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sàviez vous celà ?
publié le 16/05/2012 à 07:24 |
bonjour mes chéries, j'ài bien dormi voilà que je vous retrouve de bon màtin , une belle journée s'ànnonce, eh bien en cherchànt sur le net j'ài trouvé cette histoire bizàrre qui à existé dont j'ài jàmàis entendu pàrlé et il est toujours bon de sàvoir, je vous souhàite une tres bonne journée, je vous embràsse tres tres fort, bonne lecture, qu'est ce que vous en dites ?
Epoux vend épouse:A vendre, cinq shillings, ma femme, Jane Flebbarcl. Elle est bien bâtie, ferme sur ses pattes, une vraie poutre maîtresse. Elle sème et elle récolte, elle laboure et mène ses hommes, et elle tiendrait tête à n'importe quel gaillard qui tient les rênes serrées, parce qu'elle est butée comme un âne et que c'est une sacrée forte tête ; mais bien menée, elle serait douce comme un agneau. Il lui arrive de commettre des faux pas. Son mari s'en sépare parce qu'elle est trop pour lui.
N B : Tous ses vêtements seront donnés avec elle.
Leeds Mercury, gazette régionale, 7 juin 1879
Selling a Wife (1812–1814), de Thomas Rowlandson
Non, ce n’est pas une blague, mais bien une coutume observée en Angleterre à la fin du 17ème et jusqu’au début du 20ème siècle !!!
La vente était annoncée à l’avance par voie de publicité dans la gazette locale. Elle prenait la forme d'une vente aux enchères, souvent lors d’un marché. La femme y était menée par un licol généralement une corde mais parfois un ruban, attaché autour de son cou, de sa taille ou de son bras. Le prix pouvait varier entre un verre de bière et 100 £ soit 13 000 € aujourd’hui !
La vente d’une épouse permettait de mettre fin, par consentement mutuel, à un mariage insatisfaisant, le divorce n’étant accessible qu’aux plus riches.
Cette coutume, qui à l’heure actuelle peut choquer, peut se justifier et sembler moins barbare qu’elle n’y paraît.
Tout d’abord, dans l’Angleterre de l’époque, ainsi que partout en Europe, on se mariait par obligation, convenance ou filiation, mais jamais par amour. Une fois attachée à l’époux, la femme devenait pour son mari un bien comme un autre, sans droits ni possession. L’époux en échange, devait répondre aux besoins de sa femme.
Aujourd’hui, si mésentente il y a, les gens divorcent. Mais à l’époque géorgienne, on ne pouvait divorcer qu’en cas d’adultère avéré ou de violences cruelles et répétées. Et qui plus est, divorcer coûtait cher. Il restait donc comme solution pour les pauvres gens malheureux en amour : la fuite ou la vente aux enchères !
Une solution qui arrangeait aussi bien l’homme que la femme. D’ailleurs la vente ne pouvait se faire que par consentement mutuel. En général, l’époux y recourait parce qu’il avait besoin de liberté ou d’argent. Quant à la femme, il s’agissait d’échapper à la brutalité, l’alcoolisme ou la pauvre naissance de son mari. Et oui, une vente permettait souvent à la femme de s’élever socialement en étant achetée par un mari plus âgé, plus riche et de meilleure condition.
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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gros bisous.
bouchra.
je viens te souhaiter une très bonne journée
avec ta petite famille .
je t'envoie mille gros bisous
de France .
jacot te .
toujours des histoires vrais mais les homme bien de choses a dire **********************************************
il aurait pas assait de page
bon jeudi
bizzzzzzzz
fiona
J'attends la fin de tous les résultats pour retrouver la sérénité j'espère
Bon aprem
Gros gros bisous
je trouve ton article important , heureusement que maintenant ,il existe le divorce même si se n'ai pas un plaisir de le faire ( abradho elhalal inda allah elttalak .) la femme maintenant travaille et gagne un salaire , elle peut prendre soin d'elle ,sans l'aide de personne.
milles bisous !!
( samia qui pense à toi ).