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1 ) A la banque
Un gars entre dans une banque et dis à la guichetière : "Je voudrais
ouvrir un putain de compte dans ta putain de banque..."
"Pardon ?" dit la dame
"T'es bouchée ou quoi, je voudrais ouvrir un putain de compte dans ta
putain de banque..."
"Mais enfin, Monsieur, restez correct..."
"K'ess t'as, tu veux mon poing dans la gueule ?..."
"Ecoutez monsieur, je vais appeler le directeur..."
"C'est ça, poufiasse, appelle ton putain de directeur..."
Le directeur arrive :
"Monsieur, il y a un petit problème ?"
"J'en sais rien, je veux ouvrir un putain de compte dans ta putain de
banque parce que j'ai touché un putain d'héritage d'un milliard"
Et le directeur répond "Et cette connasse te fait chier ???"
2 )Un rabbin et un curé se trouvaient partager le compartiment d'un train. Au bout d'un moment, le curé ferma son bréviaire et fixa le rabbin.
- Dites-moi, votre religion vous interdit de manger du porc ... mais vous est-il arrivé d'en goûter ?
Le rabbin referma son journal et répondit :
- Je dois vous dire la vérité : oui, à de rares occasions ... Mais je vous retourne la question, votre religion vous impose le célibat ...
- Je sais ce que vous allez me demander, est-ce que j'ai goûté au fruit défendu ? Et bien comme je me dois aussi de dire la vérité : oui, une fois ou deux j'ai goûté à ça.
Ils reprirent tous deux leurs lectures, puis le rabbin baissa son journal, regarda le curé, et lui dit avec un clin d'oeil :- C'est meilleur que le cochon, non ?
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mais un brusque coup de vent l’a emporté je ne sais où et voilà pour lui. L’aiguille a fait le tour de la chambre à la recherche du balai, mais elle est tombée entre deux lattes du plancher…D’où vient que la maison ne fut pas balayée.
Pendant ce temps-là, sur son étagère, le pot d’argile qui était le chef, ne voyant pas revenir les siens, fut gagné par l’inquiétude…Puis il dit : « Décidément, ce sont tous des incapables dans cette maison ! il va falloir, une fois de plus, que je prenne les choses en mains… » Et il sauta de l’étagère. Mais il avait oublié qu’il était d’argile et il se cassa en mille morceaux.
C’est ainsi qu’il n’y eut plus personne du tout pour s’occuper de la maison. Fin. La moralité est laissée à chaque personne selon son raisonnement.
Et pour vous dérider au cas où le moral est dans les chaussettes, voici quelques blagues dans le coin.
blagounettes :
1) Une concierge arrête une locataire à l'air triste.
- Bonjour madame lavigne. ça à pas l'air d'aller ce matin.
- Bah, c'est à cause de ma chatte, chapelure.
- Ah, je croyais qu'elle s'appelait biscotte.
- Oui, mais elle s'est faite écraser ce matin...
2)
Une femme nue, se regarde debout devant la glace.
Elle dit à son époux : ‘Je me trouve horrible à regarder, grasse et ridée... J'ai besoin d'un compliment’
Le mari répond : ‘Tu as une bonne vue’.
3) Un homme est si moche que quand il va aux putes, elles font semblant d’attendre le bus.
4) Un homme constate :
On estime en moyenne que l'homme dit 5000 mots par jour, et que la femme dit 7000 mots par jour...
Le problème, c'est que quand je rentre du travail, j'ai fini mes 5000 mots, alors que ma femme n'a pas encore commencé ses 7000...
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Il était une fois un pot d’argile, une écuelle en terre, un navet, une mouche, un épi de seigle et une aiguille à coudre qui étaient en réunion pour se partager les travaux de la maison. Alors le pot d’argile qui était le chef a donné du travail à chacun. Il a dit : « Toi, l’écuelle, tu vas aller chercher l’eau pour la maison ; toi le navet, tu vas mener la vache au champ, toi la mouche, tu vas faire paître le bœuf ; toi l’épi de seigle, tu iras dans la cour vanner les grains et toi l’aiguille…eh bien, tu balaieras la maison. »
Ayant dit, le pot d’argile qui était le chef alla s’asseoir sur l’étagère pour réfléchir aux affaires de la journée et les autres coururent à leur travail.
