Hier soir, je suis allée à un concert avec ma meilleure amie et ma maman. Très sympa, mais évidemment, des tentations à chaque coin de salle. Mais j'ai tenu bon et ai dégusté avec plaisir un coca light. En rentrant, je n'ai même pas eu la tentation d'aller piquer un petit grignotage dans l'armoire. J'ai tenu bon et suis directement allée me coucher. Habitude très peu vue chez moi. Je suis donc très fière de moi! 

Par contre, j'ai de temps en temps un coup de blues parce que c'est pénible d'avoir sans cesse en tête ce que je vais pouvoir manger au prochain repas ou pas, ce que je vais devoir cuisiner, comment je vais m'organiser pour préparer mes repas à l'avance et insérer tout ça dans mon emploi du temps. C'est pénible à la longue.

Allez courage...

Hier soir, dans mon lit, j'ai réalisé quelque chose d'important. Enfin... il me semble.
Durant toute petite, j'ai pris la nourriture pour l'un des seuls plaisirs de ma vie. J'ai donc pris l'habitude de l'inclure à toute situation qui me fait plaisir comme: revoir une amie, me balader au bord du lac, aller au ciné, visiter une ville ou un endroit, etc... Et voilà que de ma propre volonté, je décide de contrôler ce que je mange et quand je le fais. Je me vois donc dans des situations où je vais retrouver une amie après plus de 5 mois sans l'avoir vue et où je ne vais pas pouvoir y inclure la bouffe. Mais immédiatement, j'ai des images de chocolats chauds avec des marshmallows flottants à la surface qui me viennent à l'esprit. Parce qu'ils rendraient à mes yeux ce moment encore plus parfait.

Je réalise que je dois impérativement cesser ce schéma de pensées parce qu'il ne va m'amener nulle part de bon. Mais c'est tellement dur lorsque ça fait plus de 20 ans que je l'utilise. Me voilà donc à la recherche d'un remplacement. Je pourrais lui offrir un cadeau... ou lui écrire une carte. Ou les deux. Je pourrais nous préparer de belles tasses de thé à la menthe sans sucre. Mais je sais que de toute façon, je vais devoir passer par une période de frustration tant que ma nouvelle habitude ne sera pas bien ancrée en moi.

J'ai vraiment envie d'aller de l'avant. Et je pense que ces étapes sont des caps importants à franchir même si cela implique des frustrations, des moments de déprime et un léger manque de repères pendant quelques temps.

Mais je VEUX garder la pêche.

J'ai vu ma nutritionniste hier soir. C'est toujours une remotivation et un coup de pouce pour les deux prochaines semaines. Elle m'a donné des compléments alimentaires à prendre en plus de ceux que je prends déjà. J'ai maintenant 7 comprimés à prendre chaque matin. Rude quand on a rien dans l'estomac.

Et puis, j'ai eu le droit à une petite séance de Powerplate. J'en avais déjà fait dans un centre sportif mais celui-ci est un médical et croyez-moi, ça m'a rien à voir. Je vais avoir le droit à ce genre de séance une fois toutes les deux semaines. ça va être bénéfique pour mes muscles et ma peau. Je sais qu'entre deux, je devrais me remettre au vélo d'appartement mais j'ai tellement peu de force ces derniers temps que je n'ai pas le courage de monter dessus à la fin de la journée. Enfin... avec un peu de courage et le but de ne faire, dans un premier temps, que 5 minutes par jour, je devrais y arriver.

Et j'ai le droit au chocolat maintenant!!! La meilleure nouvelle qu'on m'ait donnée depuis 5 semaines!! J'ai le droit à un carré de chocolat noir juste après le repas mais uniquement si j'en crève d'envie.

Et d'après la balance de ma nutritionniste, j'ai quand même perdu 1,5kg en deux semaines. C'est pas si mal.

Donc, je reste positive et je continue d'avancer.

Mauvaise nouvelle: je me suis pesée samedi matin et mon poids n'avait pas bougé d'un gramme. C'est décevant. Surtout après une semaine sans écart. Mais je vais bientôt avoir mes règles et ça pourrait simplement être ça. Je ne me décourage donc pas et je persévère.

Je vois ma nutritionniste ce soir et je vais absolument devoir lui demander pour quand la réintroduction du chocolat est prévue. Il me manque, c'est terrible!! J'en rêve la nuit.

J'ai encore de la peine au niveau de la fatigue. Je suis trèèès vite épuisée, les nerfs tendus et je pleure pour un rien. Bon, ça pourrait aussi venir de mon état hormonal.

Et aujourd'hui, c'est Ananas-Day. Je dois manger un ananas frais réparti sur toute la journée. C'est bon mais c'est vite digéré. Alors je bois, je pense à autre chose et j'attends demain.

