort pour sentir que je ne suis ni détruit par sa colère, ni absorbé par son besoin de dépendance, ni réduit en esclavage par son amour, mais que j’existe en dehors de lui avec des sentiments et des droits qui me sont propres ? »
Unmoi suffisamment fort dans sa subjectivité s’affirme en se prémunissant contre les risques de dépendance à autrui et les pressions d’altérations : il ne le fait pas en rejetant la résonance aux autres, en se raidissant défensivement mais en se vérifiant sur lui-même, sur sa note intérieure profonde, pour sa fiabilité présente et à venir.
« Dans mes relations avec autrui, j’ai appris qu’il ne sert à rien, à long terme, d’agir comme si je n’étais pas ce que je suis »
L’individu peut trouver un point d’appui, un « LA » fondamental en lui et dans sa solitude même, mais sans isolement. C’est ce que Charles MORGAN dénommait « singleness of mind » c'est-à-dire tout ensemble l’unité, la singularité et la droiture de l’esprit : et ce qu’on pourrait traduire par « l’adhésion intégrale à soi-même ». Mais le mouvement de présence à soi n’est guère acquis une fois pour toute, et il est rien moins que facile.
EXTRAITS DU LIVRE DE ANDRE DE PERETTIédition « nouvelle recherche/Privat »1974
À CHAQUE FOIS QUE
VOUS DITES : «JE VEUX »
VOUS REPOUSSEZ PLUS LOIN
DE VOUS CE QUE
VOUS DÉSIREZ !
Les affirmations sont très puissantes et
lorsque vous les utilisez mal, elles donnent de médiocres résultats, voire même le contraire de ce que vous attendez!
"Je veux" pose l'affirmation d'un manque. À chaque fois que vous utilisez cette formule, vous affirmez qu'au moment présent "vous n'avez pas ce que vous souhaitez" et l'univers
fonctionne comme un miroir: il vous laissera dans votre état de "vouloir" l'objet désiré au lieu de vous le donner.
Changez "Je veux" par "Je CHOISIS":
Au lieu d'affirmer "Je veux être heureux", affirmez "Je CHOISIS d'être heureux"
Au lieu de "Je veux être en bonne santé", dîtes "Je CHOISIS d'être en bonne santé"
Au lieu de "Je veux être riche",
dîtes "Je CHOISIS la richesse"
Au lieu de "Je veux aimer et être aimé",
dîtes "Je CHOISIS l'Amour"
Lorsque vous dîtes "Je CHOISIS", vous
affirmez que ce que vous attendez existe déjà.
Suite à l'exercice très intéressant proposé par Poupette cette semaine, je vous propose en ce dimanche, de prendre le temps
de porter un regard positif sur vous-même !!
Comment ?? En répondant à cette question simple : Ce que j'aime chez moi c'est ...
J'ajoute dans le cadre du tournoi deux précisions :
- Ecrivez au moins10 phrases différentes avec ce début de phrase !
- Complétez cette phrase d'un point de vue physique, psychologique, émotionnel et social !
CE QUE J'AIME CHEZ MOI :
Ce sont mes yeux et j'aime à croire que je les ai transmis ( au propre et au figuré) à mes enfants
C'est mon sourire lorsque ma lumière intérieure est allumée
POUR TIGROU
Ce sont mes petits pieds tout en rondeur C'est cette force vitale qui m'habite et m'aide à surmonter les épreuves mais aussi à voir la vie du bon côté
C'est ma douceur et mon refus de la Violence
C'est mon côté vierge folle mais qui ne s'est pas beaucoup exprimé ces derniers temps :=)
C'est quand grâce à un mot, un regard, un sourire je fais du bien à l'autre et qu'il me le renvoie
C'est tout ce qui me reste à découvrir de ce que mon être entier recèle d'amour, de spiritualité, d'énergie et d'ouverture sur le monde
C'est ma sensibilité émotionnelle qui parfois est TOO MUCH mais pour laquelle je ne renoncerai pas.
C'est ma capacité à m'adapter, à faire le roseau, à plier pour ne pas rompre.
Êtes-vous Visuel, Auditif, Kinesthésique? J'aurai dû vous demander: êtes-vous plutôt visuel, plutôt auditif ou plutôt kinesthésique, car nous ne sommes pas 100% l'un et 0% les autres.
La perception.
Pour arriver à votre cerveau, l'information peut emprunter trois voies différentes, la plupart d'entre nous privilégie une des trois voies, tout se passe comme si l'une des voies était une véritable autoroute où l'information circule de façon fluide et rapide et les deux autres voies des routes nationales ou départementales, chez certains des chemins escarpés.