L’écuelle en terre est donc allée chercher l’eau. Seulement voilà : cette écuelle n’avait pas été cuite au four. Aussi l’eau a – t- elle pénétré dans la terre de l’écuelle dont les bords se sont ramollis… puis affaissés. Ce qui fait que l’écuelle est restée sur place et qu’il n’y a pas eu d’eau pour la maison. Le navet a mené la vache au champ. La vache, voyant ce navet au bord du chemin, a tendu le cou et l’a mangé.
La mouche a fait paître le bœuf. Elle voletait juste derrière lui ; aussi n’a – t- elle pas songé à s’écarter quand le bœuf a levé la queue et la mouche a été embousée vivante.
De sorte que la vache n’est pas revenue à la maison…et le bœuf non plus.
L’épi de seigle est allé dans la cour pour vanner les grains, mais ...
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C’est souvent intéressant, et parfois drôle, tout ce qu’on peut trouver comme ça…
1) – Si vous criez pendant 8 ans, 7 mois et 6 jours, vous produirez assez d’énergie pour réchauffer une tasse de café.
(Je me demande si ça vaut la peine).
2) –Si vous pétez sans arrêt pendant 6 ans et 9 mois, vous produirez assez de gaz pour créer l’énergie d’une bombe atomique.
(Bon, ça c’est intéressant à savoir)
3) – Le cœur humain est assez puissant pour projeter le sang à près de 10 mètres.
(O.G.M ???)
4) – L’orgasme d’un cochon dure 30 minutes.
(Dans ma prochaine vie, je veux être un cochon !!!)
5) – Un cafard peut vivre 9 jours avec la tête coupée, avant de mourir de faim.
(Je pense encore au cochon)
6) – Vous frapper la tête contre le mur utilise 150 calories à l’heure.
(N’essayez pas ça à la maison… peut-être au travail)
7) – La puce peut sauter une distance égale à 30 fois la longueur de son corps. Pour un humain, c’est la longueur d’un terrain de football.
(30 minutes…. Maudit cochon chanceux)
8) – Certains lions peuvent faire l’amour plus de 50 fois par jour.
(Je veux quand même être un cochon dans ma prochaine vie….la qualité plutôt que la quantité.)
9– Le muscle le plus puissant du corps humain est la langue.
(Hummmmmmmmmmmmm………)
10) –Les éléphants sont les seuls animaux qui ne peuvent pas sauter.
(O.K, sûrement une bonne chose)
11) – L’urine du chat brille sous une lumière ultra-violette.
(Je me demande qui a payé pour cette étude-là).
12° - Les dauphins et les humains sont les seuls espèces qui font l’amour pour le plaisir.
(Et le cochon, lui ???)
13) – L’œil d’une autruche est plus gros que son cerveau.
(Je connais du monde comme ça).
14) – Les étoiles de mer n’ont pas de cerveau.
(Je connais aussi du monde comme ça)
J’espère que ça vous a fait sourire au moins une fois.
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Alors ses yeux se tournèrent vers les eaux noires de l’étang. Elles s’écartèrent, et la femme qu’Alonzo avait fuie la veille apparut. Mais au moment où elle lui souriait et lui tendait les bras, le souvenir de Julia se présenta à son esprit. Cependant l’apparition avançait vers lui et l’appelait. La Bara, voyant qu’il hésitait, se contenta de chanter, et sa chanson flottait dans l’air, tantôt proche, tantôt lointaine, tissant autour d’Alonzo un filet de mélodies langoureuses.
Alonzo sentait ses forces l’abandonner, sa volonté réduire à néant. Il se souvint alors du coquillage que Julia lui avait fait promettre de porter sur lui. Il le prit et le porta à son oreille, mais le chant de la Bara se faisait plus doux, plus insistant encore. Alonzo sentait une torpeur l’envahir. Du fond du coquillage, la voix de Julia lui parvint d’abord très faible, puis de plus en plus distincte, dissipant les sortilèges qui l’enveloppaient. Il leva les yeux et s’aperçut que tout était redevenu calme et tranquille. Et lentement, sans peur et sans fièvre, il revint chez lui. Il s’endormit. Le lendemain il était guéri.
