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Le juge se leva. Il était aussi sourd qu’un pot. Et quand il vit l’enfant sur le dos de sa mère il pensa qu’il ne s’agissait là que d’une petite querelle de ménage. Alors il s’adressa au monsieur :
- «Monsieur. Cet enfant est votre enfant. Regardez d’ailleurs comment il vous ressemble. A ce qu’il me semble vous êtes un mauvais mari. Et vous madame, des petits problèmes comme cela. Ce n’est pas la peine de venir jusqu’ici étaler ça devant tout le monde. Rentrez chez vous ! Je souhaite que vous vous réconciliez.»
Ayant entendu ce jugement, tout le monde éclata de rire. Et le rire contamina le juge, la dame et le monsieur.
Que firent-ils ? Ils éclatèrent de rire bien que n’ayant rien compris.
Et c’est à partir de là que le conte pose sa question :
Le conte voudrait savoir, lequel de ces trois est le plus sourd ?
Moralité
Il vaut mieux ne pas se dépêcher de donner une réponse. On conseille quelque en Afrique, d’avoir le cou aussi long que celui du chameau, afin que la parole avant de jaillir puisse prendre tout son temps.
* Nota bene : Les filles, je ne voulais pas vous faire languir à ce point quant à la suite de ce conte mais la page de ce site est trop petite. Donc, les suites sont obligatoires. Bonne lecture à toutes et merci pour votre amitié.
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Le monsieur quand il a vu que la femme se fâchait, il a pensé que cette femme ne voulait pas de ce mouton mais qu’elle voulait d’un mouton plus gros. Et à son tour, il se fâcha :
- «Madame, c’est ce mouton que je vous ai promis. Il n’est pas du tout question que je vous donne le plus gros de mes moutons.»
Tous les deux il se fâchèrent, ils se fâchèrent à un tel point qu’ils finirent par arriver au tribunal.
Et le tribunal dans cette Afrique d’il y a longtemps, cela se passait sur la place du village, à l’ombre d’un grand arbre, l’arbre à palabres le plus souvent un baobab.
Et le juge, lui qui était en même temps le chef du village il était là entouré de tout ces gens qu’on appelle les notables.
La dame et le monsieur sont arrivés tout en continuant leur querelle. Et après les salutations c’est elle qui parla la première :
- «Ce monsieur m’a trouvé dans mon champ, il m’a demandé jusqu’où mon champ s’arrêtait. Je lui ai montré et j’ai repris mon travail. Ce monsieur est parti et quelques instants après il est revenu avec un mouton blessé m’accusant de l’avoir blessé. Or moi je jure que des moutons j’en ai jamais vus. Voilà pourquoi on est ici monsieur le juge.»
C’était au tour du monsieur :
- « Je cherchais mes moutons, dit-il, et leurs traces m’ont conduit jusqu’au champ de cette dame. A cette dame j’ai dit que si elle m’aidait à retrouver mes moutons je lui donnerais un d’entre eux mais j’ai bien précisé le mouton blessé. Elle m’a montré mes moutons, c’est ce mouton blessé que je lui ai donné. Elle veut un mouton plus gros. Pensez-vous que je vais lui donner le plus gros de mes moutons à deux pas de la fête des moutons ?»
Le juge se leva. Il était aussi sourd qu’un pot.
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C’est l’histoire d’une femme. Elle était sourde, tellement sourde qu’elle n’entendait rien.
Tous les matins elle portait son enfant sur son dos et elle se rendait à son champ. Elle avait un immense champ d’arachides.
Et un matin qu’elle était là, tranquillement à travailler dans son champ, arrive un monsieur. Un monsieur tellement sourd qu’il n’entendait rien. Et ce monsieur cherchait ses moutons.
Ecoutez-bien ! Il s’adressa à la dame :
- «Madame, je cherche mes moutons, leurs traces m’ont conduites jusqu’à votre champ.
Est-ce que vous ne pourriez pas m’aider à les retrouver ? D’ailleurs, on les reconnaît bien mes moutons, parmi eux, il y a un mouton blessé. Madame si vous m’aidez à retrouver mes moutons, je vous donnerais ce mouton blessé vous pourrez toujours vous en servir.»