Si vous êtes visuel, votre voie royale, "votre autoroute de l'information": c'est la vue, tout ce qui se présentera sous forme d'images "circulera" plus vite, à l'inverse, vous prêterez moins attention à certains sons ou sensations: notre cerveau ne peut pas tout percevoir en même temps avec la même intensité, il fait "des choix", il sélectionne. On code le mode de perception par Ve , Ae, Ke , V pour visuel, A pour auditif, K pour kinesthésique et La représentation.
Lorsque l'information arrive à votre cerveau, comment allez-vous vous la représenter?
Si je vous dis automobile: allez-vous:
- entendre le mot et ne pas voir de voiture? Ai - voir une voiture? Vi - voir une voiture en mouvement? Ki En quoi est-ce important? Si vous êtes plutôt visuel et que l'on vous a dit d'apprendre en récitant à haute voie ou dans votre tête, vous retiendrez moins bien.
Faut-il utiliser préférentiellement son canal privilégié? Oui, sans toutefois abandonner les autres canaux, ce n'est pas parce que vous courrez vite que vous devez abandonner l'usage de vos bras!
Vous êtes formateur, enseignant. Vos stagiaires ne perçoivent pas de la même manière les informations que vous leur livrez, ils se les approprient en fonction de leur mode privilégié de perception (tri de l'information) et en fonction de leur mode de représentation (traitement de l'information). Dès que vous vous adressez à un groupe, utilisez tous les registres. Si un de vos stagiaires ou élèves n'a pas compris, posez vous la question: ai-je utilisé la "bonne route"? Inutile d'abreuver un visuel de plus de paroles et d'une manière générale, lorsque quelque chose ne marche pas, ne faites pas plus de la même chose.
Le visuel. Si vous êtes visuel, pour apprendre, vous avez besoin de créer des images mentales.
Plutôt global, vous faites fonctionner votre cerveau droit (voir plus loin) et donc vous vous sentez bien avec les analogies, les comparaisons, les métaphores.
Vous êtes à l'aise avec les schémas, les dessins, les croquis, les cartes.
Pour comprendre, le visuel préfère aller de l'exemple vers la règle.
Pour un visuel, les longues explications théoriques sans exemples concrets représentent une difficulté. De plus, si la personne qui s'adresse au visuel parle vite, il aura du mal à construire des images lui permettant de s'approprier ce qui est dit.
Avis aux enseignants et formateurs, 60% des personnes à qui vous vous adressez ont une tendance à être visuel. Vous êtes formateur, enseignant. Utilisez le paper board, le tableau. Ayez un discours évocateur, utilisez des analogies, des métaphores: voyez plus haut comment j'ai expliqué la notion de canal de perception privilégié en prenant comme analogie les trois catégories de routes: départementales, nationales, autoroutes. Pour expliquer un concept nouveau, donnez un ou plusieurs exemples puis la règle.
Pour le repérer, voici comment s'exprime volontiers le visuel: "c'est clair", "je vois bien", "c'est limpide", "c'est obscur" pour signifier incompréhensible, "c'est pas net"...
le Kinesthésique Tout ce que l'on vient de dire sur le visuel se retrouve pour le kinesthésique avec en plus le fait que le kinesthésique a besoin de faire pour apprendre. Alors que le visuel apprendra un graphique en le regardant, le kinesthésique devra le reproduire, cette opération peut être mentale: par exemple, je me vois en train d'écrire la formule mathématique que je dois apprendre ou je me vois en train de l'expliquer à quelqu'un au tableau.
Vous êtes formateur, enseignant. Procédez comme pour le visuel et ajoutez de l'action.
Le kinesthésique en règle générale sera un peu plus lent que le visuel car il anime les images, tenez en compte. Vercingétorix dépose les armes à Alésia en 52 av. JC; l'auditif entend cette phrase, le visuel voit une image, le kinesthésique voit Vercingétorix arriver à cheval, en descendre et remettre ses armes à Jules César, il voit une journée ensoleillée, des arbres...
L'auditif. L'auditif est cerveau gauche, il est à l'aise avec les mots, d'ailleurs il transforme les messages visuels et kinesthésiques en mots.
Il apprend d'abord la règle puis l'exemple, il pose des questions, aime apprendre par cœur. Il apprend en parlant tout haut ou en se parlant. L'auditif est logique, déductif et analytique. Il est à l'aise avec ce qui est abstrait. Son point faible: les schémas, les représentations graphiques et d'une manière générale tout ce qui est du domaine de l'image.