Raaah... je suis énervée aujourd'hui. Et tout ça, à cause d'une stupide histoire de téléphone commandé et payé que je ne reçois pas. ça me tend les nerfs et lorsque je suis énervée, j'ai tout de suite envie de sucré. C'est instantané. Alors j'essaie de me calmer, de penser à autre chose. Mais je suis aussi surmenée au bureau donc c'est pas vraiment facile.

Je dois également planifier ce que je vais manger durant tout ce week-end, et comme les événements sociaux se suivent et se multiplient, je dois à chaque fois faire en sorte que ça marche. C'est terrible comment je dois penser à l'avance à ce que je vais manger. Parfois, ça me prend vraiment la tête. J'aurais envie de tout balancer par la fenêtre et de ne manger que ce que j'ai envie ou ce qui me tombe sous la main. Mais je sais que si je veux parvenir à mon but, je dois faire des sacrifices. Et puis, c'est un temps comme ça. Un jour, une fois mon but atteint, je pourrai retourner à une alimentation moins "contrôlée".

Me réjouis, me réjouis, me réjouis! J'ai besoin de regarder vers le futur et de me dire qu'un jour, tout sera plus facile. Même si pour l'instant, j'aurais bien besoin d'une bonne dose de courage.

Help...

Hier, à ma pause de midi, j'ai pris mon pic-nic et je suis allée faire une petite balade. Le temps était magnifique, il faisait beau, il faisait chaud, Jason Mraz me chantait ses belles chansons dans les oreilles et j'étais sincèrement heureuse d'être à cet instant précis à cet endroit-là. Mon régime alimentaire me convenait alors, je ne trouvais plus rien à y redire, je me sentais bien dans mes baskets, sûre de moi. J'aurais aimé que cet état se prolonge à l'infini.

Puis, les contrariétés au bureau se sont enchaînées, la pression a grimpé, je me suis retrouvée en fin de journée complètement épuisée et déprimée. Et c'est là que le mot "chocolat" a surgi dans mon esprit. Dur de l'y déloger. Et je me suis mise à m'examiner d'un oeil critique, me demandant pourquoi je continuais à faire autant d'efforts si mon arrière-train, mes cuisses et mon ventre ne diminuaient pas. Encore plus dur de résister au chocolat après ça. Et pourtant, je suis restée stoïque, préférant aller me coucher frustrée plutôt que culpabilisée.

Puis, une fois dans mon lit, j'ai passé ma journée en revue. Et je me suis demandée comment j'étais arrivée en l'espace de quelques heures à me sentir heureuse et bien dans ma peau à déprimée, frustrée et complexée. Je suis restée la même personne durant ces quelques heures. Je crois que je dois apprendre à me méfier de mes émotions. Je ne dois pas leur accorder trop de crédit. Je dois me fixer sur ce que ma raison a décidé. Que je me sente bien... ou pas.

Bonjour tout le monde!

J'espère que vous avez la frite et que vous gardez le moral.

Ce long week-end fut particulièrement relax. Rien que de la détente, profiter du soleil, regarder des films, bref que du plaisir. Et lundi, j'avais une fête de famille qui, comme d'hab, regorgeait de douceur. Difficile de rester sage. C'est toujours un sacré challenge lorsqu'on se retrouve face à toutes sortes de tartes, de cakes, de croissants aux jambons, feuilletés et douceurs de tous genres. Pas évident de se rappeler que mon combat est digne d'être mené, qu'il en vaut la peine et que je ne dois pas tout laisser tomber pour quelques instants de plaisir dans la bouche.
Je ne sais pas trop comment mais j'y suis arrivée. Et me voilà prête à attaquer cette nouvelle semaine de travail.

Je me réjouis VRAIMENT des vacances!! Mais il me reste un mois et demi à tenir alors... on s'encourage!

Je donne à ce blog un nouveau départ. Marre de voir 2 ou 3 articles déprimants. Je n'ai jamais été aussi près de mon but qu'aujourd'hui alors je trouve que ça vaut la peine de se battre encore un petit peu.

Je suis grande, je mesure 1m81. Du coup, le poids que je vise en premier est 75kg. ça me semble être correct. Et une fois arrivée à ce poids, je verrai à quoi je ressemble et si je veux encore en perdre quelques-uns... ou pas.

Je suis un vrai bec à bonbons. Je suis complètement fan des Dragibus, du chocolat et du beurre de cacahuètes. Pas étonnant ensuite d'apprendre que j'ai un jour pesé 128kg. Bref, tout ça c'est du passé, aujourd'hui je pèse 86.9kg et j'ai laissé toutes les sucreries de côté.
J'espère que je saurai trouvé un équilibre entre mes envies de sucré et ce que je vais véritablement absorbé une fois mon objectif atteint.

Mais quel plaisir de sentir son jean's se mettre à flotter!!! ça, c'est un sacré motivant.

Comme j'ai pas envie de raconter mes expériences sans profiter de celles des autres, et que si je suis ici, c'est bien pour me faire des amies, je n'attends plus que vos commentaires!!!

Courage à toutes!! Avec un peu de motivation, on va y arriver!