Mais elle, n’ayant rien entendu, rien compris, elle a pensé que ce monsieur lui demandait juste jusqu’où son champ s’arrêtait. Elle se retourna pour lui dire :
- «Mon champ s’arrête là-bas.»
Le monsieur a suivi la direction indiquée par la dame et par un curieux hasard il trouva ses moutons en train de brouter tranquillement derrière un buisson. Tout content il les rassembla et est venu remettre à la dame le mouton blessé.
Mais celle-ci, n’ayant rien entendu, rien compris, elle a pensé que ce monsieur l’accusait d’avoir blessé son mouton. Alors elle s’est fâchée :
- «Monsieur, je n’ai pas blessé votre mouton. Allez accuser qui vous voulez mais pas moi. D’ailleurs des moutons, je n’en ai jamais vus.»
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Arrivé sur la plage, il ne reconnut pas les lieux. Il avait l’impression d’être dans un autre village.
Il se dirigea vers sa maison mais elle avait changé de décor, de peinture.
Il tocqua à la porte et une jeune dame l’accueillit.
Rachima lui dit : où est ma mère ? «
« Votre mère ? Je ne comprends pas monsieur ».
Rachima : « c’est ma maison ici «
« Oh non ! C’est la mienne et depuis 35 ans ! D’ailleurs avant elle appartenait à mes parents et j’en ai hérité en 1719 ».
Rachima : en 1719 ? Mais, nous sommes en 1680 Madame !
Monsieur, aujourd’hui nous sommes en 2019 ! Regardez le calendrier ! Et ces meubles sont à moi.
Rachima convint effectivement que les meubles n’étaient pas les siens. Il s’en alla tout triste et s’assit sur un banc. Un vieux s’approcha de lui et lui demanda son nom.
«Rachima, dit –il, je suis pêcheur et j’habitais dans cette maison avec ma mère»!
Le vieux étonné lui dit : c’est bizarre, il y a une légende qui dit qu’un brave pêcheur fut emporté par les flots et qu’il s’appelait comme toi Rachima.
Il parait qu' à la suite de cela, sa mère mourut de chagrin »
Mais, c’est une histoire qui date de 300 ans!!!
« 300 ans ? dit Rachima désespéré et il s’en alla sur la plage se lamenter sur son sort .
« Finalement, se dit-il (oubliant la promesse faite à la Reine), puisque j’ai tout perdu, je vais ouvrir la boite, que peut –il m’arriver de plus ? »
Et Rachima ouvrit la boite. Elle ne contenait que de la fumée.
Mais, au fur et à mesure que cette fumée s’échappait de la boite, Rachima se ratatinait, vieillissait, se ridait jusqu’à devenir une poignée de cendres sur la plage.
Ainsi, grâce à une bonne action faite un jour, Rachima vécut 300 ans.
Mais, l’éternité n’étant pas de ce monde, son destin était malgré tout d’ouvrir la boite et par là même de dévoiler le secret.
FIN
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Il était une fois en Chine, dans un petit village en bord de mer, un gentil pêcheur nommé Rachima.
Rachima vivait avec sa mère et il était heureux.
Un soir qu’il rentrait de sa pêche, il vit des enfants maltraiter une tortue. Il s’approcha d’eux et les supplia de la laisser partir : c’est une pauvre bête, lâchez la !
Mais en vain les enfants continuaient à la battre.
Rachima leur proposa son poisson mais ils le refusèrent. Alors, il leur proposa de l’argent pour qu’ils s’achètent des bonbons.A ce moment, les enfants la laissèrent tomber sur la plage.
Rachima prit la tortue la soigna et la remis à la mer.
Quelques temps plus tard, alors que Rachima pêchait, il entendit une voix douce l’appeler :
« Rachima, Rachima ». Il se retourna mais ne vit personne derrière lui.
« Rachima, Rachima », continua la voix et elle venait de l’horizon.
Il regarda devant lui et vit la tortue.
« Te souviens –tu de moi ? Tu m’avais sauvée il y a 6 mois ! et pour te remercier ma Reine t’invite à venir passer une soirée avec elle. »
Rachima protesta : « je ne peux pas laisser ma mère seule, dis à ta Reine que je la remercie mais je ne peux vraiment pas ».