Vous êtes formateur, enseignant. Pour vous, c'est plus simple de vous adresser à un auditif, le langage est en effet notre mode de communication privilégié. De plus l'auditif est plus rapide puisqu'il ne perd pas de temps à construire des images. Notre système scolaire favorise particulièrement l'auditif ce qui n'est pas forcément le cas dans la vie professionnelle où il faut faire.
Visuel, kinesthésique, auditif, il n'existe pas de bon canal. Nous ne sommes pas l'un à l'exclusion des autres. Nous avons donc intérêt à utiliser tous les modes de représentation mentale en partant idéalement de notre système préféré.
Robert Larsonneur Conseil et formateur en communication
Master en PNL
Formateur certifié en PNL
Coach certifié
Le premier filtre mis en place par l’individu entre lui et la réalité est construit par les sens. Le bébé appréhendera la réalité en fonction de critères sensoriels : chaud/froid, agréable/désagréable. La première étape avant conceptualisation est sensorielle. Nos sens sont constamment mis à contribution. Tout individu connaît cette stimulation sensorielle. C’est l’organisation et le tri des informations qui est personnel à chaque personne : la représentation sensorielle de la réalité. Viendront ensuite conceptualisation, choix, émotions, comportements… 1. Canaux sensoriels La réalité « café » sera ressentie de diverses manières : pour un individu, la couleur noire du café, pour un autre la chaleur de la tasse sous les doigts ou le goût du liquide dans la bouche, pour un autre encore le bruit de la cafetière et enfin pour un dernier l’odeur du café. Chacun perçoit la réalité selon un canal sensoriel privilégié. Ses canaux ici seront simplifiés en visuels, auditifs et kinesthésiques. Le canal kinesthésique comprendra dans cet ouvrage les sens du toucher du goût et de l’odorat mais aussi ce qui est lié aux sensations internes, au mouvement et à l’espace. Chacun possède un système de représentation sensoriel dominant, mais cela n’implique pas pour autant que d’autres systèmes n’entreront pas en jeu à un moment ou à un autre. On relève environ dans la population 50% de personnes à dominante visuelle, 30% à dominante auditive, 20% à dominante kinesthésique.
Jérôme Boutillier
Thérapeute et coach
Quelle que soit la manière dont on voit le monde, elle est fausse. Martin Heidegger (1889-1976)
Personnalités visuelles
Les principales valeurs visuelles sont le dynamisme et la perfection.
Le dynamisme est lié à la vivacité que confère l'intelligence visuelle. C'est le goût pour l'activité, la franche rigolade, la vitesse.
La perfection est liée à une forte conscience de l'image, la gêne causée par les choses laides ou inachevées.
Personnalités auditives
Les principales valeurs auditives sont la force et le goût de l'effort.
Elles sont liées à la forte personnalité et à la volonté psychologique que confère l'intelligence auditive.
Personnalités kinesthésiques
La principale valeur kinesthésique est le plaisir.
Elle est liée à la finesse de sensibilité que confère l'intelligence kinesthésique. C'est le goût du bien-être pour soi ou pour son entourrage.
A méditer..http://www.vakpnl.com/vak20300.htm
pour finir ça fait un petit moment que je n'ai pas terminé par une petite blague :
Au restaurant, le garçon demande au client:
- Comment avez-vous trouvé le beefsteak?
- Tout à fait par hasard, en soulevant une frite!
Laissons-nous aller à un petit test : Répondez de façon spontanée aux questions suivantes en encerclant la lettre correspondante et voyez le résultat dans le corrigé. Source : ID Com International Inc.
1. Vous êtes en congé et il pleut : A- Pour vous, la journée est «perdue» B- Vous surveillez l'apparition de l'arc-en-ciel C- Vous aimez l'odeur de l'air et des feuilles mouillées D- Vous écoutez le bruit de l'eau sur le toit 2. Dans un grand magasin, vous êtes agacé par : A- Les annonces et promotions que l'on fait au micro B- Le changement de rayon des produits que vous achetez C- L'absence de vendeur ou de conseillère pour vous guider D- L'augmentation des prix. 3. A la station libre-service : A- Vous vous fiez au son du dispositif d'arrêt de la pompe; B- Vous surveillez au cadran la quantité et le prix; C- Vous profitez de cette pause pour prendre une bouffée d'air; D- Vous calculez votre consommation depuis le dernier plein. 4. En voiture, lorsque vous ne conduisez pas : A- Vous écoutez la radio; B- Vous en profitez pour regarder le paysage; C- Vous êtes relaxe et détendu; D- Vous avez tendance à conduire à la place du chauffeur. 5. Un chien ou un chat réclame vos caresses : A- Vous ne comprenez pas trop ce qu'il vous veut; B- Vous le prenez dans vos bras sans aucune gêne; C- Vous caressez doucement sa fourrure; D- Vous n'aimez pas trop ce contact. 6. Dans une foire, un cirque ou une exposition : A- Le bruit des machines et des gens vous agresse; B- La diversité et les couleurs des étalages vous charme; C- Vous vous mélangez à la foule qui se presse à un kiosque; D- Vous vous rappelez d'autres événements semblables. 7. Dans une salle de danse ou de spectacle : A- Vous trouvez la musique trop bruyante; B- Vous observez surtout les effets de l'éclairage; C- Vous sentez toute de suite s'il y a ou non de l'ambiance; D- Vous avez pris soin de réserver une table, bien sûr... 8. Au restaurant, vous appréciez tout d'abord : A- L'ambiance créée par la musique; B- La décoration de la salle à manger; C- Le confort des chaises; D- La variété et l'abondance du menu.