FIN
Désolée encore une fois de vous avoir fait patienter un jour de plus. Mais, ça en valait la peine non ? Pas de ma faute en tout cas, la page est trop petite...
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Arrivé au bord de l’étang il s’arrêta pour s’assurer qu’il était vraiment seul, car il lui semblait deviner une présence. Les rayons de lune découpaient chaque arbre, chaque feuille.
Alors, comme il s’apprêtait à plonger dans l’étang, une main le retint. Au même instant, grâce à un rayon de lune, il vit une femme aux longs cheveux blonds qui se tenait debout, cachée dans les fougères. D’un bond, il saisit ses vêtements et s’enfuit à toutes jambes, craignant à chaque instant de sentir une main se poser sur son épaule. A la lisière de la forêt, il se retourna et crut voir une silhouette blanche tendant ses bras vers lui.
-Je dois avoir la fièvre, se dit-il le lendemain, il n’est pas prudent de se baigner quand on a chaud.
Mais en même temps il comptait les heures avant de retourner à l’étang. Quand il alla rendre visite le soir à Julia, elle ne manqua pas de remarquer un changement dans son attitude, mais il refusa obstinément de répondre à ses questions. Il la quitta plus tôt que de coutume et se hâta de prendre le chemin de la forêt. Il attendit longtemps au bord de l’étang. Il sursauta soudain en entendant appeler son nom.
-Qui est là ? cria-t-il ?
Mais seul l’écho lui répondit.
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-Alonzo, dit-elle au bout d’un instant, veux-tu me promettre de ne plus jamais te baigner dans ces étangs ?
-Mais pourquoi ? N’y suis-je pas allé tous les soirs pendant des mois ?
-N’as-tu pas entendu le chant ? s’écria Julia en tremblant.
- Oui, dit Alonzo, je n’ai jamais entendu de chat plus doux.
-Hélas ! Après le chant, ce sera la vision, et avec elle… la mort !
Alonzo ouvrit de grands yeux et regarda sa fiancée. Serait –elle devenue folle ?
-Je te supplie de ne plus y retourner, reprit Julia. La voix que tu as entendue est celle de la Bara !
Devant ses larmes et les prières de Julia, Alonzo cessa enfin de rire et la consola, en lui promettant de ne plus jamais retourner se baigner dans les étangs.
-Tu ne sais pas que le pouvoir de la Bara est très grand, dit Julia, et le son de sa voix efface tous les souvenirs du cœur des hommes. Si toutefois il t’arrivait de retourner au bord de cet étang, promets – moi au moins d’emporter ce coquillage.
Le portant à ses lèvres, Julia lui chanta une chanson très douce.
-Quand tu entendras la voix de la Bara, ajouta –t- elle, porte cette conque à ton oreille et tu entendras ma chanson. Peut-être serais –je plus forte que la Bara.
La nuit était déjà bien avancée lorsqu’Alonzo regagna enfin sa maison. La lune éclairait le fleuve lointain, et les arbres semblaient lui faire signe, mais le jeune homme leur tourna résolument le dos et alla se coucher.
Ainsi, pendant trois jours, Alonzo tint sa promesse, non parce qu’il croyait à l’existence de la Bara, mais parce qu’il ne voulait pas faire pleurer Julia. Mais malgré sa résolution, le chant de la Bara résonnait de jour en jour plus fort à ses oreilles.
Le quatrième jour, l’attrait de la forêt devint irrésistible, à tel point que la pensée de Julia ne suffit plus à le retenir. La nuit venue, il s’enfonça dans l’ombre fraîche des arbres.
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Là où le soleil est si brûlant que les bêtes et les hommes dorment toute la journée et où même les vastes forêts semblent s’assoupir, arriva un jour, dans un pays du sud, un jeune homme nommé Alonzo, venu d’au-delà des mers.
Quelques mois après son arrivée eut lieu la fête traditionnelle du village. Cette fête attirait tous les habitants des alentours ; certains venaient de très loin, à cheval, à pied, étaient vêtus de robes rouges ou bleues, les cheveux ornés de guirlandes de fleurs sauvages.
