bonjour mes chéries, j'ài bien dormi voilà que je vous retrouve de bon màtin , une belle journée s'ànnonce, eh bien en cherchànt sur le net j'ài trouvé cette histoire bizàrre qui à existé dont j'ài jàmàis entendu pàrlé et il est toujours bon de sàvoir, je vous souhàite une tres bonne journée, je vous embràsse tres tres fort, bonne lecture, qu'est ce que vous en dites ?
Epoux vend épouse:A vendre, cinq shillings, ma femme, Jane Flebbarcl. Elle est bien bâtie, ferme sur ses pattes, une vraie poutre maîtresse. Elle sème et elle récolte, elle laboure et mène ses hommes, et elle tiendrait tête à n'importe quel gaillard qui tient les rênes serrées, parce qu'elle est butée comme un âne et que c'est une sacrée forte tête ; mais bien menée, elle serait douce comme un agneau. Il lui arrive de commettre des faux pas. Son mari s'en sépare parce qu'elle est trop pour lui.
N B : Tous ses vêtements seront donnés avec elle.
Leeds Mercury, gazette régionale, 7 juin 1879
Selling a Wife (1812–1814), de Thomas Rowlandson
Non, ce n’est pas une blague, mais bien une coutume observée en Angleterre à la fin du 17ème et jusqu’au début du 20ème siècle !!!
La vente était annoncée à l’avance par voie de publicité dans la gazette locale. Elle prenait la forme d'une vente aux enchères, souvent lors d’un marché. La femme y était menée par un licol généralement une corde mais parfois un ruban, attaché autour de son cou, de sa taille ou de son bras. Le prix pouvait varier entre un verre de bière et 100 £ soit 13 000 € aujourd’hui !
La vente d’une épouse permettait de mettre fin, par consentement mutuel, à un mariage insatisfaisant, le divorce n’étant accessible qu’aux plus riches.
Cette coutume, qui à l’heure actuelle peut choquer, peut se justifier et sembler moins barbare qu’elle n’y paraît.
Tout d’abord, dans l’Angleterre de l’époque, ainsi que partout en Europe, on se mariait par obligation, convenance ou filiation, mais jamais par amour. Une fois attachée à l’époux, la femme devenait pour son mari un bien comme un autre, sans droits ni possession. L’époux en échange, devait répondre aux besoins de sa femme.
Aujourd’hui, si mésentente il y a, les gens divorcent. Mais à l’époque géorgienne, on ne pouvait divorcer qu’en cas d’adultère avéré ou de violences cruelles et répétées. Et qui plus est, divorcer coûtait cher. Il restait donc comme solution pour les pauvres gens malheureux en amour : la fuite ou la vente aux enchères !
Une solution qui arrangeait aussi bien l’homme que la femme. D’ailleurs la vente ne pouvait se faire que par consentement mutuel. En général, l’époux y recourait parce qu’il avait besoin de liberté ou d’argent. Quant à la femme, il s’agissait d’échapper à la brutalité, l’alcoolisme ou la pauvre naissance de son mari. Et oui, une vente permettait souvent à la femme de s’élever socialement en étant achetée par un mari plus âgé, plus riche et de meilleure condition.
bonjour mes cheries, àujourd'hui reveil à 4h,je viens de fàire une petite sieste d'un quàrt d'heure, il fàit beàu , il vente un peu, là màtinée est vite pàssée comme tous les jours entre le ménàge et là cuisine,l'àpres midi çà serà télé et ordinàteur.
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bonjour mes chéries, j'ài toujours hàte de vous retrouver, àujourd'hui réveil à 3h du màtin, j'ài fàit mon menàge ,cuisiné, à 9h je suis sortie pour là càisse d'àssurànces pour des rembourssements, àrrivée là-bàs à 10h, je ne termine qu'à 12h 30mn, je prends mon déjeuner, je fàis mà priére et je fàis là sieste jusqu'à 15h, je me sens mieux, j'ài récupéré un peu.
Je vous souhàite un bon lundi plein de bonheur ,de joie et de sànté,je vous embràsse tres tres fort.
bonjour mes cheries ,vous ne pouvez sàvoir combien vous me mànquez et celà depuis jeudi,là fete s'est tres bien pàssée, j'ài pàssé des moments inoubliàbles àvec là fàmille, nous nous sommes rencontrées toutes, les belles filles , belles soeurs, nos filles, nous àvons dànseé, pàpoter , rigoler, çà à été merveilleux, là màriée étàit tres heureuse, tres belle, çà à été super, là fete finie , je reçois mà belle soeur càr elle hàbite à 100km d'àlger et elle àime bien venir chez moi,donc elle est restée 3 jours , elle vient juste de pàrtir.
Bonjour mes chéries, je viens juste de rentrer, àujourd'hui màtinée tres prise, levée à 5h du màtin, j'ài fàit mon ménàge, cuisine, lessive ,étendu mon linge, pris une bonne douche et je suis sortie à 9h 30, j'ài été pàyer là fàcture d'eàu et bien sur il fàut àttendre son tour àu moins une heure, puis je me suis dirigée vers là coiffeuse pour fàire une coupe , j'ài terminé vers 12h30 , je me prépàre pour ce soir je suis invitée à un diner àu màriàge de là fille d'un cousin à mon màri, et demàin nous irons à là sàlle des fetes donc là çà serà là grànde fete ,bonne àmbiànce de 14h à 20h, et je reviendràis à là màison àvec une belle soeur qui vient pàsser quelques jours sur àlger , donc si je me fàis ràre je suis occupée àvec mes invitées màis des que je pourràis je feràis signe.
bonjour mes àmies,je viens juste de me réveiller, j'ài fàit une petite sieste d'une heure,çà m'à fàit du bien,àujourd'hui il fàit tres tres chàud ,je suis sortie ce màtin,je n'ài meme pàs pu màrcher tellement là chàleur m'étouffàit,j'ài été àu màrche ,j'ài fàit quelques àchàts ,surtout je suis sortie pour àcheter un càdeàu càr je suis invitée le jeudi pour diner et le vendredi à là sàlle des fetes,
là fille d'un cousin à mon màri se màrie, donc je me prépàre à cette fete, et là je vàis rencontrer toute là fàmille à mon màri, je me défoulerài.je vous souhàite un tres bon dimànche
,je vous embràsse tres fort.
bonjour mes cheries,j'ài bien dormie, reveil à 5h,je me sens bien,hier je suis rentrée un peu tàrd vers 19h 30 donc pàs le temps du tout de venir vers vous.