9. A votre réveil, vous remarquez : A- La sonnerie de votre réveille-matin; B- La lumière du jour à travers la fenêtre; C- Qu'il vous faut quitter la chaleur de votre lit; D- Vous anticipez ce que vous avez à faire aujourd'hui. 10. Dans le métro, le train, l'avion ou l'autobus : A- Vous écoutez les conversations des gens; B- Vous observez les autres passagers; C- Vous trouvez qu'il fait chaud ou froid; D- Vous êtes plongé dans vos pensées. 11. A l'intérieur d'une église, vous êtes frappé : A- Par la qualité du silence; B- Par la pénombre et la lueur des cierges et des vitraux; C- Par l'odeur de la cire ou de l'encens; D- Par rien de précis. 12. Vos voisins reviennent de voyage : A- Vous pensez au bruit, qui va recommencer; B- Vous trouvez qu'ils ont l'air reposé; C- Vous êtes bien content pour eux; D- Vous songez à vos prochaines vacances. 13. Sur la plage, votre attention est captée par : A- Le bruissement des vagues et les cris des oiseaux; B- La beauté du paysage et de l'environnement; C- L'odeur de l'air et des embruns; D- Vous analysez l'heure et l'à-propos de votre promenade. 14. Dans votre bain ou votre douche : A- En paix, vous y chantez ou écoutez de la musique; B- Vous rêvassez doucement; C- Vous aimez la douceur de l'eau chaude sur votre peau; D- Vous savez exactement pourquoi cela vous détend. 15. Vous achetez un vêtement : A- Parce que sa valeur et son prix vous satisfont; B- Parce que vous voyez qu'il vous va bien dans la glace; C- Parce que c'est le plus doux et le plus confortable; D- Parce qu'il vous paraît éminemment pratique. Additionner : un point à chaque A, deux à chaque B, trois à chaque C et quatre points à chaque D.
Résultat : - Moins de 20 points vous êtes auditif. - Entre 21 et 35 points: vous êtes visuel. - Entre 36 et 45 points vous êtes kinesthésique. - Plus de 45 points: vous vous fiez à votre «dialogue intérieur». Il est possible aussi que vous soyez un auditif ou un visuel qui a développé son côté complémentaire et... qui a tendance à rationaliser.
Récemment une amie, pour illustrer le sujet de notre conversation téléphonique me raconta cette histoire :
Il était une fois un modeste paysan de la vieille Russie.
Il était veuf et n'avait qu'un fils.
Un jour, son cheval disparut.
Tous ses voisins le plaignirent, en disant qu'une bien triste chose était arrivée. "Est-ce un bien ou est-ce un mal ?", répondit-il.
Trois jours plus tard, son cheval revint accompagné de trois chevaux sauvages.
Les voisins l'envièrent et lui affirmèrent: "Quelle chance tu as !".
A quoi il répondit : "Est-ce un bien ou est-ce un mal ?"
Son fils tenta de monter l'un des chevaux sauvages, tomba et se cassa une jambe.
Les voisins dirent : "Quelle guigne !"
-"Est-ce un bien ou est-ce un mal ?", répondit une nouvelle fois le paysan.
Trois jours plus tard, les huissiers du tsar vinrent chercher tous les jeunes hommes valides pour les enrôler dans l'armée, et le fils du paysan ne fut pas enrôlé. "Quelle chance tu as !" déclarèrent les voisins au vieux paysan. "Est-ce un bien ou est-ce un mal ?" répondit une nouvelle fois le paysan...
Nous ne voyons qu'un tout petit bout de notre réalité.
Qui sait à quoi peuvent être utiles...
...les expériences que nous vivons ?
Sagesse de LAO-TSEU
vous trouverez ce conte sur le blog de "pointfort" de Stéphane Bigeard qui j'espère ne m'en voudra pas d'avoir copié/collé son article et que je remercie.