« Rachima, on ne doit pas refuser une invitation de la Reine. Mais, je vais aller lui demander ce qu’on peut faire »
Une heure plus tard la tortue revint et lui dit « Ma Reine dit que tu seras rentré avant ce soir chez toi, donc elle t’attend « .
Alors, Rachima accepta et monta sur le dos de la tortue qui s’enfonça dans la mer.
Arrivé chez la Reine, il fut accueillit comme un roi : festin, beaux vêtements, beaux bijoux etc… Rachima était si heureux qu’il en oublia de partir.
Mais, la Reine veillait et comme promis, elle le libéra.
Au moment de partir elle lui dit :: Tiens Rachima, je te donne une boite fermée que tu ne dois jamais ouvrir sinon il t’arrivera malheur. Cependant, si tu ne l’ouvres pas tu seras toujours heureux.
Rachima promis à la Reine et remonta à la surface escorté par la tortue reconnaissante.
Arrivé
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Durant son sermon, le curé demande aux femmes qui ont trompé leur mari de venir se confesser après la messe. Après la messe, il y a donc une douzaine de femmes qui attendent. Une vieille dame qui était assise derrière se demande pourquoi toutes ces femmes font la queue. Elle pose la question à la dernière de la file. - Qu'est-ce que vous faites toutes là ? Un peu gênée, et ne voulant pas avouer que c'est pour avoir trompé leurs maris, qu'elles attendent patiemment, elle dit : - le curé distribue des pastilles à la menthe. La vieille dame fait donc la file. Quand le curé arrive près d'elle, il s'exclame : -vous madame, à votre âge !!! Et la vieille dame de répliquer : Oui, j'aime ça en sucer une de temps en temps
2)
Une jeune femme se plaint à une amie qu'à chaque fois qu'elle met son linge à sécher dehors, il pleut et le linge ne sèche pas bien. L'amie lui repond qu'elle a un bon truc pour ça :
- Lorsque je me réveille le matin je regarde la bite de mon homme: si elle pend à gauche c'est qu'il va faire beau et je peux sans crainte étendre ma lessive dehors. Par contre, s'il pend à droite c'est que le mauvais temps s'annonce et qu'il ne faut pas étendre la lessive à l'extérieur. C'est infaillible.
- Super, et s'il pointe en l'air ?
- Ben ces jours-là, je fais pas la lessive !
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1)
Un avocat défendant un homme accusé de vol à l'étalage essaya cette défense créative: " Mon client a innocemment introduit son bras à travers la fenêtre le ressortit avec quelques bijoux. C'est son bras et point lui que l'on doit punir." Avec un sourire, le juge lui répondit : " Bien Maître, utilisant votre logique, je condamne le bras de l'accusé à une peine d'emprisonnement d'un an. Il peut accompagner son bras en prison ou pas, à lui de choisir .. " A ces mots, l'avocat, hilare, s'approche de son client, l'aide à décrocher son bras artificiel, le laisse sur la table et quitte le tribunal avec son client, libre...
2)
Un type entra dans un petit magasin de quartier avec un fusil de chasse et demanda tout l'argent du tiroir caisse. Après que le caissier ait mis l'argent dans un sac, le voleur vit une bouteille de scotch qui se trouvait derrière le comptoir. Il demanda au caissier de la mettre dans le sac également mais celui-ci refusa en disant : " Parce que je pense que vous n'avez pas 21 ans. " Le voleur répondit que si mais l'employé continua à refuser de la lui donner parce qu'il ne le croyait pas. A ce moment, le voleur pris dans son portefeuille son permis de conduire et le donna à l'employé. Celui-ci le regarda et reconnu que l'homme avait bien plus de 21 ans en mettant la bouteille de scotch dans le sac. Le voleur sortit ensuite du magasin avec son butin. Le caissier appela immédiatement la police et lui donna le nom et l'adresse qu'il avait lus sur le permis de conduire du voleur. Celui-ci fut arrêté deux heures plus tard.
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1)
Un Belge et un Français vont en camping. Ils installent leur tente dans une clairière et se couchent pour dormir.
Quelques heures plus tard, le belge réveille le français et lui dit
- "Regarde vers le ciel et dis-moi ce que tu vois."