C’est la première fois que le jeune homme assistait à une de ces fêtes, et il se tenait timidement à l’écart, observant les danses et les jeux des enfants.
Il aperçut une fille en robe blanche ayant dans les cheveux une couronne de fleurs de grenade, et elle lui parut plus belle que toutes les autres. Elle se nommait Julia. Chaque jour, après son travail Alonzo allait voir Julia dans sa maison ornée de fleurs et de vignes, et passait un moment auprès d’elle dans le jardin où volaient les oiseaux-mouches et les perroquets multicolores.
-Qu’as-tu fait hier soir en rentrant chez toi ? lui demanda-t-elle un soir, parce qu’elle le trouvait différent des autres soirs.
-Il faisait tellement chaud, trop chaud pour dormir. J’ai été dans la forêt me plonger dans un des étangs près de la rivière. J’y vais tous les soirs depuis des mois ; mais hier soir, il s’est passé une chose étrange. J’ai entendu, venant tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, un chant s’élever, un chant plus doux que celui du rossignol. Je rentrai chez moi, assez ému, mais je parvins enfin à m’endormir.
A ce récit, le visage de Julia devint pâle et son corps fut secoué de frissons. Dès sa plus tendre enfance, elle avait entendu parler des êtres qui hantent les forêts, cachés près des berges du fleuve. Ce chant qui avait ému Alonzo était –il celui d’un de ces êtres malfaisants ? Qui sait, c’étai peut-être la terrible Bara, celle qui attirait à elle les hommes la veille de leur mariage ?
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Blagues
publié le 05/10/2007 à 08:41
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1 Un fermier célibataire a un troupeau de 1000 vaches, mais un seul taureau. Un visiteur s'exclame en les voyant :
- Qu'est-ce que vous avez un grand troupeau ! Vous devez être bien heureux !
- Oui, répond mollement le fermier, mais pas autant que le taureau
2) Une institutrice fait un cours de maths à ses élèves de CE1 :
« Un chasseur tire sur 5 lapins et en vise 2. Combien reste –il de lapins ? »
« Moi, Mamzelle, il n’en reste aucun »
« Oh, ce n’est pas la bonne réponse, mais ton raisonnement est intéressant »
Le lendemain, le gamin :
« Mamzelle, je peux vous poser une devinette ? »
« Oui, bien sûr ! »
Le gamin : « il y a 3 filles qui mangent des glaces, l’une croque, l’autre suce et la dernière lèche » Laquelle est mariée ? »
L’institutrice rougissante : « Heu, c’est peut-être celle qui suce ? «
Non, ce n’est pas la bonne réponse, c’est celle qui porte une alliance, mais votre raisonnement est intéressant ».
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Cet homme est tellement avare que quand il mange, si une mouche a le malheur de plonger dans son assiette, il la saisit et lui dit : crache le morceau, crache le morceau !
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1) Un mec se rend chez son toubib complètement dégommé. Le docteur lui file des suppositoires et lui demande de revenir dans une semaine pour vérifier l'état de santé.
Une semaine après donc, le gars revient dans un état encore pire qu'avant. Le docteur :
- Ma parole, je vous ai bien donné des suppositoires, non ?
- Bien sur Docteur.
- Et alors ! Vous les avez mangés ou quoi ?
- Ben évidemment, vous croyez que j'allais me les mettre dans le cul ?
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2) Q : Comment appelle-t-on une blonde qui s'est teint e en brune
A : de l'intelligence artificielle
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3) « A combien rouliez-vous » ? Demande le gendarme.
« A deux seulement, mais si vous voulez monter, il reste de la place ».
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4) Au restaurant, le garçon demande au client: -« Comment avez-vous trouvé
le beefsteak? - Tout à fait par hasard, en soulevant une frite! »
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Deux hommes achètent du poulet rôti, le premier choisit celui qui est à 7 € et l’autre celui qui est à 5 €.
Un client avisé et affolé :
« Mais, mon bon monsieur, savez-vous que ce poulet n’est pas cher parce qu’il a
le sida ?»
« Et alors, c’est pour manger, ce n’est pas pour n… »
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