- "Des millions d'étoiles !"
- "Et qu'est-ce que ça veut dire, selon toi ? "
Le français interprète la question un instant et dit, sur un ton pointu :
1. Astronomiquement parlant, cela veut dire qu'il y a des millions de galaxies et des milliards de planètes dans ce vaste espace.
2. Astrologiquement, cela me dit que Saturne est en Verseau.
3. Pour l'heure, je dirais qu'il est quatre heures du matin.
4. Théologiquement parlant, il est évident que Dieu est tout puissant et que nous sommes petits et faibles.
5. Météorologiquement, il semblerait qu'il fera beau demain.
Après s'être fait dévisager par le belge pendant quelques minutes, il reprend :
- "Quoi, qu'est-ce que j'ai dit de mal ?"
- "Grosse bièsse va ! Cela veut simplement dire qu'on s'est fait piquer la tente !"
2) Un charmant jeune homme raconte :
Une jolie blonde dans sa voiture me sourit et baisse sa fenêtre...
Je la regarde et je baisse la mienne aussi en pensant qu'elle me donnerait son numéro...
Elle me répond en riant
-Toi aussi t'as pété ?!
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II y a bien longtemps, dans une belle maison vivait un couple très gourmand.
Un jour un de leurs voisins est venu leur apporter des gâteaux de riz. L’homme et la femme les ont mangés avec beaucoup de joie, jusqu’au jour où il n’en est resté plus qu’un.
Pour savoir qui mangerait le dernier gâteau de riz, l’homme et la femme se lancèrent un défi : celui qui garderait le silence le plus longtemps possible mangerait le dernier gâteau de riz.
A partir de cet instant l’homme et la femme s’installèrent l’un en face de l’autre et ne se quittèrent plus des yeux.
Au bout d’un certain temps, un voleur pénétra dans la maison, qu’il croyait vide parce qu’il n’entendait rien et commença à prendre des objets de valeurs. Tout en volant et croyant qu’il n’y avait personne, le voleur fit le tour de la maison et finit par arriver dans la pièce où se trouvait le couple.
Prenant les bijoux sous leurs yeux, le voleur crut que le couple était muet puisqu’ils ne protestaient pas.
Après avoir rempli son sac de bijoux et d’objets de valeurs, le voleur décida d’enlever la femme. II la jeta sur son épaule. La femme s’est débattue, mais sans rien dire ; au moment où ils allaient sortir de la maison, la femme finit par crier à son mari : "Tu vas rester là, tu vas me laisser enlever sans même protester !"
L’homme dit à sa femme : "C’est toi qui a parlé la première, et donc c’est moi qui mange le dernier gâteau de riz."
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II y a bien longtemps, dans une belle maison vivait un couple très gourmand.
Un jour un de leurs voisins est venu leur apporter des gâteaux de riz. L’homme et la femme les ont mangés avec beaucoup de joie, jusqu’au jour où il n’en est resté plus qu’un.
Pour savoir qui mangerait le dernier gâteau de riz, l’homme et la femme se lancèrent un défi : celui qui garderait le silence le plus longtemps possible mangerait le dernier gâteau de riz.
A partir de cet instant l’homme et la femme s’installèrent l’un en face de l’autre et ne se quittèrent plus des yeux.
Au bout d’un certain temps, un voleur pénétra dans la maison, qu’il croyait vide parce qu’il n’entendait rien et commença à prendre des objets de valeurs. Tout en volant et croyant qu’il n’y avait personne, le voleur fit le tour de la maison et finit par arriver dans la pièce où se trouvait le couple.
Prenant les bijoux sous leurs yeux, le voleur crut que le couple était muet puisqu’ils ne protestaient pas.
Après avoir rempli son sac de bijoux et d’objets de valeurs, le voleur décida d’enlever la femme. II la jeta sur son épaule. La femme s’est débattue, mais sans rien dire ; au moment où ils allaient sortir de la maison, la femme finit par crier à son mari : "Tu vas rester là, tu vas me laisser enlever sans même protester !"
L’homme dit à sa femme : "C’est toi qui a parlé la première, et donc c’est moi qui mange le dernier gâteau de riz."